J’avais peut être pris la décision d’aller plus loin avec Eliott mais j’avais quand même mis quelques semaines avant de me lancer.
Durant cette période j’étais obnubilée par une question : comment faire pour qu’Eliott ne vienne pas entre mes jambes quand je recevais du monde ? En effet, quand des invités étaient présents, j’apprehendais autant l’humidité de son museau que je la désirais.
Eliott est jeune et fou, on se taquine souvent au sol en se poussant. Je profitais de ces moments pour toucher timidement son fourreau ou ses testicules et j’accueillais volontiers ses coups de langue sur mon corps dont je me délectais. De temps en temps j’allais chercher du yaourt et je le laissais me lécher le minou. J’en mettais aussi sur ma poitrine et sur mes lèvres. J’en profitais pour sortir le bout de ma langue afin de frôler la sienne. J’avais souvent envie de caresser son membre quand il avait une érection mais je n’osais pas.
Un matin de repos je m’étais réveillée très excitée. Des souvenirs de mon amant humain me revenaient à l’esprit. Je commençais à me masturber dans mon lit. Au fur et à mesure de mon excitation c’était à Eliott que je pensais. Ma petite chatte était trempée…et si il venait me laper ?
J’ouvris la porte de ma chambre et de suite Eliott me sauta dessus pour me faire la fête. Il a très vite été attiré par ma petite culotte mouillée. Il était tout fou, comme chaque jour à mon réveil, mais là mon entre-jambes l’obsédait. Il ne me laissait pas avancer. Quand il ne me sautait pas dessus il baladait sa langue sur ma culotte ou mes plis de l’aine. C’était vraiment bon et j’étais vraiment réceptive à ses caresses linguales, mais j’étais sa maîtresse et là il prenait le dessus sur moi.
"Assez Eliott ! Files ! " J’accompagnais le geste à la parole en lui indiquant de l’index sa place.
Le filou ! Il m’infligea une dernière lichette furtive avant de partir penaud dans son coin.
Je retournai dans mon lit laissant la porte de ma chambre ouverte. Je me deshabillai devant lui et deposai ma culotte mouillée au bord du lit.
"Viens là Eliott" disais-je en tapotant sur mon matelas.
Il s’approcha de ma chambre et s’arrêta devant la porte de celle-ci. En temps normal, il n’a pas le droit de rentrer et attend mon autorisation pour le faire. Sinon il reste assis ou se couche devant l’entrée de la pièce.
"Viens"
Je repetai l’ordre et il s’avança afin de renifler et de lécher ma culotte. Pendant ce temps, je caressai son flan puis son fourreau. Cette fois ci on pouvait vraiment dire que je le branlais et cela semblait lui faire de l’effet. Un petit bout rouge sortit de son enveloppe que je m’empressai de toucher. C’était humide et ma chatte l’était de plus en plus.
Eliott voulait monter sur le lit, sa queue s’agitait d’impatience. Je l’autorisai. Il grimpa et me sauta dessus. Il était taquin et me donnait des coups de tête pour me pousser. Je ne me laissais pas faire et je le repoussais avec mes mains ou mes pieds. Son enthousiasme me faisait rire. Je n’échappais pas non plus à son échauffourée de langue qu’il effectuait régulièrement sur mon lisse minou. C’était, d’ailleurs, le premier endroit où il s’était dirigé. Par moment, il faisait preuve de brutalité. En plus de me fouetter avec sa queue, il me griffait et me marcher sur la poitrine et le ventre.
"Doucement Eliott !"
Je le repoussai et me mis instinctivement sur le ventre pour me protéger. Il passa derrière moi. Je m’appuyai sur mes avant bras et poussai mes fesses en arrière pour me redresser. Oh ! Je sentai Eliott s’agripper à mes hanches et son sexe, qui devenait de plus en plus long, butait maladroitement sur mes cuisses et mon derrière.
"Non Eliott pas tout de suite !"
J’essayai de me retourner en le poussant mais il m’avait à nouveau attrapé les hanches avec ses pattes avant. Il se tenait en équilibre sur mes mollets et je sentais des petites giclées qui venaient éclabousser mes cuisses, mes fesses et mon intimité. Finalement, je lui avais dit non mais je désirais que ça. J’étais à quatre pattes et il était en train de s’exciter sur moi. J’étais émoustillée à l’idée qu’il pouvait me sodomiser dans cette position même, si au fond de moi, je ne le souhaitais pas. Ça donnait de la "dangerosité" à la situation.
C’était sans aucune délicatesse qu’il s’insera en moi et qu’il commença à me piner. Ouch ! Ses pénétrations étaient bestiales, il me limait le vagin. Je sentais son membre chaud et humide faire des va-et-vient en moi. J’essayais de tenir en équilibre. Très vite je pris du plaisir et j’avais envie d’écarter un peu plus mes jambes afin de mieux profiter de son assaut. Je n’osais pas bouger de peur qu’il perde sa stabilité. Ma chatte était dégoulinante de cyprine et du liquide qui sortait de son sexe, c’était très lubrifiant. Je sentais les testicules claquer sur mes cuisses et s’y coller légèrement tellement elles étaient humides. Je lâchai prise et je me laissai envahir par la jouissance qu’il m’infligeait. Tout était allé très vite, j’étais dépassée par l’événement.
Tout à coup son nud gonfla et m’écarta la paroie vaginale.
"Eliott non !"
Je n’étais pas prête à ça, je ne voulais pas être liée à lui mais c’était trop tard. J’avais envie de me défaire de mon chien mais je me souvenai de ce que j’avais lu sur internet…il fallait être patient. J’abandonnai vite l’idée de m’échapper de son étreinte.
Appuyée sur mes avant bras et mes genoux je savourais quand même ses jets de sperme à l’intérieur de moi. Je sentais que son arrière train se contractait en même temps qu’il éjaculait. Je n’avais pas eu d’orgasme, la saillie n’avait pas été assez longue. Je décidai de me masturber pour arriver à mes fins. Une de mes mais rejoignit ma vulve trempée qu’elle caressa frénétiquement. Mon clitoris était gonflé et mes doigts glissaient dessus grâce à l’union de nos deux fluides. C’était divin ! L’idée qu’Eliott déversait sa semence en plein onanisme de ma part me rendait folle et l’orgasme arriva très vite.
C’était juste après que son nud et sa pine me délivrèrent. Une cascade de son liquide s’échappa de mon vagin et souilla mon lit. Eliott lécha tout de suite mon intimité récupérant ainsi les dernières gouttes de sa semence. Sa langue râpeuse, caressait mon minou ce qui prolongea mon plaisir. Puis, il se coucha à côté de moi et lécha son sexe qui continuait à émettre des giclées de sperme transparent.
"Mince, je vais devoir changer mes draps propres d’hier."
Pensive, je restais allongée près d’Eliott en lui caressant la tête. Lui, profitait paisiblement du confort de mon lit.
J’étais satisfaite tel un scientifique ayant une idée lumineuse car j’avais trouvé la solution à mon problème. Nos ébats seront uniquement pratiqués dans ma chambre comme ça il saura faire la part des choses et il n’aura pas l’idée de me prendre ailleurs que dans cette pièce.