La Turquie est surtout connue pour ses mâles méditerranéens qui se tapent des touristes, pour le fun et souvent en même temps pour le fric. Des gigolos, quoi. Mais les mecs touristes, eux, nont pas grand-chose à se mettre sous la dent, sauf sils sont prêts à se faire défoncer la rondelle par un local. Avec Nathalie et Marion, on est partis dans lidée de changer ça. Notre lieu dapproches, la boîte ″Les Remparts″, une super disco qui domine le port dAntalya, sur la méditerranée. Le public : des jeunes turcs plus ou moins gigolos, des femelles en chaleur qui ne veulent que du local, et nous, à la recherche des bandes dallemands ou ditaliens en mal de chair fraîche. Surtout les allemands, ils ont plus de fric.

On procède toujours pareil. On danse toutes les trois au centre de la piste comme des hystériques, en se caressant comme des gouines, histoire dattirer les regards des mâles en chaleur. Ils ne tardent pas à se presser autour de nous. Chacune surveille un coin de la piste. On élimine les turcs parce quils nont pas assez de fric pour payer. On repère les bandes de deux ou trois copains, parce que nous, on est inséparables. Il faut que notre spectacle dure un moment histoire de bien les faire baver. En plus, on se ressemble toutes les trois comme des gouttes deau : brunes, un peu rondes mais pas trop, pas trop grandes, avec des yeux verts et des cheveux coupés à la garçonne. Mignonnes à ce quil paraît. Côté fringues, on donne dans le genre super sexy. Minijupe à ras la chattoune, cuissardes, petit débardeur laissant apparaître la dentelle noire du soutif.

Voilà pour le spectacle. Peu à peu, les mecs sapprochent, et comme ils voient quon nest pas effarouchées, ils tendent leurs braguettes vers nous pour quon les frôle. Comme ça, on na plus quà choisir les plus prometteuses. Quand ça pousse bien autour de nous, quand on a bien tâté tous les paquets, on va prendre un verre au bar. Et là on laisse venir. Ceux quon ne veut pas, cest facile de leur faire comprendre. Les autres, ce sont les plus hardis qui lemportent. Ceux qui vont nous offrir un verre par exemple.

Ensuite, cest moi qui négocie le coup vu que, comme je suis en fac de langues (sans jeu de mots!), je parle bien langlais. Je vante la marchandise : ″ good suck, good fuck″ (bonnes suceuses, bonnes baiseuses) en parlant de mes copines. Ça tout le monde comprend! Jexplique aussi quon est inséparables, ce qui nest pas pour déplaire aux bandes de copains toujours prêts à forniquer ensemble pour comparer celui qui a la plus longue, le plus dure Puis on parle de prix, bien sûr, vu que notre voyage en Turquie nest financé que comme ça. Payable davance!

Ensuite intervient notre ami Yavüz, le marchand de tapis. Pourquoi lui? Parce quil nous prête son magasin, la nuit, pour nos ébats étant donné que dans les pensions, ce nest pas bien vu du tout. Il étale plein de tapis et de coussins par terre pour que ça soit bien confortable. Si les touristes savaient que les kilims quils achètent à prix dor ont été baptisés au sperme et au jus de femmes! Yavüz on le paie en nature en lautorisant à venir se branler en nous regardant ou à participer selon le cas.

Quand on arrive, tout est prêt. Lautre nuit par exemple, on a débarqué avec deux allemands qui devaient mesurer deux mètres chacun. Ils parlaient à peine langlais, mais on se comprenait. Le premier a baissé son pantalon à peine entré. Il sest assis sur des coussins et a montré un énorme chibre qui sortait de son caleçon en disant ″suck″. Nathalie et Marion sy sont mises à deux tellement sa bite était épaisse. Une de chaque côté de la tige. Elles montaient et descendaient en rythme, en faisant courir leurs petites langues autour du gland monstrueux. Leurs lèvres se rejoignaient de sorte quelles sembrassaient tout en suçant lallemand. Moi je me suis occupée seule de lautre. Aussi grand, aussi bien monté. Jen avais mal aux mâchoires ce qui fait que jai vite arrêté.

Je me suis relevée et jai soulevé ma minijupe pour quil enlève mon string en dentelles et quil applique sa grande bouche contre ma petite chatte. Les autres avaient déjà complètement dessapées leur compagnon et elles étaient aussi à poil. Quant à Yavüz, il était dans un coin, pantalon et slip baissés sur les chaussures, en train de se branler. Il avait ordre de ne pas sapprocher si on ne lui faisait pas signe. Pour brouiller les cartes, je suis allée vers Marion et on a commencé à se rouler des pelles devant les deux allemands qui, ni une ni deux, ont fait la même chose entre eux en se frottant leur queue lune contre lautre. Ils nétaient pas pédés, mais de ce côté-là, comme nous, ils ne semblaient pas avoir de tabous.

Je dois dire que voir ces deux géants en train de se sucer la langue et de se frotter le dard, ça ma excitée au plus au point. Dailleurs, je me suis jetée sur le premier pour lui lécher la rondelle, ce qui na pas eu lair de lui déplaire puisquil a tendu son cul ferme et imberbe en arrière. Nathalie lui léchait les burnes par en dessous et Marion léchait celles de lautre allemand. Nos mains à toutes les trois ne restaient pas inertes. Elles passaient dun sein à une chatte ou une pastille sans aucune gêne. On a tellement fait de choses ensemble!

Quand nos géants en ont eu marre dêtre léchés, ils se sont allongés lun face à lautre, pine bien dressée, en nous faisant signe de les chevaucher. De cette façon, chacun pouvait voir son copain en train de nous enfoncer sa verge. Nous aussi on sest prêtées à ce jeu. A tour de rôle avec Nathalie et Marion, on passait dun braquemart à lautre. Et la troisième allait se faire lécher la chatte par lun ou par lautre de nos étalons. On ne renonçait pas pour autant à se gouiner au passage, à coup de baisers sur la bouche ou sur la moule. Dailleurs, comme si ça ne suffisait pas, jai fait signe à Yavüz de sapprocher. Sa matraque était beaucoup moins longue que celles des géants du Nord, un peu moins épaisse, mais son champignon surdéveloppé rattrapait le tout. Et au moins, on pouvait le bouffer sans se détruire la mâchoire!

Trois lances pour tenter déteindre trois cratères en ébullition! Ou plutôt pour les allumer encore plus! On aurait dit la chevauchée de Walkyries version hard. Ce jeu de saute-mouton dun membre à lautre était de plus en plus excitant. Surtout que, dans la frénésie, on offrait alternativement notre chatte ou notre pastille que nos géants avaient auparavant bien lubrifiées avec leur salive et préparées avec leurs doigts.

Et ce nétait pas fini! Nos géants se sont relevés en même temps et, accroupis, ils nous ont saisies à tour de rôle par les hanches pour nous bourrer par devant et par derrière. Une dizaine de coups de bites dans la chatte, une dizaine de coups dans loignon, et à la suivante. Même Yavüz sy était mis. On passait de main en main, ou plutôt de queue en queue, sans avoir rien à dire. Ils étaient tellement plus forts que nous!

Dailleurs, aucune de nous trois navait envie de les arrêter. On jutait, on gémissait de plaisir, on se gouinait un peu au passage. Bien habile celui qui pouvait comprendre qui était avec qui. Ça narrêtait pas de changer. La chatte, lillet, la bouche : javais limpression de nêtre quun trou pour le bon plaisir de ces messieurs, et pour mon plaisir aussi dailleurs!

Puis ils ont arrêté de jouer aux chaises musicales, ou plutôt aux queues musicales. Je me suis retrouvée avec le plus grand des allemands qui ma bourré la chatte pendant au moins cinq bonnes minutes, pendant que ses doigts me défonçaient le petit trou, avant de me lâcher une bonne rasade de sperme sur le dos. Son copain a juté juste après sur le dos de Marion, imité par Yavüz avec Nathalie. Ce qui fait quon sest retrouvées toutes les trois barbouillées de foutre. Et on sest essuyées, bien sûr, en se roulant sur les tapis!!!

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