Comme à chaque confession, je rappelle que vos commentaires sont mon moteur. Si vous désirez explorer avec moi les délices du partage, faites moi part de vos appréciations. Suggérez-moi des améliorations, soumettez-moi vos envies. J’essaierai de les vivre et je vous livrerai mes impressions prochainement.
Ce soir, je reçois mon maître chez moi. Je l’accueille au salon et lui verse à boire. La conversation est douce Et soudain !
— Passe dans ta chambre, j’arrive !
Quelques minutes plus tard, il entre dans la pièce. Je l’attends sagement au pied de mon lit, en position d’inspection, entièrement nue, mes vêtements rangés sur le bord d’un fauteuil.
— Justine, deux choses me déplaisent.
— Mais Il me semble avoir retenu votre première leçon, la position n’est elle pas la bonne ? J’ai tout fait pour vous obéir !
— Je ne parle pas de ton attitude, mais de ton apparence.
— Mon apparence ?
— Oui, premièrement ces marques de culotte et de soutien-gorge sont très disgracieuses. À partir d’aujourd’hui, tu ne porteras plus de sous-vêtement, sauf si je te donne un ordre contraire !
— Plus du tout ?
— Tu as bien compris ! Plus du tout ! Ni au travail, ni dans la rue !
— Deuxièmement, tu n’es pas assez accessible à mon goût, je te veux plus intégralement nue. Tu iras chez le coiffeur et feras couper tes cheveux très courts. Ensuite tu iras à cette adresse pour une épilation complète. Tu n’oublieras pas de tenir ton journal. Je reviendrai ici dans quelques jours.
Et il me laisse ainsi, nue et frustrée.
Je travaille au septième étage d’une tour du quartier des affaires. Deux jours plus tard, il fait semblant de me rencontrer au pied de cet immeuble.
— Bonjour Justine. Puisque je suis là, montre-moi ton bureau !
Nous empruntons l’ascenseur.
— Position d’inspection !
Formulé à cet endroit, l’ordre me surprend mais j’obéis avec un sourire ravi. Il passe une main sous ma jupe et rencontre deux fesses entièrement nues.
— C’est très bien ! Comment te sens-tu ?
— Dans la rue, j’ai l’impression de ne pas avoir de jupe et d’être exposée à tous les regards. C’est surprenant mais très agréable ! Au bureau, c’est encore plus excitant. Hier, lorsque je suis sortie du bureau de mon chef, il a fallu que j’essuie avec mon mouchoir un petit filet qui coulait à l’intérieur de ma cuisse.
Justement, sa main, restée sous ma jupe pendant que je parlais, contourne ma cuisse gauche et termine sa course sur mon pubis toujours fourni. Il tire doucement sur quelques poils et m’interroge du regard.
— J’ai rendez-vous demain à 13 heures chez l’esthéticienne
— Tu verras, Marianne est très experte. Montre-moi où tu travailles !
Je m’installe à mon bureau.
— Non Justine ! Je vais t’apprendre à t’asseoir. Dans le mouvement, tu dois relever le derrière de ta jupe pour que tes fesses soit en contact direct avec le siège. Recommence ! Tu verras, avec un peu d’habitude, tu feras ça très discrètement !
Mes sentiments sont alors subrepticement mélangés. D’un côté, je ne peux empêcher une distanciation un peu narquoise, car je croyais ce genre de pratique réservé à la littérature érotique vue par Pauline Réage. D’un autre, cet aspect un peu folklorique de la soumission est très vite submergé par la chaleureuse excitation de devoir respecter les mêmes règles que O. J’obéis avec un peu de fébrilité. Mon maître semble cette fois-ci satisfait.
Trois jours plus tard
— Donne-moi ton journal !
Il lit : jeudi, 12h50, j’arrive en avance. L’esthéticienne est une femme d’une quarantaine d’année qui m’accueille très aimablement. Une slave très jolie : assez grande, cheveux courts, yeux perçants. Elle est vêtue d’une courte robe noire sans manche, d’escarpins violets à hauts talons. Ses oreilles, dégagées de chevelure, sont ornées de belles perles nacrées et son poignet porte une montre d’une marque renommée, dont les riches vitrines longent le côté Est de la place Vendôme. Elle a l’assurance et la noblesse que procure souvent l’aisance financière.
Elle a préparé tout le nécessaire, cire, lingettes, crème apaisante. Le cabinet est meublé d’un fauteuil identique à ceux utilisés en gynécologie.
— Justine, tu viendras ici une fois par mois. À partir d’aujourd’hui, en accord avec ton maître, je participe à ton éducation. Je me prénomme Marianne et je sais être très douce. Tu verras, tu seras très heureuse. Allez enlève ta jupe et monte sur le fauteuil.
Marianne règle les étriers et semble très professionnelle. Au bout de vingt bonnes minutes, ma chatte est aussi lisse que celle d’une petite fille mais elle est en feu. Enfin Marianne passe une crème apaisante. Elle joue avec ma vulve, découvre mon clitoris. Le professionnalisme de Marianne semble s’effacer et laisser la place à autre chose. Je commence à gémir. Le jeu dure un bon moment, j’apprends qu’une femme peut faire languir une autre femme bien plus longtemps qu’un homme. Je découvre qu’une femme peut aussi être très vicieuse : Marianne s’arrête lorsque que je suis au bord de l’orgasme.
— Rhabille-toi ! Je t’invite à déjeuner.
Nous partons vers une brasserie du centre-ville. Pendant le déjeuner, je suis décontractée et ce moment de convivialité me confirme que je ne lui suis pas du tout indifférente. Après le café, je la raccompagne chez elle.
— Monte avec moi !
Je ne crois pas avoir le droit de refuser. Je n’en ai pas l’envie. Elle m’installe dans son salon, prépare des boissons, nous trinquons. Après le premier verre, elle ordonne :
— Déshabille-toi !
J’ôte mes vêtements et prends la position d’inspection. Elle me détaille un instant de son fauteuil puis, se levant, va tirer les rideaux d’une fenêtre. Elle revient vers moi. Elle sourit et dépose un baiser léger sur les lèvres entrouvertes. Elle tourne autour de moi, sans me toucher Simplement ses yeux, partout sur mon corps. Que pense-t-elle de moi ? Me voit-elle aussi belle qu’elle ? A-t-elle vraiment envie de moi, ou joue-t-elle un rôle que mon maître lui a attribué ? Quelles sont leurs relations ? Passant derrière moi, elle enveloppe mes seins de ses deux mains et commence un lent et délicieux massage des globes, des aréoles, des tétons
— Tu me plais, ton maître a beaucoup de goût. Tes visites seront toujours très douces et très câlines.
À ces mots, mes tétons durcissent. Sa main droite descend sur mon ventre, arrive au mont de venus, se plaque sur ma chatte. Celle-ci est lisse, douce comme une peau de bébé. Je me laisse aller en arrière, contre son épaule. De sa main gauche, elle tire sur mon téton pour annuler mon mouvement.
— Allonge-toi sur le tapis !
Sa main droite se place sur mon cul, le caresse, son index descend entre mes deux fesses, rencontre ma rosette, s’y attarde, reprends sa descente, survole le périnée. Tout est lisse, net. L’index continu sa course, s’immisce entre mes lèvres, trouve facilement l’ouverture, pénètre, ressort. Elle est comme une musicienne entrainée, qui répète une gamme sans jamais faire de fausse note. Pour être experte à ce point, elle doit faire ça tout les jours avec son propre sexe. Maintenant, deux doigts me fouillent, s’imprègnent de mouille. Elle remonte sur ma rosette, la lubrifie, la déplisse.
— Écarte tes fesses avec tes mains
Ses ordres sont presque susurrés. Plus doux que ceux de mon maître, mais tout aussi fermes. J’obéis, bras tendus derrière moi.
— Non n’écarte pas trop. Juste ce qu’il faut pour être totalement accessible à la vue et à la caresse, mais sans déformer la belle étoile de ton cul. Tu a encore des progrès à faire pour t’offrir avec tout le vice qu’il convient. C’est parfait comme ça, ne bouge pas !
Elle place un peu de vaseline sur ma rondelle. Le pouce reprend sa place, entre pratiquement sans effort. Il ne peut aller plus loin. Il ressort et se met à coulisser. Devant, deux doigts de Marianne me pénètrent. De lointains souvenirs reviennent encore une fois à ma mémoire
Je venais d’entrer en fac, j’avais dix-huit ans. Il y avait un prof que j’adorais (enfin je le croyais, ce qui revient au même), et j’avais résolu de le séduire. Et ça n’a pas vraiment été trop dur ! Un mercredi après-midi, je l’ai retrouvé chez lui, le cur battant. Il m’a embrassée, m’a déshabillée, moult caressée, moult enculée. Et rien d’autre. Pendant toute la durée de notre liaison (presque deux ans), il ne m’a jamais prise autrement.
Il m’a fessée aussi, dès le début. La première fois qu’il m’a pénétrée, j’ai juste eu mal, juste le temps de me demander ce qui m’arrivait. Puis il m’a caressée, apprivoisée et fessée, fort. Puis il m’a enculée encore, et il m’a limée profondément, en me caressant toujours, et j’ai joui Vous savez, cet émerveillement de la première fois, où c’est un autre que toi qui te donne du plaisir, et en plus avec une queue plantée en toi, au plus profond, et pas comme ta maman t’a appris qu’on doit faire.
Après, c’est devenu comme un jeu, comme un rite. Il me fessait (de la main, ou à coups de ceinture parfois), il m’enculait, je jouissais. C’était devenu un automatisme. J’étais dressée à jouir comme ça. J’étais fesses nues, allongée sur le ventre, ou à quatre pattes, et je mouillais déjà. Et quand je sentais le bout de sa queue appuyer sur ma rondelle, j’avais déjà l’orgasme au bout des lèvres. Il me limait en me branlant, je jouissais, et après seulement il éjaculait. La plupart du temps, j’étais tellement hors de moi, tellement brûlante, que je ne sentais pas le sperme gicler en moi. Je savais juste qu’il jouissait parce qu’il s’accrochait violemment à mes hanches, qu’il me traitait de tous les noms, et qu’il finissait par ne plus bouger, enfoncé tout au fond, et que mon anus palpitait autour d’une queue qui restait raide et grosse malgré le plaisir pris.
Aujourd’hui, avec Marianne, c’est autre chose. Tout en douceur, en onctuosité et en patience délicatesse. Je jouis longtemps, très longtemps… J’ai l’impression que le plaisir ne s’arrêtera jamais. Pourtant, une onde très violente finit par me submerger entièrement. Je jouis très fort. Pour la première fois avec une femme.