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Rééduqué au jus par les gilets jaunes – Chapitre 1




A 29 ans, Jean-Charles était l’archétype du petit con de l’ouest parisien. Cheveux gominés, moustache impeccable, habillé des pieds à la tête avec des fringues hors de prix. Il avait toute la panoplie du vendeur arrogant qui mérite des baffes. Une ligne de coke dans les toilettes et le voilà frais pour démarrer une longue journée en tant que responsable des ventes dans une des boutiques les plus chics des Champs-Elysées. Pourtant à quelques semaines de Noël ce n’est pas la première fois qu’il s’inquiète des manifestations des gilets jaunes, derrière son costard noir étriqué. Aujourd’hui pourtant la police n’avait pas annoncé de manifestations et malgré un bris de glace la semaine passée, Jean-Charles était en train de finir l’inventaire, seul dans la boutique. Soudain, sorti de nulle part une vingtaine de manifestants arrivent par la rue de derrière en courant. Alors que le vendeur commençait à paniquer, il entendait des cris et des affrontements entre policiers et gilets jaunes déjà tendus depuis des semaines.

— Foutu vigile ! Qu’est-ce qu’il lui a pris d’être malade aujourd’hui ? pesta-t-il dans sa barbe alors qu’il cherchait frénétiquement son badge pour activer la fermeture automatique du rideau métallique de l’entrée.

Alors qu’il se baissait derrière le comptoir pour ne pas être vu, il entendit un crissement dans le rideau métallique qui ne claqua pas au sol comme d’habitude. En se relevant il vit avec horreurs qui deux gilets jaunes avaient bloqué le rideau et été rentrés dans la boutique.

— Tiens tiens on se cache le fils à papa ? dit Rémy, 48 ans ouvrier au chômage, solidement bâti

— Me touchez pas où j’appelle la police, s’enquit Jean-Charles

— Ah ouais mec fais le malin t’as vu ! ajouta Walid, grand rebeu de 26 ans à la barbe fournie, dealer à ses heures

— Vous ne me faites pas peur bande de merdes ! cracha Jean-Charles dont l’arrogance et la stupidité l’empêchaient de réaliser qu’il était temps de faire profil bas et de calmer le jeu.

— Mais c’est qu’il se défend le petit pédé! dit Walid en écrasant l’épaule du vendeur qui couina soudain de douleur en courbant le dos

— On va devoir lui apprendre la politesse ! ajouta Rémy avec un sourire.

Les deux hommes, qui avaient leurs propres raisons de haïr le système, s’étaient rencontrés en marge des manifestations. Rémy avec son crâne rasé, son visage dur et ses épaules carrées avait l’air d’un molosse. Il avait été licencié par son usine qui avait délocalisé il y a deux ans et venait crier son ras-le-bol depuis plusieurs semaines. Walid venait de la banlieue parisienne. Après des dizaines de jobs aussi précaires qu’usants il avait préféré alterner entre chômage et deals occasionnels. Son teint légèrement hâlé et sa musculature fine adoucissaient son caractère explosif et sa voix cassée.

Rémy et Walid traînèrent Jean-Charles dans l’arrière-boutique et eurent immédiatement la même pensée. Alors que le vendeur insolent était à genoux au milieu des cartons, les deux hommes déboutonnèrent leurs pantalons pour sortir leurs queues épaisses bien décidées à rééduquer le petit Jean-Charles qui comprit ce qui l’attendait.

Il pesta encore une fois

— Non mais vous allez pas bien bande de connards ! alors que Walid lui attrapait la bouche avec sa main en le regarda dans les yeux.

— Tu vas apprendre à utiliser ta petite bouche de pute pour autre chose ! dit le jeune rebeu tout en enfournant ses 22 centimètres circoncis dans la gorge du vendeur qui déglutit.

Malgré un haut-le-cur Jean-Charles s’exécuta docilement comme une petite lope soumise qu’il était au fond de lui. Bien dur à la vue de cette scène, Rémy qui était aussi monté comme un taureau fit claquer son épais braquemart sur le visage de Jean-Charles qui suçait les deux gilets jaunes comme un pro léchant leurs grosses bites des couilles jusqu’au gland, décalottant la teub de Rémy tout en frottant le gland bien mouillé de Walid sur son visage.

Rémy commença à désaper complètement le vendeur. Il passa ses mains massives et rugueuses sur les fesses lisses et épilées de Jean-Charles.

— T’es vraiment une bonne petite salope, dit-il en rigolant.

Alors que l’ouvrier commençait à caler ses doigts épais dans la petite chatte mouillée du vendeur, ce dernier gémit tout en suçant Walid, qui – assis sur un carton – s’était déjà permis de rouler un joint. Jean-Charles essaya de se retirer quelques secondes

— Non ça va puer sur les fringues.

Walid souffla sa fumée contre la penderie avant d’écraser son mégot de joint encore incandescent sur une robe en soie à plus de 2000…

Rémy se racla la gorge et cracha un épais mollard sur la rondelle déjà luisante de Jean-Charles. Il y enfourna son énorme queue qui rentra sans trop de mal dans le petit trou pourtant serré du vendeur. Embroché dans les deux sens, le petit parisien mince et soumis se laissait remplir par les deux gilets jaunes, puissants et insatiables. Jean-Charles avait trop honte de l’admettre mais cette séance de baise hardcore l’excitait totalement. La bite de Rémy rentrait comme dans du beurre dans le trou maintenant bien ouvert de Jean-Charles. Les couilles lourdes de l’ouvrier claquaient alors qu’il défonçait de plus en plus vite la chatte du vendeur. Il eut à peine le temps d’ajouter dans un grognement rauque un "Je viens !" qu’il remplit le petit trou de Jean-Charles, qui souffla un instant alors que Rémy retira la queue ruisselante de sperme chaud et épais.

Mais le repos fut de courte durée alors que Walid se leva et prit la place de Rémy.

— Bien lubrifié comme j’aime, dit le banlieusard en souriant, avant d’enfiler sa bonne tige circoncise dans la chatte trempée de Jean-Charles.

— Tu crois que t’as fini ? Maintenant tu vas me décrasser ! ajouta Rémy à l’intention du vendeur à quatre pattes, qui se trouvait nez à nez avec l’épaisse bite de l’ouvrier, couverte de mouille et de sperme.

Il s’employa alors à nettoyer la teub de Rémy en léchant aussi ses couilles et son trou bien transpirant. L’homme de 48 ans écarta les jambes et prit le vendeur par la nuque pour bien lui faire décrasser sa rondelle poilue, alors que Walid pilonnait sans limite le trou du petit parisien.

Après plus de 30 min à limer le trou plus ouvert que jamais de Jean-Charles, le dealer lui aussi juta abondamment sur la rondelle du vendeur avant de bien tasser le tout en enfonçant son gland dans la chatte du parisien. Les deux hommes se rhabillèrent à la hâte alors que Jean-Charles toujours nu comme un ver, épuisé et allongé sur le sol, déglutit et essaya de parler.

— Non non tu vas pas commencer à crier, lui dit Rémy.

Avant de lui susurrer au creux de l’oreille:

— Tu crois qu’on t’a pas vu bander depuis le début ? Ca fait la bourgeoise mais c’est dans tous ses états quand ça se fait enfiler par des gros braquemarts d’ouvriers !.

Alors que les deux hommes quittèrent la boutique en se tapant dans la main, fier de la déculottée qu’ils venaient d’infliger au petit vendeur insolent, Jean-Charles reprit ses esprits. Il se sentait certes humilié, abusé, mais au fond de lui il esquissa un léger sourire. Il sentait le sperme de deux hommes forts, solides, plus masculins qu’il ne le serait jamais, lui couler entre les cuisses. Aussi soumis qu’il avait pu l’être il en avait apprécié chaque minute, il avait été rééduqué au jus et le sperme qui imprégnait sa petite chatte lui rappelait à quel point il était une lope. Une lope bonne à vider les couilles des vrais mâles dominants. Alors qu’il se releva et enfila son pantalon taché de sperme, il entendit des pas dans la boutique. En espérant peut-être que d’autres gilets jaunes avaient pénétré entre sa boutique pour un deuxième round dans son petit trou bien ouvert…

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