Jean vient de distribuer des biscuits apéritifs et est en train de faire le service. Il remplit un verre de vodka à chacun tandis quAlexej nous raconte son dernier voyage en Russie. Jean est subjugué par le récit ; moi, jécoute à peine, me demandant ce qui est vrai dans ce quil nous raconte. La plupart du temps, mon soi-disant frère a les yeux plantés sur moi. Je détourne le regard. Je sais bien ce quil cherche à voir. Je me sens honteuse. Si javais su, je me serais couverte un peu plus. Malgré tout, je sens quelques picotements naître au plus profond de mon ventre, comme un lointain souvenir qui refait surface peu à peu.

Je me tiens bien droite, je serre les cuisses ; je ne veux pas me dévoiler plus. Je sais que létranger en face de moi voit clair dans mon jeu. Mon attitude lui fait arborer un sourire moqueur. Son regard est insistant. Je devine ce quil veut. Jévite de croiser sa vision impérieuse ; cest plus sage. Les souvenirs de notre dernière rencontre se bousculent dans ma tête, me faisant revivre toutes les scènes les unes après les autres. Bien malgré moi, jai chaud. Je gigote pour chercher la position la plus confortable. Je croise dun coup ses yeux et rougis : jai comme limpression quil est capable de lire en moi. Et puis il me lance une phrase en tchèque.

Ma petite sur chérie, cest gentil davoir ôté tes sous-vêtements pour moi. Tu es si belle ainsi !

Je rougis. Le manque de soutien-gorge était visible ; mais la culotte Ai-je manqué de vigilance ? À moins quil ait simplement deviné.

Pas pour toi arrivé-je à bredouiller dans sa langue.

Et si tu écartais un peu les cuisses pour me montrer ? demande-t-il en ignorant ma précédente phrase.

Il ne recule vraiment devant rien. Son regard autoritaire se fait imposant, si bien que je baisse les yeux comme une petite fille quon vient de gronder. Il na pas changé. Ou si, peut-être, mais en pire. Je retrouve le frère qui avait su mimposer sa volonté dans la tente. Cest comme si cétait la veille. Il simagine quil a encore du pouvoir sur moi. Mais aujourdhui, la situation est différente : je ne suis plus cette jeune vierge naïve, mais une femme épanouie et heureuse en couple. Pourquoi irais-je me jeter à ses pieds ? Mon homme, qui na absolument rien compris à nos échanges en tchèque, sétonne que je puisse parler cette langue. Je lui explique alors que nous avions, avec mon père, trois étés auparavant visiter la république tchèque où javais appris les rudiments de la langue locale.

Bien sûr, jai perdu depuis le temps, par manque de pratique. Cependant, à laide des mots dont je me souviens et de ce que je devine des pensées de mon pseudo-frère, jai pu aisément comprendre ce quil me disait. Nous avons vécu mon père et moi pendant un mois là-bas chez Nataa, la mère dAlexej, qui nous avait invités. Lui nétait pas là, parti en voyage je ne sais où. Ma mère navait pas pu avoir ses congés. Jétais à la fois rassurée et déçue pour Alex.

Nataa était une très belle femme, visage de poupée et courbes charnelles. Elle avait le même côté sauvage et dominant que son fils, ce qui lui ajoutait beaucoup de charme. Elle aurait très bien pu être top model. Je comprenais mieux comment mon père avait pu perdre son sang-froid lors de ses études. Elle savait aussi se montrer très aguichante ; sa voix sensuelle était envoûtante. Mon père était comme sur un petit nuage de retrouver son ancienne conquête. Leur complicité était bien visible. Jai soupçonné quils aient remis le couvert ensemble, mais je nai obtenu aucune preuve pour confirmer mes doutes. A priori, Nataa mavait pris en sympathie et a voulu me conseiller par rapport aux garçons. Cest elle qui ma appris à me maquiller et à bien choisir mes tenues pour séduire. Parfois, elle me parlait même de cul en tchèque sans aucune gêne pendant que mon père ne gobait absolument pas le moindre mot de notre conversation.

Les hommes adorent quon leur suce la queue, ma-t-elle déclarée une fois. Ça les rend dingues. Mais ça, tu as déjà dû ten apercevoir, a-t-elle rajouté en sous-entendu.

Jai rougi, tout honteuse. Elle semblait être au courant de ce qui sétait passé un an auparavant.

Avec mon fils, on se dit absolument tout, a-t-elle confirmé. Rassure-toi, je ne dirai rien à ton père. Ce que vous faites ensemble ne me dérange absolument pas. Je tiens quand même à te prévenir de te méfier dAlex : quand il prend quelque chose, il ne la lâche pas.

« Il ne me lâchera donc jamais. Cest pour ça quil est là ce soir, je le sais bien. » Ses yeux continuent dattendre que je lui obéisse, sans le moindre doute. Je me sens marionnette ; une chaleur me chauffe le ventre. À force de serrer les jambes, je commence à avoir des crampes. « Et si je les écartais, rien quun peu ? Non ! Jai failli céder mais il ne maura pas ce soir. Pas cette fois ! Lhomme de ma vie est juste assis à côté, je ne peux pas lui faire ça. Pourtant, ce nest pas lenvie qui me manque… » Le regard dAlex se fait de plus en plus insistant, envoûtant. Jai bien envie de me soumettre à sa volonté, juste un peu. « Une petite exhibition peut-elle être considérée comme un adultère ? Mais pourquoi me posé-je cette question ? »

Il est vrai que jai acquis le goût de la soumission. Je ne sais pas si cest mon frère qui me la imposé ou si cétait dans mes gênes. Le gars qui a brisé mon hymen était un vrai salop, mais il a su me faire mettre à genoux. Jétais amoureuse, je lui pardonnais tous ses excès et jétais incapable de refuser ses exigences. Il a pu faire de moi ce quil voulait, comme il le voulait. Je lui ai obéi au doigt et à lil et jai trempé plusieurs fois ma culotte ainsi. Ce con aurait pu obtenir bien plus de moi sil nétait pas allé baiser mon amie.

Quand Jean a su gagner ma confiance, nous avons bien évoqué nos différents fantasmes. Je lui ai donc raconté mon goût pour la soumission. Plus tard, pour pimenter le sexe, il a voulu tenter quelques jeux de rôle ; jétais la prisonnière et lui le garde, ou bien la candidate fauchée à un entretien dembauche et lui un patron pervers. Cétait bon, mais je nai jamais retrouvé une excitation similaire à celle avec mon ex ou avec Alex. Ce nétait pas une vraie soumission, juste une simulation. Mais ce nétait pas grave puisque Jean mavait fait découvrir une autre forme de sexe, plus profonde, plus sensuelle, plus symbiotique. Jai donc mis mes désirs de côté. Je croyais les avoir oubliés, mais tout a ressurgi avec larrivée dAlex ce soir.

« Je ne veux pas me lavouer, mais ma chatte est déjà tout humide. Je meurs denvie décarter les cuisses pour montrer mon intimité à mon frère. Il faut que je tienne bon, pour Jean mon amour. Je ne peux pas me permettre dêtre une salope. Oh, salope, comme ce mot me fait frissonner ! Je dois tenir bon ; juste une soirée, et Alex sen va. Je devrais pouvoir le faire Courage, juste une soirée. » me promets-je.

Bon, je vais peut-être y aller, lance Alexej. Il est tard ; je ne veux pas abuser de votre hospitalité, et il faut encore que je trouve un hôtel où dormir.

Mais non, ne pars pas, tombe dans le piège Jean. Nous avons de la place dans la chambre damis. Tu es le bienvenu. Tu peux même rester tout le week-end si tu veux.

Mais enfin, chéri, protesté-je, tu vas à ton festival demain matin. Tu ne pourras pas être là.

Je sais, et ça membête ; mais je men voudrais que mon absence vous empêche de profiter lun de lautre. Quen penses-tu, Alex ?

Javoue que je profiterais bien de ma sur un peu plus. Ça serait avec plaisir.

Jean ne capte rien du sous-entendu. Quel idiot ! Alex lui jette un hameçon et lui se précipite dessus sans réfléchir. Il ne ma même pas demandé mon avis. Non, Alex ne peut pas rester ici. Léventualité de me retrouver tout un week-end seule avec lui meffraie. Jai peur de ce que pourrait me faire Alex ; mais surtout, jai peur de ce que je pourrais accepter. Une boule me serre lestomac, vieille connaissance de sous la tente. « Mais putain, Jean est vraiment idiot ! Lui, mes parents, les autres, aucun nest décidément capable de comprendre le jeu dAlex. » Je suis vraiment en colère après mon homme de sêtre fait berner aussi facilement.

Et voilà, je lai fait ; mes jambes viennent de se dessouder. Trop concentrée sur mon ressentiment envers Jean, jai baissé ma garde et jai écarté légèrement les cuisses. Je viens seulement de men rendre compte. Je suis encore loin de montrer ouvertement mon sexe à mon frère ; jai honte quand même. Désormais, jai le sentiment que je ne peux plus faire marche arrière. Soit je stationne, soit je me dévoile plus. Alex nattend que la deuxième solution. Son regard brille de ravissement. Il na encore rien vu de concret mais a bien compris que je commençais à me laisser aller. Il mencourage dun regard ferme.

Mon cur bat la chamade et je me sens en position inconfortable. Je me redresse, et dans le mouvement écarte les cuisses en grand un instant. Ça na duré quun moment fugace, mais cest assez pour attiser lincendie en moi. Jai honte. Bien malgré moi, je jette un coup dil à Alex pour vérifier quil na rien loupé. Son sourire complice me le confirme. Je ne peux mempêcher de ressentir une certaine fierté. « Et lautre, à côté, qui continue de discuter en ne calculant rien de ce quil se passe. Pourquoi ai-je fait cela ? » Je me persuade que cela ne fait de mal à personne et que ça nira pas plus loin. Jarrive même à me convaincre de punir ainsi Jean pour son manque de discernement. Je sais bien que je me cherche des excuses pour justifier mon acte. Je refuse dadmettre que jen avais follement envie.

Je recommence, mais cette fois plus longtemps.

Cest magnifique, petite sur. Et si tu remontais un peu plus ta jupe ? me propose Alex en tchèque.

Quest-ce que ça veut dire ? interroge Jean qui semble agacé que lon puisse correspondre dans une langue quil ne maîtrise pas.

Jai dit à ma sur quelle était devenue une magnifique femme et que son couple la rendait épanouie. Comment vous êtes-vous rencontrés ?

Pendant que Jean se lance sur les circonstances de notre rencontre sans sapercevoir quAlex nécoute quà moitié, moi, les mains posées sur le bout de ma jupe, je serre nerveusement le tissu, le faisant remonter centimètre après centimètre jusquau moment où je deviendrais vraiment indécente si jallais plus loin. Pendant lopération, je jette des coups dil inquiets vers Jean. Fort heureusement, Alex sarrange pour attirer son attention. Ce dernier ne daigne cependant pas regarder le spectacle que je lui offre. Je rage, je me sens frustrée. Et puis je comprends son petit jeu : lintérêt pour lui nest pas de voir, mais que je fasse ce quil me demande. Je remets le tissu en place tandis que Jean termine son histoire.

Si tu savais comment tu me fais bander, petite sur… Jai une folle envie de te la mettre en bouche. Tu as dû faire des progrès depuis la tente, dit-il en tchèque.

Oui, jai fait des progrès. Mon ex sen est assuré. Il aimait me faire mettre à genoux pour me faire gober sa bite. Une fois, il ma même fait sucer une de ses potes.

Alex est vêtu dun pantalon large, si bien quon ne remarque rien de son érection.

Je lui demandais si elle se souvenait de nos dernières vacances ensemble, reprend-t-il en français à lintention de Jean. Ces quelques jours ont été un vrai bonheur.

Oui, cest sûr quon sest bien amusé, me sens-je obligée de confirmer, rouge de honte.

Oh oui, tu as aimé que je moccupe de toi à linsu de tes parents, comme tu vas aimer que je le fasse à linsu de ton fiancé.

Jean ne cherche pas à ce quon lui traduise cette dernière phrase et demande où se sont déroulées les vacances. Alex lui raconte rapidement les événements, en omettant les plus tabous.

La seule chose que je regrette, lance Alex, cest de ne pas avoir de photos de ma famille française.

La mère de Sophie nous a remis plein dalbums. On peut y jeter un coup dil si tu veux.

Avec plaisir !

Jean part fouiller dans notre bureau pour ressortir tous mes albums poussiéreux de famille. Alex sinstalle à ma gauche sur le canapé. Je nose pas le regarder. Il profite que mon fiancé nous tourne le dos pour glisser deux doigts sous ma jupe. Par réflexe je le repousse, bien quil ait eu le temps datteindre ma chatte. Il ressort ses doigts humidifiés et les goûte en me fixant. Jean rapporte une pile de vieux albums, balance le premier sur mes cuisses et sinstalle à son tour à ma droite. Je louvre, et nous découvrons des photographies de moi bébé. On me demande bien évidemment de commenter le tout. Je mexécute.

Peu de temps après, je sens une main se poser sur mon dos. Je nai pas à chercher pour deviner son propriétaire. Je frissonne sous les caresses, bien que mon ventre soit en feu. Je bredouille mes explications. Jean se moque de moi ; sil savait, il rirait moins. Alex me pose un tas de questions pour faire durer mon supplice tandis que sa main descend sur le haut de mon cul. « Merde, je me sens vraiment honteuse : me laisser faire alors que mon homme est à côté… Je laime, bon sang ! » Prise dune once de remords, je repousse discrètement la main dAlex. Cette dernière attend un peu avant de reconquérir sa position. Mon frère ne me laissera pas men sortir si facilement. Je suis à sa merci, et je continue de mouiller. Les doigts de cette bête posée sur mon cul frottent la naissance du sillon fessier, provoquant une onde de picotements dans tout mon corps. « Et Jean qui ne capte rien, subjugué par les photos et mes commentaires bafouilleurs. »

Je ne sais pas pourquoi je me penche légèrement en avant. Alex en profite pour jeter des coups dil discrets dans mon décolleté et pour laisser descendre ses doigts plus bas sur ma raie. Il nest pas loin de mon petit trou. Je devine que la bête va tenter dy glisser une de ses cinq pattes. Au lieu de ça, elle gratte pour tirer le tissu souple de ma jupe bloquée entre mes fesses et le canapé. Le textile reste coincé ; je lève légèrement mon séant pour faciliter lopération. Me voici cul nu sur le sofa. La bête peut maintenant se glisser aisément sous la jupe pour atteindre la douceur de ma chair. Un doigt rampe jusquà mon illet et fait doucement pression. « Non, pas ça» protesté-je mentalement.

Cest le moment que choisit mon crétin de fiancé pour aller aux toilettes. Je sais déjà quAlex va profiter de laubaine pour pousser son avantage plus loin, alors je prends les devants et tente de reprendre le contrôle de la situation en essayant de repousser mon frère. Alex sort une nouvelle carte de son jeu ; ses lèvres se précipitent sur les miennes, sa langue force le passage. Je cède, prise au dépourvu. Je me laisse donc embrasser et vais même répondre au baiser. La main libre dAlex sagrippe à mon sein. Son autre force le passage sous mes fesses de telle façon que ses doigts puissent agacer mon anus et mon sexe.

Jean revient et reprend sa place. Je nose pas le regarder, trop honteuse de ce que je suis en train de faire. Je ne me reconnais plus. Je suis toujours assise sur la main droite dAlex qui me caresse cul et chatte. « Je suis trempée ; et jai tellement envie de plus… Et Jean veut me laisser seule avec mon frère tout le week-end ! Est-il fou ? Je vais me faire baiser dans tous les sens, voilà ce qui va se passer. » Non, le peu de conscience quil me reste refuse que ça arrive ; il faut que je trouve un moyen de faire partir Alex au plus vite.

Ce dernier continue de me caresser tandis que nous continuons de regarder les albums tous les trois. Je suis au bord de lorgasme. Je dois reconnaître que jéprouve quand même un plaisir sadique à me laisser toucher à côté de lhomme de ma vie. « Cest mal, cest immoral, mais cest bon ; encore plus que ce qui sest passé sous la tente. » Je peine à articuler correctement mes phrases. Jaccuse la fatigue pour me justifier à Jean.

Cest vrai que moi aussi je suis épuisé. En plus, demain je dois me lever de bonne heure pour le festival ; je vais aller me coucher. Je te laisse montrer la chambre damis à ton frère et préparer son lit.

OK. Bonne nuit, mon amour.

Bonne nuit, chérie.

Je devrais le suivre, là maintenant, car dès quil aura quitté la pièce Alex lancera lassaut auquel je ne suis pas sûre de pouvoir résister. Je ne peux laccompagner sans révéler une jupe et un canapé trempés. Comme prévu, aussitôt la porte de la chambre fermée, Alex attaque mes seins et ma bouche. Ses doigts sactivent comme des dingues sur mon intimité. Par un immense effort de volonté, je parviens à le repousser.

Non arrête, limploré-je ; je suis fiancée.

Et alors ?

Tu dois partir. Je ne peux pas le tromper, tenté-je.

Tu ne vas pas me jeter dehors au beau milieu de la nuit ?

Tu partiras demain matin. Je ten supplie, ne reste pas.

Et comment comptes-tu me convaincre ? Ma queue ne partira pas sans avoir joui de toi, douce petite sur.

Je hésité-je.

Suce-moi, ordonne-t-il. Suce-moi, et je te jure que je partirai demain à la première heure.

« Sucer ? Je ne veux pas tromper Jean. » Cest peut-être difficile à comprendre, mais cest le cas. « Sucer nest pas tromper » : jai toujours trouvé cette affirmation ridicule ; et si cétait vrai ? Quand bien même elle serait fausse, ne vaudrait-il pas mieux sucer un soir plutôt que se faire baiser tout un week-end ? Ce serait un moindre mal, un bon compromis. Je limiterais les dégâts. Alex lit ma réponse dans mes yeux et libère son long sexe. Je salive à cette image. Je mallonge sur le canapé et prends la précieuse chair en bouche. Le goût me replonge quatre ans en arrière. La différence, cest que jai appris à apprécier la pratique bien plus que lors de mon initiation. Aujourdhui je lèche, suçote et tète comme un pro.

Oh oui ! grogne Alex. Je vois que tu aimes me sucer la bite tandis que ton mec dort à côté. Vas-y, régale-toi, ma belle petite salope adorée.

Ma position lui permet un libre accès à mon cul. Il en profite pour y engouffrer deux doigts. Je lâche un gémissement de plaisir étouffé par le sexe que jai en bouche. La soirée a bien excité Alex ; je ne le sens pas loin de défaillir. Jaccélère la cadence et avale son sexe à fond pour le faire venir. Je veux aussi lui montrer à quel point jaime ça et que je suis douée. Il gronde et se déverse entre mes lèvres en me traitant de putain. Ma soumission, les insultes, les doigts dans le cul, le sperme fraternel en bouche, moi aussi je viens.

Il ne se passe rien dautre de notable ce soir. Je lui montre sa chambre et nous allons nous coucher chacun de notre côté.

Le réveil de Jean le lendemain matin me sort de rêves érotiques me mettant en scène au milieu dune foule de mecs. Jentends mon homme déjeuner, se laver, puis finalement shabiller dans notre chambre. Cest à ce moment-là quil saperçoit que je ne dors plus. Il vient membrasser et me souhaite un bon week-end. Quelques minutes après, jouïs son départ de lappartement. Lheure qui suit me voit balancer entre le sommeil et léveil jusquà ce que je perçoive une présence dans la chambre qui vient sallonger derrière moi sur le lit. Jean a-t-il finalement laissé tomber son festival ? Il me caresse les cheveux, la nuque, le dos. Il a lair dhumeur coquine. Je fais semblant de dormir car je sais quil aime me réveiller par un délicieux cunnilingus. Ses mains se font plus pressantes. Il atteint mes fesses, passe sous ma nuisette et commence à me glisser un doigt dans le sexe. Une main se saisit dun sein.

On joue encore à ce jeu-là, comme sous la tente ? Remarque, cela me va.

Mon cur fait un bon ; cette voix est accentuée. Je me crispe et nose plus bouger. Je sais que je devrais réagir tout de suite, le chasser avant que la situation ne dérape, mais je suis paralysée. Je me sens à nouveau la gamine que jétais il y a quatre ans, prise au piège entre les griffes dun frère quon lui a imposé. Alexej profite de mon inertie pour explorer mon corps. Il me doigte sans ménagement cul et sexe. Il me palpe la poitrine et me pince les tétons. Bien malgré moi, mon corps réagit ; je me sens lentement glisser vers le plaisir. Jai honte.

Tu mavais promis que tu partirais, arrivé-je à gémir après plusieurs minutes de traitement.

Je sais ; et puis je me suis souvenu que je ne tavais jamais baisée ; enculée, oui, mais baisée, non. Je voulais rectifier cela, mexplique-t-il. Enlève-moi ta nuisette et mets-toi à quatre pattes.

Pitié, non imploré-je.

Mets-toi à quatre pattes, petite salope, que je te baise ! insiste-t-il.

Jobtempère finalement ; je sais que je ne peux pas lui échapper. Me voilà dans la position souhaitée, offerte, le cul tendu en signe de soumission. Je le sens sinstaller derrière moi. Son gland entre en contact avec mon intimité. Cette fois cest bon ; il va me pousser à commettre lirréparable, Jean va être complètement cocu, je vais me faire baiser par mon demi-frère. Ai-je vraiment cru quil tiendrait sa promesse dhier soir ? Je ne crois pas. Ai-je espéré quil ne la tiendrait pas ? Probablement.

Son gland me perfore la chatte. Je me sens remplie de sa virilité. Je lâche un gémissement. Mon frère coulisse en moi et feule de bonheur. Ses mains me pétrissent les fesses. « Mon Dieu, je suis en train de tromper Jean ! » Cest cette pensée qui me passe en boucle dans la tête tandis que je déguste le plaisir que me procure la hampe dAlex. « Je me fais baiser par mon frère» Remords et plaisir se mêlent en moi. Je suis plongée dans un océan de contradictions. Jaime et je désapprouve, men veux pour Jean. « Tant pis, laisse ton frère te baiser rien quune fois » Hum, cest si bon ! Plus Alex me pilonne, moins je pense à Jean. Tant pis pour lui, je savoure cette queue qui maintenant me brutalise. Jaurai le temps de me soucier de lui après la baise après le week-end. Je ne retiens plus ma joie et lexprime par des piaillements.

Dis-le, petite pute ! réclame Alex.

Cest bon… Baise-moi plus fort, tenté-je de deviner ce quil veut entendre.

Non, pas ça, déclare-t-il bien quaccédant à ma requête. Dis-le, petite pute !

Reste Reste tout le week-end et baise-moi. Offre-moi ta bite dans la chatte, dans le cul, dans la bouche, entre les seins, où que tu veux. Je ferai tout ce que tu voudras. Je serai ta salope de petite sur, ta pute, ta chienne. Prends-moi et ne me lâche plus.

Oui gémit-il, satisfait.

« Voilà, cest dit ! Jen ai marre de ne pas assumer mes désirs. Jen ai marre de les combattre. Tant pis pour Jean, tant pis pour la morale. Cest tellement plus agréable de se laisser aller… Je me livre à mon frère : quil fasse de moi tout ce qui lui passe par la tête, du moment quil me fasse jouir. » Il redouble dardeur pour me rassasier. Il a atteint un rythme effréné. Nous vociférons notre bonheur ensemble. Je crois que je nai jamais autant hurlé en me faisant remplir par un gars. Si javais su, je lui aurais demandé quil me prenne dès le premier soir sous la tente. Que de temps perdu ! Javais une belle queue à portée, et jai été incapable den profiter pleinement. Je suis submergée par le plaisir. Je vais bientôt déborder. Cest si bon, si fort ! Jexplose. Je nai pas le temps de men remettre quAlex éclate à son tour et se déverse dans mon utérus.

Toute la journée vient de passer. Jai pris plaisir à me soumettre à toutes les exigences dAlex. Il ma traînée dehors courtement vêtue. Jai dû jouer les exhibitionnistes devant les chanceux que nous avons croisés dans les parcs, magasins, ou encore transports en commun. Jai prié pour ne pas tomber sur des connaissances. Il ma aussi caressée toute la journée. Jai même eu un orgasme en plein restaurant. Je lai sucé, il ma baisée. La journée a été forte en émotions. Là, nous venons de rentrer, et nous nous sommes affalés sur le canapé. Bien quéreinté, Alex repart aussitôt à lassaut de mon corps. Ce nest pas possible, il ne semble jamais rassasié ! Jamais je nai connu dhomme aussi excité que lui. Je ressens de la fierté à le mettre dans cet état ; du plaisir, aussi.

Il me touche, me palpe, me caresse, membrasse, me lèche. Il passe dune zone à lautre : nuque, intérieur des cuisses, poitrine, fesses, ventre, lèvres. Je me sens fondre sous lavalanche de ses attouchements et de ses coups de langue. Pourquoi ai-je mis si longtemps à lui céder ? Mes scrupules à tromper Jean me semblent si loin maintenant. « La vie est trop courte, il faut en profiter à fond. Ton Jean nen saura jamais rien. » : Alex me la répété toute la journée.

Jai envie de le prendre en bouche.

Mon téléphone sonne. Je lai jeté à lautre bout du canapé quand nous sommes rentrés. Je plonge pour le récupérer. Alex en profite pour me plaquer le ventre sur les coussins et me tâter le fessier.

Cest Jean ! linformé-je.

Réponds-lui, douce petite sur ! mordonne Alex.

Mais

Réponds-lui ! insiste-t-il en menfonçant un doigt dans lanus.

Je devine ses intentions. Il veut me fouiller le cul pendant que je suis au téléphone avec Jean. Lidée me séduit immédiatement. Je décroche et réponds en essayant dadopter une voix naturelle.

Alors comment sest passé ta journée ? me demande Jean.

Très bien. Nous nous sommes baladés, sommes allés au cinéma, faire les boutiques Et toi, mon amour, comment se passe ton festival ?

Oh là ! Tu verrais, les choses sont incroyables ici. Dommage que tu ne sois pas venue avec moi ; je suis sûr que tu aurais pris ton pied. Déjà quand je suis arrivé

Mais je prends bien plus mon pied ici. Je nécoute la suite de son histoire que dune oreille, bien trop concentrée sur les deux doigts qui sagitent dans mon cul. Je me contente de quelques phrases courtes, de deux ou trois mots tout au plus, linvitant à développer au maximum afin de méviter le plus possible de parler ; je ne voudrais pas me trahir par le son de ma voix.

Alex semble vouloir passer à la vitesse supérieure. Je le sens se positionner au-dessus de moi. Je connais son intention ; je ne peux mempêcher de lui tendre mon cul. Lidée quil va me sodomiser maintenant, alors que je discute avec mon fiancé au téléphone, me fait frémir. Son gland se plante entre mes fesses et fait pression pour se frayer une entrée. Je retiens un cri dextase mais laisse échapper à la place à petit hoquet étouffé. La bite dAlex prend position dans mon fondement. Cest là que je réalise quil est le seul à mavoir prise de ce côté. Mon cul lui est destiné. Jaime lidée quil en ait lexclusivité.

Sa queue sagite en moi pour mon plus grand plaisir. Je fais des efforts monstrueux pour ne pas hurler ma joie. Je place ma main sur le téléphone de telle sorte que cela puisse étouffer les sons si des fois un râle de plaisir devait méchapper. « Mon Dieu, que cest bon ! Désolée, Jean, mais là je nai aucun remords à me faire prendre juste sous ton nez. Je men félicite même ! Cest tellement jouissif… » Je sens le souffle dAlex dans mon cou, son poids mécrase. Aujourdhui, cest lui mon homme, et je suis sa catin. Il dispose de mon cul comme bon lui semble. Jean, lui, ne laura jamais. De toute façon, cette pratique la toujours dégoûté. De même, il na jamais voulu me lancer des insultes pendant lacte ; trop dégradant, à son goût. Oui, cest sale : cest pour ça que cest bon. Jean arrive au bout de son récit ; il me demande ce que lon compte faire de notre soirée. Séance télé ; mais en vrai, baiser encore et encore.

Ça va ? Ta voix semble bizarre, finit-il par remarquer.

Juste un peu de fatigue, expliqué-je. La journée a été longue.

Alors tu vas passer une bonne nuit.

Oh oui, gémis-je sous les assauts dAlex.

Vous avez déjà mangé ?

Jen avais lintention avant ton coup de fil. Alex est en train de se servir.

Souhaite-lui bon appétit de ma part.

Oh oui : il en a, de lappétit !

Bon, je vais te laisser manger alors. À demain, mon amour.

Oui demain

Jéteins, jette le téléphone au loin et laisse échapper un rugissement de plaisir que je contenais depuis bien trop longtemps. Jaurais peut-être dû couper court à la conversation, prétendre que jétais en train de préparer à manger, que je ne pouvais pas lui parler maintenant ; sest-il douté de quelque chose ? Ai-je été assez discrète ? Je nai pas le temps de me poser plus de questions, trop occupée à encourager Alex à me défoncer. Il me traite de petite chienne. Il est vrai que jaboie tandis que mon maître me lime le cul. Lorgasme nous prend et nous emporte loin.

Jean revient le lendemain, un peu plus tôt que ce qui était prévu. Heureusement quil a pensé à me prévenir sinon il nous aurait surpris en pleine action. Il est étrange de retrouver son fiancé après lavoir trompé pendant deux jours. Les remords se réveillent un peu. Nous discutons encore avec Alex avant que ce dernier ne décide quil est temps pour lui dy aller.

Cest dommage que je naie pas eu le temps de faire plus ta connaissance, regrette Jean. Peut-on espérer te revoir le jour du mariage ?

Je vais faire tout mon possible pour être présent. Je men voudrais de rater lévénement, déclare-t-il avant de poursuivre en tchèque à mon intention : jai toujours rêvé de me faire sucer par une femme le jour de ses noces.

Le ferai-je ? Pourquoi se poser une question dont je connais déjà la réponse

FIN

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