Je dois voir lapprentie, pour régler le problème de carburation. Comment diable une jeune femme pourrait réparer mon problème, en plus une jeune femme inexpérimentée. Enfin je montre le moteur de la voiture à cette jeune femme qui est moins jeune que je le pense. Elle ouvre le capot, se penche sur lintérieur, les entrailles de mon véhicule. Ce faisant, elle tend au maximum sa salopette. Un joli postérieur. Je comprends mon mari quand il me dit des fois désirer une fille. Je vois des fesses divinement dessinées. Dun seul coup jai envie de la toucher, de passer mes mains en caressant.

Je me retiens, par un reste de morale plus que par pudeur. En résistant jarrive à ne pas la toucher. Elle doit le faire exprès quand elle remue son fessier juste sous mes yeux. En plus, elle remue ses longs cheveux sur son cou. Là, je nen peux plus, je pose mes mains sur ses hanches. Elle me regarde de ses grands yeux bleus. En la serrant je la rapproche de moi. Ces fesses touchent mon bas ventre. Jespère que personne ne me voit. Elle ne va pas se révolter, jespère !

Elle se penche encore sur la voiture, en accentuant son geste vers moi.

— Attendez-moi, sil vous plait.

Cest une invitation à une suite espérée. Je reste quand même comme une idiote près le mon véhicule. Elle revient vers moi, les mains en lair : elle les a lavées. Sans se soucier de la suite, elle me met presque assise sur le capot. Elle sinstalle contre moi qui ouvre un peu les jambes. Si elle me veut je la veux aussi. Mais commente expliquer que jai envie dune fille comme ça, dun seul coup. Et puis je men fiche totalement du quand dira-t-on. Je sens ses mains sur mes hanches, elles descendent un peu. Cette fille ne va pas me caresser comme mon mari ? Non, elle me tient simplement pour poser mes lèvres sur les miennes. Elle est douce plus douce que mon époux. Ma langue accepte la sienne comme compagne de jeu interdit.

Je la serre contre moi, jaccepte tout ce quelle voudra. Elle veut de machins, des choses qui font plaisir.

— Je mappelle Zita : elle me donne son nom alors que je ne demande rien. Je mentends répondre

— Moi, cest Nicole.

— Tu veux, Nicole ?

— Oui.

Je ne sais trop ce quelle veut, enfin je, men doute un peu. Je réponds affirmativement comme une imbécile. Je suis décidée à la suivre vers son désir qui nest pas encore tout à fait le mien. Elle sait comment me faire céder, elle caresse. Je la laisse faire, manière davoir une excuse au cas où, Où quoi, dailleurs puisque personne ne fait attention, que je ne vais pas avouer cette faiblesse pour une fille, même pas à mon mari.

Là jai envie quelle me caresse, quelle me fasse du bien. Quand sa main vient sur la cuisse, je la laisse faire, impatient même quelle aboutisse à son but. Elle glisse sur le bas, elle monte bien haut à limite de ma féminité. Je tends le pubis, il me tarde quelle soit sur ma chatte. Je sens ses doigts me fouiller. Cest bien meilleur que ce que me fait mon mari, cest plus excitant avec cette main de femme quavec les siennes.

Elle bouge sa langue dans ma bouche, me caresse en cadence. Je sens deux doigts sur la moule : je mouille, jai envie. Zita comprend mes besoins, elle me masturbe alors que nous ne connaissions pas il y a une demi-heure. Je mouvre sans complexe. Je me donne totalement quand je suis son rythme avec mon ventre.

Elle prend ma main droite la met sur son sexe, par dessus la salopette. Je cherche vainement à passer sous le vêtement. Elle me guide vers louverture sur le coté. Je sens sa peau nue. Elle est chaude, jai envie de passer ma main. Je ne trouve le passage que vers larrière. Ses fesses sont dures. Ma main en fait le tour. La raie est proche, jy mets un doigt. Drôle de situation, je me laisse caresser par une fille qui le masturbe, je caresse ses fesses. Elle laccepte en calant son cul sur ma main. Son anus est fort doux. Je prends, moi, du plaisir à caresser un cul dune femme que je ne connais pratiquement pas. Je pousse en elle un seul doigt qui entre facilement. Le va et vient commence avec son aide.

Zita commence à entrer un doigt dans labricot. Elle me baise ainsi. Je déguste la chose comme normale. Je sens un autre doigt qui passe ma fente vers lanus. Je jouis grâce à sa main, grâce à ses doigts. Son anus se referme sur les doigts ; elle aussi jouit.

— Retrouvons nous dehors.

— Où ?

Là je mentends répondre chez moi. Je moffre à cette Zita qui doit être un drôle de numéro, qui aime les filles, que je noserais jamais montrer à mon mari. Elle ma collé le virus des filles qui aimes les filles. Jai encore envie de faire lamour avec elle. Tant pis si mon mari me voit avec elle. Ou tant mieux, je ne sais plus.

Chez moi je nous installe dans la chambre. Cest plus agréable que debout contre une voiture. Sa salopette est sur le sol avec ma jupe. Elle, était nue, nous sommes nues ensemble. Jai besoin de ses seins contre les miens. Nos bouches ne se décollent plus. Cest pourtant sa main qui est sur ma moule. Je la sens glisser sur moi. Jai mes jambes presque grandes ouverte, je la veux en moi. Ce nest pas exactement ce quelle désire. Elle pose sa bouche en haut de mes cuisses. Jaime me faire lécher et sucer. Sa langue est la bienvenue. Elle ne me fouille pas, elle trouve ce quil me faut depuis le bouton jusquau cul. Jai la tête en arrière dans lattente du moment suprême.

Quand jouvre les yeux, mon mari est là, il nous regarde. Sans un mot il est nu. Je vois sa queue bandée. Je ne sais qui il va baiser, qui il va enculer peut être.

Elle me plaît bien sa queue, elle nest pas démesurée, elle entre bien dans mon cul ; jaime la branler, jaime voir sortir son jus.

Zita me suce, elle est placée sur moi, ses fesses relevées. Jen suis sure, elle va recevoir la pine de mon mari. Je me demande sil va lenculer devant moi. Jaimerai voir la bite entrer dans un cul, je ne lai jamais vu. Zita a vu mon mec nu, elle sait quelle va se faire mettre. Elle ne sait pas encore où. Il nous enjambe. Je vois ses jambes écartées, ses couilles pas tout à fait pendantes. La queue est raide. Il sapproche de Zita. Une main est sur les fesses à la place de la mienne. Il pose la pine juste sur lanus. Je regarde curieuse. Il ne semble pas forcer quand il entre. Je vois le prépuce reculer, le gland se découvrir. Dun seul coup il la sodomise. Il la lui met en entier. Il doit prendre un drôle de plaisir. Il ne sen doute pas, je jouis rien quen voyant, même si la langue continu son travail de sape. Zita entre deux doigts dans lanus. Elle me fait à la fois mal et du bien.

Je regarde la queue de mon mari dans le cul de Zita, dans le cul dune autre. Cest bon de regarder cette sodomie. Le couple se régale comme moi. Il va jouir, il sort du cul, me donne sa queue que je prends dans la bouche. Le goût est celui du cul de Zita. Ma langue lèche le manche. Je jouis encore une fois pendant que le jus de mon homme noie ma bouche.

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