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La croisière – Chapitre 6




Voila l’avant dernier chapitre de cette histoire. J’espère que vous prenez plaisir à cette lecture.

Merci à Sergueî Lioubov pour ses encouragements et ses corrections.

Marc se réveille ; il sent contre lui le corps chaud de Raphaëlle. En ouvrant les yeux, il voit quIsabelle est venue se coller contre sa fille. Il les regarde. Pour lui, il est évident quelles aimeraient autant lune que lautre faire lamour ensemble ; mais cest une relation fragile que lamour incestueux entre une mère et sa fille, alors il préfère les laisser trouver seules leur propre chemin.

La pluie continue de taper sur le pont du bateau, mais de manière moins violente. Comme prévu, la tempête séloigne. Marc na pas envie de bouger. Le corps collé contre la peau parfumée, il se sent bien.

Plus tard, les deux femmes séveillent en même temps. Isabelle sourit à Marc. Elle tient le visage de sa fille appuyé contre ses seins. Raphaëlle donne de légers baisers sur les seins de sa maman puis, sécartant, elle dit dune voix de petite fille :

Maman, il y a un monsieur qui appuie son gros bâton tout dur contre mes fesses.

Isabelle éclate de rire, puis elle pousse Raphaëlle de telle manière que Marc se retrouve entre elles deux, au milieu, les deux femmes couchées sur le côté et leur visage au creux de lépaule de leur amant. Il y a un moment de silence. Marc le rompt :

Vous êtes bien, toutes les deux ?

Je suis merveilleusement bien. Je ne pensais pas que je trouverais si naturel de me retrouver ainsi, nue, près de ma fille et de mon amant nus tous les deux.

Marc lui répond :

Je ne sais pas à quel moment la sexualité est devenue cachée, sest réfugiée au fond des chambres cloitrées, volets fermés. Les animaux ne se cachent pas, et il y a dans la sexualité une part danimalité forte. Est-ce la religion qui a voulu rejeter dans le noir le sexe, le plaisir, les jeux ?

Isabelle a laissé sa main glisser le long du corps de Marc et la pose sur sa queue dure. Elle touche les doigts de sa fille qui la précédée dans cette caresse. Les deux femmes croisent leurs doigts sur la pine de leur amant.

Je fais des choses insensées : me voilà contre toi, et ma main a rejoint celle de ma fille pour caresser ta q ton sexe. Et le pire, cest que je trouve cela normal.

— Ça lest. Nous ne nous faisons pas de mal ; au contraire, nous ne nous faisons que du bien.

Isabelle hésite à continuer cet échange. Elle a laissé glisser sa main pour prendre les couilles de Marc quelle masse avec une infinie douceur. Raphaëlle tient la queue et la branle lentement, plus pour le plaisir de sentir ce pieu entre ses doigts que pour chercher lexcitation.

Marc, tu euh tu fais lamour avec ta fille, nest-ce pas ?

Il y a un instant de silence. La main de Raphaëlle sest figée.

Oui, je suis son amant.

Depuis longtemps ?

Nous sommes devenus amants après la naissance de la première fille de Lucie. Elle est venue passer les vacances dété chez moi, avec sa fille qui avait 10 mois et trottait à 4 pattes dans toute la maison et le jardin.

Et depuis, vous avez toujours des relations ?

Oui, toujours.

Marc bouge un peu, il sent le corps chaud des deux femmes contre lui. Il sait que cet échange est important pour Raphaëlle et sa maman par rapport aux questions quelles se posent.

Nous sommes amants, très complices dans nos jeux sexuels. Nous aimons le sexe tous les deux. Pour le dire plus crûment parce que les mots crus expriment souvent mieux les choses on aime le cul tous les deux et on adore baiser ensemble. Mais je reste très paternel le reste du temps, minquiétant de sa santé, de son bonheur, de son travail. Cela ne dénature pas notre relation père / fille. Il y a une dimension supplémentaire ; une complicité et une liberté plus grandes.

Et si elle tombe très amoureuse et quelle ne souhaite plus faire lamour avec toi ?

Je le comprendrais parfaitement, et elle naura même pas besoin den parler pour que je le sache.

Isabelle embrasse Marc dans le cou et attire son visage pour un long baiser. Raphaëlle voit la bouche de sa maman souvrir, les bouches se souder. Elle caresse plus vite la queue de Marc, excitée par cet aveu dinceste. Cest Marc qui rompt le baiser malgré le désir dIsabelle de rester soudée à la bouche de son amant.

Tu as envie de faire lamour ?

Oui.

Tu as envie de baiser ? Que je te prenne comme une petite chienne ?

Isabelle regarde sa fille, gênée et troublée de ces mots crûs qui décrivent pourtant si bien son envie.

Oui, jai envie que tu me baises.

Cela ta excitée que je te parle de Lucie, de savoir que je baise ma propre fille ?

Isabelle mord lépaule de Marc. Elle frotte son pubis contre la hanche de son amant.

Baise-moi, Marc, prends-moi !

Non. Réponds moi dabord ; sois sincère : tu es excitée parce quon a parlé dinceste ?

Raphaëlle est collée contre Marc. Elle comprend ses questions. Elle aussi est excitée ; elle aussi voudrait faire lamour, mais elle sait quelle est excitée avant tout par lidée dinceste, par le désir de faire lamour avec sa maman. Elle comprend que Marc cherche à aider Isabelle à avouer, à mettre en mots son désir dinceste, et elle a besoin que sa maman dise ces mots.

Oui, oui. Tu es un salaud de me faire dire cela devant ma fille ! Oui, cela mexcite. Je crois que je désire ma fille depuis plusieurs années, mais jamais cela na dépassé le simple fantasme. Et avec toi cela devient à la fois une réalité, mais en plus quelque chose de simple, complice, et non pas pervers et malsain.

Alors assume ton envie, ton envie pour ta fille.

Isabelle respire. Elle sent un grand calme en elle. Quimporte lavenir ; le présent, cest son désir pour sa fille et le désir de Raphaëlle pour elle. Elle sapproche du visage de sa fille. Elle a envie de se jeter sur elle, mais elle prend le temps de la regarder au fond des yeux.

Leurs lèvres se joignent.

Leur baiser est dabord très doux. Les lèvres se frôlent, sentrouvrent ; les langues se rejoignent, les bouches se mangent, la main dIsabelle caresse la masse des cheveux de sa fille. La main de Raphaëlle saccroche à la nuque de sa maman, comme si elle voulait lempêcher de reculer. Le baiser devient plus ardent, les bouches plus ouvertes. Les langues se fouillent, et de légers gémissements accompagnent leurs gestes.

Les deux femmes se sont redressées ; à genoux de chaque côté de Marc, leur baiser devient brûlant. Raphaëlle fait couler sa salive sur le menton de sa maman avant de le lécher comme une petite chatte. Sa mère se laisse faire les yeux fermés, gémissant de bonheur. Raphaëlle enjambe le corps de Marc et se couche sur sa mère ; leurs jambes semboîtent et leur hanches ondulent, chacune frottant son pubis contre la jambe de lautre. Les deux corps sont emmêlés, les seins pressés. Les mains dIsabelle caressent et griffent le dos de sa fille qui gémit de plaisir. Lexcitation est si forte quelles jouissent immédiatement dun orgasme violent et court. Raphaëlle, à moitié couchée sur sa maman, lui embrasse le visage ; voyant des larmes couler sur ses joues, elle les lèche tendrement.

Je taime, maman. Jattendais cela depuis si longtemps

Je taime, mon bébé. Je ne suis pas sure dêtre aussi sereine que Marc, mais je vais apprendre et tu maideras.

Isabelle tourne son visage vers Marc.

Viens, mon chéri, viens nous faire lamour.

Sa voix est indolente, encore marquée par sa jouissance avec sa fille. Marc lui sourit.

Prenons notre temps. Vous voulez que je vous laisse, que vous soyez un peu seules toutes les deux ?

Non, pas du tout. Ta présence ne me gêne pas ; je crois que cela me plaît que tu nous voies ainsi.

On pourrait sortir et aller manger dans un petit resto, nous navons pas durgence à faire lamour.

Raphaëlle hoche la tête. Isabelle acquiesce.

Oui, mais tu ne vas pas y aller comme cela. Tu vas être totalement indécent avec cette érection !

Isabelle regarde son amant avec un sourire.

Je voudrais que tu te caresses devant nous. Je crois navoir jamais vu un homme le faire.

Marc sadosse contre la paroi de la cabine, les jambes écartées. Il prend sa queue dune main et commence à la caresser en observant les deux femmes qui le regardent.

Cest très excitant que vous me matiez ainsi

Il fait aller et venir sa main sur sa bite de manière très régulière. Circoncis, son gland est bien découvert. Son autre main caresse ses couilles, son doigt descendant un peu sur son périnée et son anus. Il cesse un instant pour cracher dans sa main et reprend sa pine humide de sa salive. Il accélère, se mordant les lèvres, branlant à petits coups rapides au niveau de son gland puis recommençant à caresser sa hampe.

Tu voudrais jouir comment, mon amour ?

Marc regarde Isabelle. Il sent venir au creux de ses reins les prémices de la jouissance.

Sur tes seins. Et que tu gardes mon sperme sur toi ensuite.

Cochon ! Je taime.

Isabelle vient se coucher, son visage près de la queue de Marc pour que les jets de sperme viennent arroser ses seins. Elle sent sur son front la chaleur des couilles de son amant. Elle lencourage, sachant comme les mots font partie du plaisir sexuel de Marc.

Allez, viens, mon amour, viens, vide-toi sur moi. Vide tes couilles sur ta petite chienne. Jen ai envie, tu sais, de ton foutre

Marc gémit. Il caresse le visage dIsabelle, elle tète ses doigts. Dans un gémissement il jouit. Son visage est crispé par le plaisir. Le plaisir de la jouissance, le plaisir du regard des deux femmes, le plaisir de lérotisme de ce moment. Les jets giclent sur le ventre et les seins dIsabelle.

Ouah Cétait chaud ! Vous êtes super beaux tous les deux.

Isabelle masse le sperme sur son corps. Elle sourit à sa fille. Marc, les yeux fermés, sent le plaisir refluer. Il caresse le visage dIsabelle, laissant sa queue débander, les dernières gouttes dans les cheveux de son amante.

Ils se lèvent tous les trois, shabillent et sortent du bateau. La pluie a cessé et le ciel laisse place à de belles éclaircies. Isabelle a le sentiment de vivre en dehors du temps. Elle voit, devant elle, sa fille marcher, enlacée à Marc. Ils ont la démarche de deux amants complices. Puis sa fille sarrête et se tourne vers elle et, au milieu de la rue, elle embrasse longuement sa maman sur la bouche. Dans ce port espagnol, ils sont loin de tout, hors de leur cadre de vie, et Isabelle ne peut sempêcher de se demander comment elle pourra faire coexister ce désir, cette envie, cet amour pour sa fille et la vie quotidienne, les amis, les relations.

Mais le baiser de sa fille efface ces pensées.

Ils sinstallent à une terrasse, Raphaëlle et Marc lun à côté de lautre et Isabelle face à eux, tournant le dos à la petite place. Ils commandent leur repas et prennent une bouteille de vin rouge espagnol.

Marc, jaime bien comme tu es un cochon tranquille.

Marc sétouffe de rire en regardant Raphaëlle.

Un cochon tranquille ? Ça veut dire quoi?

Ben, la manière dont tu fais lamour, dont tu envisages le sexe. Tu fais des trucs très cochons, mais de manière super cool, naturelle.

Je ne sais pas trop quoi te répondre. Soit tu considères que le sexe nest fait que pour la reproduction, et dans ce cas-là tu le fais dans le noir, sans caresses, juste les cuisses écartées pour permettre la pénétration ; soit tu considères que cest un plaisir, et alors tous les gestes, les positions, les caresses, les mots doivent être tournés vers la recherche du plaisir.

Quand même, tout le monde ne fait pas ce que tu fais : être lamant de sa fille, avoir une sexualité si libre

Je ne réfléchis pas comme cela, Raphaëlle. Jai des envies, des désirs, des fantasmes, et jessaie de les réaliser.

Et tu ne te mets pas de limites ?

Si, bien sûr. Je ne ferai jamais rien en limposant aux autres contre leur volonté, et rien qui simpose à des êtres qui ne comprennent pas la portée de ce que lon fait.

Et en dehors de cela tout est possible ? Tu ne refuses aucune pratique ?

En tout cas, je ne juge aucune pratique, même celles qui ne mattirent pas.

Tu utilises souvent des mots crûs.

Oui, cela mexcite de dire les choses, de verbaliser mes envies et mes désirs. Jaime beaucoup les mots crûs. Les mots crûs expriment parfaitement ce que je ressens. Je ne les utilise pas pour choquer mais parce quils me plaisent. Cela te gêne quand je les prononce ?

Non, non, jaime bien : cela mexcite, et jai envie de pouvoir être comme toi une cochonne à laise avec le sexe et pouvoir dire des mots crûs quand ils me passent par la tête.

Raphaëlle sourit à sa maman tout en réfléchissant à ce que Marc vient de leur confier sur lui.

Il continue :

Je veux vivre ma sexualité en toute liberté. Tu veux que je tillustre ma manière de vivre ? Si je te demande de trousser ta robe pour exhiber ta fente nue, ce serait mal parce que des enfants pourraient te voir sur cette place et ils ne comprendraient pas ton geste. Par contre, si tu tassieds à côté de ta maman, face à moi, tu pourras le faire : seuls ta maman et moi le verront. Jai le droit de te demander cela, et tu as le droit de refuser. Cest cela, vivre librement. Raphaëlle, jai envie que tu exhibes ta fente.

Raphaëlle regarde Marc puis sa maman. Elle se lève, vient sasseoir à côté de sa mère, écarte les cuisses et remonte sa robe, excitée de sentir leurs regards sur elle. Elle se cambre et regarde sa maman avec un sourire, cherchant lapprobation dans son regard. Marc poursuit :

Tu aimerais que ta maman pose sa main sur ta fente, nest-ce pas ? Alors pourquoi ne pas le lui demander ? Elle peut refuser ou alors elle peut le faire, et toi tu peux fermer tes cuisses pour refuser sa caresse.

Maman, jai envie que tu poses ta main sur ma fente, que tu me caresses

Oui, mon bébé ; oui, je vais toucher ta fente.

Et Isabelle caresse tout doucement la fente de sa fille qui se mord les lèvres.

Humm, cest bon, maman Putain, que cest bon !

Tu es toute mouillée, mon ange ; tu es trempée.

Isabelle, le serveur apporte nos entrées ; pose la serviette sur les cuisses de Raphaëlle sans retirer ta main.

Isabelle le fait en se mordant les lèvres. Le serveur sapproche et pose les assiettes, remarquant parfaitement les cuisses écartées, la serviette posée de manière incongrue sur la main dIsabelle. Raphaëlle se penche vers sa maman et lembrasse sur la bouche. Le serveur leur adresse un sourire complice et se retire. Isabelle mord les lèvres de sa fille, retire sa main, et après une seconde dhésitation elle la tend à Marc qui lèche les doigts trempés de cyprine.

Ils prennent lentrée tout en continuant de discuter. Raphaëlle a gardé les cuisses ouvertes, goûtant le fait de sentir sa fente nue offerte. Marc répond aux questions des deux femmes de manière transparente, sans rien leur cacher de sa vie.

Marc, tu parles souvent de jeux quand tu parles de sexe.

Oui, mais peut-être que le mot est impropre. Ce que je veux dire, cest quil faut explorer nos envies, nos fantasmes en les mettant en scène. Il faut jouer avec nos envies pour pouvoir les explorer, les pousser le plus loin possible. Cest pour cela que je parle de jeux.

Et tu es déjà allé dans des clubs échangistes ?

Oui, des clubs ou des parties privées. Jaime beaucoup cela.

Et tu pourrais vivre sans tous ces jeux sexuels ?

Cest Isabelle qui a posé la dernière question. Marc la regarde et sourit.

Jai envie que notre histoire continue au-delà de ces vacances. Mais je te mentirais en te disant que je peux abandonner ma liberté sexuelle. Laisse-moi te faire partager mes envies. Aide-moi à partager tes envies, et ensuite nous verrons.

Isabelle sourit à Marc. Elle hoche la tête.

Le repas se termine. Cest Raphaëlle qui dit :

On rentre ? On a parlé de sexe, et là, je nai quune envie : cest de rentrer et de baiser avec vous deux.

Isabelle lembrasse sur la bouche et ils rentrent tous les trois au bateau.

Dès leur retour, Raphaëlle pousse sa maman sur le lit de la cabine et trousse sa robe pour dévoiler la fente dIsabelle.

Attends, ma chérie, laisse-moi te déshabiller et me déshabiller ; je veux profiter de toi moi aussi.

Mais Raphaëlle ne se relève pas ; elle reste le visage plongé entre les cuisses ouvertes de sa maman. Elle pousse sur les cuisses pour quIsabelle souvre, sécarte. Elle fouille de sa langue la chatte trempée de sa maman. Dans cette position, elle est cambrée et sa robe glisse, dévoilant ses fesses. Marc passe sa main sur ce cul magnifique, suit la raie pour caresser lanus puis la chatte de la jeune fille. Raphaëlle ondule pour que Marc continue sa caresse. Isabelle gémit, ouverte ; les mains plaquées sur les cheveux de sa fille, elle laisse cette langue la guider vers le plaisir.

Raphaëlle relève son visage trempée de mouille.

Maman, ta chatte est bonne Jaime te sucer. Je te le fais bien ?

Oui, bébé, oui, mais tu ne veux pas venir pour que je te caresse aussi ?

Non, je profite mieux de toi comme cela et Marc me fait des choses délicieuses avec son doigt.

Humm coquine Alors suce-moi ; mais je te préviens : je vais jouir très vite.

Marc a glissé deux doigts dans la fente de Raphaëlle. Il a agi doucement, les introduisant lentement, laissant à la fente très serrée de la jeune fille le temps de sadapter à sa caresse. Raphaëlle gémit tout en léchant de plus en plus profondément sa maman dont les cris de plaisir envahissent la cabine. Les cris sont de plus en plus puissants ; Isabelle ne se retient pas. Elle a dégagé ses seins, et les mains crispées sur ses tétons elle les étire sans douceur, accompagnant de cette caresse les coups de langue de sa fille, puis elle pousse de très longs cris, bouche ouverte, le visage crispé, transformé par lorgasme, un orgasme long où Isabelle semble se dissoudre dans le plaisir qui la submerge.

Arrête ! Arrête, bébé ; reste juste contre ma chatte : cest trop fort, trop sensible.

Les cheveux humides de sueur, la peau brillante, elle a du mal à retrouver son souffle. Elle caresse les cheveux de sa fille et laisse retomber ses talons sur le matelas. Raphaëlle relève le visage. Elle observe sa maman, très excitée de lui avoir donné tant de plaisir. Isabelle lattire sur elle et elles échangent de tendres et doux baisers.

Marc se déshabille en les regardant.

Cest à moi de te faire jouir, mon bébé ; laisse-moi te lécher à mon tour.

Humm oui, maman.

Marc intervient :

Attends, Isabelle.

Il vient sur le lit et sadosse à la paroi.

Viens, Raphaëlle, viens sur moi. Tu vas tempaler sur ma queue, mais pas face à moi : face à ta maman.

Raphaëlle enjambe Marc et, lui tournant le dos, elle saccroupit au-dessus de la queue et positionne le gland sur sa fente baveuse.

Vas-y doucement, ma jolie ; ta fente est étroite. Ne te laisse pas tomber, tu te ferais mal. Je vais te soutenir pour que ma queue entre lentement dans ta chatte.

Raphaëlle hoche la tête. Elle sent les mains de Marc soutenir ses fesses pour laider à se laisser glisser doucement. Isabelle regarde sa fille sempaler lentement sur la queue épaisse de Marc. Raphaëlle paraît si jeune, la queue si grosse et pourtant son bébé se laisse peu à peu envahir par ce mandrin. Elle voit la bite disparaître lentement entre les lèvres écartées.

Quand Raphaëlle est totalement empalée, Marc lui soulève les cuisses, les écartant largement. Dans cette position, le corps de Raphaëlle est totalement en appui sur la queue dure. Les deux amants ne peuvent pas bouger tant ils sont soudés lun à lautre. Le visage de Raphaëlle est marbré par le plaisir.

Regarde, Isabelle ; tu as vu comme la chatte de ta fille est bien exhibée ? Je ne vais pas bouger : cest ta langue qui va la faire jouir. Prends ton temps, profite bien de la moule de cette petite salope.

Isabelle est troublée par la posture obscène, par la bite qui disparaît dans le ventre ouvert de sa fille. Elle sapproche et embrasse dabord longuement Raphaëlle, puis elle vient au-dessus du visage de Marc. Celui ouvre la bouche ; elle fait couler un long filet de salive. Ensuite elle embrasse les seins le ventre. Elle sent lodeur des deux corps. Les deux amants ne bougent pas. Marc mordille et lèche la nuque de Raphaëlle, empalée sur ce pieu, offerte aux désirs de sa maman et de Marc.

La bouche disabelle atteint le ventre de sa fille. Elle frotte ses joues sur la chatte ouverte, sur la queue de Marc. Raphaëlle mouille beaucoup, alors elle lèche sur la queue de Marc la cyprine de son bébé. Du bout de la langue elle passe sur les lèvres écartées, sur le clitoris bien dégagé, puis bien à plat sur la queue de Marc et embrasse les couilles. Elle prend son temps. Sa fille gémit sans interruption comme si elle avait une succession de petits orgasmes.

Isabelle caresse, lèche, joue de ses doigts, de sa bouche et de sa langue. Elle mordille légèrement la hampe de Marc qui pousse un cri de plaisir. Enfin, quand elle sent que le plaisir de Raphaëlle devient incontrôlable, quand elle voit sa fille onduler sur la bite de Marc, elle lèche son bébé pour la faire jouir.

Ouiiii ! Ouiiii, maman, je jouis ! Ouiiii, ta langue Je me sens si salope Je suis votre petite chienne Je vieeeeeeens !

La jouissance de Raphaëlle a été complète. Elle retombe contre Marc, les yeux fermés. Elle attire sa maman. Ils basculent, Marc toujours enfoui dans la chatte serrée de la jeune fille qui est pressée entre eux. Le silence sinstalle dans la cabine.

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