Je suis sorti pendant 2 ans avec une fille qui avait tendance a ne pas se laisser marcher sur les pieds et avait même plutôt mauvais caractère.
Pourtant, au fur et à mesure que nous nous découvrions lors de nos rapports intimes je remarquai qu’elle aimait être soumise.
J’ai toujours beaucoup aimé ses fesses. De plus cette fille avait une hygiène parfaite et j’aimais beaucoup enfouir ma tête entre ses fesses, les renifler, les lécher, et exciter son petit trou.
elle se laissait faire et semblait apprécier ces caresses.
Un jour, j’avais fait durer les préliminaires pendant un bon bout de temps et je m’étais occupé de son petit trou encore plus que d’habitude. Après de longues léchouilles j’avais introduis délicatement un doigt dans son anus; Elle ne broncha pas ou plutôt si, elle me montrait qu’elle appréciait.
Je lui dis que j’avais envie de la sodomiser. Je savais que s’il y avait une chance qu’elle accepte c’était ce jour là vu que je la sentais terriblement excitée des fesses. Jusque là je n’avais jamais vraiment eu envie de sodomiser une fille (même si je l’avais déjà fait une ou deux fois)… mais avec elle c’était différent
elle me dit si tu en as envie vas-y mais doucement je n’ai pas trop l’habitude. En effet, elle m’avoua par la suite qu’elle n’avait tenté la sodomie que quelques fois par la passé plus par curiosité que par véritable envie avec son ancien copain.
Elle était allongée sur le ventre. Je m’allongeais sur elle et je calai mon sexe tout dur entre ses fesses cherchant à la pénétrer. A ma grande surprise, je suis rentré en elle très facilement. Je sentais qu’elle avait un peu mal mais que paradoxalement cette douleur lui procurait un certain plaisir, physique ou psychologique je ne l’ai jamais su.
Une fois mon sexe entièrement plongé en elle elle me demanda de ne plus bouger pendant quelques instants afin qu’elle s’ouvre d’avantage et s’habitue à cette présence dans son intimité.
Puis j’entamais mes va et viens lentement d’abord puis normalement. Elle ne bronchait pas mais je devinais qu’elle y prenait un certain plaisir.
ma queue était bien prise cétait bon mais surtout je ressentais un plaisir psychologique de la prendre par cet orifice "interdit"
Je ne tenais plus mon sexe se raidit une dernière fois et je déverser ma semence au plus profond de son rectum en m’effondrant sur elle. On resta un moment moi allongée sur elle, mon sexe perdait de sa superbe et son petit trou se refermait peu à peu.
Elle me confia le lendemain qu’elle avait le cul super sensible mais que même si elle ne voulait pas le refaire à chaque fois elle serait prête recommencer une autre fois.
Cette autre fois arriva une ou deux semaines plus tard.
Nous étions occupé à regarder la télé confortablement assis dans le canapé; Le programme en nous emballait pas. Julie vint alors se blottir contre moi. Je la pris dans mes bras et passai ma main sous sa jupe pour caresser sa fente par dessus sa culotte. on a commencé à se chauffer. je la fis se lever pour que je puisse enlever sa jupe. elle était en petite culotte devant moi. Je pouvais voir le tissus épouser les plis de son sexe. J’embrassais son ventre et sentais les bonnes odeur de son minou.
Puis elle vint se rasseoir à côté de moi. J’avais envie de m’occuper de ses fesses, ses fesses qui mattiraient toujours et encore.
Je l’invitai donc à venir s’allonger elle se positionna de tout son long sur le ventre sur les genoux perpendiculairement à moi.
Je caressais ses fesses, ses cuisses passant de temps à autre ma main sous le tissus de sa culotte. Elle ondulait du bassin sous mes caresses. Je finis par trouver cette culotte très encombrante. Je la lui ôtai. C’était curieux de voir ma copine allongée comme ça me présentant et m’offrant ses fesses de façon obscène.
Une envie me vint à l’esprit et je voulais voir comment elle allait réagir. J’avais envie de lui administrer une fessée. Je me doutais qu’elle allais me dire de cesser ça immédiatement mais je me lançais. Je lui mis une première petite claque sur une fesse. Elle fut surprise mais ne broncha pas. Je lui en mis une deuxième un peu plus appuyée. Je voyais qu’à chaque coup elle contractait ses fesses.
Puis j’en remis une autre puis une autre alternant entre chacune de ses fesses mais aussi en frappant avec la paume de ma main au niveau de son anus. Elle se laissait faire. Je ne voyais pas son visage. J’aurais aimé savoir ce qui lui passait dans sa tête pendant que je lui administrais cette" punition volontaire".
Ses fesses devenaient roses, je la claquais encore et encore de plus en plus fort alternant la cadence et posant ma main sur chaque fesse et au niveau de son petit trou.
Je pense qu’elle devait avoir mal mais que la douleur avait fini par être source de plaisir. Elle ne disait toujours rien et se laissait faire.
Je voulais tester l’effet que cela lui faisait. Je passai alors mes doigts dans sa chatte qui était trempée. Elle mouillait abondamment !
Je lui écartait donc ses fesses. Je pouvais voir son illet tout rose. elle s’abandonnait totalement à mes envies et s’offrait à moi de façon passive me laissant jouer avec son corps.
J’entrepris alors de lui introduire un doigt dans l’anus. Je le fouillait de plus en plus brutalement et elle aimait ça. Sa respiration se faisait plus forte. Ensuite je lui rentrait mon pouce dans le cul et avec mes doigts je m’occupais de sa chatte ouverte et trempée.
Elle prenait de plus en plus de plaisir et quand je mis fin à cette torture elle se releva le regard complètement hagard, elle était dans son trip. Elle ne me dit qu’un mot. Viens j’ai envie de toi;
Nous sommes partis alors dans la chambre. Je me déshabillai en 4ème vitesse.
Elle s’affala sur le ventre et me dit:
— prend moi et défonce moi je suis entièrement à toi mon cur.
Je ne me fis pas prier.
Je m’allongeai sur elle passant mon sexe entre ses fesses (cette position a le don de terriblement m’exciter ! ) Elle désirait se sentir prise et soumise ne pouvant pas échapper à la saillie. elle ondulait du bassin cherchant à se faire pénétrer au plus vite. Je présentai donc ma queue dressée devant son petit trou et l’empalai sans trop de ménagement; Il faut dire que le terrain avait bien été préparé avant et que son anus était déjà bien dilaté.
Je lui mis de grands coups de rein. Elle m’encourageait à la "défoncer" comme elle disait. Elle laissa échapper un cri de jouissance. Après une bonne levrette anale je me rallongeai sur elle pour pouvoir le serrer très fort et l’embrasser dans le cou pendant que j’éjaculai en elle, dans ses fesses. Je crois que je n’avais jamais pris autant de plaisir de cette façon. pendant que je débandais je la sentais qui contractait son anus autour de ma queue comme pour récupérer le maximum de sperme en elle. .
Nous sommes restés sans rien dire comme ça un très long moment submergés par la puissance de cet orgasme.
Je crois que je me souviendrai toujours de ce moment particulier qu’elle m’a offert. Je pense que sans se le dire nous avons réalisé chacun à notre manière un fantasme.
Pour conclure je dirais que la sodomie fait peur à beaucoup de filles (à juste titre) mais que si elles l’abordent comme il faut et avec une bonne hygiène elles peuvent y prendre beaucoup de plaisir en sachant dépasser la petite douleur du début. Ma copine m’a confié qu’à sa grande surprise, elle aimait de plus en plus se faire prendre comme ça même si elle avait un peu honte de se l’avouer