Camille revint à la maison plusieurs minutes plus tard, sans un mot elle monta jusqu’à sa chambre.
Dans la soirée, alors que Laure et moi discutions, Camille entra dans la chambre et s’assit sur le lit.
-Pourquoi vous m’avez fait ça ?
-Tu as toujours été méchante avec nous ! lui répondis-je
-Mais. vous m’avez laissée me faire sodomiser !
-Tu as mal ? demanda Laure
-Oui, je n’avais jamais essayé la pénétration anale.
-Montre nous ton cul. Lui dit Laure.
Camille s’exécuta, elle s’allongea sur le ventre et baissa sa culotte à mi-cuisse.
Laure écarta délicatement ses deux globes puis nous examinions ce petit trou qui s’était assez refermé mais qui était encore endolori.
J’ai regardé dans mon tiroir de table de nuit et en ai sorti un baume apaisant, j’en ai mis sur mon doigt puis j’ai commencé à le passer sur le petit trou qui se contracta au passage de mon doigt. Je continuais l’opération quelques secondes, puis Camille remonta sa culotte et resta près de nous.
-Tu as aimé pas vrai ? lui demandais-je
-Ben.
-Allez, tu peux le dire que tu as aimé ! lui dit Laure
-Oui, c’est vrai, à part la sodomie, sinon c’était trop bon.
-Tu voudra recommencer ? lui demanda Laure
-Je ne sais pas. répondit timidement Camille.
Laure me fit un clin d’oil, visiblement, les choses n’allaient pas en rester là, tant mieux pensais-je au même moment car moi aussi j’en voulais encore.
Camille, probablement exténuée par sa partie de jambes en l’air canines s’endormit presque immédiatement, nous l’imitâmes peu après, les trois dans le même lit, un peu serrées mais ça ne nous empêcha pas de dormir.
Nous nous sommes levées toutes trois au même moment, nos parents partaient rendre visite à une vieille connaissance, nous préférions bien sûr rester à la maison.
Au moment où nous sommes allées prendre nos douches, Camille se déshabilla et inspecta son petit trou, il ne lui faisait plus mal et s’était complètement rétracté, je pus constater par moi même qu’il était aussi étroit qu’avant.
Plus tard, alors que nous étions sur la canapé à regarder la télévision, Onyx fit son apparition, faisant la fête comme à son habitude.
Chloé s’exprima :
-Ah ! je crois qu’il veut une petite pipe, Camille tu n’as jamais essayé, c’est ton tour !
elle jeta un oil sur le pénis d’Onyx et fit une mimique de dégoût.
-Allez ma vieille, c’est meilleur que ça en à l’air. Lui dis-je
Elle se pencha sous le ventre du chien et toucha le fourreau, ce qui fit sortir la bite du chien comme une fusée.
Elle approcha sa tête et le prit à pleine bouche, puis se mit très vite à nous démontrer ses talents de suceuse, elle était évidemment vierge de la rosette mais en revanche elle avait du en sucer des bites vu la façon magistrale dont elle s’y prenait, Onyx ne s’y trompa d’ailleurs pas et ne mit que quelques secondes pour lui envoyer la purée au fond de la gorge.
Elle recracha immédiatement tout au sol, ce qui fit réagir Laure :
-Hola ! pas de gaspillage, lèche ce que tu as fait tomber !
Camille regarda Laure puis me regarda, devant nos airs insistants, elle se baissa et lapa tout le sperme sur le carrelage.
-Chloé, je vois dans ton regard que tu meurs d’envie de te faire prendre ! dit Laure
Je la regardais, l’air approbateur.
-Allez, baisse ton short, tu vois bien que lui aussi il veut te baiser !
je baissais mon short comme ordonné par Laure, puis je me couchais sur le dos, le bassin près du bord du canapé, les jambes grandes ouvertes.
Onyx, maintenant rôdé à nos folies, s’empressa de me monter, il trouva l’accès sans problème et enfonça sa longue et épaisse tige dans mon vagin. Il commença les va et vient, sous les yeux ébahis de Camille, Laure elle s’éclipsant pour une raison inconnue.
A une cadence toujours aussi rapide, Onyx me limait et je gémissais autant que je pouvais, devant Camille qui assise à côté de moi avait fait volé ses vêtements et rentrait ses doigts dans sa chatte.
Laure revint quelques minutes après son départ, elle était allée chercher Banjo, Camille étant déjà dans la tenue adéquate, Laure la fit mettre dans la même position que la mienne et aida Banjo à se mettre sur elle.
Nous étions côte à côte, en train de nous faire sauter en même temps, poussant de bruyants gémissements toutes les deux, Camille avait même son deuxième orgasme avec un chien, la chanceuse.
Banjo sembla tout à coup changer d’envie, il descendit du ventre de notre cousine aussi vite qu’il était monté pour se diriger vers Laure.
-Je crois qu’il veut que je participe aussi ! dit laure en rigolant
elle retira ses habits et se mit en levrette, à peine en position le chien grimpa sur elle.
-Camille, je crois que Chloé veut sa pine entre les fesses, aide la !
Camille arrêta Onyx et le fit descendre.
Ne sachant pas comment s’y prendre elle demande l’avis de Laure, qui se faisait pénétrer par le berger allemand.
-Je dois faire quoi Laure ?
-Mouille son cul ensuite tu prends la bite et tu l’emmènes vers son trou !
Camille obtempéra, elle mouilla deux doigts de salive qu’elle mélanga à la cyprine qui coulait de mon sexe, elle m’en tartina la rosette puis rappela Onyx, qui remontait immédiatement sur moi.
Elle se saisit de sa queue et me l’introduisit dans l’anus. Le chien commença ses mouvements aussitôt, une légère douleur revint mais rapidement estompée par le plaisir.
Je prenais un plaisir maximum, couchée sur le dos, le chien avec sa tête sur mes seins en train de me sodomiser avec entrain.
Mon conduit anal très serré lui procura un tel plaisir qu’il ne se retint pas plus d’une minute de jouir en moi, pendant que Laure était toujours en train de se faire prendre par Banjo, notre cousine attentive au spectacle avait une vue imprenable sur le vagin de Laure s’écarter au passage de l’énorme pénis du chien, qui lui aussi ne put se retenir et envoya une puissante et abondante giclée de sperme dans le ventre de Laure.
Nous sommes ensuite allées ensemble à la salle de bains nettoyer nos orifices encore remplis.