Émilie ouvrit la porte de chez elle pendant que Clara regardait avec admiration la maison de la vétérinaire. La jeune fille était à quelques pas de son hôte et tenait en laisse son amant. Dans son sac à main se trouvait encore le string qu’elle avait retiré pour mieux se caresser dans la voiture.
— Viens, je vais te faire visiter avant que mes chiens te visitent.
— Hmmmmm ! Avec plaisir ! Tu as vraiment un super jardin !
— Merci, j’ai un jardinier qui s’en occupe
— Un jardinier ? Il sait ce qu’il se passe ici ?
— T’es folle ou quoi ?! Je me le tape de temps en temps alors si il sait que mes chiens passent avant lui, fini les coups de bite entre deux arrosages !
— Tu te tape aussi ton jardinier ! T’es vraiment pas croyable !
— Quand tu le verra, tu changera certainement d’avis. Commence par aller prendre une douche, je veux pas que mes chiens trempent leurs bites dans le sperme du promeneur.
— Avec plaisir ! Je sens encore son jus dans ma chatte et j’ai bien envie de vite m’en débarrasser.
Clara confia la laisse de Flocon à Émilie puis elle se dirigea vers l’escalier avant de se rendre compte qu’elle ne savait pas où se trouvait la salle de bain.
— Heu… C’est par où ?
— Une en haut et une en bas, mais la baignoire se trouve au rez-de-chaussé.
— J’ai trop envie de rencontrer tes chiens alors je vais rapidement prendre une douche.
— Troisième porte à gauche.
— Merci… Tu as des vêtements à me prêter ?
— Tu n’auras qu’à descendre toute nue, je laverais tes affaires pour que tu puisses les remettre demain.
— Demain ?
— Oui, Je te déposerais à la première heure.
— Je ne veux pas m’imposer.
— Aucun problème, tu payeras ta nuit en nature directement à mes chiens.
— Marché conclus !
Clara accéléra le pas dans les escaliers puis elle s’enferma dans la salle de bain pour se débarrasser de la semence canine et humaine qu’elle avait reçu. Dans le salon, Émilie avait décidé d’essayer le caniche de son invité et voulait qu’il la prenne de la même manière que sa maîtresse. Pour ne pas être dérangée par Émilio, la vétérinaire alla l’enfermer avec ses deux autres chiens dans un enclos de trois cent mètres carrés qu’elle avait fait aménager pour ses pensionnaires occasionnel. La femme mature quitta ensuite sa jupe et son string puis elle se plaça en levrette en appuyant ses coudes sur son canapé. Flocon se positionna derrière cette femelle qui le tenait toujours en laisse puis il lui sentit le sexe pendant quelques secondes avant d’y passer sa langue à de nombreuses reprises.
— Ne te gène pas, tape-toi mon chien !
— Clara ?! T’es pas sous la douche ?
— Non, je savais que tu allais essayer de te faire sauter par Flocon.
— Et alors, tu as bien envie de taper les miens non ?
— Peut-être, mais je te l’ai demandé.
Inconscient du différents qu’avait les deux femelles présente, le caniche entama la sailli et monta sur le dos de Émilie. Sentant qu’elle allait bientôt se faire sodomiser, la vétérinaire invita Clara à partager son plaisir.
— Si je te bouffe la chatte pendant que ton chien me prend par derrière, ça te va ?
— Heu… Après tout, moi aussi je me suis fait sauter par ton chien.
— Alors rapproche tes cuisses par ici.
Obéissant à son aînée, Clara quitta son pantalon puis elle s’installa sur le canapé en écartant les cuisses face à la maîtresse des lieux.
— Hmmmm ! Mais t’es vachement douée avec ta langue !
— Merci… Et ton chien est vachement doué avec sa queue ! J’ai ai eu des bites dans le cul mais celle de ton chien est vraiment… Haaaaa !
Flocon s’activait de plus en plus violemment sur le dos de sa partenaire pendant que Clara gémissait de plaisir. Excitée par la sodomie qu’elle subissait, Émilie utilisa ses mains pour écarter les lèvres vaginales de son invitée recueillant ainsi tout le sperme que la jeune fille avait reçu.
— Haaaaa ! Oh putain ! Hmmmmm ! Si cet enculé de promeneur savait que son jus est passé de ma chatte à ta bouche, il en serait super fier !
— Pour le coup, c’est nous les enculées ! Mais le sperme de ce connard est quand même vachement bon.
— C’est peut-être parce qu’il est mélangé à celui d’un labrador… Fais-moi goûter !
Clara était elle aussi très excitée par la situation. Elle attrapa le visage de Émilie entre ses mains puis elle l’embrassa fougueusement en tentant de récolter avec sa langue le plus de sperme possible qu’avait mit dans sa bouche la vétérinaire. Flocon fit passer violemment son nud entre les fesses de sa partenaire, faisant sursauter cette dernière qui cracha littéralement dans la bouche de Clara. La jeune fille avala d’un trait la semence canine et humaine que lui avait envoyé la vétérinaire avant de l’embrasser une dernière fois sur la bouche et de se relever.
— Je suis devenue une perverse…
— Mais non, une salope tout au plus. Tu aime le sexe, où est le mal ?
— Tu te rends compte de tout ce que je viens de faire ? J’ai laissé un chien me lécher pendant que je le suçais après je me suis fait violer par un labrador et j’ai jouis comme jamais au point de me doigter dans ta voiture devant tout le monde pour ensuite me faire sodomiser dans la forêt et me faire violer une deuxième fois en prenant toujours autant de plaisir et maintenant je te demande volontairement de me faire goûter le sperme de mes deux violeurs.
— En prenant toujours autant de plaisir j’imagine ?
— Oui ! Et en plus je te regarde te faire sodomiser par mon propre chien et ça m’excite. Je n’étais pas du tout comme ça avant.
— Bien sûr que si ! Le fait de te laisser baiser par neufs mecs différents dans une ruelle sombre aurait dû te mettre la puce à l’oreille ! Oh ! Je sens que le nud de ton chien va bientôt ressortir de mon cul…
La vétérinaire avait vu juste. Flocon se libéra étrangement vite de sa prison anale puis il se rapprocha de sa maîtresse qu’il gratifia d’un coup de langue entre les cuisses. Clara repris place sur le canapé où elle écarta à nouveau les cuisses pour laisser son chien lui donner du plaisir. Émilie se senti obligée d’intervenir et prit la laisse de l’animal pour le tirer vers elle avant de l’enfermer avec les autres mâles. De retour dans le salon, la vétérinaire vit son invitée en train de se masturber allègrement sur le canapé.
— Heu… Je te dérange ?
— Excuse-moi ! J’ai encore envie de sexe ! Pourquoi je suis comme ça ?
— J’en sais rien mais tu devrais aller prendre une bonne douche.
— Et si j’ai encore envie de sexe ? Comment je vais faire maintenant ? Quand est-ce que ça va s’arrêter ?
— Va prendre une bonne douche froide, quand tu reviendra nous essayerons de combler ton appétit sexuel avec les quatre mâles présents. Si ça ne te suffit toujours pas, le jardinier doit passer demain et je suis sûre qu’il ne sera pas contre une partie à trois.
— Très bien, je vais vraiment prendre une douche et je reviens.
— Prend ton temps. Oh ! Laisse-moi tes affaires que je puisse les laver.
Clara se mit complètement nue puis elle confia ses vêtements à son hôte en lui indiquant que son string était encore dans son sac à main et qu’elle ne se gène pas pour le récupérer. Émilie mit les vêtements de son invitée dans le lave linge au moment où la sonnette de chez elle retentit. La vétérinaire enfila rapidement un pantalon puis elle alla ouvrir la porte derrière laquelle attendait une femme blonde d’environ quarante cinq ans tenant en laisse un rottweiler.
— Oh ! Bonjour Anna !
— Bonjour Émilie ! Comment ça va ?
— Bien merci, mais qu’est-ce que tu fais là ?
— Je viens te ramener Tango.
— Tu as eu un souci avec lui ?
— Non, mais j’ai rencontré quelqu’un.
— Entre, tu va me raconter tout ça !
— Je suis vraiment désolé ma belle, je n’ai pas du tout le temps. Il m’attend dans la voiture.
— Oh… Est-ce qu’il sais pourquoi tu m’as emprunté mon chien ?
— Oui ! Mais c’est une très longue histoire. Il a une ferme pas loin d’ici où les chevaux sont d’excellents cavaliers si tu vois ce que je veux dire.
— Et bien ! On peut dire que tu ne perd pas de temps !
— Je te promet de tout te raconter en détail, mais là je dois vraiment y aller.
— OK, éclate-toi bien.
— C’est la cas de le dire ! À bientôt ma belle.
Anna était une amie de Émilie depuis qu’elles avaient fait connaissance sur un site spécialisé où elles s’étaient rendu compte qu’elles étaient voisine. Après quelques échanges, les deux femmes s’étaient rencontrées et avaient profité ensemble des trois chiens de la vétérinaire avant que Anna reparte en compagnie de Tango pour perfectionner sa pratique. Émilie avait à présents cinq chiens pour satisfaire les attente de Clara. En pensant à tous les mâles disponible chez elle en ce moment, elle se dit égoïstement qu’elle n’allait peut-être pas avoir besoin de partager son jardinier avec son invitée. Quelques minutes plus tard, la petite femme réapparut complètement nue dans le salon en se réjouissant de la présence d’un nouveau mâle.
— C’est lequel celui-là ?
— C’est Tango, mon amie vient tout juste de me le ramener.
— Le fougueux ? Je veux qu’il me baise !
Sans laisser le temps à Émilie de réagir, Clara attrapa la laisse de l’animal puis elle s’agenouilla devant le canapé et se cambra pour offrir son corps au rottweiler. Le chien étant bien dressé, il agrippa immédiatement les hanches de la petite femme puis il la pénétra violemment. La vétérinaire ne put que rester bouche bée devant la rapidité de son invitée. Clara était déjà en train d’accueillir le nud de son amant au moment où Émilie venait tout juste de quitter son pantalon. Tout en continuant à se déshabiller, la vétérinaire fit remarquer à son invité son manque de courtoisie.
— Ça fait quatre jours que je l’ai pas vu, tu aurais pu me laisser en profiter d’abord !
— Désolé, j’ai vraiment besoin de me faire baiser. Même si il est vraiment fougueux, il n’arrive pas à me calmer ! Fais venir les autres !
Émilie était à présent complètement nue et se dirigeait vers l’enclos où se trouvaient les autres mâles. Après les avoir libérer, la vétérinaire retourna dans la salon où Clara était en train de prodiguer une fellation passionnée à son amant. Lorsque la petite femme s’aperçut de la présence des autres chiens, elle se mit à quatre pattes sans libérer son partenaire buccale. Jaloux du comportement de sa maîtresse, Flocon la chevaucha puis tenta de la sodomiser mais elle envoya sa main et guida le sexe de l’animal sur le sien. Le caniche étant satisfait d’occuper un orifice, il prit un rythme frénétique pendant que Clara continuait à explorer de sa langue l’attribut viril de son précédent partenaire. Émilie décida de laisser son invitée profiter seule des chiens présents mais elle alla tout de même chercher son caméscope pour prouver à Johanna que la jeune fille qui paraissait si prude était en réalité une véritable accroc de l’amour canin. Sous lil attentif de la vétérinaire, Clara se fit prendre en levrette par les cinq mâles d’affilé qu’elle remercia chacun par une fellation, puis elle tenta une double pénétration avec Tango et Flocon mais elle ne réussi qu’à accueillir le nud de son chien qu’elle avait naturellement choisi comme partenaire anal. Le caniche n’était pas le seul mâle à s’être glissé entre les fesses de la petite femme. Émilio qui avait déjà sodomisé Virginie et Émilie venait de compléter sa collection avec Clara. La vétérinaire du changer de cassette à deux reprises tant son invitée était insatiable sexuellement. Au alentours de minuit, la petite femme décida d’aller prendre une douche puis d’aller se coucher mais malgré les nombreux assauts qu’elle avait subit, elle n’était toujours pas satisfaite et comptait sur le jardinier de son hôte pour enfin être comblée.
À suivre…