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La bourgeoise et le marabout – Chapitre 27




Alors que nous dînons ce mercredi soir, le portable de François sonne et il prend la communication. Après quelques minutes de conversation, il raccroche et me dit.

C’est notre ami Etienne de La Roche-Faron qui nous invite à venir passer le week-end chez lui dans son centre équestre en Normandie.

Etienne est un ami de mon mari, 65 ans ou un peu plus, veuf, qui a un grand domaine de plusieurs hectares et une véritable passion pour les chevaux. Il a donc ouvert, il y a 30 ans environ, un établissement équestre où les adultes peuvent monter les chevaux du centre ou y mettre en pension les leurs. Les enfants peuvent quant à eux s’adonner au plaisir de monter des poneys.

Je réponds à François :

C’est parfait ! La météo annonce un superbe soleil et cela va être reposant de passer deux jours au vert, loin de Paris.

Tôt le samedi matin, après un peu moins de deux heures de route, nous voici arrivés à destination. Nous nous installons dans notre chambre puis partageons le petit-déjeuner avec notre hôte qui est ravi d’avoir de la compagnie. Ensuite, Etienne et François s’installent au salon et se lancent dans une interminable discussion politique. N’étant nullement intéressée par leurs propos, je demande à Etienne s’il me serait possible de faire une petite sortie matinale à cheval dans la campagne environnante. Il me répond :

Bien sûr, Hélène, il n’y a aucun souci. Allez aux écuries où vous trouverez Antoine, c’est l’un de mes meilleurs moniteurs. Dites-lui de seller pour vous Eclair et il vous accompagnera avec Sultan.

Je vais dans ma chambre pour revêtir une tenue appropriée et me rends aux écuries. J’adore ce genre d’endroit ! On y respire le mélange âcre de la sueur des chevaux, de la paille jetée dans les box, du foin dans les mangeoires et du cuir des harnachements. Je parcours les stalles et découvre celle d’Eclair. C’est un mâle à la robe grise, il a l’air calme. J’ouvre la porte du box et me glisse près du cheval. Je me colle à lui et lui caresse l’encolure avant de prolonger sur son dos. Ses naseaux frémissent et il semble apprécier que l’on s’occupe de lui. Je me colle à son flanc gauche, le contact m’électrise tellement l’animal dégage de la puissance et de la virilité. Soudain, une voix m’interpelle :

Bonjour Hélène. Je suis Antoine et le patron m’a demandé de m’occuper de vous.

Je regarde un peu mieux le moniteur et le trouve très à mon goût, une vingtaine d’années, bien foutu, sportif et de beaux yeux bleus. Moi aussi je m’occuperais bien de lui !

Quelques minutes plus tard, nous voici en forêt. Il fait beau et c’est un régal de randonner ainsi à l’ombre des arbres sur les sentiers forestiers. Nous alternons le trot et le galop et, comme cela fait quelque temps que je n’ai pas monté à cheval, je souffre un peu des fesses, mais j’essaye de donner une bonne impression à Antoine qui s’avère être un cavalier émérite. Arrivés près d’une rivière, nous laissons les chevaux boire et j’en profite pour mettre pied à terre afin de me délasser un peu. Au moment de remonter en selle, le cheval est trop haut pour moi et je n’arrive pas à mettre mon pied à l’étrier. Gentiment, Antoine se propose de m’aider. Il vient près de moi et me soulève par la taille pour que mon pied s’engage dans l’étrier. Puis, d’une bonne poussée aux fesses, il m’aide à remonter sur l’animal. Il me dit :

Hélène, vous avez de la chance que je sois bien élevé, car j’aurais très bien pu profiter davantage de la situation.

Je lui fais un grand sourire et lui réponds :

Merci, mais à mon âge j’en ai vu d’autres !

Une bonne demi-heure plus tard, nous sommes de retour au centre et il faut s’occuper des chevaux avant de les remettre dans leurs box respectifs. Antoine est plus rapide que moi et une fois qu’il en a terminé avec son cheval, il vient m’aider pour Eclair que j’ai déjà desellé. Il m’aide à le doucher puis le bouchonner afin de bien le sécher. Alors que nous sommes tous les deux dans la stalle d’Eclair pour lui donner un peu de foin et de l’eau, Antoine me dit en riant :

On dirait que vous faites de l’effet à Eclair.

En voyant le sexe du cheval fièrement dressé sous son ventre, je comprends l’allusion du moniteur et je lui réponds du tac au tac :

Quant à vous, je crois que je vous laisse de marbre !

Antoine me fixe droit dans les yeux et, sans rien me dire, m’attrape par un poignet et m’entraîne avec lui. Nous suivons un couloir puis il ouvre une petite porte qui donne sur la sellerie où sont stockés selles, tapis de selles, harnachements et autres licols. Toujours sans parler, il m’oblige à baisser pantalon et petite culotte sur mes bottes avant de me dire :

Je vais vous montrer si vous me laissez de marbre !!!

Puis, il ouvre ma chemise et dégage mes seins des deux bonnets. Il vient tout contre moi et sa bouche se colle à la mienne. Après un long baiser, ses lèvres descendent vers mes seins qu’il s’empresse de dévorer avant de me mordiller les tétons. La situation m’excite et ce jeune mâle commence à me faire mouiller. Sa bouche poursuit son chemin et se colle maintenant à mon sexe. Il joue de sa langue sur ma fente tout en glissant ses mains sous mes fesses pour bien me souder à lui.

Enfin, il se relève, ouvre sa braguette et approche sa queue de ma bouche. Il bande déjà et je me jette sur cette tige d’un beau calibre. Je le tète avec application, malaxe ses bourses, aspire son gland turgescent et le prends tout en bouche. Après quelques minutes de ce traitement, mon jeune étalon est bandé au maximum. Je me retourne, m’appuie le ventre contre une selle posée sur un tréteau et incline le buste vers l’avant. Il se positionne derrière moi et m’embroche d’un coup sec. Je ferme les yeux et me laisse baiser par ce jeune mâle fougueux qui me tient bien les hanches pour mieux me posséder. Je me cambre et je me penche bien en avant pour qu’il puisse aller tout au fond de ma chatte. J’adore ces saillies juvéniles, car on devine dans les mouvements un peu désordonnés de ces jeunes mâles toute l’impatience et la vitalité de leur tempérament. Soudain, Antoine pousse un long râle et se répand dans mes entrailles.

Il ne me lâche pas et fait encore quelques va-et-vient pour se vider. Lorsqu’il se retire, je reprends sa queue en bouche et je me régale des dernières gouttes de sperme qui coulent de son gland. Une fois nos tenues réajustées, nous repartons chacun de notre côté.

Après une bonne douche et un peu de lecture, je retrouve Etienne et François dans le salon pour un petit apéritif. Le champagne est délicieux et les deux hommes me resservent à plusieurs reprises. Je leur raconte notre promenade en omettant bien sûr de leur parler de la visite dans la sellerie. Après le déjeuner, Etienne nous invite à assister à une séance de reproduction, car l’étalon du centre doit saillir trois juments de propriétaires. Il nous explique que cela coûte moins cher d’utiliser un vrai étalon que de faire venir l’inséminateur équin pour une insémination artificielle. Cela se passe dans une sorte d’enclos étroit où la jument est placée sans pouvoir vraiment bouger. L’étalon est ensuite amené et au bout de quelques instants, après avoir bien humé les effluves de la pouliche en chaleur, il la monte et la prend. Je suis impressionnée par le calibre du sexe qui se tend sous le ventre de l’animal.

Une fois bien introduit, l’animal mord l’échine de la jument tandis que, solidement campé sur ses postérieurs, il lui donne de grands coups de boutoir. L’accouplement dure une dizaine de minutes puis l’étalon doit ensuite s’occuper des deux autres pouliches. Tout cela est très excitant et cela doit donner des idées lubriques à François qui me lance :

Tu as vu Hélène, voilà un animal qui a la santé !! Ce doit être un régal pour les trois juments !

Je lui réponds assez fort de telle manière qu’Etienne puisse également entendre

Oui en effet. Mais plutôt qu’un étalon pour trois juments, je préfère trois étalons pour une jument !

François se tourne vers son ami Etienne et lui dit :

Tu vois, elle est toujours aussi coquine !

Etienne lui répond avec un sourire lubrique aux lèvres :

Si tu le souhaites François, je peux organiser de quoi satisfaire les envies de notre si charmante Hélène.

La suite de l’après-midi et le dîner se poursuivent très sagement. Bien évidemment, au cours du repas, les deux hommes continuent à me faire boire comme s’ils voulaient me saouler. En sortant de table, les deux hommes m’entraînent vers les écuries. Dans la pénombre d’un box, François m’oblige à me mettre nue et à ne porter que mes bottes d’équitation. Etienne s’approche de moi, me passe une bride autour du cou et me sangle le ventre d’un serre-taille en cuir noir. Puis, comme s’il menait à la longe l’une de ses juments, il me conduit dans l’une des stalles éclairées d’une simple lanterne. Dans la pénombre, je devine une botte de paille sur laquelle est jetée une couverture. Il me force à me positionner debout contre la botte avec le buste entièrement courbé vers l’avant. Il maintient une certaine tension dans la bride de manière à m’empêcher de me redresser ou de regarder vers l’arrière. François se tient un peu en retrait avec son appareil photo à la main et lance à Etienne :

Parfait, la jument est en position. Faisons entrer les étalons !

J’entends des voix dans mon dos puis des mains commencent à se poser sur moi. On me caresse les jambes, on me flatte la croupe, on vante le galbe de mes seins, on m’ausculte sous toutes les coutures puis une voix grave se fait entendre :

Voilà une superbe pouliche ! Cela va être un bonheur de la monter pour l’inséminer.

Me voici maintenant avec un sexe qui se présente devant ma bouche et se glisse entre mes lèvres. Comme Etienne me maintient solidement les poignets, je ne peux rien faire et l’inconnu fait des va-et-vient dans ma bouche. Pendant ce temps, un autre homme a pris position derrière moi et frotte son gland à ma chatte. Je sens alors que l’on m’entrave les chevilles pour m’obliger à écarter les jambes au maximum. Ainsi écartelée, ma chatte s’entrouvre et la seconde queue peut se glisser dans mon étroit fourreau. Ainsi baisée dans la pénombre dans ce box aux odeurs âcres et animales, la situation est des plus excitantes. Celui qui me baise accélère la cadence et se vide en moi. Aussitôt, celui qui je suce se retire de ma bouche gourmande et vient se positionner à son tour derrière moi. Il se met à genoux et me lubrifie l’anus de sa langue râpeuse.

Puis, une fois redressé, il passe une main sur ma chatte, recueille un peu de sperme du premier sur ses doigts et me lubrifie bien entre les fesses. Il se colle ensuite à moi et, tandis que je dois sucer Etienne qui souhaite profiter de la soirée, mon second étalon m’encule d’un coup sec et me besogne sans ménagement. Il me caresse les seins, me mordille la nuque et me baise avec lenteur pour mieux profiter de mon fourreau intime qui se détend au fur et à mesure de la saillie. Etienne jouit dans ma bouche, se retire et disparaît de mon champ de vision. Celui qui me sodomise prend un vilain plaisir à ne pas accélérer la cadence alors que j’aimerais qu’il me donne de rapides et violents coups de queue. Sans le voir, j’entends François qui lui dit :

Oui, c’est bien ! Prenez votre temps pour bien profiter de cette jument en chaleur.

Etienne, que je devine sur ma gauche, enchaîne :

Vas-y Fernand ! Tu vois bien que mon ami t’offre sa femme de bon cur. A Paris, il n’y a pas de gars de la campagne pour la saillir comme elle le mérite.

Ces paroles doivent exciter le dénommé Fernand, car le voici qui me défonce enfin à grands coups de bite. Je l’entends qui ahane et je devine qu’il transpire comme une bête. Il se met à me traiter de tous les noms :

Petite salope, tu aimes ça ! Y a pas de pute ici à la campagne et j’ai pas souvent l’occasion de baiser. Alors, une bourgeoise comme toi, j’en profite ! Je vais te remplir de mon bon jus de palefrenier.

Solidement maintenue par la taille par ses mains puissantes et calleuses, je ne peux me refuser aux longs jets de foutre qui déversent en moi et me remplissent le fondement. Lorsque mon second étalon se retire, mes deux trous sont dilatés et laissent s’écouler un peu de semence de mes amants.

François dit alors à Etienne :

Je crois qu’elle est prête pour le final. Faisons entrer le troisième étalon.

Qu’elle n’est ma surprise et mon angoisse lorsque je vois revenir devant moi Fernand tenant un jeune poney en longe. Il le fait s’arrêter juste devant moi et Etienne dit à François :

Tu es vraiment sûr que c’est ce que tu veux ? Même s’il est moins bien monté qu’un cheval, Oscar a tout de même une belle queue.

François lui répond :

Ne sois pas inquiet, à Paris, Hélène est habituée aux doubles saillies vaginales. Mon ami le marabout Coulibadou et moi-même avons l’habitude de bien l’ouvrir en même temps. Et quand ce n’est pas nous deux, ce sont des Arabes ou des blacks dans le secteur de Pigalle.

Paniquée, car devinant que la queue d’Oscar doit être bien plus grosse que celle du chien Stark qui m’a baisée il y a deux ou trois semaines, je supplie François :

Non chérie, pas ça !! Il va m’écarteler et m’ouvrir en deux.

François me répond d’un ton autoritaire :

Une belle salope comme toi doit goûter à tous les plaisirs. Je sais combien tu es accro à la queue, à la mienne, mais surtout à celle des autres !

Devant mes yeux, Fernand caresse le fourreau d’Oscar puis commence à le branler d’une main ferme. Bien vite, le membre de l’animal se durcit et bande fièrement sous le ventre du poney. Ce sexe me fait peur, mais m’excite pourtant au plus haut point, car je pense au super orgasme que j’ai eu lorsque Stark m’a longuement sailli dans l’appartement de son maître Grégor.

Fernand reprend la longe de l’animal et, quelques secondes plus tard, je sens le souffle chaud du poney sur mes fesses. Après les deux saillies précédentes, nul doute que je sens la femelle en chaleur et cela doit exciter l’animal. Ses naseaux sont maintenant collés à mes fesses et sa langue râpeuse se glisse entre mes jambes. La pointe s’insinue dans mon cul puis dans ma chatte. Il la glisse toute en moi et c’est déjà comme si j’avais un sexe de nouveau en moi. Les entraves qui me maintiennent les jambes écartées m’interdisent le moindre mouvement. Mais, au fond de moi, je crois que la situation est plus excitante qu’inquiétante.

François s’écrie :

Regardez comme la pouliche est chaude, elle tend la croupe à son nouvel étalon.

Mais alors que je m’attends à être fendue en deux par l’animal, Etienne dit :

Nous avons pitié de vous Hélène et nous ne voudrions pas blesser une pouliche aussi bandante. Je vais donc vous livrer à mes jeunes moniteurs et palefreniers plutôt qu’à Oscar.

Pendant l’heure qui suit, libérée de mes entraves et offerte en botte et porte-jarretelles, je suis le jouet des cinq jeunes employés du centre équestre qui vont me prendre comme ils le souhaitent. Etienne et François m’abandonnent à mon sort et partent se coucher. Antoine, qui a déjà profité de moi le matin, et ses quatre compères me prennent et me reprennent dans de nombreuses positions. Je suce, on me baise, je me donne, on m’encule, je m’offre encore, on me reprend, j’en redemande, on profite de moi, j’adore ! Lorsque mes cinq jeunes amants sont vidés de tout leur foutre et exténués par tant de joutes érotiques, j’ai le corps insensible et les orifices bien ouverts. Lorsque je parviens à ma chambre, je retire mes bottes et mon porte-jarretelles et me couche nue contre François sans prendre de douche tellement je suis fourbue.

Au petit matin, pas encore réveillée, je sens la queue de François qui me prend la chatte. Il me laboure bien même si le sillon est encore bien ouvert par les multiples saillies de la nuit. Il me dit :

Chérie, tu es une superbe salope !!! Tu as vraiment cru que j’allais te faire baiser par le poney ?

Je ferme les yeux sous ses coups de bite et je lui réponds :

Oui je l’ai vraiment cru !!! J’ai eu très peur.

François continue de me besogner et, même si sa queue a du mal à me remplir, je jouis en m’imaginant prise par Oscar dans l’une des stalles du centre équestre.

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