Chapitre 1

Je me prénomme Jean, j’ai 22 ans, dans une semaine j’ai fini mes études, j’ai passé ses 3 ans après le bac dans une université du Nord de la France, durant cette période, j’ai bossé comme un fou, laissant ma vie amoureuse de côté, mais pas mes fantasmes !

Car je ne suis pas comme les autres, je porte 24H/24H des couches culottes, ce n’est pas que je suis incontinent, mais j’aime en portées !

Donc, cela fait 3 ans, que je vis chez l’habitant, ma chambre est dans les combles, d’une maison de ville, je vis chez une femme, je ne la vois que très rarement, je sais juste que c’est une infirmière à la retraite.

Il y a longtemps que je ne cache plus mes couches, les usagées, je les mets dans mon sac-poubelle, que je ferme et descends chaque fin de semaine !

On peut me classer dans la catégorie DL (Diaper Lover = j’aime porter des couches, c’est le sens que je me donne), je n’ai jamais cherché à aller plus loin.

Ma vie d’étudiant se termine cette semaine, après je ne sais ce que je vais faire, trouver un boulot, ça, c’est mon but, mais dans cette région, ce sera dur, donc comme je n’ai aucune attache ici, je suis orphelin, j’irai surement sur la capitale.

Aujourd’hui, c’est le jour de mon départ, je range mes affaires, ma porte est ouverte, j’entends du bruit et je me retourne, ma propriétaire est là, sur le bas de ma porte :

— Bonjour Jean.

— Bonjour Madame.

— Alors, c’est le grand départ ?

— Oui, c’est le grand jour, le chèque est prêt, si c’est cela que vous vouliez savoir

— Non, du tout, Jean, je voulais juste t’inviter à venir boire un dernier verre, viens vers les 17h, si tu veux.

— Oui, je veux bien Madame, et je vous déposerai le chèque.

— OK, à tout à l’heure.

— Oui, à tout à l’heure.

Je continue mon rangement, je n’ai même pas fait attention, mes couches et culottes trainées sur mon lit.

J’ai fini, je descends avec mes affaires, et frappe à sa porte, elle m’accueille dans sa tenue d’infirmière, blouse blanche et collants blanc, je me rends compte que c’est la 1ére fois que je me rends chez elle, c’est mignon, sans plus.

Autour d’un verre, sans alcool, on discute de tout et de rien, elle me demande ce que je ferai après, etc., et elle me demande comme ça :

— Jean, j’ai une question.

— Oui, laquelle ?

— Et bien, je me suis toujours demandée, excuse-moi, mais un jour je suis tombée sur un de tes sacs-poubelle, et dedans il y a avait des couches culottes souillées, c’était à toi ?

— Oui, c’était à moi.

— Tu es incontinent ?

— Pas vraiment, Madame, c’est juste que j’aime porter des couches, je ne peux plus m’en passer, cela fait des années que je n’utilise plus les toilettes.

— Ah bon, donc c’est plus une passion alors ?

— Oui, on peut dire ça.

— Tu fais pipi et caca dedans, excuse-moi, mais tu n’as pas l’air de le cacher et tu en parles si librement.

— Oui, j’en parle librement et je n’ai pas honte, c’est ma nature et je fais pipi et caca dedans.

— J’ai envie de te proposer quelque chose, arrête-moi tout de suite si quelque chose te dérange.

— Oui, pas de problème, Madame.

— Comme tu le sais ou vois, je vis seule depuis des années, je ne vois que des étudiants de passage comme toi, j’ai toujours voulu avoir un enfant, maintenant il est trop tard avec mon âge, j’aurais aimé m’occuper de lui ou d’elle, etc. donc si tu le veux bien, j’aimerais que tu restes un peu avec moi, le temps qu’il faudra, par exemple une année ou plus si tu le veux, je voudrais que tu deviennes mon bébé, je m’occuperai de te donner ton repas, te changer, te laver, etc. tu en penses quoi ?

— Euh, je ne sais que vous dire, Madame.

— Mais tu n’es pas contre ?

— Ben, à vrai dire, non.

— Alors, Jean ? Je te propose un contrat d’un an.

— Un an ?

— Oui, durant cette année, tu seras nourri, logé et blanchi, je me chargerai de ta transformation, tu seras mon bébé, et tu évolueras dans le bon sens, tu passeras du stade bébé à une jeune fille, tu sais que tu peux avoir confiance, je suis une ancienne infirmière.

— Oui, c’est vrai, je peux avoir confiance, donc vous me travestirez en femme ?

— Oui, en quelque sorte, c’est pour ça que ton éducation commencera au stade bébé, pour reprendre toute ton éducation, au début, je pense que cela te troublera, mais c’est pour toi que je ferai ça, pour ton bien.

— OK, pas de problème.

— On commence ?

— Déjà ?

— Ben oui.

— OK, mes affaires ?

— Tu n’en as plus besoin, j’ai tout ce qu’il faut.

— Je t’explique un peu le début, dès l’instant où tu rentreras dans ta nouvelle chambre, tu deviendras mon bébé.

— D’accord, Madame Nicole.

— Oh, je sens comme une touche de soumission dans tes dires !

— Oui, je rentre dans le jeu.

— C’est bien mon petit, donc comme tu le sais un bébé ne parle pas, ne contrôle pas ses envies, il est en couches 24h/24h, boit des biberons.

— Oui, c’est exact, Madame Nicole.

— Donc tu ne t’opposeras pas à recevoir des piqures pour te faire perdre tes contrôles ?

— Non, du tout, y a que ce moyen ?

— Oui

— Ok, Madame Nicole.

— Et aussi, un bébé à la peau lisse, tu deviendras imberbe, avec un traitement hormonal, pas de problème ?

— Non, il y a des effets secondaires ?

— Non, quasiment pas, tu auras une vraie peau de jeune fille, dit-elle avec un sourire.

— Ok, Madame Nicole.

— Suis-moi, nous commençons ta transformation.

Je la suis et j’arrive dans une pièce, c’est une vraie chambre de bébé, il y a un lit à barreaux, un parc, une chaise bébé, des armoires remplies de couches, culottes, vêtements, etc.

— Et bien, vous êtes vraiment équipée, c’est le rêve cette chambre.

— Oui, c’est vrai, tu as de la chance, non ?

— Oui, bien sûr, mais à quoi peut servir cette table ?

— Et bien, c’est simple, c’est une table gynécologique, que j’ai recyclée en table à langer

— Oui, je vois ce sera plus facile.

— Bon allez tu parles beaucoup, un bébé ne parle pas autant, maintenant chut ! et déshabille-toi.

J’enlève mon tee-shirt, jean, chaussettes, chaussures, je suis juste en couche devant elle.

Elle me fait signe de monter sur la table, elle pose mes chevilles dans les étriers, les fixent et fait de même avec mes bras, je proteste, mais simplement d’un chut, elle continue, elle va chercher un truc dans l’armoire à pharmacie, et je la vois une seringue à la main qu’elle remplit, elle s’approche de moi :

N’ai pas peur, mon chéri, comme je te l’ai dit, tu parles trop, le produit que tu vas recevoir te réduira au silence peu de temps, c’est juste que je veux me concentrer, et ne pas d’entendre tout le temps, tu es OK ?

— Ben je n’ai pas le choix ?

— Si, tu veux, tu peux encore dire non, après je ne ferai plus machine arrière.

— OK, on y va.

— Surtout, ne bouge pas !

C’est direct dans la bouche, l’effet est très rapide, plus aucun son ne sort de ma bouche.

Elle continue, elle m’enlève ma couche, et me nettoie le sexe, avec des lingettes, elle le décalotte même, je l’observe avec une glace au-dessus de moi, je ne loupe rien, c’est un pur bonheur, de se faire dorloter ainsi, je sens une piqure sur mon sexe, il débande aussi vite, il devient tout flasque, comme sans vie ou endormi, je ne sens même plus ses mains sur lui, elle a dû l’anesthésier, car à l’introduction du tube en alu dans mon méat, je ne sens rien, elle ne le laisse pas, c’est juste pour faciliter le passage d’une sonde urinaire, je vois mon urine sortir.

Elle a fini de ce côté-là, elle passe maintenant à mon anus, elle me pose un spéculum, et n’hésite pas à l’écarter, je ne vois pas trop ce qu’elle fait, mais je sens comme une piqure à l’intérieur, ensuite je la vois prendre un broc et elle me fait un lavement, une fois fini, elle commence à me langer, du talc en premier, elle me lève les fesses et glisse un change complet qu’elle garnie d’une bonne dizaine de couches droites, elle a même du mal à le fermer.

Elle me détache les bras, je me mets assis comme je peux, elle me bloque le dos, et je reçois encore une piqure dessus :

— Allez mon petit, descends et lève-toi vite.

Je descends, mais je sens rapidement mes jambes devenir comme du coton, j’en tombe même :

Voilà, c’est mieux ainsi, je t’explique : tu as reçu plusieurs piqures, une : pour te rendre sans paroles, une : pour empêcher toute érection de ton petit robinet, une : dans ton anus pour endormir tes sphincters et la dernière : dans ton dos, pour te remettre à 4 pattes, comme un bébé. Maintenant, tu es vraiment incontinent.

Elle me fixe une énorme tétine, et m’habille, m’enfile une culotte molletonnée, en plastique et aussi préformée, mon entre-jambes est écarté d’au moins 20 cm, elle me passe un haut de la même matière, et aussi des grosses moufles, je perds ainsi l’usage de mes mains.

Elle me dit de me rendre dans le parc, j’y vais à 4 pattes, elle le ferme.

Je suis au milieu de plein de peluches, jouets, etc.

— Amuse-toi bien mon chéri, maman revient tout à l’heure !

Que lui répondre, avec cette tétine !

Je ne pensais pas que cela serait ainsi, cela se voit que c’est une professionnelle, rendre une personne incontinente et paralysée est vraiment facile quand on a les bons produits !

J’ai hâte de passer le stade bébé, car ce qui me plait le plus dans ce qu’elle m’a dit, c’est de me travestir en femme, cela a toujours été un de mes fantasmes.

J’essaie de me concentrer, je ne ressens rien au niveau de mon pénis, que des crampes dans mon estomac, le lavement doit s’évacuer de lui-même, je me lève un peu, je sens le caca remplir mes couches, mais pas les odeurs.

Elle revient avec des biberons dans les mains, comme je ne suis pas assez grand pour elle, elle me les donne dans le parc, j’ai droit à un biberon de lait, de légumes et un autre aromatisé, ce n’est pas bon, mais elle me force à tout finir.

À la fin, elle soupèse mes couches, cela ira pour la nuit dit-elle, avec son aide, elle me fait monter dans le lit, elle me glisse dans une grenouillère géante, et comme les parents le faisaient à son époque, elle m’attache au lit, je ne peux vraiment pas bouger !

— Allez bonne nuit mon petit, tu as besoin de beaucoup de sommeil, avec cette piqure tu vas vite retrouver un cycle de bébé, tu auras très peu de période de réveil, à chaque réveil tu trouveras du changement. Bonne nuit à demain.

Et je sombre dans un profond sommeil.

Je me réveille, je suis toujours paralyser, je ne sais quelle heure il est, elle ne tarde pas à venir, avec un biberon de lait, elle m’enlève ma tétine, pour y glisser le biberon, je suis assoiffé, il est vite bu

Elle défait les liens du lit à la grenouillère, pour les ramener au-dessus de moi, elle accroche mes différentes extrémités à un palan électrique, grâce à ce dernier, je suis emmené sur la table.

Elle me met à nu, me lave, prends une tondeuse, et ôte tous poils et cheveux.

Elle glisse mon sexe dans une cage de chasteté, elle est toute petite.

Elle continue les piqures, plus une dans le bras, celle-là, c’est mon traitement hormonal, j’en recevrais par la suite 3 par jour.

Je pers la notion du temps avec tout ce qu’elle me fait subir.

Je prends vite un rythme de bébé.

Voici à peu près une de mes journées :

Je dors la nuit, dans une grenouillère en plastique, d’ailleurs tous mes vêtements le sont !

Madame Nicole, me réveille, avec l’aide de son palan, elle me transporte dans une chaise haute, là je prends mes biberons de lait, ensuite sur la table, elle me lave et change mes couches, elles sont toujours bien remplies. Je reste une heure dans le parc, mais je m’endors vite, elle ne me change qu’une fois le matin, sinon, je reste la journée avec mon gros paquet aux fesses.

Un jour, je me réveille complètement nu, sur le sol, je peux me mettre debout, je suis sans couche, j’en profite pour essayer de voir mon corps, je suis imberbe, plus aucun poil sur mon corps, je constate que mon pénis est tout petit, mais vraiment petit, je n’ai plus de sonde, mes testicules ont l’air d’avoir complètement disparues, mon zizi ne fait en gros qu’un tout petit centimètre, et le pire, c’est que de l’urine en sort.

— Mais que fait tu là Jean ? Je te laisse dix minutes, et voilà comment je te trouve, il faut que tu te protèges de suite.

Elle me prend par la main, et me montre le tiroir de la commode :

— Cela fait 1 mois que tu es avec moi, j’ai fini la régression que je voulais faire avec toi, je passe à la suite ! Tu vois tout ceci ? Ce sont tes affaires : il y a bien sûr des couches, culottes plastiques, socquettes, chaussures et une petite robe, maintenant tu as grandie ma petite fille, tu peux t’habiller toute seule, et pour finir tu mettras cette belle perruque blonde aux beaux cheveux bouclés. Ensuite, tu viens me rejoindre en bas.

— Oui.

— Il faut dire : oui, Madame, il va falloir que je t’apprenne de suite les bonnes manières ! Va mettre ta tête dans le carcan !

Il est au fond de la chambre, d’ailleurs, le lit à barreaux a laissé la place à un lit 1 personne, avec une parure en latex, il n’y a plus rien qui fasse bébé dans ma chambre.

Elle ouvre un autre tiroir, et en sort une cravache, c’est sous ces petits coups que je m’y rends, je pose ma tête et poignets dedans et elle le referme.

Tu vas devenir très sage et très obéissante ma petite Jeanne ! C’est vingt coups que tu vas recevoir sur tes petites fesses.

Elle commence doucement, mais les dix derniers coups furent très fort, je crie, la douleur est trop forte.

— J’espère que cela te servira de leçon, Jeanne !

— Oui, Madame.

— Très bien, Jeanne, habille toi et rejoins-moi en bas !

— Oui, Madame.

— Elle me libère du carcan, et elle descend, me voici seule.

J’ouvre le tiroir de la commode, je prends un change complet + 2 couches droites, je les pose sur le lit, et me lange avec. Par-dessus, je passe une culotte ouvrante à pressions rose, et une autre en coton avec froufrous et dentelle. J’enfile les petites socquettes blanches, je passe la petite robe blanche et rose, je chausse des chaussures blanches à petits talons de 3 cm et me coiffe de la perruque.

Je rejoins la Maitresse de maison, elle se trouve assise au salon dans un fauteuil, cravache à la main.

Approchant vers elle, je la vois tapoter de sa cravache sur un cousin posé à ses pieds, je comprends que ce sera ma place. Face à elle à genoux, elle me dit :

— Jeanne, on va parler sérieusement, comment tu te trouves ainsi ?

— Je suis un peu surpris par le changement que mon corps a subi, Madame.

— Surprise, qu’il faut dire ma fille, tu vois bien que tu as plus une apparence féminine que masculine maintenant.

— Oui, Madame, c’est vrai.

— As-tu des questions ou remarques ?

— A vrai dire, Madame, je suis surpris par ce qu’il se passe à mon entre-jambe

— Tu veux dire ton zizi ?

— Oui, Madame, il est tout petit et de plus je crois que je suis devenu vraiment incontinente.

— Ceci est dû aux nombreuses piqures que tu as reçues ce dernier mois, ça a eu l’avantage de te rendre temporairement incontinente, mais l’inconvénient est de réduire la taille de ton sexe d’homme. Je ne crois pas que cela te déplaise ?

— Non, Madame, j’aime ceci et suis surprise que cela me plaise.

— Tu aimerais aller plus loin ?

— Plus loin ? C’est-à-dire ? Madame.

— Ecoute, je te propose quelque chose de simple, je te propose d’être à mon service, tu seras toujours logée, nourrie et blanchie, tu ne t’occuperas de rien, c’est moi qui m’occuperait de ton éducation complète, de tes vêtements ou tenues, et de tes changes, mais pour ceci, il te faudra encore évoluée, je ne veux t’en dire plus, car ce sera la surprise, il faut t’attendre à de nombreux changements : physique, moral et aussi servitude.

— Cela veut dire, Madame, que je serai en quelque sorte votre femme de ménage ?

— Oui, plutôt ma soubrette et aussi mon esclave, tu vas également prendre un traitement hormonal plus fort, ceci aura donc pour effet de te féminisée plus.

— Ce n’est pas évident, mais je suis d’accord.

— Ok, on met de suite les choses au point, soulève ta robe et baisse tes culottes.

Je m’exécute, et je reçois encore 20 coups.

— Tu as compris ?

— Oui, Madame.

— Pour l’instant, tu es encore une petite fille, et tu vas évoluer dans ta condition féminine, pour l’instant, je veux que tu commences à t’occuper de la maison, tu me feras le ménage, le repassage, la préparation des repas.

— Oui, Madame.

Voici ton planning : tes journées commenceront ainsi :

1 – 6h00 : tu te lèves.

2 – tu te douches.

3 – tu t’habilles et te protèges.

4 – tu descends prendre ton déjeuner et tu prépares le mien : café, confiture et pain

5 – tu ranges et nettoies la cuisine

6 – 8 h 30 : tu me sers mon petit-déjeuner.

7 – le reste de la matinée, à toi de t’occuper avec ménage, linge, repassage, etc.

8 – 11 h 30 : tu prépares le déjeuner avec ce qu’il y aura dans le réfrigérateur.

9 – 12 h : tu déjeunes seule.

10 – 12 h 30 : tu mets la table pour moi dans la salle à manger.

11 – 13 h : tu me sers le repas, durant ce dernier, je veux que tu restes à mes côtés, mon verre ne doit jamais être vide, aucune miette de pain ou autres ne doivent rester par terre, tu dois toujours avoir à ta portée une pelle et balayette.

12 – 14 h : fin du repas, tu débarrasses.

13 – L’après-midi comme la matinée : entretien de la maison.

14 – 17 h 30 : préparation du dîner.

15 – 18 h : tu dînes

16 – 18h30 : tu mets la table pour moi dans la salle à manger

17 – 19 h : tu sers mon repas et comme le midi, tu restes près de moi.

18 – 20 h : fin du repas, tu débarrasses.

19 – 21 h : dernier nettoyage.

20 – 22 h : tu montes dans ta chambre sans changer tes couches et passer ta nuisette.

21 – 22h30 : extinction des feux.

— Désormais les toilettes te sont interdites, à part pour les nettoyer, tu feras tout dans tes couches, tu restes dans tes couches sales la journée entière. Je t’explique : le matin, tu mets un change taille M et trois couches droites ainsi qu’une culotte plastique et coton rose. Avant le repas du midi, tu montes, enlèves tes culottes et les laves de suite, ensuite tu déchires ton change et par-dessus tu passes un change taille L et trois couches droites et une culotte plastiques et coton jaune. Et pour finir avant le repas du soir, tu fai de même, mais avec changes tailles XL avec trois couches et les culottes blanches. Tu as compris ?

— Oui, Madame.

— Il est déjà 11 h, tu prends ton planning et tu commences de suite !

— Oui, Madame.

— À partir de demain, je ne tolérerai plus aucun manquement, si quelque chose me déplait, tu recevras des coups et aussi des punitions.

— Oui, Madame.

— Allez, file faire ton devoir, je ne veux plus t’entendre.

Je décide de suite de me rendre dans la cuisine, pour prendre mes repères, et commence la préparation du déjeuner, je me fais un steak avec de la salade, mais pour Madame, je fais ce qu’elle a marqué sur le tableau de la cuisine, les repas de la semaine y sont notés.

Je suis le planning à la lettre, et 13 h arrive, je suis prête, Madame attends assise à sa place, sur plateau je lui sers son repas, et je reste stoïque à l’observer, à lui remettre de l’eau, et ramasser la moindre miette.

À la fin du repas, elle soulève ma robe, et de suite, elle me dit :

— Va chercher ma cravache, et revient ici fesses nues, tu n’as pas mis d’autres changes.

Je reçois 20 coups et de suite je monte me langer. Je continue à suivre à la lettre mon planning…

Le reste de la soirée se passe sans coups de cravache.

Le soir dans ma chambre, je me déshabille pour passer la nuisette, elle est en matière plastique, mon lit a changé aussi, un oreiller, un drap-housse et un drap tout de latex fin et je sens une alèse très épaisse en dessous.

Related posts

ma chère petite cochonne de maman – Chapitre 1

historiesexe

Mon écart de conduite – Chapitre 1

historiesexe

Les amis de ma mère… – Chapitre 3

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .