Réunion Tupperware assez spéciale.1
Dans cette histoire, vous retrouverez Lucie que vous avez connue dans l’histoire : mon beau-père fait mon éducation sexuelle et Claude dans différentes histoires du Mâle dominant.
La pauvre Lucie ingénue n’existe plus.
J’ai fini par divorcer de Bruno et nous avons la garde partagée des enfants, ce qui me laisse beaucoup de temps libre.
Monsieur Paul organise de temps en temps des réunions « Tupperware » un peu spéciales très coquines dans sa belle villa. Aujourd’hui, c’est une soirée d’initiation pour cinq nouvelles venues en plus des habituées avec présentation d’articles nouveaux pour le plaisir de ces dames. L’assistance va de la mère de famille de cinquante ans à l’ingénue traînée par sa mère à sa première présentation.
Notre hôtesse Ingrid nous accueille, toujours aussi bien habillée.
Une fois toutes réunies au salon, elle étale devant nous tous les nouveaux articles en démonstration. Mais il y en a peu, car le livreur est en retard. Monsieur Paul, comme à son habitude, profite uniquement par les yeux de ce qui se passe depuis une pièce contiguë.
En attendant, Ingrid commence par une présentation de lingerie fine. Elle embauche pour ça la fille de Monique, Eloïse. Une petite jeunette de 18 printemps avec un physique de rêve qui se fait prier avant de céder.
Des nuisettes transparentes nous permettent d’admirer des soutiens-gorge balconnants, des push-up et des strings à faire bander des centenaires. Ensuite vient la présentation des sex-toys et autres articles.
Je connais certains objets dont je me sers parfois. Ingrid commence les démonstrations par un « rabbit ». C’est un godemiché particulier muni de plusieurs rangées de perles de verre disposées pour être en contact des lèvres du vagin quand il est à fond, pouvant vibrer à des vitesses différentes avec une excroissance qui appuie sur le clitoris et d’une autre plus dure qui appuie ou même peut pénétrer l’anus amenant à trois stimulations et jouissances différentes.
Les petites nouvelles demandent des explications auxquelles elle répond de bonne grâce :
Le plus simple est de l’essayer pour juger des résultats. Qui veut tester l’instrument ?
Une jeunette lève un bras, un peu hésitante.
Je veux bien essayer, où puis-je aller pour faire l’essai ?
Nulle part ! rétorque Ingrid. Tout le monde doit en profiter et c’est moi qui fais l’essai avec vous.
Vous allez me faire jouir ? Ça me gêne de me faire masturber par une inconnue devant toutes ces dames.
N’ayez aucune crainte… Pour la plupart d’entre elles, vous ne serez pas la première qu’elles verront totalement nue et assisteront à votre orgasme, c’est le but recherché.
La nouvelle qui s’appelle Keira hésite toujours. Si elle n’essaie pas la nouveauté, elle va passer pour une idiote coincée et si elle accepte la démonstration pour une gouine, mais sur l’insistance D’Ingrid et les encouragements des spectatrices, elle accepte les caresses, obéit quand Ingrid lui demande de retirer sa culotte et de relever sa jupe.
Puis Keira se laisse asseoir sur un petit tabouret et écarte les cuisses, toujours aussi gênée. Ingrid lui caresse les genoux, glisse ses mains entre les cuisses galbées puis remonte lentement.
Quand elle vient à toucher la fente déjà humide, elle se saisit du gode, le pose juste à l’entrée du vagin et le fait pénétrer lentement.
Keira commence à se détendre quand elle sent le plaisir poindre. Ingrid active la vibration et Keira sent les billes tourner à l’entrée de son vagin, ressentant monter son plaisir.
Ingrid enfonce à peine un peu plus l’engin pour le mettre en contact avec le clitoris. Ingrid ne peut plus résister à l’orgasme et jouit devant son public qui l’applaudit.
Mais Ingrid ne veut pas en rester là et enfonce encore plus le gode dont une branche appuie sur l’anus et en franchit la porte. Le sex-toy donne des plaisirs inouïs à Keira qui jouit encore.
Ingrid laisse Keira dans tous ses états qui se charge maintenant elle-même de l’appareil et se tourne vers nous :
Aujourd’hui, Monsieur Paul veut vous faire un cadeau, entre Ben…
Je reconnais le grand noir athlétique de mon « initiation ». Il est nu, le corps brillant comme huilé.
Ben entre dans la pièce, faisant bouger sa magnifique musculature avant de s’arrêter les mains sur les hanches devant nous.
Les commentaires fusent :
Quel beau mâle !
Oui… Bien gaulé !
Belle queue ! Une fois bandée, ça doit être un sacré morceau !
Je n’ai jamais connu ça et je ne sais pas…
Ingrid rassure ces dames :
Ben est à votre service, vous pourrez essayer avec lui certains des accessoires, mais pour qu’il soit apte au service, il faudrait faire redresser tout ça ! En pointant du doigt la verge flasque.
Bien sûr, les plus expertes sont les plus âgées qui s’empressent de répondre à l’appel tandis que les plus jeunes n’ayant pour certaines connues qu’un ou deux petits copains au sexe de dimension ordinaire n’osent pas franchir le pas et observent leurs aînées.
Sous l’empressement d’une demi-douzaine de folles déchaînées, la teub de Ben atteint pratiquement le double-décimètre. Elles s’en donnent à cur joie et à bouche que veux-tu pour le plus grand plaisir du grand noir.
Sur ces entrefaites, nous entendons sonner à la porte. Ingrid va ouvrir et fait rentrer un jeune homme, c’est le livreur du magasin tant attendu. Il regarde les scènes assez spéciales données par Ben et ses suceuses et Keira et son sex-toy avant de poser son colis sur la table basse. Ingrid lui demande :
J’espère que vous n’êtes pas trop choqué ? Mais vous devez en voir d’autres dans votre boutique !
Le jeune homme vient de se retourner et je reconnais Claude, il me fait un discret clin d’il et pose son index sur ses lèvres. (Cf. Beau papa fait mon éducation sexuelle).
Ingrid reprend alors la parole :
Mesdemoiselles, Mesdames… Ben ne pourra pas toutes vous satisfaire, il y aura des déçues, il y aurait bien une solution si ce jeune homme acceptait de se joindre à nous. Comment vous appelez-vous ?
Claude.
Que pensez-vous de ma proposition ?
Heu… Je ne sais pas. Vous croyez que… Oh et puis zut, je serais bien bête de ne pas en profiter.
Ingrid se tourne alors vers les cinq jeunettes qui ne se sont pas mêlées à la curée sur Ben :
Et vous les petites nouvelles… Partantes avec cet ado attardé ?
Il faut dire qu’il y a un sacré contraste entre Ben et Claude, plus d’une tête d’écart, au moins 25 kilos et un visage assez ingrat pour Claude constellé d’acné.
Les filles se regardent et quand l’une d’elles lève le bras, toutes les autres suivent, préférant le garçon de leur âge plutôt que le noir bodybuildé au sexe imposant.
Ingrid amène Claude à côté de Ben et les filles s’approchent pour effeuiller le petit nouveau.
Les filles ont les yeux braqués sur le bas-ventre du jeune garçon. Solène dégrafe timidement le pantalon qu’elle descend sur ses chevilles, faisant apparaître un slip bien plein.
Les coquines apprécient ce sexe prometteur déjà bandé. Pauline ose descendre le slip, mais la verge de Claude ne reste pas dressée et pend entre ses cuisses. (L’effet était trompeur).
Entre ses jambes ballotte une paire de couilles imposantes, nerveuses et pressées à la base de la queue. Le manche fait 17-18 centimètres au repos, très gros, anormalement gros, déjà plus épais que le carton d’un rouleau de papier toilette, terminé par un gland rosé à demi-découvert.
Un énorme gourdin en devenir, plus grand que tout ce que ces filles avaient pu voir ou croiser auparavant les narguait.
A suivre…
