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Nouveau Maitre – Chapitre 1




J’avais dragué cette femme dans une soirée, chez un ami. Elle se trouvait là, devant moi. Elle était de taille moyenne, à peut prêt un mètre soixante, brune, de long cheveux ondulés tombait en cascade dans son dos, sur ses épaules. Sa peau, mat et brillante faisait pensé qu’elle devait être espagnole, très certainement. Un visage finement dessiné, surmonté d’un regard aussi captivant que deux émeraudes brillantes. Je neus pas le temps de l’admirer plus puisqu’elle enleva lentement son bustier. Des seins magnifiques, ils avaient l’air fermes, accueillant, et il était plutôt gros, du 90 D, pensais-je. Idéale pour une branlette… Espagnole, d’ailleurs ! Venant de son pays, elle devait bien savoir faire ! Puis mon regard descendis jusquà sa ceinture, passant par son ventre plat, ses hanches harmonieuses… Mon dieu, pardonnez-moi, je vais pêcher ! Elle défit le bouton de son jean moulant et le retira lentement. Une chute de reins à réveiller un mort… Mon regard se porta instinctivement vers ses fesses, étant pas mal porté sur l’anal, je savais que son cul allait prendre cher. Le seul soucis pour les femmes avec qui j’avais des relations, c’est que je n’avais pas une tête de dominateur, et pourtant quand je baisais… J’étais un animal. Et elle allait bien vite le découvrir…

J’étais allongé sur le lit, complétement nu, me masturbant doucement en la regardant dans sa lingerie de dentelle rose vif, qui était du plus bel effet sur sa peau bronzée. Elle s’imaginait peut être contrôler la situation, me lançant un regard cochon, libérant sa poitrine de son entrave, puis retira sa culotte en dentelle. Elle vint se mettre a califourchon sur moi, souriant en coin puis vint m’embrasser langoureusement. Je me laissais faire, comme pour lui faire baisser sa garde tandis que mon sexe commençait à grossir. Il n’était pas particulièrement long, une vingtaine de centimètre mais il était particulièrement épais. Assez pour faire des ravages dans un petit cul comme le sien ! Bon dieu, elle ne le savait pas encore, mais qu’est ce qu’elle allait prendre… Elle le sentit peut être puisque ses lèvres vinrent me mordre le cou, un peu plus sauvagement que ses derniers gestes, et elle descendis doucement ses lèvres, le long de mon torse, en me fixant de ses yeux démeraude. Elle allait me sucer, j’adorais ça, et surtout que ma queue avait prit sa taille finale, dure et épaisse à souhait. Elle finit par se retrouver devant, à genoux au sol, la regardant d’un air gourmand et y mis un petit coup de langue.

— Belle bite que tu as là, me souffle t-elle.

Je souris en coin alors qu’elle ouvrait grand la bouche pour y faire rentrer mon gland. Elle glissa lentement ses lèvres sur ma verge, et remonta lentement. Ce fût la fin de tout, et quand mes mains se posèrent sur sa tête, je crois avoir vu une lueur d’inquiétude passée dans ses yeux. En effet je me suis relever, tenant sa tête sur ma queue, et un sourire carnassier se dessina sur mes lèvres. Elle était perdue.

Le premier coup de reins fût le plus dur pour elle je pense, car je lui enfonçait mon sexe jusqu’à la garde. Je pris une poignée de ses cheveux, m’étant mis debout, ma queue dans sa bouche, j’étais maintenant maitre de la situation. Et je commença a donner de grands coups de reins, forçant la jeune femme à aller et venir sur ma queue, en gorge profonde, en lui tirant les cheveux, puis repoussant la tête pour la forcer à aller à contre coup. Bon dieu, elle suçait divinement bien et en plus, cela devait l’excitée, puisque j’entendais des gémissements sortir de sa bouche, ses mains titillant ses tétons. Mais ce qui mintéressait, moi, c’était les hurlements, les hurlements de plaisir, mêlés à une certaine pointe de douleur, plus ou moins forte. Elle me suça de la sorte pendant bien cinq minutes, puis je finis par la soustraire de ma queue et la jetée, de force, a moitié sur le lit, le buste sur le matelas, le cul vers moi. S’en était trop pour ma queue. J’enfilais une capote, puis je lui ramenais les bras dans son dos, tout en regardant ma queue enduite de salive, puis je la posait contre sa chatte. Elle était trempée, la salope. Elle aimait se faire dominée. Elle allait en avoir pour son envie !

Quand je perforais sa petite chatte de mon épaisseur, elle cria, de surprise, de douleur et de plaisir mêlés je penses, car je la lui mis d’un coup sec, jusqu’à la garde. Mes mouvements n’avaient rien de doux, et je commençais a la besogner avec force, lui retenant les mains dans le dos. Ses petits cris aigus me stimulaient et mencourageaient. Frénétiquement, de plus en plus fort, de plus en plus rapidement, sa petite chatte trempée subit les assauts de ma queue, ponctués par des cris, de plus en plus puissant. Quand je me suçais un doigt, et que je le plaçais contre son anus, elle me dit quelque chose, entre deux cris, que je n’oublierais jamais.

— Non !! Ne me prépares pas !! S’il te plait, je t’en supplie, encules-moi si tu veux, mais fais moi mal !

Avais-je trouver ma partenaire de baise idéale? me dis-je en m’arrêtant. L’ébat tournait vers la soumission SM ! Tant mieux pour moi, j’allais adorer ça, je le savais ! Je me retirais de sa chatte trempée, et posa ma grosse queue contre le plus petit de ses orifices. Elle se dandinait comme une chienne en manque, contre ma bite ! J’étais tombé sur de la salope de compétition !!

— Prends toi ça, espèce de salope !

Elle n’avait pas eu le temps d’objecter que ma queue avait déjà exploser son petit cul, brutalement. Je tenais ses bras d’une main et avait chopper ses cheveux de l’autre, que je tirais vers moi. Elle hurla de douleur, alors que je ne lui laissait même pas le temps de respirer, je me mettait à la limer comme un pervers. Elle hurlait, à s’en casser la voix, alors que je lui limait le cul comme un salaud en grognant. Mais je crois qu’elle avait joui alors que je n’avais que rentrer ma queue dans son anus.

— Aaaah !! Oui !! Plus fort !! Encore plus fort !!

— Tu aimes ça, grosse chienne ?!

— Aaaah !! Oui !! J’aime, j’adore ça !

Je m’enfonçait au plus loin dans son cul, montant un pied sur le lit, m’appuyant carrément sur elle, et je finis par recommencer a bouger, l’enculant d’une violence inouïe. Et la belle hurlait, encore et encore son plaisir. Son anus spasmait autour de ma queue, alors qu’elle me criait qu’elle jouissait encore. Je lui râlais des obscénités, alors que je l’enculais de toutes mes forces, tirant sur ses cheveux, alors qu’elle tentait de libéré ses bras.

Je ne pus pas supporter cinq minutes de cet intense traitement, ma queue gonfla de plus en plus, écartelant un peu plus son anus de salope. Et pour mon plus grand plaisir, la jeune femme, prise de convulsions, me hurla:

— Je t’en supplie, arrêtes ! Arrêtes, je vais mourir de plaisir !!

Ça tombait bien, je ne pouvais pas tenir plus, et elle demandais grâce ! C’est alors que comme un bon seigneur, je me retirait de son cul d’un coup sec, lui arrachant un dernier cri, et je la jetait sur le coté, la forçant ensuite a se mettre sur le dos d’un geste, je retira ma capote et lui mit mon sexe dans la bouche. J’eus le droit à une finition divine, puis n’y tenant plus, je me vidait dans la gorge de ma cochonne, qui, me semble t-il jouissait une dernière fois en avalant ma semence, tout en me regardant.

Les ardeurs calmées, haletants, nous nous regardions, allongés maintenant.

— Alors, c’était à ton goût, ma belle?

Elle se colla a moi, en caressant mon torse, souriante.

— Oui et je veux te faire un cadeau, en récompense.

— Tu vas encore me sucer?

Elle rit légèrement en secouant la tête, me regardant toujours.

— Mieux que ça !

Elle me regarda reprenant son sérieux.

— J’ai toujours rêver… D’être une esclave sexuelle… Ça fait longtemps que je cherche et je n’ai jamais trouvé quelqu’un qui me défonce de la sorte… Que dirais-tu de me possédée une semaine, pour commencer?

Je n’en croyais pas mes oreilles… Une fille, une des plus belles que j’avais jamais vu, venait de me permettre de lui défoncé le cul et me proposait d’être mon esclave sexuelle?! C’était trop beau !

— Et j’ai le droit de tout faire avec toi?

— Absolument tout, aucun tabou…

— Alors c’est d’accord, mais tu m’appelleras Maitre, et ce, même en public, devant tes amis, et si je t’appelles, tu plaques tout et tu viens. Ce sont mes conditions.

J’imposais mes conditions en plus. Fallait bien commencer quelques part ! Et puis, c’était ma première esclave, qui sait, je me découvrirais peut être une passion…

— Bien, Maître…

Et c’est là que tout commença…

A SUIVRE

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