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Le mari de Céline – Chapitre 6




Reddition

La porte se ferme, jentends les talons de ma femme qui claquent, sans même marquer un temps darrêt à ma vue. Je suis à genoux, la tête baissé, nu, les mains dans le dos en position de pénitence. Je sens lair lorsquelle passe près de moi, sans un mot, ni même un geste, je frémis.

Je nai pas dautre choix que dêtre là. Je me suis imaginé me retrouver seul, inutile, sans savoir quoi faire. En fait après lépisode chez mes beaux-parents, jai voulu me révolter. Mais bien vite jai ressenti comme ma vie était vide de tout. Rien ne mintéressait, je navais aucun ami, aucune activité, toute ma vie tournait autour de Céline. Sans elle en fait jétais un poids mort, inutile. Je nai jamais su quoi faire de mon temps, en dehors de mon cher travail. Mais Céline a raison, mon travail est bien moins important que dêtre avec elle. Je men veux terriblement davoir mis ce temps à le comprendre, jespère quil nest pas trop tard, que jarriverai à me faire pardonner. Je suis déstabilisé par son manque de réaction à ma vue, pourtant je me suis présenté à elle dans les délais. Jai préparé une table pour elle seule, et un repas pour elle seule aussi, faisant tout ce quelle aime. Jai envie de pleurer, mais elle déteste quand je suis si faible à pleurer, jai besoin de lui montrer mon amour et ma dépendance absolue.

Une heure passe, je guette les bruits, la douche qui se termine, les portes qui se ferment, le canapé du salon sur lequel elle sassoit.

— Viens ici, remets-toi à genoux comme cela. Sa voix est calme, je ne la sens pas en colère. Bien. Que fais-tu ici ?

— Je suis venu te demander pardon ne pas avoir compris ce que tu moffrais mon amour. Je nose lever les yeux.

— Il ta fallu tout ce temps ? Cela devait être compliqué ! Les larmes me montent aux yeux par la violence de sa réplique

— Oui cest vrai, et je voudrais que tu me pardonnes. Je voulais te dire que je suis très heureux de me mettre à ton entier service et que ma vie te soit consacrée. Tu es tout pour moi et ma vie na de sens que pour et par toi.

— Tu vas arrêter de discuter mes décisions ?

— Oui je te le promets, je ferais tout ce que tu veux, sans aucune limite.

— Comment puis-je en être certaine ? Tu me las dit déjà des dizaines de fois.

— Si tu es daccord, demain je démissionne, et je donne son congé à notre femme de ménage pour prendre sa place et te servir.

— Et nous servir, tu as oublié le reste de ce que je tai dit ?

— Non en effet, jai compris quIsabelle et Béatrice venaient sinstaller ici mon Amour.

— Et donc ?

— Et donc je les servirai comme toi.

— Tu en es certain ?

— Oui jy ai pensé, cela ne sera pas facile, cest même difficile et étrange, mais cest parce que tu es unique et que je dois donc madapter en tous points.

— Alors tu vas faire tout ce que nous te demanderons sans aucune limite ma petite chose ?

— Oui mon Amour, sans aucune limite.

— Bien alors sache quà la prochaine rébellion tu nauras pas de seconde chance et ce sera dehors définitivement.

— Oui mon Amour, merci de maccepter ainsi. Je suis réellement soulagé, et je me baisse spontanément pour baiser ses petits pieds mignons qui me tentent tant. Elle ne men empêche pas, je suis aux anges, mon sexe voudrait être de la partie mais il est comprimé atrocement dans sa cage de métal.

— Bien as-tu dautres choses à me dire ?

— Oui mon Amour, je crois que jai été irrespectueux avec toi et comme je sais que tu aimes cela, peut être voudrais tu me punir ? Je suis moi-même surpris dentendre ces mots sortir de ma bouche, je ne my attendais pas du tout, et je les regrette de suite, mais trop tard, je devine un frémissement chez ma femme.

— Cest très bien et oui tu mérites une punition que tu ne devras jamais oublier. Je vais men charger. Alors je vais récapituler pour toi ce qui va se passer. Je suis très heureuse de ta décision et ravie que jai fait le bon choix, tu es un mari idéal.

— Merci, je suis très ému.

— Donc demain matin tu appelles ton travail pour dire que tu pars à létranger et que tu ne peux plus venir. Cela va les déranger un peu mais je men moque. Tu licencies notre femme de ménage en lui donnant un an de salaire, elle le mérite bien et cela compensera un peu sa déception.

— Oui mon Amour.

— Mercredi Isabelle et Béatrice arrivent donc. Isabelle va dormir avec moi et occupera la chambre que tu occupes actuellement pour ses affaires et sa toilette, et pouvoir y dormir lorsque nous le souhaiterons. Il faut donc que tu fasses de la place. Dailleurs je veux que tu fasses le tri dans tes affaires. Tu pourras prendre un carton, un seul, contenant tout ce que tu veux prendre, le reste sera à jeter ou à donner, tu te débrouilles. Je ne veux que des choses essentielles dans ton carton, nous le vérifierons ensemble et je jetterai ce qui ne me convient pas. Tu nas pas besoin de beaucoup de vêtements et nous en achèterons de nouveaux.

— Bien mon Amour

— Comme tu seras la servante de la maison, la troisième chambre du palier sera pour Céline, et toi tu tinstalles dans la chambre de bonne dans les combles. Elle est très vétuste et inconfortable mais comme ce nest que pour dormir, cela na pas dimportance. Tu feras un peu le ménage avant.

— La petite chambre avec le lit défoncé ? Je suis honteux de cette perspective.

— Oui celle-là.

— Est-ce que je pourrais mettre un autre lit ?

— Nous verrons, pas tout de suite, on va voir comment cela se passe, je nai pas envie de nouveaux frais pour toi, puisque tu ne rapportes plus dargent à la maison.

— Oui je comprends. Les larmes me remontent aux yeux, je nai plus le choix, je narrive plus à penser ni à respirer et elle continue.

— Je veux que tu obéisses à Isabelle comme à moi, et à Béatrice comme à Isabelle. Cest lesclave dIsabelle, mais je veux quelle te forme pour avoir un service parfait. Tu as de la chance elle est très jolie ! Céline rit, mais bon pour ce que tu peux en faire.

— Bien mon Amour.

— Penses y bien, si tu te rebelles contre Béatrice cest comme si cétait comme moi, donc la porte.

— Javais bien compris mon Amour, je serais le plus doux des agneaux.

— Obéissant et malléable surtout.

— Oui mon Amour.

— Allez tu peux me regarder maintenant. Jaime bien quand tu as les yeux baissés, tu me donne plein didées et denvies nouvelles tu sais ?

— Merci mon cur. Je suis tellement heureux de voir la flamme dans son regard, avant que je ne réalise que cest sans doute la punition que je vais subir qui lexcite ainsi.

Lemménagement

Mon carton est prêt, il nest même pas rempli, jai empilé quelques vêtements, des papiers et les photos de Céline que jaime le plus. Elle a inspecté mon carton et a juste enlevé un polo, je ne sais pas pourquoi. La chambre en haut ne fait que 5 m2, avec un lit en métal, une petite armoire bien trop grande pour mes quelques affaires, un petit lavabo sans même un miroir et une fenêtre opaque. Jai tout nettoyé mais cela reste dun standing que je nai jamais connu. Jai encore mal partout après la fouettée que jai reçue. Jai pleuré, supplié, mais cela ne faisait quaugmenter la puissance des coups reçus. Jai senti que ma femme avait passé un cap à la fois dans ce plaisir, mais aussi dans la violence quelle déployait envers moi, vraiment furieuse que jai pu hésiter. Elle est tellement égocentrée, mais cest ainsi que je laime, pleine dassurance, et je ne la mérite pas cest certain.

Je descends dans le parking pour accueillir Isabelle et Béatrice. Lorsque la voiture simmobilise je me précipite pour ouvrir à Isabelle qui conduit, laidant à sortir puis à son esclave qui attend également que je lui ouvre la porte. Cette dernière ne me regarde même pas et me demande de monter toutes les valises dans lappartement, déjà les deux jeunes femmes sengouffrent dans lascenseur. Il me faut deux voyages pour emmener toutes les valises et je reviens garer la voiture correctement. Les trois femmes sont installées dans le salon en train de boire une bouteille de vin que Céline mavait demandé de préparer. Je note que les hiérarchies sont un peu différentes, puisque Béatrice participe à ce verre darrivée, tandis que moi non. Cependant elle nest pas assise sur les fauteuils mais à genoux, naturellement sur le sol. A cet instant je regrette de ne pas en avoir profité aux Maldives, elle est vraiment délicate et surtout je nai plus fait lamour depuis si longtemps maintenant. Je me sens abattu, je nai plus aucun contrôle ni repère, et je crois avoir un peu perdu le sens, seule ma femme est ma boussole dorénavant.

— Isabelle va installer ses affaires et ses objets de toilette dans la chambre communicante avec la mienne. Béatrice tu prends la dernière chambre sur le palier, à notre disposition ainsi à toutes les deux. Mon cher mari, tu vas te conformer à ce que Béatrice te dit. Elle a pour mission de te former et bien téduquer à être un esclave parfait. Je nai pas lenvie ni lénergie de le faire, et à vrai dire je ne saurais comment le faire. Tu dois donc obéir à Béatrice comme à moi-même ou à Isabelle, jespère que cest bien compris.

— Oui mon Amour, cest bien compris

— Tu es son jouet et aussi sa compensation à devoir partager sa Maîtresse avec moi. Elle a carte blanche pour samuser de toi comme il lui plaira. Tu verras elle a plein dimagination, et dès tout à lheure tu pourras le découvrir puisquelle nous a fait plein de suggestions. Toutes les règles te seront fournies au fur et à mesure. Sache que si tu te comportes mal, non seulement tu seras puni, mais Béatrice aussi. Et si tu te comportes très mal, tu sais ce qui va tarriver nest-ce pas ?

— Oui mon Amour. Je me sens rougir et ridicule.

— Bien déshabille-toi, tu ne porteras plus tes vêtements jusquà nouvel ordre, Béatrice te dira ce que tu porteras à lavenir. Estime toi heureux de vivre au milieu de trois très belles jeunes femmes, jen connais de nombreux qui mourraient pour cela !

— Merci mon Amour en effet.

— Céline, à toi de prendre la parole maintenant, nous técoutons.

La jeune femme reste dans sa position à genoux, elle a les cuisses écartées et les mains qui reposent au niveau des genoux, les paumes vers le plafond. Elle se tient bien droite et sa position est assez impressionnante de zen et de force. Elle relève la tête vers moi :

— Bien il va te falloir suivre tout un tas de règles nouvelles quil te faudra savoir par cur. Je tai apporté un petit carnet pour que tu puisses les écrire et ne jamais les oublier. Si tu ne respectes pas une règle tu es immédiatement puni, et si Isabelle ou Céline sont présentes, sans doute serais-je punie aussi, donc je mettrais tout mon petit cur à ce que tu te tiennes comme il faut. Est-ce que tu comprends ?

— Oui, je comprends bien, mais pourquoi

— Première règle, quand on te pose une question tu réponds, et tu ne poses pas de question. Tu nas pas lautorisation de prendre la parole ou poser une question sans y être invité par une de nous trois.

— Mais si

— Tu viens denfreindre ta première règle, tu auras ta première punition tout à lheure. Lobjectif des punitions nest pas dy prendre du plaisir, mais que tu en aies assez peur pour être motivé pour apprendre ce que tu dois apprendre, as-tu compris ?

— Oui, jai compris. Je me sens un peu terrorisé, je sens comme elle est différente de Céline qui est dure et égocentrique, mais qui nest pas méchante avec moi. Là je sens une sacrée tension. Et je me souviens dun coup comme Isabelle confie son cousin chaste définitivement aux mains perverses de Céline. Là cest moi qui suis confié.

— Deuxième règle, tu nous vouvoies toutes les trois, y compris ta femme, y compris en public, il ny a aucune dérogation à la règle. Bien répète les deux premières règles.

— Je ne dois jamais vous tutoyer et toujours vous vouvoyer toutes les trois, et je ne dois prendre la parole que quand jy suis invité.

— Parfait, tu aurais pu les mettre dans lordre, mais cette fois-ci ce nest pas grave.

— Merci dis-je soulagé

— Je ne tai pas autorisé à parler, tu auras une double punition.

— Cette fois-ci je me tais. Mais pourquoi est-ce que jaccepte cela. Jaurais du me rebeller, mais cétait au début que jaurais du le faire, maintenant je ne peux plus, je suis un faible et un lâche.

— Troisième règle, la façon de nous appeler. Ta femme tu lappelles Maîtresse et ceci également en toutes circonstances, publiques ou pas. Sauf si elle tindique le contraire, tu dois lappeler ainsi et de façon intelligible. Isabelle cest Madame, et moi Mademoiselle. Tu termines toutes tes phrases avec une reconnaissance de notre pouvoir sur toi, comme Bien Mademoiselle, oui Maitresse, avec plaisir Madame. Est-ce bien compris ?

— Oui Mademoiselle. Cette règle mest venue assez spontanément.

— Parfait, tu commences à comprendre. Nous nallons pas embêter nos Maîtresse avec la suite, dautant que cela prendra des mois pour que tu les connaisses toutes. Ta Maîtresse na pas à les connaître ni à se soucier de cela, seul son service et son plaisir comptent. Tu vas venir avec moi, nous allons ranger les vêtements dIsabelle dans son armoire, je te montre comment il faut faire, puis tu feras de même avec mes affaires. Puis je te donnerai ta première double punition, que tu vois de quoi il sagit et pourquoi il te faut bien te concentrer sur les règles. Est-ce compris ?

— Oui Mademoiselle.

— Parfait en route.

Il nous a fallu deux heures pour ranger toutes les affaires dIsabelle. Béatrice mapprend comment les plier et bien les ordonner pour que tout soit parfait. Il est vrai que je suis très mal à laise avec les vêtements féminins et les matières que je ne sais pas bien plier. Japprends que je vais devoir apprendre à repasser, mais aussi laver certaines affaires à la main, car elles sont délicates en machine. Cela me semble logique pour remplacer la femme de ménage mais je ne my attendais pas. Curieusement Céline est très patiente et mapprend vraiment bien, je me sens en confiance. Je range également toute une valise de divers accessoires que je suppose coercitifs sans toujours tout bien comprendre. Une partie de larmoire y est consacrée et voyant que je découvrais tout cela, Céline prit encore le temps de me faire découvrir tous les objets à ranger. Je ne me trompais pas, et ils étaient là bien plus pour contraindre et donner du plaisir à Isabelle que donner du plaisir à Béatrice. Jaurais voulu lui poser mille questions, mais cela ne métait pas possible. Sans doute était-ce là le plus difficile, bien plus que dêtre nu devant elle avec ma ceinture métallique qui faisait dorénavant totalement partie de moi. Javais toujours trouvé en secret quun homme nu avec son sexe ramolli était moche et ridicule, et la ceinture donnait une allure à ce membre qui nétait plus utilisé depuis tant de temps. Pourtant je gardais le souvenir des érections et des masturbations, mais très peu celui des pénétrations, qui avaient été rares dans ma jeune vie amoureuse. Je me demandais tristement si cela arriverait à nouveau, mais je ne devais pas men faire pour cela, je navais plus la décision là-dessus.

Nous passâmes aux affaires de Béatrice à ranger dans son armoire. Il y avait beaucoup moins de vêtements, tous plus simples et je supposais plutôt sexy tant les étoffes étaient légères. Le rayon lingerie était très fournie y compris avec des corsets très rigides. Elle me montra comment les ranger, et décida de me donner un cours. Soulevant sa robe, et sans plus de gêne, elle se mis nue devant moi, juste vêtue dun corset auquel était accroché des bas blancs par 6 larges attaches. Son sexe comme ses seins était nu. Je remarquais un large tatouage sur le pubis avec les initiales dIsabelle, et les tétons percés sur ses seins. Mais ce qui retint mon attention fut la taille quelle avait, renforcée par le corset qui semblait faire une seconde peau. La sensation était magique et je sentis instantanément mon sexe se durcir. Cétait la première fois que cela arrivait pour une autre femme que Céline et je me sentais gêné. Béatrice le remarqua et cela la fit sourire. Elle me fit poser les mains sur ses hanches pour que je mesure bien la tension de sa peau, et surtout le dénivelé vertigineux entre ses hanches pourtant assez menues et sa taille incroyablement resserrée.

— 38 cm, nest-ce pas magnifique petit soumis ?

— Oui Mademoiselle, cest magnifique.

— Pendant que jy pense tu porteras différent noms, comme soumis, esclave, chose, chien, bonniche. Il faudra que tu y répondes à chaque fois, et que tu saches quil sagit bien de toi, cest compris ?

— Oui Mademoiselle.

— Bien alors je vais te montrer comment mettre et enlever un corset lorsque tu maideras à mhabiller. Madame et ta Maîtresse nen portent bien sûr pas, cest bien trop contraignant. Seuls nous à leur service devons le faire.

Je me demandais si ce nous mincluait ou pas, si le résultat était superbe sur Béatrice, je ne voyais pas trop ce que cela pouvait faire sur un homme. Puis elle mapprit comment le délacer, enlever les bas et le corset, puis le remettre et le serrer de façon homogène. Une fois que jeu serré le plus fort possible, les lacets étaient très tendus, Béatrice me demanda de la serrer encore plus fort, de sorte que les bords du corset se rejoignent. Il restait encore 5 bons centimètres, et suivant ses indications, je dus mettre mon genou pour la serrer totalement. Sa respiration était courte, la tension du tissu démente, et la sensation superbe. Béatrice respirait très difficilement, jétais inquiet.

— Si je suis aussi serrée, cest de ta faute. Cest la punition que ma donné Isabelle pour les deux fautes que tu as faites. Je dois rester ainsi une heure avant quelle ne me libère. Prends ce petit cadenas, passe les dans les illets du centre et ferme-le. Isabelle a la clé. Mets-toi à genoux en mattendant, je dois aller me faire inspecter par nos deux Maîtresses.

Je suis confus, à la fois de me mettre à genoux, mais aussi dêtre responsable indirectement de cette souffrance à Béatrice. Je me suis senti vraiment proche delle pendant ces dernières heures et je suis un peu mal. Jattends alors à genoux.

Il se passe près de deux heures avant que Béatrice ne revienne, tandis que la douleur dans mes genoux est à peine soutenable. Ses cheveux sont en désordre et je comprends que les femmes ont du jouer avec elle, et sa taille ainsi incroyablement compressée. Le cadenas a été ouvert et elle me demande alors de délacer son corset. Je suis impressionné par les marques quil a laissées sur sa peau, comme si le corset était maintenant incrusté profondément en elle. A sa demande je caresse et masse doucement son dos, ses flancs ainsi que son ventre. Cest une sensation délicieuse qui ne manque provoquer un début dérection de mon sexe inutile. Je la sens sabandonner et se détendre sous mes doigts, jai très envie delle, cela me trouble car je nai jamais pensé à une autre femme que la mienne. Et surtout que Béatrice est lesbienne et sans doute ma pire ennemie dans cette maison. Elle sallonge sur le grand lit, écarte ses jambes et me prenant par les cheveux ne me laisse aucun doute sur ce quelle attend de moi. Docilement et avec un plaisir infini javance ma langue vers son sexe qui palpite et coule. Il est magnifique. Béatrice na plus de petites lèvres, son clitoris est aussi très découvert comme si son capuchon avait été retiré, et bien entendu parfaitement épilé, mais cela je men doutais. Je suis heureux davoir la barbe définitivement épilée ainsi ma peau est douce tandis que Béatrice plaque brutalement mon visage sur sa vulve, se caressant sur ma bouche et ma langue maladroite. Je suis aux anges même si je guette les instants où je vais pouvoir respirer. Elle jouit tout aussi brutalement, hurlant son plaisir, je ne peux lignorer, personne dans la maison non plus je pense. Après sêtre détendue, Béatrice sendort sous mon regard, sans que je sache quoi faire. Machinalement je range son corset, vérifie que tout est en ordre dans la maison, je la borde, et jattends à genoux à côté delle nosant faire quoi que ce soit sachant que déjà jai deux punitions à recevoir.

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