Je m’appelle Pierre. Je rentre cette année en seconde, malgré mes 18 ans (j’ai dû redoubler deux fois à cause de problèmes de santé). Je suis blond foncé, les yeux bleus, assez grand pour mon âge, 1m70. Niveau anatomie, je suis bien monté je dois dire, assez musclé, abdos tracés et une bite de 19 centimètres et plutôt large. Je ne suis plus puceau, mais mon expérience reste limitée : je ne suis pas un génie de la baise. Enfin voilà : à la rentrée, ma libido a été éveillée par deux nouvelles profs, ma nouvelle prof de français, Mme Chloé, gros seins, cheveux châtains bouclés, portant des jeans moulants son cul pas mal du tout, et Mme Baguet, ma prof de maths, blonde, les cheveux tout le temps en chignon, petits seins, arrogante, mais avec le plus énorme cul du monde, une vraie montagne, ferme, lui aussi toujours moulé dans des jeans parfois trop petits.
Je les matais toutes les deux depuis la rentrée, l’une pour ses décolletés, l’autre pour son cul, cela faisait bien 15 jours que tous les soirs, je me tapais des queues en les imaginant dans diverses situations. Le jeudi 27 septembre, j’avais Maths en dernier cours comme d’habitude, mais aujourd’hui, Mme Baguet m’a dit de me mettre au premier rang, moi qui me place toujours au fond pour mater. J’obéis, quoiquun peu gêné, et je commence par me retenir de mater, soupçonnant évidemment que la prof m’ait mis là pour vérifier quelque chose, mais bon, il y a des choses qu’on ne contrôle pas, et au bout d’une demi-heure, je me remets à loucher sur son magnifique derrière, et je me rends compte même qu’en fait, c’est presque mieux de près. J’en viendrais presque à croire qu’elle se dandine en passant devant moi ! Évidemment, c’est faux, hein, c’est la proximité qui fait ça…
La sonnerie retentit, et évidemment je n’ai rien écouté du cours, mais j’ai fait de sacrés calculs pour ce qui est des volumes de boules ! Je prends un peu plus de temps que les autres à ranger mes affaires. Tout le monde est sorti, et je me dirige à mon tour vers la sortie, quand la prof m’interpelle :
Hep, où tu vas Pierre ?
Euh, je sors. Y a un problème ?
Attends un peu s’il te plaît. J’ai quelque chose à te dire.
Bon, de toute façon, je rentre à pied, et ma mère travaille de 18 à 2 cinq jours par semaine, je ne suis pas pressé. Autant rester voir ce qu’elle va me dire non ?
Pierre, soit honnête d’accord ?
Euh d’accord, mais pourquoi ?
Tu sais pourquoi je t’ai mis au premier rang aujourd’hui non ?
Euh… J’avoue non, enfin, pour que j’écoute, j’imagine ?
Parce que j’avais des soupçons, je pensais que tu me matais. Mais maintenant, j’en suis presque sûre. Tu me mates, Pierre ?
Euh… Non, non non pas du tout, je…
Ne mens pas, je le sais…
Bon, oui, d’accord, ça m’arrive… Enfin je suis pas le seul hein !
Peu importe. Tu l’aimes tant que ça ?
Euh… Qui ?
Roh ne fait pas l’innocent. Mon cul. Tu le trouves comment ?
Euh, c’est un peu bizarre de parler de ça avec vous… Ça vous énerve pas que je vous mate ?! Vous allez pas me punir ?
Mais nooon. Mais réponds-moi s’il te plaît. Qu’est-ce que tu penses de mon cul ?
Euh… Bah il est énorme…
Pardon ?!
Non, mais je veux dire, au sens il est génial. Il est parfaitement rond, il est assez gros, et en plus, vous mettez toujours des jeans très moulants, c’est super sexy.
Bien rattrapé. Elle ne bouge pas devant les compliments. Elle s’était assise sur la table derrière elle, et avait croisé ses jambes, me regardant toujours de ses beaux yeux bleus. Elle m’excitait. Et ça se ressentait sur le haut de mon pantalon. J’espérais qu’elle ne le remarquerait pas. Voyant que je ne parlais plus, elle me relança :
C’est tout ?
Non, quand vous vous déplaciez aujourd’hui, vous m’excitiez tellement que j’avais l’impression que vous bougiez vos fesses devant moi, je fantasmais, mais ça m’excitait terriblement.
Qui te dit que tu rêvais ? Et pourquoi je n’aurais pas cherché à t’exciter ?
Parce que… Parce que vous êtes prof. Je vois pas l’intérêt que vous auriez à chauffer un élève… C’est chelou…
Est-ce que… est-ce que tu t’es déjà branlé sur moi ? M’as-tu imaginée en train de faire, à toi ou quelqu’un d’autre, des choses pas très scolaires ?
Alors là, moi, j’étais paumé. Ma prof me demandait, à moi, si je me branlais sur elle. Vraiment ? En plus, à sa tête, on aurait dit qu’elle voulait que je réponde "oui"! Et je réponds quoi moi ?! Je mens ou je dis oui ?
Oui ! Tout le temps ! Et voilà, j’ai buggé.
T’es direct toi, dis donc, dit-elle en rigolant. Raconte-moi la dernière que tu as imaginée… Si ça te gêne pas trop bien sûr.
Euh bah ça me gêne, mais tant pis. Vous vous faisiez violer par deux blacks avec des énormes queues. D’abord, vous les suciez comme une chienne, et après, ils vous ont prise dans un coin, un dans votre chatte, l’autre dans votre cul. Vous criez comme une forcenée, vous avez joui 3 fois.
Elle a frissonné, un peu de satisfaction, on aurait dit qu’elle s’y croyait.
Eh ben, ça te fait de l’effet on dirait, dit-elle en montrant du nez mon érection béante. Ça m’aurait pas gêné deux blacks, mais je me contenterais de ce que j’ai. Viens par là, sale gosse.
Hein ?! Ça y est, je ne comprends plus rien. Elle est descendue de la table et s’est rapprochée de moi.
Tu serais prêt à rendre service à une prof coquine qui s’est rien tapé depuis 4 mois ?
C-c-comment une prof coquine ? dis-je, bégayant.
Laisse-toi faire…
Elle a posé une main sur mon sexe ! OK, je suis puceau, j’ai eu une histoire, il y a pas si longtemps, mais là, c’est la prof sur laquelle je fantasme depuis un mois ! Je dégageais une main et la dirigeais vers son cul, mais elle me la prend, et la remet à sa place : "pas tout de suite, on garde le meilleur pour la fin non ?". Grrr, facile à dire. Elle s’est mise à genoux ! Elle m’ouvre ma braguette, m’enlève mon pantalon.
Wah, pas mal du tout ! T’es bien monté mon salaud ! Qu’est-ce que tu veux que je te fasse ?
Euh, je je… C’est…
Que je te suce, hein ? Ça te dirait que je te suce ?
Bah… Euh… Oui. Enfin, euh, pourquoi pas… Enfin je-
Chuuuut.
Aussitôt dit, aussitôt fait, elle commence à me sucer. Quelle salope cette prof ! Elle, la matheuse arrogante et casse-couilles, était en train de me taper une queue ! Elle prend ma bite à pleine bouche, fait des tonnes d’aller-retour, si c’est ça, rendre service à une prof, moi je veux bien l’aider tous les soirs et gratuitement hein ! Je lui appuie sa tête pour qu’elle me fasse une gorge profonde. Elle prend ma bite entièrement dans la gorge !
Madame, je vais bientôt jouir.
Déjà ?! T’es pas endurant toi !
Excusez-moi, vous sucez vraiment trop bien… Et pis là, je suis super excité, fin…
Mouaaais, bon viens là, à toi de t’occuper de moi un peu.
Elle s’est collée à moi, ma bite entre nous deux.
Vas-y, maintenant, fais ce que tu veux de moi.
Elle s’est mise bras en croix pour donner une impression de soumission. Ça peut paraître bête, bien sûr, mais alors que je fantasmais sur elle tous les soirs, maintenant que je l’avais pour moi, je ne savais plus par où commencer. Alors je l’ai prise par les hanches, écrasée contre moi, j’ai déboutonné son jean et j’ai commencé à lui peloter le cul en dessous du pantalon. Elle poussa un petit soupir de plaisir. Effectivement, ça devait faire longtemps qu’on l’avait pas touchée ! Je lui enlève son pantalon, pour enfin voir son boule sans filtres. Putain, tu m’étonnes que c’est moulant ! Ils sont petits ses pantalons ! Pfiou. Une fois enlevé, je me rends compte que cette salope porte des strings même pour aller en cours ! Je l’embrasse sur ses cuisses, puis sur son petit string, et je la retourne. Elle est debout, de dos, moi à genoux devant son cul. Il est vraiment magnifique. Je la caresse sur les cuisses, puis je remonte lentement. Elle a l’air de kiffer.
Arrivé au niveau de son cul, je le prends à pleine main, je le malaxe, l’embrasse. Elle gémit. Elle aime ça, se faire peloter par son élève ! Oh putain, à chaque caresse, son énorme cul rebondit, je ne peux plus me retenir. Je lui fous une énorme tape sur son cul. Seule réaction, elle gémit de plaisir et se penche un peu plus. C’est vraiment ma soumise ! Je fais ce que je veux d’elle, elle ne dit rien. Bon, on va accélérer. Je la penche sur une table, lui enlèves son string et découvre une chatte trempée d’excitation. Je passe une main entre ses jambes et sur son pubis : elle est parfaitement rasée, ça fait plaisir. Je lui passe le pouce dans la chatte, elle gémit un peu. Je commence à la lécher. D’abord sur les côtés, je bois toute la mouille qui a coulé autour, puis je commence à lécher sa petite chatte, à lui écarter les lèvres. Je la relève, la ramène contre moi, ma bite dressée contre sa chatte. Tout en lui malaxant les fesses, je l’embrasse, emmené par mon excitation.
Elle me rend mon baiser, nos langues s’enroulent et se déroulent. Je pourrais profiter de l’instant, me baisser seulement de quelques centimètres pour la foudroyer avec ma queue. Mais je me contrôle, par tenue ou par niaiserie, et je la prends dans mes bras pour la déposer comme une fleur sur la table. Je lui écarte les cuisses, et lui mets deux doigts dans la chatte. Je commence à faire des petits aller-retour. Son clito pointe quasi tout de suite, et ma langue va à sa rencontre. Ma prof a l’air aux anges. Elle gémit archi fort. Aucune importance, on est seuls dans l’établissement, et la femme de ménage passe au 2e à 18h30, il y a le temps. Je lui mets un troisième doigt dans la chatte et commence à accélérer. Elle crie comme une folle, et moi je continue. Au bout de cinq minutes, elle dit qu’elle va jouir. Et effectivement, elle ne tarde pas à lâcher un petit jet de mouille, puis un autre, elle hurle, elle relève la tête, me regarde, et repose la tête sur la table.
Elle a fini de jouir. Elle se relève.
Eh bien, on peut dire que t’es efficace pour un gosse ! J’ai joui comme une folle !
Elle m’embrasse, et elle remet son string et son pantalon.
Bah alors ! Reste pas planté là la gaule à l’air ! Rhabille-toi !
Euh bah on va pas…
On va pas quoi ? Baiser ? Si tu veux me faire ça, va falloir faire plus que me mater mon salaud !
C’est-à-dire ?
Bah va falloir que tu m’aides pour certaines tâches ! Si tu les fais assez bien, peut-être que j’ouvrirais ma chatte à ton gros truc. Tiens, commence par aller me chercher un café.
Je me rhabille et je pars lui chercher son café, comme un chien docile, en repensant à ce qu’elle vient de dire. Qu’est-ce qu’elle va me faire faire ? Elle aurait au moins pu me laisser jouir !
Voilà votre café.
Dans ce genre de moments, t’auras le droit de me tutoyer. Je te rappelle que tu viens de me fouiller la chatte, donc on est plus à ça près. J’imagine que tu te demandes ce que tu vas devoir faire. Tes notes en Maths sont très bonnes malgré le fait que ton regard quitte pas mon cul. T’as l’air doué. Tiens, t’as qu’à me corriger toutes ces copies pour demain.
Elle me refile un gros tas de copies, et à mon regard perplexe, elle ajoute :
C’est des copies de 6e, tu devrais pas avoir de mal. Hésite pas à saquer un peu. Ah et en plus de ça, tu me ramèneras du chocolat pour le prochain cours qu’on aura ensemble. Et du bon. Allez, c’est pas tout faut, qu’on y aille, viens.
On sort de la salle. Je la laisse passer un peu devant pour la mater, puis je la rattrape.
Je me demande si…
Oui, vas-y si tu veux.
Pardon ?
Si tu veux me mettre la main aux fesses ou dans le pantalon, vas-y.
Euh d’accord. Enfin euh merci.
Comment elle a deviné?! Enfin je ne me fais pas prier. Comme elle a dit à travers, je lui passe une dernière fois le doigt sur la raie et son anus, elle frémit, puis je la retire et lui mets la main sur le cul comme j’aurais fait pour ma meuf. On arrive à sa voiture, et je me demande si je dois l’embrasser, mais elle me lâche juste un " À plus" et rentre dans sa voiture. Je me mets sur le chemin de chez moi.