Les vacances de Noël passèrent, j’étais au ski avec mon frère et mes parents mais je n’arrivais pas à m’amuser. Rien n’arrivait à chasser le goûts des lèvres de ma prof de mon esprit.
Je me touchais chaque jour en pensant à elle, logeant quelques doigts au fond de mon vagin en essayant d’imaginer qu’il puisse s’agir des siens. Je fermais les yeux me remémorant ses petits seins enfouis dans ma bouche et ma langue jouant à leur donner du plaisir. Mais lorsque je venais à jouir de mes doigts il ne me restait plus que ces souvenirs.
Elle ne répondait ni à mes messages ni à mes appels. Le jour de la reprise des classes j’attendais avec impatience le dernier cours de la journée pour enfin la revoir. Elle était si belle dans son tailleur impeccable. Bien qu’elle évitait mon regard durant toute la durée de la classe je ne pouvais m’empêcher de la fixer, elle et son corps que je désirais tant. A la fin du cours elle me demanda de venir à son bureau. Mon rythme cardiaque accéléra.
-Pourquoi tu n’as pas répondu à mes messages ?
-Mademoiselle, si je vous ai fait venir à mon bureau c’est pour vous signaler sur mon emploi du temps ne me permet plus de vous donner des cours particuliers. Je peux toujours vous orienter vers un de mes collègues, mais à la vue de vos notes je doute que cela soit nécessaire, dit elle en ignorant totalement mes paroles.
-Bien madame, fini-je par dire.
Ses yeux se baissèrent enfin sur les miens. J’eus une folle envie de l’embrasser mais nous étions dans cette salle de classe et manifestement elle ne voulait plus
de moi. Je suis donc rentrée sagement chez moi avec la ferme attention de la faire changer d’avis.
Depuis le début de l’année Martin, un ami de la classe, essayait de me draguer. Prête à toi pour récupérer ma bien aimée je décidai d’entamer une histoire avec ce dernier pour rendre ma prof jalouse. Le plan était en marche. Lors du cours suivant alors que tout le monde attendait devant la classe, je me positionnai dans les bras de Martin et l’embrassa fougueusement pour qu’Helene nous voit directement en arrivant au cours. Mon plan fonctionna à merveille. Dès quelle nous vit, ma prof se figea et fut d’une humeur exécrable tout le long de la classe.
Plus les semaines passaient plus je poussais le jeu. Martin qui s’asseyait dorénavant au premier rang à côté de moi était parfait pour mon plan. En effet pendant les cours d’SVT il me laissait mettre la main sur la bosse de son pantalon puis directement dans son caleçon pour rendre jalouse ma prof. Elle assistait à la scène sans rien dire car elle ne voulait pas porter l’attention sur moi.
Le lundi 10 février, jour de mon anniversaire j’avais prévu le grand jeu. Martin allait lui demander si on pouvait utiliser les dix dernière minutes de cours pour célébrer mes 19ans. Je voulais absolument le célébrer avec elle, qu’elle me remarque, qu’elle me regarde. J’avais revêtu un petit ensemble bien trop dévoilant pour la saison qui j’espérais aller lui plaire. Mais lorsque le cours débuta ce n’étais pas elle mais un vieux prof qui était assis à son bureau. "Madame X ne se sentait pas bien aujourd’hui je vais faire le cours à sa place".
A la fin de la journée, n’arrivant pas à contenir ma colère et ma déception je décidai d’aller sonner chez elle.
Lorsqu’elle m’ouvrit sa porte je vis bien qu’elle n’était pas malade, ses yeux par contre étaient humides. Il semblait qu’elle avait pleuré.
-Qu’es que tu fais là ?
-Vous n’étiez pas en cours
-Je sais, dit elle froidement
-C’est mon anniversaire
-Je sais, bon anniversaire
-Pourquoi n’es tu pas venue en classe ?
-Je ne pouvais supporter de te voir aujourd’hui
-Ah oui ? Pour qu’elle raison ?
-Arrête tes bêtises avec Martin
-Embrasse moi et je ferais tout ce que tu voudras
Elle hésita puis plongea vers moi pour me donner le plus beau, le plus long des baisers.
Elle m’arracha mes vêtements avec une violence telle qu’en deux minutes j’étais allongée sur son canapé en sous vêtements. Elle m’embrassait la bouche, le cou, les seins tout en palpant mes fesses. Prisonnière de cette éteinte divine je me laissais totalement aller à mon amante.
Elle qui était toujours habillée m’embrassa et souleva délicatement mon string de sa main habille pour palper mon sexe.
-Oh Julia tu es trempée !
Oui qu’es que j’étais excitée. Et sans plus attendre elle laissa un, puis deux doigts glisser dans ma fente. Mon dieu, qu’es que c’était bon. Elle commença à me pilonner le bas ventre tout en m’embrassant follement. Je ne gémissais plus, je criais. J’aurais voulu que jamais plus ses doigts ne me quittent.
Elle se retira pour enlever sa chemise qu’elle portait sans soutien gorge. Instinctivement mon visage se plaqua sur ses seins pour les engloutir de ma langue. De mes mains libres je lui déboutonnais son pantalons et mis la main dans son boxer. Elle était tout aussi excitée que moi et sentant ce que j’avais découvert elle me dit :
-Tu vois dans quel état tu me mets !
-Je peux te faire l’amour ?
En guise de réponse elle me pris la main en me l’enfonça dans son vagin.
J’étais enfin en elle, dans cette antre parfaite et dégoulinante de plaisir.
-J’ai envie de te goûter, lui dis-je
Encore une fois elle ne répondit rien et se contenta de me plaquer le visage son son sexe trempé. Elle sentais merveilleusement bon, son clitoris érigé comme un totem se dressait au milieu d’une légère touffe de poil. Je le pris dans ma bouche et commença à le caresser à l’aide de ma langue. Plus ses gémissements s’intensifiaient plus je la léchais, la suçait avec fouge.
Avant que je la fasse parvenir à l’orgasme elle m’arrêta et m’installa sur le dos. Elle pris à son tour mon bouton d’or dans sa bouche et commença à me baiser à nouveau de ses doigts. Son va et vient était de plus en plus vigoureux, sa langue exécutait des mouvements parfaits sur mon sexe. Jamais je n’avais senti autant de plaisir. Alors qu’elle ajoutait un quatrième doigt dans mon vagin au sommet de sa lubrification, un râle de plaisir envahit mon corps entier. Cette vague de bonheur me fit hurler plusieurs secondes et dans une ultime jouissance je criai "aahh je t’aime".
Alors que mon esprit se remettait à peine du plus belle orgasme de ma vie jusqu’à lors, elle me pris dans ses bras et m’embrassa se sa bouche pleine de mon foutre.
La suite au prochain chapitre.