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Cheat-Code – Chapitre 1




Ma vie n’était qu’une succession de poisses avant qu’une chance inouïe me tombe violemment sur le coin du pif. À croire que mes parents m’avaient conçu à partir de chats noirs, de bouts de miroirs brisés et de sang de gitans en colère, le tout au-dessus d’un vieux cimetière indien.

Ma vie amoureuse était à l’avenant et j’enchaînais plus d’échecs qu’un cul-de-jatte amateur de courses en sac. La dernière déception en date illuminait douloureusement l’écran de mon téléphone alors que je courais dans les couloirs du métro pour tenter d’arriver à l’heure au taf.

Hier soir était une erreur. Je ne veux pas risquer de perdre notre amitié. Jennifer.

Je soupirai pour la vingt-cinquième fois de la matinée, le crâne encore cotonneux d’une cuite. Et n’allez pas vous imaginer des trucs grandioses. L’erreur en question n’était qu’un malheureux baiser saveur vomi entre deux amis d’enfance ronds comme des queues de pelle. J’avais passé la nuit à tenter de consoler Jennifer. Elle m’avait appelé hier soir en pleurs suite à sa troisième rupture avec son petit-ami. Ou la quatrième ? J’avais arrêté de compter. Lubrifiées par l’alcool, les choses avaient dégénéré. En bien pour ma part ! Bon, je ne me faisais guère d’illusions, comme à chaque fois, elle se rabibocherait pas plus tard qu’à la fin de la journée avec le prénommé Derreck. Probablement à grands coups de langue. Putain de Derreck ! Sa gueule d’ange réchauffait le cur des femmes et ma jalousie.

Hé, tu peux pas faire gaffe, tocard !

La voix grinçante comme une scie m’arracha à mes chouanneries intérieures. Ça et le coup à l’épaule que je venais de donner par inadvertance à une baraque ont l’air aussi aimables qu’un croc de boucher. Il plaquait un clodo contre un mur, ses grosses pognes agrippées au tas de trous qui servaient d’habits aux malheureux. Il le secouait comme on secoue un pommier, ce qui, au vu de sa touffe de cheveux sales, revenait à tenter de récolter des poux. Le pauvre bougre m’adressa un regard désespéré par-dessous une paire de sourcils broussailleux.

Euh… mais, qu’est-ce que vous faites ? demandais-je héroïquement.

Aujourd’hui encore, je ne sais toujours pas ce qui m’a pris. La marche à suivre pour ne pas finir avec quelques centimètres d’acier dans l’intestin grêle est pourtant facile à retenir. Elle se compose de trois étapes fort simples. Un, regarder le bout de ses pieds. Deux, bafouiller « pardon mon brave, désolé de vous avoir dérangé au beau milieu de votre agression » et surtout, trois, se carapater vite fait sans un regard en arrière.

Je tentais de rattraper le coup en gardant la bouche grande ouverte quelques secondes dans l’espoir que mes mots regagneraient gentiment ma gorge d’où ils n’auraient jamais dû sortir.

De quoi elle se mêle la tronche de geek ? ricana une jeune femme dans le dos du gentleman agresseur.

En toute autre circonstance, j’aurai probablement pris le temps d’apprécier la plastique avantageuse de la demoiselle brune qui me toisait, un délicieux sourire cruel aux lèvres. Malheureusement, le poing de son pote baraqué me cueillit dans le bide et gâcha mes velléités admiratives. Un second coup, directement sous le menton cette fois, fit valser mes lunettes dans un bruit de verre brisé. Jeus le temps de voir plusieurs galaxies d’étoiles avant de tomber à la renverse.

Alors que je gisais courageusement au sol, la demoiselle se pencha au-dessus de moi, sans doute pour me réconforter en m’offrant la vue de ses tatouages et de son débardeur à l’effigie de je ne sais qu’elle groupe de death metal que son imposante poitrine étirait délicieusement. Le fait que je la remarque en dépit de mon absence de lunettes était tout à son honneur. Hélas, cela ne suffit pas à détourner mon attention du coup de savate dans les reins qu’elle m’envoya. Puis un autre, et encore un autre. Son camarade l’accompagna avec encore moins de délicatesse pour mes côtes. Perclus de douleurs, la mâchoire serrée, j’appliquais alors la fameuse technique de combat dite de « je fous mes bras devant le visage et je serre les fesses le temps que ça passe », sans grand succès.

Il a eu son compte, lâcha-t-elle de très longues secondes plus tard. Viens, ça bouge, on se casse.

Après un dernier coup de latte d’adieu, la demoiselle et son compère se carapatèrent. Comme le voulait la grande tradition urbaine, strictement aucun badaud ne s’était arrêté pour voler à mon secours. Tout au plus, récoltais-je les grognements de quelques mécontents indisposés par le fait de devoir effectuer un détour pour ne pas salir leurs chaussures avec ma face.

Je me redressais, mes boyaux calés entre les molaires et avec la curieuse impression d’avoir la tête plus lourde que le corps. Tout se mélangeait autour de moi dans un flou jaune-marron qui n’avait d’artistique que le nom. Merde de chiotte de cul de crotte. Mes lunettes ! C’est pas vrai ! Elles ne devaient pas avoir volé bien loin. Je retrouvais aussitôt le sol que je tâtais avec autant de fébrilité que le corps d’une amante plantureuse. Du moins, je pense que c’est ce que je ferais dans ce genre de situation, n’ayant encore pas pu confronter cette théorie à la réalité.

C’est ça qu’tu cherches gamin ?

Les doux effluves d’un parfum me saisirent les narines. Du caca n°5, de toute évidence. Au creux d’une pogne tremblante se tenaient mes lunettes, presque intactes, à l’exception d’une large rayure sur le verre gauche. Je les remis sur mon nez et le regrettais aussitôt. Le clodo me souriait de toute son absence de dents en ultra-haute définition.

Merci d’m’avoir aidé gamin, dit-il tout en lissant l’avant des guenilles qui lui servait de vêtement. C’est courageux d’ta part. Sans toi, j’sais pas ce qui me serait arrivé.

Je balbutiais un « j’y suis pas pour grand-chose » héroïque qui prit la forme de « pgranchoze » une fois sortie de ma bouche endolorie. Je me rassurais en me disant qu’au moins, j’avais une excuse toute trouvée pour débarquer en retard au boulot et expliquer ma gueule de déterrée.

Ils vous voulaient quoi ? fini-je par demander entre deux halètements.

Comme à chaque fois, me piquer mes sous. Ils passent de temps en temps. (Un gloussement de dinde le secoua.) Pas de chance pour eux, j’avais déjà tout planqué.

Ne sachant trop quoi répondre, je lui adressais un sourire mal assuré et, une fois mon souffle et mes esprits retrouvés, lui fit mes adieux.

Avec une heure de retard, j’arrivais en clopinant à l’entrée des locaux de l’assurance Van Himton où je travaillais comme expert-comptable junior nom bien pompeux pour désigner un stagiaire glorifié. Tout au fond du grand hall, derrière un large bureau en U, Sandra la chargée d’accueil ne prit même pas la peine de relever la tête de derrière son écran lorsque je débarquais le souffle court. Dommage. Un beau visage aurait été parfait pour laver de ma mémoire celui de l’aimable clochard. Bon, ce nétait pas une grosse surprise. J’étais à peu près sûr que la jolie employée ne connaissait pas mon nom, et encore moins mon existence, même après trois mois à lui passer sous le nez tous les jours. J’avais bien tenté à plusieurs reprises d’attirer son attention en parlant très fort au pied de son bureau, sans succès. Pas ma plus grande idée de drague, il faut dire, mais on fait ce qu’on peut avec le manque de talent qu’on a.

En passant, je tentais d’apercevoir un peu de sa plastique qu’un ensemble chemisier/tailleur mettait toujours savamment en valeur. C’est là que je le remarquais un énorme détail.

Un cur flottait au-dessus de sa tête !

Et pas n’importe quel cur. Il se balançait de haut en bas, comme soumis à une gîte invincible, et me fit aussitôt penser à une icône de jeu vidéo. Détouré de rouge, son centre était complètement noir. Vide.

Pendant un cours instant, je tentais d’imaginer quel artifice rendait cela possible. Peut-être était-ce un drone ? Sans hélice, ça paraissait mal barré. Un fil de pêche invisible peut-être ? Possible, mais pourquoi ? Sandra se lançait dans un cosplay expérimental ? Elle semblait pourtant bien stricte pour ce genre de délire.

Je me décalais pour mieux voir et le cur suivit le mouvement pour rester parfaitement perpendiculaire à mon regard. Je tournais encore un peu, et rebelote.

Qu’est-ce que c’est que ce bordel, lâchais-je.

La jolie hôtesse releva la tête pour me gratifier d’un regard aussi noir que si je venais de couler un bronze sur son bureau.

J’ai quelque chose sur le visage ? demanda-t-elle alors que j’écarquillais les yeux à les laisser tomber de mes orbites.

Euh… non, c’est juste que… vous ne voyez pas ?

Je désignais le dessus de sa tête d’un doigt tremblant. Sandra fronça les sourcils en se demandant quelle blague je préparais, mais la curiosité l’emporta et elle leva les yeux pour suivre ce que je lui indiquais.

Et je suis censé voir quoi ? demanda-t-elle après plusieurs contorsions de son cou gracile. Écoutez, si c’est pour vous payer ma tête, j’ai mieux à faire.

Je continuais à la fixer avec l’air étonné d’une poule devant un caillou rond. Comment faisait-elle pour ne pas remarquer ce machin qui flottait, énorme, à une dizaine de centimètres de ses cheveux ?

J’approchais encore un peu et je manquais de tomber à la renverse pour la deuxième fois de la journée. À côté du cur, un bout de texte venait d’apparaître, flottant tout autant dans le vide : « Séduction Mode – Activé ».

Vous commencez à me faire peur, dit-elle avec une moue inquiète. D’ailleurs, qu’est-ce qui vous est arrivé ? Votre visage.

Je l’écoutais à peine, fasciné par le texte magique. Mon cerveau ne cherchait même plus à faire sens de ce que je voyais. Mes deux agresseurs devaient m’avoir drôlement cogné le ciboulot tout à l’heure pour me faire halluciner des trucs pareils. Le texte finit par disparaître, remplacé par trois phrases, placées l’une au-dessus de l’autre, entre le cur et le charmant visage de la demoiselle qui semblait peser le pour et le contre entre me poivrer la face en criant au secours et fuir.

A C’est rien, je me suis juste battu sur le chemin. (+5)

B J’ai trébuché sur la route, mais tout va bien. Un suppositoire, au lit, et on en parle plus. (-2)

C Mêle-toi de ce qui te regarde. (-10)

Qu’est-ce que ?!

C’est rien, je me suis juste battu sur le chemin, dis-je d’une voix monocorde, trop obnibulé par le texte flottant pour même jeter un regard à l’hôtesse.

Je ne sais pas encore ce qui m’a poussé à prononcer la phrase à voix haute. Peut-être qu’incrédule, je voulais donner une sorte de réalité à ce que je voyais. Toujours est-il que la phrase marquée « A » se surligna en vert et le cur vide au-dessus de la jeune femme se remplit imperceptiblement de rouge, comme une carafe dans laquelle on venait de verser de la grenadine.

Oh, je vois, dit Sandra, son expression inquiète légèrement adoucie. Ça a dû être sacrément violent, vous êtes bien amoché.

Une nouvelle série de texte apparut dès qu’elle referma la bouche :

A J’ai connu pire. (+5)

B Tu devrais voir l’autre gars. (+12)

C Mince, c’est vrai ? Ça doit me faire une belle tronche d’accident de la route. Enfin plus que d’habitude je veux dire. (-10)

Je ne suis peut-être pas la flèche la plus affûtée du carquois, mais la logique de ce qui se déroulait n’avait rien de sorcier. Si je suivais les réponses positives, le cur se remplissait. J’imagine que l’inverse se produirait avec les réponses négatives. En me guidant avec les indications entre parenthèses, je n’avais aucune raison de me planter. Je ne savais pas précisément où tout cela allait me mener exactement, du moins j’avais quelques suppositions que j’appelais de tous mes vux, mais il n’y avait qu’une seule façon de m’en assurer.

Tu devrais voir l’autre gars, dis-je.

Le cur se remplit encore un peu pendant qu’elle me fixait de ses yeux bleus lagon. La phrase, pourtant outrageusement cliché me valut même un petit rire élégant, doux, chaud, qui éveilla les papillons de mon bas-ventre.

Et tu… hum… vous vous battez souvent comme ça ? murmura-t-elle.

A Tout le temps. (-5)

B Uniquement avec les petits cancéreux, je déteste le risque. (-10)

C Quand la cause en vaut la peine. (+15)

Encore un choix évident !

Quand la cause en vaut la peine, dis-je.

De plus en plus assuré, j’avais tenté ma plus belle voix de séducteur, soit Gollum avec deux octaves de moins. Après tout, la façon dont je délivrais les phrases suggérées ne semblait avoir guère d’importance, alors pourquoi ne pas m’amuser un peu ?

Une fois de plus, je m’émerveillais des effets de ce choix de mots. Le fait que ce soit parfaitement niais ne gênait pas ma séduisante interlocutrice, bien au contraire. Sans y prêter attention, Sandra avait fait glisser le capuchon de son stylo entre ses lèvres brillantes de gloss. Je m’imaginais aussitôt y glisser autre chose. Ma bite, pour ceux que la subtilité indispose.

J’enchaînais ainsi plusieurs réponses bateaux qui contribuaient à bâtir ma légende de combattant de la rue volant à la rescousse de la veuve et de l’orphelin. Comme anticipé, le cur se remplissait au rythme des réponses positives, et plus le niveau montait, plus les réactions de la belle hôtesse d’accueil m’enchantaient.

Elle riait à la moindre de mes remarques, faisait passer mainte et mainte fois ses longues boucles blondes derrière ses oreilles. Son souffle s’accélérait et elle se tenait de plus en plus penchée au-dessus de son bureau, presque aimantée par ma présence. Ses bras comprimaient sa poitrine comme pour m’en faire l’obole. En grand gentleman, je faisais mon possible pour ne pas lui reluquer le décolleté de façon trop appuyée. Manuvre rendue particulièrement compliquée par le fait que je remarquais les protubérances de plus en plus nettes de ses tétons à travers son chemisier bleu clair. En temps normal, je me serais probablement mangé une ou deux tartes aux doigts pour mon insistance, mais le temps n’avait strictement rien de normal.

D’ailleurs, je n’étais même pas encore tout à fait sûr que tout cela n’était pas en train de se passer dans un de mes rêves humides. Moi et mon charisme d’huître, intéresser une fille pareille ? Je le sentais, j’allais me réveiller d’un instant à l’autre dans un caniveau je ne sais où, uniquement entouré par les regrets et du vomi. Pourtant, après m’être pincé plusieurs fois, méthode scientifique reconnue de sortie d’hallucination, le sourire de Sandra était toujours là. Le cur aussi, presque entièrement rempli.

Pour être aussi fort, tu dois avoir un sacré physique d’athlète, susurra la belle hôtesse. J’aimerais beaucoup l’examiner de plus près.

A Ça dépend, est-ce que les crevettes ont des abdos ? (-15)

B Ça peut s’arranger. (MAX)

C Tu peux pas m’examiner le slip plutôt ? (-5)

Whoâ. MAX ! Faites que ça fasse ce que je pense ! Faites que ça fasse ce que je pense !

Ca peut s’arranger, dis-je en retenant de justesse un ridicule "bébé", dès fois que dévier du "script" casse quelque chose.

Le cur brilla comme un rubis et mes yeux aussi.

Je ne suis pas croyant, mais il y a des moments comme ça où je me sens de remercier des panthéons entiers. L’instant qui suivit fut un de ceux-là :

Niveau 2 : Sexe Mode – Activé.

Oh !

Yeah !

Avant même que j’aie le temps de réaliser, la porte des toilettes des femmes claquait derrière moi. La sublime hôtesse d’accueil m’y traînait sans ménagement et je faisais mon possible pour ne pas avoir l’air totalement ahuri. Je ne sais pas ce qui m’émerveillait le plus, le fait qu’une femme normalement totalement hors de ma portée mourait d’envie d’abuser de mon corps de crevette, ou la nouvelle interface qui l’accompagnait ?

Une longue jauge verticale rose, sorte de thermomètre pour fans de Barbie, remplaçait le cur flottant. Un liquide tout aussi rose la remplissait à hauteur de 10%. D’autres jauges plus petites m’indiquaient des pourcentages à n’en plus finir. Je notais à la volée des informations comme « Excitation – 75% », « Frustration 91% » au milieu d’une ribambelle de chiffres qui défilaient en rapide succession. Pour ne rien arranger, un gloubiboulga de graphiques camembert et autres courbes cherchaient à m’informer des diverses attirances sexuelles et fétiches de Sandra. L’ensemble ressemblait tellement à un croisement contre nature entre un vomi de tableur Excel et une diarrhée de calculatrice que je peinais à y donner un sens. Le fait qu’à ce moment-là, la majorité de mon intellect se trouvait dans mon slip n’arrangeait rien.

Je poussais un glapissement des plus virils lorsque Sandra me projeta dans une des stalles. L’arrière de mes genoux cogna contre la céramique des toilettes et je tombais fesses les premières sur la lunette. Elle referma le battant de son plantureux postérieur moulé à la perfection par sa jupe de tailleur. Lorsqu’elle s’accroupit pour s’attaquer à ma fermeture éclair, un large sourire carnassier lui étirait les lèvres.

Mon sang se mit à circuler plus vite. Placée ainsi entre mes cuisses, toute proche, je pouvais sentir l’odeur vanillée de sa peau. Au travers des boutons tendus de sa chemisette, j’apercevais des bribes de la chair laiteuse de ses seins et des éclats rouges de son soutien-gorge. Bon sang ! Il faudrait ajouter deux trois clauses de la convention de Genève pour interdire d’être aussi sexy ! Bien trop dangereux pour le cur.

Oh ! dit-elle, interrompant ma contemplation de ses merveilles mammaires.

Elle avait déboutonné mon pantalon, ouvert ma braguette et baissé mon slip avec une précision si redoutable que je l’avais à peine remarqué. Elle en observait le contenu avec une moue mi-déçue, mi-fâchée et re mi-déçue derrière.

J’aurais aimé dire que mon sexe était plus turgescent que la plus turgescente de tes copines, mais l’enflure était aussi fiable qu’un parkinsonien avec une collection de porcelaine de Chine. C’est bien simple, quand je veux, il ne veut pas, mais quand je ne veux pas, là, Monsieur est plus au garde-à-vous qu’un régiment de bidasses. Ceux qui ont connu les affres de la piscine en slip de bain trop moulant au milieu de filles sexy partageront ma souffrance ! À croire qu’il se vengeait de toutes les fois où je l’étrangle avec ma main pour… enfin vous voyez quoi.

À la vue de ce spectacle mollasson, la jauge remplie de liquide rose se vida presque entièrement. Elle clignota deux fois, en rouge. Ça ne pouvait pas être bon signe ! Bordel de chiotte. Quel gros débile est incapable de bander avec une beauté pareille à ses pieds ? Un tel niveau de lose tenait de la science-fiction. D’ailleurs, à ce propos, les saletés de chiffres et jauges qui continuaient de défiler en mode Matrix me saturaient toujours plus le cerveau. C’était trop demandé de pouvoir se concentrer un peu ?!

Comme si elle avait lu dans mes pensées, l’interface autour de la belle hôtesse disparue quasi complètement pour ne laisser que la grande jauge rose. Un texte clignota un instant : « Mode Débutant Activé »

Oh, oui, débutant ! Parfait ! Pile mon niveau. Un nouveau message prit la place de l’ancien : « Respirer. Se détendre.».

OK. Super. Me détendre alors que tout ce que je voulais c’était d’être tendu, super logique ! Mais ne sachant quoi faire de mieux, je m’accrochais tout de même à ce conseil et tentai de regagner un semblant de contrôle sur mon souffle. Pour me compliquer la tâche, Sandra me fixait de ses superbes yeux en amande, l’air un peu triste.

Ça arrive, dit-elle, t’en fais pas. (Elle lâcha un petit rire cristallin plus joyeux que moqueur.) Bon, rarement à moi, mais je connais quelque chose qui marche toujours.

Sans me quitter du regard, elle entreprit de déboutonner sa chemisette. Le vêtement glissa le long de ses bras pour dévoiler la lingerie que je n’avais fait que deviner. Le liseré de dentelle rouge mordait dans son ample poitrine. Je mourrais d’envie d’en faire autant, sans l’oser. Ce spectacle me rendit incapable d’avaler ma salive. Elle dut remarquer mon désir puisque son sourire s’élargit. D’une main experte, elle dégrafa l’attache de son soutien-gorge et, alors qu’il allait tomber et révéler sa nudité, elle cacha ses lourds seins de l’autre bras dans un geste de fausse pudeur incroyablement excitant.

Tu es bien comme tous les mecs, dit-elle sans se départir de son sourire. Tu crois que je n’avais pas remarqué que tu les reluquais dès que tu passais près de mon bureau ? Tu en rêves n’est-ce pas ?

Autant pour ma discrétion légendaire.

Acquiescer.

L’injonction de l’interface me tira de ma paralysante excitation. J’obéis et hochai frénétiquement la tête. La belle relâcha aussitôt l’étau de son bras.

Si je n’étais pas déjà en apnée, j’aurais probablement gémi. Les imaginer c’était une chose, les contempler dans toute leur réalité, une autre complètement. Je n’avais jamais vu de seins comme ceux-là, du moins ailleurs que sur des sites pas très catholiques et je ne parle pas de www. lire-la-torah-en-ligne. com et certainement jamais en chair et en chair. Très ronds, parfaitement centrés, ils auraient pu intéresser la science tellement ils défiaient la gravité malgré leur poids évident. Je ne sais pas pourquoi, mais le mot gourmand me vint à l’esprit. Probablement la faute à ses longs tétons bruns plantés au centre de petites aréoles qui ressemblaient à des tartelettes ne demandant qu’à être dégustées.

Tu m’as fait peur, dit-elle en fixant mon entrejambe, mais mes armes fatales fonctionnent encore on dirait.

Ma verge se tendait de toute sa gloire vers le plafond des toilettes. Une gloire à peine dans la moyenne, certes, mais gloire tout de même. Sandra l’observait comme la 8e merveille du monde, ses lèvres humides entrouvertes. Quelques gouttes de liquide rose remplirent la jauge au-dessus de sa tête. J’étais sur le bon chemin et je contenais à grande peine mon excitation.

Toucher seins.

Même un anarchiste n’oserait se rebeller face à un tel ordre. Je posais mes mains tremblantes sur la poitrine offerte. La belle hôtesse choisit ce moment pour enserrer mon sexe dans sa poigne et le caresser en longs mouvements déliés qui m’arrachèrent des petits cris de pucelle. Je tâchais de détourner mon attention de la montée pressante de mon orgasme en palpant ses seins de plus belle. Cela ne résolvait pas grand-chose, mais qu’importe. Je parcourais tout leur galbe. J’osais à peine toucher ses tétons, me contenant d’admirer la façon qu’ils avaient de darder entre mes doigts.

Plus fort.

OK, OK. Autant pour la tendresse ! Cela dit, je mentirais en disant que je n’en mourrais pas d’envie. Me voir accorder une forme de permission apaisait ma peur de mal faire.

Je comprimais fortement ses deux seins dans mes mains trop petites pour les y contenir. Leur douce chair s’échappait de mes doigts. J’attrapais entre mes pouces et index ses longs tétons. Je les pinçais, les étirait. Ils se gorgeaient de désir sous mes tortures. Cela déclenchait chez Sandra de profonds soupirs qui m’excitaient encore plus que la douceur de ses paumes contre ma verge.

La jauge se remplit à nouveau, un peu plus cette fois.

Après quelques délicieuses minutes de pelotage intensif, la belle hôtesse lâcha mon sexe et repoussa mes mains. Je la laissais faire, un peu triste de ne plus pouvoir martyriser sa sublime poitrine. Ma déception s’envola dès qu’elle enveloppa mon membre tendu entre ses seins. De ses mains fines et parfaitement manucurées, elle les maintenait pressés en un étau délicieux, leur chaleur répandue sur toute ma longueur. La lubricité de son regard manqua de m’achever. Je lâchai un long gémissement sans me soucier du fait que quelqu’un pouvait entrer dans les toilettes à tout moment.

À vrai dire, cette idée m’excitait de plus en plus. Je voulais que le monde entier sache ce que j’étais en train de vivre avec la plantureuse blonde que tout le bureau rêvait de se taper. Que tous sachent que je glissais mon sexe entre ses seins et que mon gland pointait sa tête au sommet du décolleté à chacun de ses mouvements. Qu’ils sachent à quel point ses habiles caresses m’envoyaient des décharges d’un plaisir que je n’avais jamais connu. Qu’ils sachent… je gémis encore plus et retins mon orgasme à la seule force d’une volonté que je ne me connaissais pas.

Comme si Sandra soupçonnait mon supplice, elle amplifia ses mouvements. Elle descendait toujours plus bas, son visage de plus en plus proche. Mes pulsations sanguines battaient la mesure à mes tempes. Je pouvais sentir son souffle caresser mon gland. Lorsque ses lèvres s’y posèrent enfin, comme dans un langoureux baiser humide, je trébuchai tête la première au-dessus du point de non-retour.

Je… je… je… bafouillai-je sans vraiment savoir ce que je cherchais à dire.

Sandra devait parler couramment le débile vu qu’elle comprit aussitôt ce qu’il se passait. Elle fit glisser très lentement sa poitrine une dernière fois contre ma verge, ses mains pressées toujours plus fort et j’explosais en longs filets, sur son visage, son cou, sa poitrine. Je crus ne jamais finir, mais la belle hôtesse maintint ses lents mouvements jusqu’au bout, comme une succube cherchant à drainer ma force vitale.

Elle me lança un sourire en coin tout à fait salace et entreprit de lécher le sperme qui s’était aventuré trop près de sa bouche. La voir ainsi se délecter de moi-même ne faisait que la rendre encore plus belle. Les moins poètes diraient même qu’elle était carrément bonne. Oh purée de purée ! Mon sourire de béatitude niaise devait être visible depuis l’espace. Pour une première fois, ça tenait tout à la fois du rêve et du porno. J’avais dû tomber dans un autre monde façon histoire sans fin, sauf qu’au lieu d’un bouquin, c’était une vidéo YouPorn.

Un rapide coup d’il à la jauge désormais rempli au tiers – m’indiqua qu’elle avait apprécié le délicieux cadeau qu’elle venait de me faire. Probablement pas autant que moi, mais tout de même.

Poser question embarrassante.

Euh. Quoi ? Tiré brutalement de ma langueur, je bafouillais le premier truc qui me vint :

Tu as déjà fait ça ?

Sandra me fusilla du regard ; un éclair de honte flamboya un instant derrière ses yeux clairs et je m’en voulus aussitôt. Elle ne dit rien et pinça ses lèvres encore luisantes de mon sperme. Pourtant, la jauge se remplit à nouveau, indiquant qu’elle y tirait un certain plaisir. Intéressant.

Insister.

Oh bon sang ! Ma timidité me fit hésiter, mais, jusqu’à présent, les conseils avaient porté leurs fruits, alors je repoussais mes doutes.

Je suis sérieux, ça t’arrive souvent de… euh… d’utiliser tes seins comme ça et de… euh…

Me prendre une faciale ? lâcha l’hôtesse comme on lâche une gifle. Ou me taper un quasi-inconnu dans les chiottes du boulot ?

Les… deux ?

Si ses yeux avaient été des couteaux, j’aurais subi une décapitation à faire vomir un médecin légiste. Avant que je me confonde en plates excuses, elle ouvrit la bouche :

Jamais avec un inconnu et… je n’avais encore jamais laissé personne finir sur mon visage, ça fait trop porno. Mais, avec toi, je ne sais pas, te voir si excité… j’en avais très envie. C’est très étrange.

Cet aveu, encore plus que son superbe visage dont les teintes claires de mon sperme atténuaient le rougissement des joues, me fit redécoller violemment. Elle le remarqua aussitôt.

Faudrait pas que ce soit toujours les mêmes qui s’amusent. (Un sourire triomphant illuminait son visage.) À mon tour !

Elle se releva, attrapa les rebords de son tailleur et dandina des hanches. Elle souleva le tissu très serré par-dessus son voluptueux postérieur jusqu’au sommet du V de ses cuisses galbées. Un collant noir gâchait quelque peu la vue.

Le déchirer.

Désormais bien conscient de la pertinence des conseils, j’attrapai sans hésiter le vêtement au niveau de son pubis et tirai aussi fort que possible. Le bas s’effila avant de se fendre d’un coup.

Oh, impatient, susurra-t-elle sensuellement. J’aime.

J’agrandis l’ouverture jusqu’à dévoiler un string rouge assorti à son soutien-gorge. Je fis glisser de côté le pan de tissus pour dévoiler le sexe dissimulé. J’en admirais la fente qui remontait très haut. Elle avait de grandes lèvres ourlées de rose qui s’entrouvraient sur des petites lèvres qui dépassaient timidement. Sa vulve était nue, rasée de près à l’exception d’un léger ticket de métro aussi blond que ses longs cheveux. Je n’ai pas honte de le dire, enfin si un peu, mais ce sexe offert m’intimidait.

Lécher.

L’injonction de l’interface me fit l’effet d’une tarte faisant voler en éclat mon appréhension. Mes mains agrippées à ses fesses charnues, je plaquais mon visage directement contre la fente qui s’ouvrit largement sous mes coups de langue. Je la goûtais comme on goûte un bon vin. J’explorais chaque repli, chaque forme avant de remonter doucement vers le clitoris engorgé. Si mes vagues souvenirs d’anatomie féminine ne me faisaient pas défaut, il s’agissait du nerf de la guerre.

Après quelques coups de langue maladroits, elle agrippa mes cheveux pour me guider. Pas franchement certain d’être capable de réussir cet examen oral sans aide, je la laissais faire. Et puis, me sentir utilisé comme un sex-toy avait quelque chose de grisant. Sous sa ferme tutelle, j’appris son rythme, à quel endroit passer ma langue et comment. Très vite, ses gémissements emplirent les toilettes encore plus puissamment que moi il y a peu.

Et c’est cet instant que choisit la porte des toilettes des femmes pour s’ouvrir dans un long grincement de film d’horreur !

Je sentis Sandra tressaillir. Ses halètements se turent d’un coup, mais elle ne me lâcha pas. Seuls ses tremblements contre ma bouche indiquaient que ma langue faisait toujours son effet.

Tout va bien ? demanda une femme de l’autre côté du battant de notre stalle.

Contrairement à la belle hôtesse, je me fichais que tout le monde apprenne ce que nous faisions. Être regardé avec des sourires en coin valait bien mieux qu’être ignoré. Je me plaquais donc encore plus fermement contre la perle à l’orée des grandes lèvres. Bien décidé à obtenir une réaction, je dardais profondément ma langue dans son sexe. Elle tressaillit. Un texte clignotant en périphérie de ma vision accrocha mon regard. « Moins fort. Garder rythme constant. ». Je remerciais intérieurement mon ange gardien du cul et refrénait mes ardeurs. À vouloir trop en faire, j’avais couru le risque de tout foirer.

Je fis glisser doucement ma langue sur le bouton palpitant à l’orée du sexe de Sandra en une série de doux va-et-vient. Elle tira fermement sur mes cheveux pour m’arrêter, probablement terrifiée à l’idée d’être entendue, mais la douleur que cela provoquait ne fit qu’aviver ma détermination. Mes lèvres plaquées dans sa vulve, j’attaquais son clitoris encore et encore. Très vite, elle fut incapable de retenir sa respiration saccadée.

Oh putain ! Oui ! Oui ! hurla-t-elle. Là, juste là putain. T’arrête surtout pas !

Oh… je… euh… désolé… balbutia l’intruse. Je pensais que quelqu’un était malade… et je…

L’humidité de l’excitation de la belle hôtesse me noyait à moitié. Loin de me dissuader, je poussais son plaisir toujours plus loin. Après tout, quitte à attraper un décès, autant que ce soit entre des cuisses aussi douces.

Comme un coup de grâce, je léchais une dernière fois le clitoris offert et je la sentis se tendre violemment. Elle m’écrasa le visage contre sa vulve. Je n’eus même pas besoin d’être guidé par l’interface pour comprendre le message : t’as pas intérêt à me lâcher maintenant !

Oh… putain… oui oui OUI !! hurla-t-elle à pleins poumons.

La porte des toilettes se referma d’un violent claquement comme pour ponctuer l’extase de Sandra. Elle me relâcha. Ses joues cramoisies sublimaient sa sensualité.

Quelle conne, lâcha-t-elle une fois son souffle retrouvé.

La pointe d’angoisse dans son regard doucha un peu le plaisir que je tirais à l’idée d’être au cur des discussions salaces. J’avais joué au con en ne pensant qu’à ma pomme.

Désolé, dis-je penaud. Je n’aurais pas dû insister.

Vu les gémissements que je poussais avant, tu crois sincèrement que la fouille-merde s’inquiétait pour ma santé ?

Pas faux.

J’observais la jauge au-dessus de sa tête. Elle venait d’atteindre les 75%. Je me surpris à trouver cela presque décevant. J’avais tout donné dans mon premier cunni, j’espérais atteindre le jackpot du premier coup ! Cela dit, j’aimais aussi beaucoup l’implication de ces 25% manquant. Je n’avais pour ma part pas encore eu mon saoul de ce corps taillé pour le cul. C’est donc presque avec soulagement que je vis apparaître : « Pénétrer », suivi de « Position recommandée : Levrette ».

Non ! dit-elle simplement alors que je lui saisissais les hanches.

La jauge se vida légèrement. Doucement, elle retira mes mains que je tenais crochées dans ses fesses charnues comme une bernicle à son caillou.

Désolée, dit-elle. C’est juste que…

Des larmes troublèrent les eaux paisibles de son regard bleu lagon, et, en dépit du texte « Position recommandée : Levrette » qui continuait de narguer mon puissant désir, je me contentais d’enlacer Sandra. Elle se pelotonna contre mon torse. Son souffle rapide caressait le creux de ma nuque. Putain que c’était bon, au moins autant sinon plus que le sexe lui-même.

Deux mots clignotèrent tristement : « Abandon Mission ».

On n’aurait pas dû, murmura-t-elle.

C’était vraiment si nul ?

Non, c’est juste que je nous donne pas avant la fin de l’après-midi pour que tout le bureau soit au courant.

Et c’est si gênant que ça ?

Elle tendit le bras devant elle, paume vers l’extérieur et doigts écartés. Je remarquais alors un détail qui m’avait échappé : une fine bague en argent ornait son index.

Si mon fiancé l’apprend, oui. Je ne parle pas souvent de lui au boulot, mais…

Merde ! Cette confession sur l’oreiller, enfin sur les chiottes, me prit de court. Je n’imaginais aucun cas de figure où son mec ne finirait pas par avoir vent de ce que l’on venait de faire le bureau étant un incroyable repère à ragots qui adorait se mêler de la vie des uns et des autres. Et qui dit fiancé en colère, dit face en sang. Après ma dérouillée du matin, je me passerais bien d’avoir le portrait refait façon Elephant Man, merci.

Merde, dis-je. Qu’est-ce qu’il se passera s’il l’apprend ?

Sincèrement, je ne sais pas. Il est très jaloux et… mais t’inquiète pas, je vais gérer ça.

Aussi rassurante qu’un tortionnaire qui dit que ça ne fera presque pas mal… Elle dut remarquer ma tête de chien battu puisqu’elle me serra un peu plus avant de murmurer :

Ne t’en veux pas, j’avais vraiment besoin de ça. Tu n’as pas idée. Il me touche de moins en moins. C’est tellement douloureux d’être rejeté comme ça, ne plus me sentir désiré. (Un petit rire la secoua.) Quand j’ai vu que tu ne bandais pas, j’ai vraiment flippé et je ne pensais plus qu’à réussir à te faire prendre ton pied. Je ne me suis jamais sentie comme ça. C’était un désir presque incontrôlable.

La chaleur de sa sincérité fit fondre mes appréhensions. Malgré le risque, j’étais surtout heureux d’avoir pu partager une intimité aussi intense. La plus intense de ma vie en fait.

Après un temps qui me parut bien trop court, elle s’arracha à mon étreinte, rajusta son tailleur et remis sa chemisette sans rien en dessous. Ce détail me donna presque envie de la prendre là, tout de suite. Je repoussais cette pulsion.

On ne peut pas recommencer, tu sais ? dit-elle comme si elle avait perçu mon intention fugace. Jamais… D’accord ?

Avant que je puisse répondre, elle sortit des toilettes pour essuyer les restes de mon sperme de son visage. Je restais là, glorieusement posé sur mon trône. Sans le "pouvoir" qui m’était tombé dessus, j’aurais probablement vécu son rejet comme un énième échec terrible, et bien que je n’excluais pas l’envie de faire encore crier la belle Sandra de plaisir, je savais aussi qu’un monde de possibilités m’attendait. Il me faudrait juste faire preuve de plus de prudence à l’avenir, ma nouvelle capacité n’était pas infaillible et elle n’appréciait pas les imprévus.

Bien sûr, dis-je un peu à contrecur. Pas de soucis.

Merci. Vraiment. J’avais peur que tu ne comprennes pas. (Elle me fixa un instant, rougit, puis se détourna, la mâchoire crispée.) Attends quelques minutes que je sois sorti et éclipse-toi discrètement. Je vais vérifier que la fouineuse ne traîne pas encore dans les parages. OK ?

J’acquiesçais.

Lorsqu’elle sortit des toilettes, un message apparut devant mes yeux :

Succès partiel. 50% gain d’XP. 100 XP Acquérir nouvelle compétence ?

Qu’est-ce que c’était encore que ce truc ?

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