CHAPITRE 12

Avec joie, cousinette !

Je me jetai sur elle à cette réponse : coller nos corps, nos peaux, sentir la chaleur émaner de l’autre, s’étreindre au point de vouloir fusionner, vouloir n’être qu’une seule personne. Nous écrasions nos bouches et tournions les langues dans une salivation abondante, comme possédés. Des caresses énergiques, on n’était pas loin de se griffer à certains moments ; j’attrapai le sein droit d’Aurore et l’écrasai presque dans ma paume en l’embrassant en bas du cou.

La jeune demoiselle me fit basculer sur le dos pour se positionner en 69 et que trouvai-je ? Un entrejambe encore couvert d’une culotte noire comme l’ébène. En l’effleurant au niveau des grandes lèvres, je pouvais sentir le tissu humide accompagné des effluves de l’intimité de ma cousine. Étirant ce fin bout de coton sur le côté, je pus me mettre à caresser du bout des doigts la vulve rose, toucher son clitoris, ce petit bout de chair si sensible, avant d’y déposer un baiser et de petits lapements, tout en caressant les côtés de son derrière. Néanmoins, même si j’avais le nez dans son sexe, mes yeux succombèrent à la tentation de se lever vers son anus, zone encore parfaitement mystérieuse du corps de ma cousine.

Pendant ce temps, la jeune fille me caressait délicatement les parties génitales, sortant doucement mon gland et le rentrant, m’embrassant les aines, le pubis ou la limite entre la base du pénis et les testicules. Elle faisait ça avec tellement de patience et de délicatesse qu’elle me mettait complètement à l’aise, je sentais le sang commencer à affluer tranquillement mais sûrement vers mon entrejambe. Quant à moi, je continuais à embrasser, lécher et stimuler ses lèvres roses et délicates.

Je les aime Tes couilles, je les aime, vraiment.

Merci beaucoup ! Je t’en prie, vas-y ! Tu sais y faire avec les garçons

J’ai rarement été aussi contente de mes fellations et autres préliminaires sur les parties génitales. Faut croire que tu m’inspires ! ajouta-t-elle dans un rire.

Mon pénis commençait à monter cette fois, c’était un peu mou mais suffisamment ferme pour que je sente les lèvres de ma cousine y glisser le long avec la chaleur et la douceur que je leur connaissais lorsque nous échangeons des baisers. Mon sexe n’y restait pas insensible d’ailleurs et gagnait en force. Ça y est, la machine était débloquée et il s’érigeait plus facilement.

Aurore se mit ensuite à presque ramper contre moi, frottant ses seins, son torse, son ventre puis sa culotte contre mon engin, c’était à la fois surprenant et agréable. Puis, elle se positionna à quatre pattes sur le bord du lit et m’adressa un regard heureux.

Tu veux déjà que je te ?

J’ai envie de voir si tu résistes, répondit-elle avec un regard provocateur. Tu vas retirer ma culotte, et après ? Tu seras capable de continuer les prélis ou tu vas me pénétrer direct ?

Un test, hein ? Je suis sûr que tu attends que je vienne en toi, mais je me prends au jeu. Allant vers le sac, je sortis une pochette de préservatif et la lançai sur le lit, atterrissant à côté de la main d’Aurore. Je me dirigeai ensuite vers ce fessier rond, lui ôtai cet obscur vêtement et passai mes doigts sur son sexe, avant de fureter mes lèvres sur ses deux fesses avec amour.

Ensuite, je déposai mes mains sur chacune de ces collines charnelles, approchai mon bassin d’elles, aidai à soulever mon pénis pour qu’il soit orienté vers le haut et le posai en bas des lombaires d’Aurore avant d’entamer des mouvements de va-et-vient. Je ne l’avais pas pénétrée, mon sexe ne faisait que se frotter en haut de sa raie des fesses, haut de raie que j’avais vu avec désir pour la première fois chez nos grands-parents, pendant le jardinage, le deuxième jour des vacances où j’y étais.

Aurore aimait bien cette caresse de ma chose contre elle, pendant ce temps elle s’effleurait les seins et les cuisses. C’est alors que sans prévenir, ma belle cousine quitta le lit et alla fouiller dans un de ses tiroirs.

Euh Qu’est-ce que tu fais ?

Tu te souviens, je t’ai flatté la première fois en disant que t’étais bien monté. J’ai envie de voir ça.

Et elle sortit un petit mètre-ruban avant de se diriger vers moi et prendre les dimensions de ma chose, parfaitement tendue à présent.

Alors tu fais seize trois de long quatre huit de large, eeeeet treize de circonférence ! Mon cousin a une grosse bite ! s’amusa-t-elle avant de la saisir.

Rhoooh, n’exagère pas ! riais-je. C’est pas les attributs d’un cheval ou d’un acteur porno hein !

Sois pas modeste, Arnaud ! T’es bien bâti, en tous cas très bien à mon goût, et en plus tu t’en sers plutôt bien. Et tes couilles sont trop douces ! ajouta-t-elle en les caressant. C’est toi qui les épiles ou tu vas en institut ?

C’est moi. À la pince. Ça fait un peu mal au début mais on s’y habitue, et puis le résultat est là.

Attends, on fait l’amour et après je te donnerai l’adresse d’un super institut de beauté mixte, j’y vais souvent et regarde : comment tu trouves mes jambes et ma chatte ?

Douces à en mourir ! Mais cousinette, je t’imaginais pas un tel vocabulaire !

Ça c’est parce qu’on est en mode sexe et que je n’attends qu’une chose : te sentir en moi.

Mais il suffisait de le dire, cousine ! Alors qu’elle s’était posée sur le dos, j’embrassai encore son ventre avec délice, son pubis, sa fleur intime, l’intérieur de ses cuisses. Me sentant l’âme humoristique, je me mis à la regarder dans les yeux en écartant ses cuisses et lui demandant, en chantonnant :

Tu veux mon zizi ?

Ha ha ha ! Oui oui oui oui ! suivit-elle la chanson.

Je vais te le donner ! conclus-je.

Aurore me tendit le préservatif qu’elle avait sorti de sa pochette. Je le pris, vérifiai le bon sens, le déroulai le long de mon pénis. Mettre une capote était toujours quelque chose d’agréable et d’excitant pour moi, j’avais du mal à comprendre ceux qui cherchaient à l’éviter au maximum !

Attends Arnaud ! Je suis prête, je te veux, mais pas n’importe comment. Assieds-toi là

Elle me désigna le centre de son lit où je m’assis.

Tu sais faire le lotus ?

Euh non, mais qu’est-ce que tu v

C’est pas grave, en tailleurs ce sera très bien quand même.

Je ne discutai plus et m’exécutai. Mes testicules touchaient le drap, Aurore s’approcha de moi. Elle s’assît sur mes cuisses, m’étreignant le bassin avec ses jambes et caressa du bout de ses doigts salivés mon gland, puis guida ma verge vers sa demeure de chair. Cette fois, il y eut pénétration, une entrée qui se fit toute seule, parfaitement glissante, sans accroc.

Combien de gars auraient voulu être dans ma situation ? Vu les courbes de la jeune fille, beaucoup c’était certain ; et j’étais le dernier bienheureux élu à ce jour à mériter ses faveurs, ces formes, cet honneur.

Aurore mit ses avant-bras derrière ma nuque et me regarda en souriant ; nous ne bougions pas beaucoup dans cette position, mais les sensations étaient intenses ! Ses fesses étaient sur mes cuisses, ses seins contre mon torse, son pubis contre le mien et nous nous serrions mutuellement dans les bras. J’étais aux anges : en plus du rapport charnel, nous étions en train de nous faire un câlin, quoi de plus beau et de plus agréable ?

Si d’habitude c’était ma cousine qui avait tendance à faire du bruit pendant le sexe, cette fois c’était moi qui m’abandonnais aux râles du plaisir, yeux clos. Quand je les rouvrais pour regarder Aurore, celle-ci marquait un sourire de satisfaction jusqu’aux oreilles, en ne se bridant pas non plus sur l’expression du plaisir que nous étions en train de nous procurer.

Mes mains glissaient partout sur son dos, ma bouche contre sa gorge puis remontant à sa mâchoire et sa joue. Je lui mordillai ensuite le lobe de l’oreille avec tant de tendresse, j’avais envie de la dévorer tellement je la désirais : mes "morsures" se firent plus insistantes, plus fortes, mais avec les lèvres cette fois. Je ne voulais pas la blesser, ce serait trop bête.

Toujours dans cette délectation de sa peau et de sa chair, j’allais attraper les fesses d’Aurore avec la même fermeté qu’elles avaient et soulevais un peu ma cousine pour effectuer notre mutuel frottement génital. Qu’est-ce que c’était bon !!! Les décibels montaient à chaque exclamation, ainsi que ma voix : je me laissai aller dans des petits cris assez aigus pour un garçon.

Aurore se serrait au plus fort contre moi, étouffant ses gémissements dans mon cou alors que je lui baisai l’épaule en continuant de la monter et la descendre le long de mon vît ravi. Mes râles étaient plus insistants, ils venaient plus de la gorge, la folie m’emportait tellement que je fus surpris de m’entendre lâcher un "Ah putain !" de temps à autres ; l’instant était intense, sentir ses fesses dans mes paumes, ses rondes et jolies fesses, si fraîches et si chaudes à la fois, la dureté de nos tétons contre la peau de l’autre, la fermeté de ses seins gonflés dans la bataille tout ça me faisait tourner la tête, je voyais les étoiles, littéralement.

J’avais arrêté de faire bouger Aurore, cette fois nous bougions ensemble dans un coït plus virulent, plus sportif, et les lattes du lit criaient presque aussi fort que nous ; j’avais peur que nous les cassions, mais il était impossible de nous arrêter maintenant, c’était à la fois trop bon, trop dans l’élan et nous étions trop en parfaite fusion pour songer s’arrêter ne serait-ce qu’un instant.

Sauf qu’à un moment, mon dos me fit comprendre qu’il fallait changer de position : rester assis à porter ma cousine, qui bien qu’elle fût assez légère valait tout de même son pesant à la longue, commençait à me fatiguer au point de le sentir au lieu d’être enivré par la joie du rapport. Je nous arrêtai, expliquai rapidement à ma cousine qui comprit volontiers, quoiqu’un peu déçue de devoir arrêter autant de ferveur. Voulant toujours la satisfaire, je sortis du lit en l’invitant à me suivre.

Tu veux que ça reste chaud ?

Oui ! Oui, s’il te plaît !

Approche

Elle arriva contre moi, j’en profitai pour admirer sa grâce, sa silhouette parfaite. Puis, sans un mot, je me mis derrière elle, toujours debout, la collai seins à la paroi en la portant par le ventre et réintroduisis mon pénis en elle. Sa satisfaction se traduisit par un "Ah !" aspiré dans une bouche aussi grande ouverte qu’un sourire très clair le permettait. Elle posa ses mains elles aussi contre le mur et laissait s’échapper ses soupirs de désir mêlés à ceux de plaisir ; heureusement, la cloison ne nous séparait que d’une autre pièce de l’appartement, nous ne risquions pas de déranger trop fortement un éventuel voisin.

La position n’était pas super confortable à moyen terme et Aurore se retourna pour être cette fois le dos au mur, ses cuisses m’étreignant le bassin tenues par mes mains, ses bras autour de ma nuque, ses merveilleux seins contre moi et ma verge allant et venant à rythmes peu souvent réguliers dans son vagin. Nos bouches étaient elles aussi réunies, nos langues croisées.

Aurore éclata de rire après de grands soupirs bruyants ; surpris, je stoppai mon bassin en la regardant.

Qu’est-ce qu’il se passe ?

Rien, rien ! répondit-elle entre deux gloussements. C’est tellement agréable que ça me fait rire, rire de plaisir, c’est tout !

Rassuré que ça ne soit pas de la "moquerie" mais en même temps déçu que ça ne soit pas le fruit d’un orgasme, je repris la cadence avec frénésie. Cependant, à un moment, je me suis demandé si le préservatif allait tenir le coup à ce rythme et cette force. C’était pas de la baise hardcore, plutôt avec une énergétique tendresse ; je savais également que ma cousine prenait la pilule et qu’elle était le genre de fille sérieuse à ne pas l’oublier, mais je préférais tout de même garder le capuchon intact.

Je sortis d’en elle pour retourner au lit, elle me suivit de près et la première position qui nous vint de concert fut un bon classique missionnaire. Elle semblait tellement reposante après toute notre gymnastique que je me sentais bien plus réceptif au plaisir sexuel, aux frissons, et aussi à l’état de ma partenaire. Mon rythme était également bien plus doux et ça n’était pas vraiment pour nous déplaire, ça faisait du bien aussi d’y aller sans précipitation, prendre le temps de sentir les choses, de se caresser, de s’embrasser plutôt que de trop s’embraser. Aurore gémissait avec plus de retenue et plus de profondeur.

En fait, je préfère quand on fait l’amour comme ça, tranquilles, tendrement Ça me fait plus d’effet, et toi ?

J’aime beaucoup aussi Mais c’est pas mal non plus d’avoir des moments de fureur comme toute à l’heure quelquefois !

En unique réponse je lui mordillai les lèvres avec le sourire. Quelques minutes de pénétration, puis je me retirai pour aller embrasser ses seins, les malaxer, les caresser avec mes joues.

Ils sont tellement beaux

Rapidement, je me rendis à sa vulve pour y faire voyager ma langue. Sa peau, sa chair étaient brûlantes ! Brûlantes de plaisir, de désir, d’excitation et d’activité physique intense ; c’était un réel plaisir que d’y insérer la langue puis les doigts. Un. Puis deux. Trois ? Oui ! J’allais pas la fister quand même ? Je m’apprêtai à introduire un quatrième doigt lorsque ma chère cousine m’arrêta.

C’est vraiment très agréable, Arnaud Mais j’ai surtout envie de ta bite ce soir, juste elle.

Dans les deux cas le plan m’allait et si mon sexe lui faisait plaisir, alors c’était bon pour moi. Je frottai un instant le gland contre l’entrée de l’intimité féminine pour être sûr que mon engin ne s’était pas dégonflé, jetant également un rapide coup d’il à l’état de la capote, et allai ensuite le plonger dans les profondeurs mystérieuses des femmes.

Je profitai de ma position à genoux pour lever les cuisses de ma partenaire puis l’une de ses jambes pour lui embrasser le mollet, le côté du genou et lui caresser toute la jambe, de la fesse jusqu’à la cheville. Cet instant de grâce, de volupté était tout bonnement merveilleux, presque chaque soir je découvrais toujours plus de beauté au sexe. Était-ce aussi le cas d’Aurore ? Allait-elle jouir ? Lui faisais-je moi aussi découvrir de nouveaux horizons, hormis le fait que nous couchions entre cousins ?

Je m’étais repenché sur elle pour sentir ses deux jolies mamelles contre mon buste, ceci m’excitait toujours, c’était si rassurant, un peu comme un côté maternel, c’est pas pour rien qu’on dit "être en le sein d’une femme". Nos peaux se frottaient avec tout le frisson que nous nous procurions, mes froids testicules allaient taper doucement contre le bas de l’ouverture de ses chaudes lèvres génitales, et c’était dans ce contexte idyllique que je sentis que ça commençait à travailler dans mon système reproducteur. J’avais deux solutions : ou je m’arrêtai maintenant et retardai l’éjaculation pour continuer ce formidable ballet de luxure, soit nous terminions tout de suite.

J’aurais volontiers poursuivi notre relation charnelle, mais je sentais tout de même mes yeux commencer à piquer, il était sûrement assez tard. Mieux valait finir en beauté que de prendre le risque de débander plus tard à cause de la fatigue. Je n’arrêtai pas mon mouvement, gardant la cadence en attendant l’émission séminale. Ça s’approchait, ça venait de plus en plus vite, puis ce fut soudainement une véritable explosion ! Un micro-instant d’inconscience, le noir puis la lumière, l’oubli de soi. Mon sperme s’écoula avec vigueur dans le réservoir du préservatif, c’était fait.

Aurore et moi nous embrassâmes quelques secondes le temps que je reprenne mes esprits, puis je m’ôtai de son corps pour enlever ma protection. Même si c’était ma deuxième en peu de temps, j’avais eu une belle éjaculation ! Moindre que celle de toute à l’heure, mais qui n’avait rien à envier à d’autres rapports passés.

Tu peux la jeter dans ma poubelle, c’est bon.

Ce que je fis avant de retourner dans la couche cousinale afin d’échanger des câlins, des baisers et des caresses avec Aurore. La jeune fille profita également que mon sexe soit encore légèrement tendu pour entreprendre une dernière succion délicate, un remerciement, une volonté de le "nettoyer" de sperme qui aurait pu rester dessus, que sais-je Elle revint rapidement à hauteur de visage et m’adressa un sourire de ses lumineuses dents blanches. Nous ne dîmes aucun mot, juste des gestes.

Il est presque minuit. Si tu te dépêches, tu pourrais attraper le train dans vingt-cinq minutes pour rentrer chez toi.

J’ai envie de passer la nuit avec toi, Aurore ! Toute la nuit.

Je sais bien et moi aussi, mais mes parents rentrent demain matin et si ils nous voient dans le même lit ça va hurler dans toute la famille. Et puis tu bosses toi demain, faut que tu te changes et je peux pas te prêter de chemise à mon père, elles sont trop grandes pour toi.

J’en ai prévue une de rechange, avec des sous-vêtements et tout et tout. Je partirai tôt, avant que tes parents ne reviennent.

Bon D’accord, dans ce cas. Je suis prête à courir le risque.

Après un bon instant d’hésitation, Aurore avait finalement choisi de me suivre dans le risque et nous nous endormîmes nus, sous un simple drap, l’un contre l’autre.

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