Chantal 6
La visite épiscopale
En quittant le couvent, et montée sur son vélo, Chantal sent le vent chaud de l’été qui lui caresse son sexe nouvellement rasé, au point que Chantal se positionne sur le bec de sa selle afin d’offrir au mieux sa belle cicatrice à ce doux vent chaud.
Elle passe devant le presbytère, elle songe bien à frapper à la porte, mais elle se souvient que son amant est à l’évêché. Elle va devoir attendre samedi, du moins, elle espère que le curé sera là pour les confessions, elle a hâte de lui faire admirer sa belle motte nue.
Les 4 jours suivant, Jean s’étant aperçu de la nudité de sa belle, n’a de cesse de vouloir la toucher, à défaut de la baiser. Et c’est comme sur des braises qu’elle file le samedi en fin d’après-midi pour soi-disant se confesser.
Quand enfin elle arrive à l’église, le curé va fermer la porte et Chantal a juste le temps de repousser le battant de la porte, et d’entrer dans l’édifice.
Le temps que le curé tourne la clé dans la serrure, la diablesse a déjà retiré sa robe et elle est assise sur une chaise, les jambes écartées au grand compas.
Regarde comme elle belle ma chatte maintenant !!!!
L’abbé découvre que la tentation de Saint Antoine est là, devant lui, étalée crûment, mais lui, il va de nouveau succomber, la soutane vole au-dessus des chaises, et Chantal découvre tout l’effet qu’elle produit à son amant, le vit du curé bat la chamade sur son ventre, il est bandé comme un arc, Chantal, en bonne vicieuse lui dit : « viens me manger la chatte mon amour »
Et le curé tombe à genoux entre les jambes de sa démone, tel un papillon attiré par l’odeur du nectar qui coule de la fleur d’amour, et tandis que Chantal lui tient la tête à deux mains, il passe sa langue dans tous les coins et recoins de l’abricot juteux.
Les roucoulements et les soupirs de sa jeune maîtresse sont un hymne à la gloire de la débauche, et langue court du bouton d’amour exacerbé à l’entrée de la ruche d’où s’écoule le miel savoureux dont il ne pourra plus se passer, cette petite salope lui fera tout faire, elle le mène par le bout de la queue.
Il se relève afin justement d’offrir son vit à la bouche pulpeuse qui soupire et qu’il croit à sa merci.
Mais là, il se trompe, la belle Chantal donne le change afin de mieux le posséder.
Elle prend la bite d’une main, et de l’autre, elle mouille ses doigts à sa chatte ; elle décalotte sèchement le gland et elle fait tourner ses doigts mouillés autour du bourrelet de chair chauffée à blanc, le curé doit faire un effort surhumain pour ne pas décharger, mais l’ensorceleuse petite salope le sent, et pour parachever son travail de sape, elle fait glisser son pouce le long du frein hypersensible et de l’autre main, elle englobe les bourses et elle pose un doigt sur l’illet du curé avant d’y enfoncer ledit doigt.
Le curé pousse un cri et il décharge, la belle évite de justesse l’arrosage et elle dirige les jets vers les chaises d’à côté.
Le curé en tombe, le cul sur le carrelage de l’allée centrale, et tandis que les dernières gouttes de sève lui tombent dans les poils du pubis, la belle Chantal remet vivement sa robe et ouvre la porte et sort de l’église, laissant la porte grande ouverte sur le curé, à poil sur le carrelage et à la vue du premier passant.
Voilà déjà un moment que Chantal a quitté l’église, le curé émerge lentement de l’hébétude, et il s’empresse de refermer la porte, il se regarde, il a du sperme dans les poils du bas-ventre, sa queue redevenue flasque laisse s’écouler les dernières gouttes de semence ; il ramasse la soutane, la remet et s’en va jusqu’à la boulangerie pour commander un gâteau pour le lendemain, jour de visite de son évêque qui restera manger au presbytère après l’office.
Et au moment où il entre dans le magasin, c’est Chantal qui est derrière le comptoir.
Monsieur le curé, que puis-je faire pour vous ? (Et tout bas : un gâteau après la gâterie ?
)
Il me faudrait un gâteau pour demain pour 4 ou 5 personnes.
Plutôt qu’un gâteau, je pourrai vous apporter quelques mille-feuilles et quelques religieuses pour changer.
Si vous voulez !!!
Ce sera plus dans le sens l’après-repas !!!
Sur ce, la maman de Chantal arrive derrière le comptoir :
Bonsoir, Monsieur le Curé, vous désirez ?
Votre charmante jeune fille vient de prendre ma commande, demain, nous recevons monseigneur l’évêque.
Très bien, dans ce cas, Chantal vous apportera le gâteau vers 15h00.
Le curé règle la commande et lance un dernier regard vers sa diablesse, avant de quitter le magasin avec la queue qui se redresse sous la soutane et c’est le regard de Chantal qui se pose à cet endroit précis qui lui fait sentir qu’il bande de nouveau, la bosse sur la soutane est bien visible, et le curé croise le regard de la mère de Chantal qui regarde aussi le même endroit, et quand il relève la tête, la boulangère passe sa langue sur ses lèvres et envoie un baiser vers le curé, heureusement, Chantal n’a rien vu. Sinon, il devrait expliquer qu’avant d’être ensorcelé par la fille, il l’avait été par la mère et plus d’une fois. Et il quitte rapidement le magasin.
Mais le lendemain, Chantal n’assiste pas à l’office, il y a trop de travail à la boulangerie, bien qu’elle aurait aimé assister à la messe, rien que pour allumer son amant.
Et c’est vers 15h00 qu’elle part livrer les gâteaux au presbytère, avant de prendre son vélo, elle regarde autour d’elle et elle retire sa culotte, puis elle prend la boîte de gâteaux elle dit à sa mère qu’après la livraison qu’elle ira rejoindre ses copines et peut-être aller au cinéma, ce qui va lui laisser du temps libre.
Sa mère lui répond : « je ferme la boutique, ne rentre pas trop tard et sois sage ».
Oui maman, je rentre avant de manger, j’ai la clé.
Chantal enfourche son vélo, et la foufoune à l’air, elle pédale aussi vite qu’elle peut pour rejoindre son amant.
Elle arrive au presbytère en nage, elle sonne, quelques instants, la porte s’ouvre et c’est son curé amant qui lui ouvre, il est déjà nu
(il ne perd pas de temps, se dit Chantal).
Mets-toi à l’aise et suis-moi.
Il prend la boîte de gâteaux et regarde sa diablesse se mettre nue.
Le curé ouvre la boîte de gâteaux tandis que Chantal retire sa robe, rien d’autre à retirer. Le curé est étonné de ce qu’il découvre et il retourne la boîte vers Chantal qui à son tour, découvre l’intentionnelle présentation de sa mère. Entre les religieuses et les mille-feuilles trône un Paris Brest avec un éclair au café qui passe au travers, la suggestion est des plus explicites.
De ce fait, le curé confie la boîte à Chantal et la prenant aux hanches, il l’entraîne vers la salle à manger d’où proviennent des bruits sans équivoques, soupirs et cris de plaisir.
Et quand ils arrivent dans la salle à manger, le spectacle offert ne manque pas de piquant, sur Agnès est accroupie sur la table et l’évêque est en train de lui tripatouiller le sexe à deux mains et la religieuse exprime son plaisir sans aucune retenue, ce qui démontre que la masturbation dure depuis un certain temps. Tandis qu’un autre prêtre s’occupe de la mère supérieure la tête entre ses cuisses.
Monseigneur tourne la tête à l’entrée du couple et pendant un instant, il interrompt ce qu’il était en train de faire.
« Je vous présente Chantal, monseigneur, c’est le cadeau de la paroisse et elle nous apporte des gâteaux.
« Ah bien, bonjour ma fille, venez ici prendre la place de sur Agnès, Monsieur le Curé va s’occuper d’elle. » Sur Agnès se tourne et s’approche de l’autre côté de la table afin de s’offrir au curé, tandis que Chantal s’installe, assise sur la table, les jambes bien écartées, les talons posés sur la table face au prélat qui regarde cette jeune fente offerte et déjà luisante de mouille. Pourtant, il en a déjà vu des vulves, mais pas souvent de jeunes chattes comme celle-là, aussi offertes sans pudeur. Et Chantal qui le regarde dans les yeux avec effronterie le vise dans le regard, pas de besoin de mots pour exprimer toute l’envie qui transparaît dans le regard de cette petite salope.
Aussitôt, les doigts du prélat s’affairent dans la jeune femme chaude et humide, dégoulinante déjà de plaisir.
Chantal prend un plaisir incommensurable à sentir les gros doigts du religieux qui lui fouillent le coquillage nu. (La supérieure a bien fait de lui raser le sexe, elle est bien plus sensible).
Mais elle regarde vers le bas et elle aperçoit le gourdin de l’évêque, tendu pas très long, mais drôlement épais et courbé vers la droite avec un gland difforme, volumineux d’un côté et moitié moins épais de l’autre. La bite bat la mesure sur le ventre du monseigneur au rythme de ses pulsations cardiaques. Et à chaque soubresaut de la bête, il sort une larme translucide au bout et qui coule le long de la hampe, comme pour bien la lubrifier pour l’assaut qui ne saurait tarder vu l’état d’excitation de l’évêque. Alors maintenant qu’il est à la limite, les doigts trempés du miel de Chantal, il se lève, prend la belle aux chevilles afin de s’offrir un angle de pénétration satisfaisant.
Chantal prend le sexe difforme d’une main et n’arrive d’ailleurs pas à en faire le tour et elle pose le gland de Quasimodo à l’entrée de sa grotte.
Chantal sent la chaleur dégagée par la bête qui va la pourfendre, elle redoute cet instant tout en le souhaitant.
Lentement, le prélat force le tabernacle en feu, le gland difforme frotte le côté gauche du vestibule, mais au fur et à mesure que la queue visite le vagin, centimètre par centimètre, Chantal éprouve un plaisir indescriptible à sentir le gland difforme sur le côté gauche et la hampe torve frotter le côté droit de son trou d’amour, obligeant son vagin à prendre une forme de S.
Mais quand le monstre est enfin tout entier dans son ventre, une vague de chaleur envahit tout son corps, et puis la bête se met en mouvement, d’abord lentement afin qu’elle s’habitue à cette pénétration un peu hors normes, et puis doucement, le rythme s’accélère, à chaque allée, le champignon s’approche du fond de la fente, Chantal est bouche grande ouverte, elle a du mal à trouver sa respiration, et quand d’une seule poussée, le gland entre en contact avec son utérus, c’est comme une détonation, un véritable volcan dévore Chantal de l’intérieur, elle pousse un hurlement de plaisir que le prélat fait taire en l’embrassant à pleine bouche, et le cri de joie s’éteint dans la bouche du prélat.
Encore quelques allers-retours et l’évêque maintenant au comble de l’excitation, il se déverse à gros bouillons dans le tabernacle de Chantal, tapissant d’un jus épais le fond de l’antre féminin.
Chantal se débat, essayant d’échapper à cette pluie spermatique qui vient se mélanger à son plaisir au fond de son ventre ; monseigneur la rassure en lui disant qu’il ne peut pas avoir d’enfant ,qu’il est stérile.
Alors Chantal se calme, savourant la fin de la pénétration, le sexe du mâle diminuant de volume, les jus mêlés de leur accouplement vient s’écouler lentement sur le petit trou de Chantal avant de s’étaler sur la table sous ses fesses.
Cette première partie de l’après-midi se termine sur une jouissance commune, bien sûr, Chantal n’en est pas à sa première grosse queue, mais une aussi tordue et aussi jouissive, c’est la première fois et elle espère que ce ne sera pas la dernière et qu’elle aura encore la joie de se faire pénétrer de nouveau.
L’évêque la relève et l’assoit sur ses genoux « écartez bien les jambes pour faire égoutter votre chatte. Et nous allons manger un gâteau le temps que nos amis finissent leurs petites affaires ».
Assise sur les genoux du prélat, elle sent sa fente se vider de tout son contenu.
Et le prélat tout en mangeant un gâteau en le partageant avec Chantal, de son autre main, il continue de fouiller la vulve de la jeune femme.
Gâteau terminé, les deux autres couples viennent de jouir, non sans effusions, soupirs et cris, ils décident à leur tour de reprendre un peu de force en mangeant à leur tour.
L’évêque : « l’abbé, je vais utiliser votre salle de bain le temps que vous repreniez des forces ; cette jeune femme a besoin d’un peu de toilettes ».
Le curé : « faites donc, nous allons vous y rejoindre !!!! ».
L’évêque fait se lever Chantal sans pour autant retirer sa main sur la vulve de Chantal et il l’entraîne jusqu’à la salle bain et il fait asseoir Chantal au bout de la baignoire, les pieds bien sur les bords et s’emparant du pommeau de douche et après avoir fait couler l’eau jusqu’à ce qu’elle soit chaude, il lave la fente de Chantal, insistant bien partout entre les plis, puis avec deux doigts, il fouille le vagin pour bien le nettoyer en plaquant de temps en temps le jet d’eau sur l’entrée de la grotte.
Et à la fin de ce lavage érotique, il essuie l’entrecuisse et il entraîne la jolie jeune femme jusqu’à la chambre du curé.
Viens ma jolie, on va remettre ça, mais dans un lit. Tu en as envie ?
Oh oui, c’est trop bon.
Allez viens, ma petite salope !!!!
Et il se couche sur le lit en disant : « viens me donner ta fente à lécher et pendant ce temps, tu me suceras la queue !!! ».
Depuis la séance de toilette dans la salle de bain, Chantal n’a qu’une envie, c’est à nouveau de sentir la tige difforme lui fouiller le ventre, mais en attendant, elle va remettre en pleine forme ce gros bâton de chair, elle sait qu’elle n’aura pas à attendre et à uvrer longtemps, car si la bête a perdu un peu de sa turgescence, le diamètre semble toujours identique.
L’évêque lui dévore divinement la vulve, et la belle sent toute l’expérience de son amant du jour, la langue tantôt large passe sur toute la surface de sa fente, allant du bouton à son petit trou, et puis elle revient longue et pointue et elle pénètre son vestibule et puis s’enfonce dans sa ruche dégoulinante de miel érotique.
(Mon Dieu, il vaut mieux un vieux qui fait durer le plaisir qu’un jeune qui décharge dés qu’on le touche ou qu’il voit une fente, se dit Chantal pendant qu’on lui dévore la fente).
Mais trop excitée, elle n’a plus qu’une envie, celle de se mettre la bite de Quasimodo dans le ventre. Alors ne pouvant plus attendre, elle se retourne et enfourche l’évêque, elle prend le monstre à pleine main et elle se positionne à l’aplomb de la bite luisante de sa salive, elle s’empale d’un seul coup. Le monstre lui distant les chairs et le chapeau du champignon qui la pourfend vient brutalement butter au fond de sa chatte, sa matrice reçoit comme une décharge de haute tension, et elle explose en hurlant son plaisir : « oh ouiiiiiiii baise-moi oh c’est trop bonnnnnnnnn, bourre-moi la fente !!!! crache-moi ton jus ouiiiiiiiiiii, je jouissssssssss ».
Les cris de Chantal attirent les autres protagonistes qui sont en train de manger leur gâteau.
Et en entrant dans la chambre, ils voient Chantal partir dans une chevauchée fantastique, mais le prélat ne l’entend pas de cette oreille, il veut une totale pour cette petite salope, que cet après-midi soit un souvenir inoubliable qu’à chaque fois qu’elle aura un rapport, ce moment lui reviendra à l’esprit afin de décupler sa libido et son plaisir.
Allez, Monsieur le Curé, elle a un trou de libre que vous allez ouvrir pour la première fois, avant que je la prenne aussi par là, mais il faut la préparer ; et vous, Monsieur le vicaire, fermez-lui la gueule avec votre bite, et vous mes surs, donnez-moi vos chattes à palper.
Et tout le monde prend place.
Tandis que Chantal est en train de chevaucher le prélat, bien empalée sur le gourdin qui la remplit toute entière, le curé s’empresse de se présenter dans son dos afin d’être le premier à dépuceler le petit trésor vierge de sa diablesse.
Le vicaire se contentera de sa bouche de salope, tandis que lui, il va enfin faire voir à cette démone qui est le maître cet après-midi.
Alors d’un doigt, il lui tâte le petit trou après l’avoir lubrifié à la chatte pistonnée par le gros goupillon de Monseigneur et à son tour de lui déverser sa propre eau bénite. La belle n’est que cris et soupirs enfiévrés.
Maintenant qu’il a bien lubrifié la pastille de Chantal, il présente son gland et c’est Chantal qui en s’enconnant sur la bite qui lui démonte à nouveau la chatte, elle s’encule elle même sur la queue de son amant, elle gueule de plus belle et de plaisir, mais le vicaire tel un faune se place devant elle et il lui enfonce son sexe jusqu’au fond de la bouche, mettant fin aux cris de femelle enfin possédée par trois mâles en rut.
Et chaque homme se démène dans l’orifice qui lui est dévolu. Les religieuses se positionnent de chaque côté du quatuor et aussitôt ,monseigneur fouille leurs entrecuisses, une main pour chaque fente.
Les deux religieuses ayant les mains vides, s’empressent que de malaxer les seins de Chantal ou les couilles des trois hommes.
Mais bientôt, le sextuor ou plutôt dans ce cas précis le « sexuor » arrive au point de non-retour, les trois hommes qui pilonnent Chantal se déversent chacun dans son orifice, le curé décharge enfin dans sa maîtresse, tandis que le prélat engorge à nouveau le vagin de Chantal lui nappant l’utérus de toute sa liqueur, et le vicaire enfonce le plus loin possible son chibre jusque dans la gorge de Chantal pour se vider directement dans son estomac.
Il faut à chacun et chacune un bon moment pour en revenir, le sexe du curé sort du petit trou de Chantal et le vicaire laisse encore Chantal lui nettoyer le sexe, mais la forme l’a quitté et l’évêque secoue un peu Chantal qui commence à peser sur lui. Les deux religieuses aident Chantal à se relever, elle en est bien incapable seule, et tandis que les trois hommes accompagnés de la mère supérieure regagnent la salle à manger ; sur Agnès entraîne Chantal jusqu’à la salle de bain afin de l’aider à faire un peu de toilettes et de reprendre un peu ses esprits. Sur Agnès en profite pour faire quelques révélations à Chantal au sujet de Monseigneur et de son vicaire. (Mais cela fera partie d’autres récits sur les secrets et turpitudes à l’évêché).
Quand enfin elles entrent dans la salle à manger, la mère supérieure est à cheval sur le vicaire qui lui taraude le vagin accompagné par le curé dans le même orifice les han han des deux hommes répondent aux soupirs et aux encore de la religieuse, tandis que le prélat se masturbe distraitement.
Voyant les deux femmes de retour, il les invite à venir s’occuper de son monstrueux phallus. Et les deux femmes tombent en même temps à genoux devant le dieu Priape pour une dévotion buccale.
Quand l’une suce le gland, l’autre s’occupe des couilles et puis l’échange se fait comme si le manège avait été convenu à l’avance.
De nouveau, l’excitation monte, la supérieure se lâche en bordées de jurons d’où il ressort qu’elle désire être ouverte, défoncée auquel répond des prends ma bite salope ! On va te pourrir le cul !!! Et puis les deux prêtres ne peuvent plus tenir, alors à nouveau, ils se déversent à gros bouillons dans le vagin de la religieuse, et soudain, le phallus de l’évêque entre en éruption, arrosant copieusement les visages de ses deux suceuses qui à la fin de l’éjaculation, effectuent un nettoyage en règle du gourdin d’amour et puis avec la langue, elles se nettoient mutuellement le visage de l’autre, dégustant avec plaisir la sève qui les couvre.
Vingt heures sonnent au clocher de l’église, il est temps pour Chantal de regagner le domicile, elle enfile sa robe, et le curé toujours à poil, la raccompagne à la porte du presbytère et avant qu’elle ne sorte, ils s’embrassent comme deux amoureux.
Et en sortant, Chantal lui dit : « A demain et merci pour l’après-midi ». Elle monte sur son vélo et file à toute vitesse, jupe relevée par le vent afin de rafraîchir son petit minou qui a été bien sollicité par l’évêque.