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L'inconnue du bord de l'eau – Chapitre 1




Cette histoire s’est passée il y a une quinzaine d’années dans le sud de la France. A cette époque, j’ai découverts la sodomie depuis trois ans, et j’avoue que j’aime me faire sodomiser, c’est un plaisir nouveau et puissant. Nous sommes au mois daoût, il fait assez chaud et je suis parti avec un groupe d’une dizaine de personne, tous amis, déjeuner au bord d’une rivière. Nous sommes installés sur une terrasse pourvue de tables et de chaise, tous le monde mange, boit et rigole de la moindre blague. L’ambiance est au beau fixe. Je remarque un couple d’une quarantaine d’année qui déjeune à côté de nous. La femme est en maillot de bain et ses seins tentent de déborder de son soutient gorge. Elle est un peu enveloppée mais jolie et très attirante, elle n’est pas mince mais sans excès, vraiment une belle femme épanouie dans son corps avec une assez grosse poitrine. Installée en face de moi à une dizaine de mètres, je peux l’admirer à loisir. Au bout d’un moment, après avoir mangé, elle se met à plat ventre sur une serviette à côté de la terrasse pour bronzer. Le soleil tapant assez fort, son mari lui passe de la crème sur le dos et elle dégrafe son soutient gorge pour le dégager totalement. L’homme retourne à sa chaise, prend un journal et lit. Il se désintéresse totalement de sa femme. Le temps passe un peu, je surveille cette femme apparemment frustrée, elle saperçoit de mon intérêt et en me regardant se soulève légèrement sur ses coudes, laissant apparaître sa poitrine en entier. Je n’aime pas particulièrement les gros seins, mais ceux ci me troublent par leurs volumes et leurs formes. Elle se couche de nouveau, fait semblant de somnoler et se remet sur ses coudes. Le manège dure une bonne demi-heure. Le mari lit toujours. Jean Louis, mon voisin de table me donne un petit coup de coude.

— Je crois que tu as un sérieux ticket.

— Je le pense aussi.

Certaines personnes du groupe s’installent sur des serviettes pour s’exposer au soleil. Je m’installe pas très loin de la femme pour pouvoir continuer à l’observer. Elle remet son soutient gorge, en me faisant une nouvelle fois voir ses seins, dit quelques mots à l’oreille de son mari, je comprend pipi, et se dirige vers des buissons un peu plus loin. Ce faisant elle ne me quitte pas des yeux en s’éloignant avec une expression sensuelle sur son visage. Jean Louis me dit.

— Vas y Jean, à toi de jouer.

Je laisse passer une minute et me lève à mon tour pour me diriger vers les buissons. J’avance dans les buissons, personne, je regarde à droite et à gauche sans voir cette belle inconnue. Je m’avance un peu plus et je la vois, accroupie entrain de faire pipi derrière un bosquet, sa culotte à la main. Elle me voit, me sourit, se lève sans remettre sa culotte, passe un tissus sur son sexe en écartant les cuisses. Elle se retourne, contourne le bosquet et disparaît derrière en me montrant de splendides fesses bien rondes. Je la suis, elle s’est allongée sur des feuilles et a dégrafé son soutient gorge. Je m’accroupi vers elle au moment ou elle l’enlève. Elle est nue, son corps offert, je peux mieux la détailler. Elle est blonde, tun visage d’ange, un peu enveloppée, sa peau est assez blanche, son sexe est entretenu avec une toison rase et dessinée en forme de coeur. Je me penche sur elle et lui prend un sein dans ma bouche, le titille avec ma langue, le mordille. Elle se cambre, pose ses mains sur ma tête et la déplace sur l’autre sein. Elle pousse de petits soupirs de contentement. Après un petit moment, elle pousse ma tête vers son ventre et la fait descendre doucement toujours plus bas. J’embrasse toutes les parties de son corps à portée de mes lèvres. Ma bouche arrive sur sa toison. Elle immobilise ma tête. Ma langue titille les lèvres, les lèche, les écarte et trouve le clitoris assez développé. Sa respiration s’accélère, elle me maintient sur son sexe, l’accélère mes mouvements de langue, elle passe du clitoris à la vulve, s’introduit dans son ouverture béante et noyée de cyprine. Ma bite veut sortir de mon bermuda mais je ne peux pas la dégager, mes mains s’occupent de ses seins. Elle ondule du ventre, appuie de plus en plus sur ma tête et part dans un violent orgasme. Son corps frémi, ondule de haut en bas, ses cuisses m’écrasent la tête.

— HUMMMMMMMMMMMMMMM, OHHHHHHHHHHHHH, HUMMMMMMMMMMMMMMMM.

Ce ne sont que des onomatopées, elle joui en silence, pas de cri, pas de grondement, je pense qu’elle ne veut pas ameuter le quartier et surtout son compagnon. La pression de ses mains diminue mais elle tire sur ma tête pour me faire remonter vers son visage. Je me retrouve sur elle, elle descend mon bermuda sur mes cuisses, s’empare de ma bite et la dirige vers son con. Elle me fait encore monter et je m’enfonce dans une antre chaude et humide qui m’englouti le sexe. Elle pose ses mains sur mes fesses sans intervenir sur mes mouvements. C’est moi qui imprime le rythme de mes va et vient. Je la baise doucement, je ne veux pas jouir vite, je veux prendre mon temps. Elle ferme les yeux, ma tête se pose à côté de la sienne. Elle me murmure à l’oreille.

— Oui, j’aime comme ça, doucement, bien au fond, sur toute la longueur de mon trou, vas y, c’est bon, j’aime ton sexe, vas y encore, c’est bon.

J’entend à peine ce qu’elle me dit, mais je garde le rythme et lamplitude. Ses mains quittent mes fesses, remontent sur mon dos, arrivent à ma tête, s’en saisissent et la dirige sur sa bouche. Sa langue force mes lèvres, j’entrouvre la bouche, sa langue l’investie et commence une samba d’enfer dans ma bouche. Elle embrasse divinement bien.

Je sent son corps se raidir, son ventre va à la rencontre du mien, ses mains me libèrent la tête et retournent à mes fesses. Elle appuie dessus à chacune de mes pénétration en envoyant violemment son sexe à la rencontre du mien. Elle murmure à mon oreille.

— OHHHHHHHHHHHHHHHH, HUMMMMMMMMMMMMMMMMMM, je joui, oui je joui, viens avec moi, je veux sentir ton sperme dans ma vulve, joui, s’il te plait joui en moi.

Je donne suite à sa prière en éjaculant violemment dans son corps.

— OHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH, HUMMMMMMMMMMMMMMMMM, oui, merci, je joui, continu, vide toi dans mon minou.

Je remarque que tout en jouissant, elle ne m’abreuve pas de mots vulgaires. Elle joui avec classe. Son corps se détend petit à petit, elle me prend la tête, la soulève au dessus de la sienne et me sourit.

— Merci de ta douceur, merci pour ce merveilleux moment.

— Je ne vois rien d’exceptionnel dans le fait qu’on ai fait l’amour si ce n’est que nous nous sommes vu pour la première fois il y a moins de trois heures.

— Ce n’est pas d’avoir fait l’amour, mais la manière de le faire. D’habitude, j’ai l’impression se servir de trou, là tu t’es occupé de moi avec patience et tendresse. Merci encore.

Elle m’embrasse encore une fois longuement, se redresse, met son soutient gorge. J’ai son sexe juste à la portée de ma bouche et je ne peux résister. Je tire la langue, touche son clitoris encore sorti. Elle sursaute, m’attrape la tête et la plaque sur son sexe en écartant les cuisses. Ma langue se déchaîne sur son clitoris et elle joui en à peine deux minutes. Là, pas un son, pas un mot, elle joui dans un silence total, mais à la manière de me plaquer contre son sexe, je comprend que c’est très fort. Je lui caresse les fesses pendant qu’elle joui. Je suis un peu frustré de ne pas m’en être occupé plus sérieusement. Après s’être calmée, elle me tire vers le haut pour que je me lève.

— Merci encore, mais il faut que j’y aille, on m’attend.

— Vas y, j’attend un peu avant de rejoindre mes amis.

Elle pose un baiser sur mes lèvres, me caresse la joue, se retourne avec un merveilleux sourire et disparaît derrière le bosquet. J’attend cinq bonnes minutes pour revenir vers mes amis, le couple a disparu. Je me remet à ma place, Jean Louis vient vers moi.

— Je crois que le mari s’est douté de quelque chose car en ne voyant pas revenir sa femme, il a tout plié et sapprêtait à aller la chercher quand elle est apparue. Ils sont partis tout de suite. Dit donc, tu en a mis du temps, pratiquement une demi-heure, au fait, ça c’est bien passé.

— Je ne pensais pas avoir passé autant de temps, j’avais l’impression que ça n’avait duré que dix minutes tout au plus. Ca s’est très bien passé, mais c’est tout ce que tu sauras.

— Je ne cherche pas à en savoir plus.

L’après midi s’est achevé dans la bonne humeur de tous et nous sommes rentrés chacun chez soi.

Je n’ai jamais revu cette femme, je ne sais même pas comment elle s’appelle mais j’en garde un excellent souvenir, j’espère qu’il en est de même pour elle.

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