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Nous deux, Mary et Pierre – Chapitre 7




Chapitre 7 : la piscine

L’inexorable dernier soir est arrivé. Après encore un dîner en amoureux, nos regagnons notre chambre. Passage rapide par la salle de bain, puis nous nous couchons, nus, dans notre position favorite. Nous entamons une discussion, je sens Maman un peu perturbée. Peut-être la fin des vacances qui approche : « ça va mon amour ? »

— Oui… Et non !

— Qu’est ce que tu as ? Je te sens absente depuis tout à l’heure.

— Je me pose plein de questions.

— Quelles questions ?

— On a peut-être été trop loin tous les deux, je suis quand même ta mère !…

— Non il ne faut rien regretter, je…

— Laisse-moi finir ! Nous avons dix-sept ans d’écart. J’ai peur de gâcher ta vie, tu pourrais te trouver une fille de ton âge. Je ne dis pas que je ne prends pas mon pied, quand on fait L’AMOUR, mais tu es d’accord avec moi pour dire que notre couple est atypique !!…

— Peut-être atypique, mais fusionnel, complémentaire, et jai besoin de toi, je ne me suis jamais senti aussi bien avec une femme qu’avec toi, Maman…

— C’est vrai ?

— Bien vrai mon amour !!

— Alors tu veux toujours être ma moitié ?

— Bien sûr que je le veux, et pour la vie…

— Embrasse-moi mon chéri !

Maman se remet sur le dos, et nous voilà repartis pour un baiser fougueux. Nos langues fouillent la bouche de l’autre. Nous venons de sceller notre amour. Définitivement.

Maman interrompt notre baiser, et me claque : « j’ai envie d’un bain de minuit ! »

— Mais la plage est dans le noir !

— Peut-être, mais la piscine de l’hôtel est éclairée toute la nuit. Debout en vitesse, on enfile nos maillots, et on file se baigner.

Maman enfile son maillot blanc deux-pièces, mettant en valeur sa peau bronzée, elle me fait très envie. Je songe en moi-même : « vais-je pouvoir résister ? » Pour moi, un simple maillot de bain. Nous descendons vers la piscine, main dans la main, nos serviettes sur nos épaules.

Vu l’heure avancée de la nuit, la piscine est déserte, seul le bruit des alizés résonne dans les palmiers. La lumière éclairant la piscine lui donne une couleur bleu turquoise, le paradis pour deux amoureux.

Nous plongeons, l’eau est à très bonne température, nous batifolons tous les deux, toujours collés l’un à l’autre. Je coule maman, qui, tout sourire, râle pour la forme. Elle a oublié ses questionnements de tout à l’heure. Je fais quelques longueurs, Maman est assise dans l’eau sur une margelle immergée, ses seins dépassent de la limite de l’eau, elle a les mains en appui sur la margelle. Je me laisse glisser vers elle. Me voyant arriver, elle se débarrasse très vite de son soutien-gorge.

Ma tête se plante au milieu de sa poitrine, que je couvre de baisers. Je me redresse, mon visage au niveau du sien, Maman est radieuse, je retrouve son air mutin, nos lèvres se joignent pour un long et tendre baiser.

Maman sort sa main hors de l’eau et me dit : « surprise !!… ». Elle brandit à bout de bras le bas de son maillot !

— Mais tu es à poil ?

— Oh que oui mon petit chéri, j’ai très envie que tu viennes me visiter avec ton engin…

Suite aux paroles de Maman, ma virilité réagit au quart de tour. Baiser dans la piscine, encore une nouveauté pour nous !…

Mon maillot rejoint le sien, Maman écarte son compas au maximum, je présente ma queue toute dure à l’entrée de son puits. Je rentre en douceur dans son intimité tout humide, Mary a passé ses bras autour de mon cou.

— Baise-moi mon amour, fais-moi jouir, je veux te sentir bien au fond.

— Oh oui, jai trop envie de toi, ma coquine de Maman !!

Je commence mon pilonnage en douceur, en sortant au max et replongeant bien profondément. Maman commence à gémir bien fort, je lui prends les lèvres pour ne pas réveiller tout l’hôtel.

— Accélère, oh oui, encore, plus fort !!

Les paroles de Maman décuplent mon envie. A présent les mouvements sont puissants, Maman accepte ce traitement avec bonheur. Nous voici arrivés au point de non-retour, nous jouissons simultanément, ma queue, compressée par les contractions de son vagin, me font me vider en plusieurs jets puissants dans sa jolie minette.

La jouissance de Maman est longue et intense, nous demeurons toujours lèvres jointes. Nous finissons par reprendre nos esprits.

— Putain que c’est bon de se faire sauter dans l’eau, tu as aimé ?

— Bien sûr, c’était magique, tu avais préparé ton coup ?

Avec un sourire coquin elle me répond :

— Evidemment ! En te proposant un bain de minuit, je souhaitais, non je voulais que tu me fasses l’amour dans l’eau…

— Et après tu me dis que c’est moi le gros cochon !…

— Que veux-tu, je suis inspirée quand je suis avec toi mon amour !…

Nous nous rhabillons dans l’eau, et, de retour dans notre chambre, nous nous recouchons immédiatement.

— Mon chéri, après cette partie de jambes en l’air, je n’ai plus aucun remords, je veux vivre notre amour à fond. A partir de maintenant, j’oublie que je suis ta mère, je me considère comme ta compagne…

— Ouah Maman, comme je suis heureux de t’entendre dire cela, moi aussi je veux être ton compagnon, JE T’AIME, MARY !!

— Moi aussi JE T’AIME, PIERRE !!

Demain ce sera le retour vers la Métropole, alors dodo.

Chapitre 8 : la pluie

La voici donc arrivée, cette dernière journée de notre séjour de rêve à la Martinique ! Ce soir, ce sera l’avion, direction la Métropole. Mais maman et moi décidons d’en profiter jusqu’au bout, jusqu’à la dernière heure !

Maman porte ce matin son joli paréo noué au-dessus de la poitrine. Comme je ne vois pas de bretelles, j’en conclus de suite qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge… Je lui en fais la remarque à l’oreille. Elle s’empresse d’ajouter :

— Exact, mais je n’ai pas de culotte non plus !…

Spontanément, je lui lance :

— Salope ! Tu as vraiment décidé de m’exciter jusqu’au bout !

Elle me répond, faussement offusquée :

— Comment ? C’est comme ça qu’on parle à sa maman, grossier personnage ?

Sur ce elle éclate de rire, moi aussi, et notre plaisanterie s’achève par un long baiser à pleine bouche.

Après le petit déjeuner, nous regagnons notre chambre afin d’y boucler nos valises. La chambre doit être libérée pour midi, comme dans tous les hôtels. Avec un grand sourire, Mary me dit alors :

— Si on en profitait encore avant de rendre la clé ? J’ai envie de baiser !

— T’es vraiment insatiable ! Ton idée est excellente, mais j’en ai une autre, qui nous permettrait tout à la fois de nous envoyer en l’air, et de savourer encore un peu de cette si belle Martinique.

Maman est intriguée, mais me laisse prendre la direction des opérations.

Et c’est ainsi qu’une demi-heure plus tard, nous nous retrouvons tous les deux sur un scooter de location, sur les routes du sud. Je pilote l’engin, tandis que maman, assise derrière moi enserre ma taille de ses bras. Elle se colle si bien contre moi que je sens ses seins s’écraser contre mon dos. Effet immédiat sur ma virilité… Pour cette ultime balade, maman n’a pas conservé son paréo, assez peu adapté à la position assise sur un scooter. Short blanc très court, débardeur jaune pâle à bretelles, et… Toujours aucune trace du moindre sous-vêtement ! J’ai une envie démesurée de Mary, au point de me sentir très à l’étroit dans mon short, sous lequel je ne porte rien non plus… Maman me fait des bisous dans le cou, mais nos casques ne facilitent guère la chose. Nous nous élevons au-dessus de Sainte-Luce, sur une toute petite route. A cause du bruit du moteur et de nos casques, nous sommes obligés d’élever la voix. Maman me crie :

— Pourquoi tu nous fais quitter la côte ? C’est si beau !

— Parce que je cherche un petit coin… Tranquille !

— Ah oui, je vois…

Après quelques kilomètres sur cette route intérieure, je stoppe devant le début d’un minuscule chemin de terre. Planquant seulement un peu notre véhicule sous les arbres, nous nous engageons sur le sentier, marchant main dans la main, nous donnant sans arrêt des bisous sur les lèvres. Un peu à l’écart du sentier, voici un petit endroit plat, pourvu d’une herbe tentatrice, et entouré de fleurs et de fougères arborescentes. Un petit paradis terrestre ! Sans une once d’hésitation, maman envoie balader ses tongs, et quitte son débardeur et son petit short blanc. La voici devant moi, complètement nue, rayonnante, en pleine nature ! Eve, telle qu’à la Création !… Une Eve qui s’empresse de retrouver son Adam… Nous nous laissons choir dans l’herbe, nous y roulons, étroitement enlacés. Nos bras, nos jambes d’entremêlent, nos bouches se dévorent.

— Mary je t’aime !!

— Mois aussi je t’aime Pierre, mon amour !! Embrasse-moi encore, et puis ensuite… Baise-moi !

Délaissant enfin ses lèvres, je descends retrouver sa bouche… Du bas. Une « bouche » déjà trempée de désir, dont les lèvres, érotiquement écartées n’attendent que ma langue, et ma virilité impatiente. Je dévore la minette dégoulinante de Mary, tandis qu’elle émet sans discontinuer de longues plaintes lascives.

C’est alors que quelques gouttes nous tombent dessus. Inquiet, je relève la tête.

— Mon chéri, ne t’arrête pas pour si peu, continue de bien me bouffer la chatte, comme tu sais si bien le faire !…

Je reprends ma délicieuse tâche. Mais cette fois, plus de doute, il pleut ! Je connais bien ces averses tropicales. En un rien de temps, nous passons de quelques gouttes à une pluie torrentielle ! Un véritable déluge nous dégringole dessus. Nous stoppons net nos ébats, fort contrariés. Maman renfile son short et son débardeur, tandis que je traite le ciel de tous les noms…

Je me retourne vers maman, qui a vraiment l’air désolée. Le peu de vêtements que nous portons est évidemment trempé. Mais cela ne présente pas que des inconvénients. Le débardeur de maman lui colle littéralement à la peau, et… C’est quasiment comme si elle était nue ! Ses auréoles, ses tétons sont totalement visibles sous le tissu mouillé ! Plus bas je vois son ventre, son nombril. Je plaisante :

— Maman, c’est comme si tu étais à poil, on voit tout !

— Je ne vais pas pouvoir rentrer à l’hôtel comme çà !… Se lamente-t-elle.

Je m’approche d’elle, et, en la prenant dans mes bras, lui susurre :

— Mais qui te parle de rentrer ?…

Et de me jeter sur sa bouche. Je l’entraîne presque de force à l’endroit où nous avions commencé notre joute amoureuse. Mary a enfin compris, elle arrache presque son débardeur devenu inutile, et fait difficilement glisser son short mouillé le long de ses hanches puis de ses jambes. Tandis que je reste debout, elle se laisse tomber à genoux dans l’herbe mouillée, et me prend de suite en bouche. L’eau qui nous tombe dessus n’est pas froide, une bonne pluie tropicale bien tiède ! Nos corps ruissellent littéralement. Passant mes mains derrière la tête de maman, je défais le nud qui maintenait sa queue de cheval, et étale ses cheveux longs sur son dos, ses épaules, des cheveux à présent plaqués par l’eau, lui donnant une allure de « sauvageonne ». Elle me pompe avec voracité, tandis que je fourrage dans sa chevelure. Cela me donne envie de la prendre bestialement, mais sans violence, évidemment. Devinant mes pensées, Mary abandonne ma bite pour se placer à quatre pattes, et me lance :

— Viens, prends-moi comme une salope !

Et me voici derrière elle, je l’enfile de suite en levrette. Je la bourre, la démonte, elle ahane, se laisse aller, craque complètement.

— Ah Pierre, mon amour, vas-y, baise-moi, défonce-moi, je suis à toi, fais de moi ce que tu veux !

Je la tringle à mort, lui tire les cheveux, tandis que la pluie redouble de violence, nous trempant jusqu’aux os, mais ne diminuant en rien notre ardeur, devenue presque démoniaque. J’ai l’impression de me trouver au berceau de l’Humanité, sur la Terre originelle ! Nus, sous une cataracte liquide, faisant l’amour comme des fous, dans une nature luxuriante !!… Sensation étrange mais divine, grisante… Nous sommes seuls au monde, nous nous aimons et baisons, baisons, baisons comme des damnés. Les fesses et le dos de maman sont superbes, mais dans un tel moment d’extase, je veux voir son doux visage, ses yeux noisette. Nous nous retrouvons en missionnaire, maman sous moi, cuisses écartées au maximum, et moi la pilonnant tel un dément. Ses cheveux ruisselants lui couvrent en partie le visage, nos corps mouillés se frottent l’un à l’autre. La communion, la fusion de nous deux est totale, dans cette nature de rêve, et sous ce ciel déchaîné. Comme s’il n’y avait pas assez de « liquide » comme cela, en plus de la cyprine de maman qui coule en abondance, c’est enfin mon sperme qui jaillit tel un torrent fougueux au plus profond de son ventre.

Je n’en finis plus de m’épancher en elle, qui hurle son plaisir sans retenue ! Pas de voisins, pas d’importuns, nous crions notre joie, notre extase sans limites !!

La suite sera évidemment moins délectable. Remis de nos émotions, nous nous relevons ruisselants de la tête aux pieds ! Pas d’autre choix que de revêtir nos habits trempés, sensation nettement moins agréable… Retrouvant notre scooter, nous faisons chemin inverse. Si Mary se colle de nouveau contre moi ce sera pour cacher le plus possible ses seins outrageusement révélés par le débardeur mouillé. Les cheveux trempés sous le casque, ce n’est pas le top non plus. Afin de passer le plus inaperçus possible, nous mettons au point un petit stratagème. Nous stoppons 200 mètres avant l’hôtel. A pied, en short et torse nu (rien d’anormal pour un touriste mâle), je gagne l’hôtel, file dans notre chambre, et en ressors avec une serviette et le paréo de maman. La retrouvant sur le bord de la route, elle va prestement ôter son débardeur, s’essuyer, et nouer son paréo autour d’elle. Même si ce dernier est un peu suggestif, il sera toujours plus décent pour regagner l’hôtel que son débardeur digne d’un concours de plage « Miss tee-shirt mouillé » !… Dans une allée, nous apercevons Bob et Linda qui nous adressent un petit signe amical.

Ils sont morts de rire. Se douteraient-ils de quelque chose ? De leur part cela ne nous gênerait aucunement…

L’après-midi se passera calmement et… sagement, entre la plage et le bar. Dernier punch !

Puis ce sera le taxi, puis l’Aéroport du Lamentin, puis… une grande mélancolie me saisit soudain. Maman se colle contre moi, et, me donnant un baiser pour une fois très chaste sur la joue, me dit de sa voix douce :

— Mon petit chéri, les vacances sont finies, d’accord. Mais notre amour, lui, n’en est encore qu’à son tout début, et il n’est pas près de finir, crois-moi !…

Sur ces mots, nos bouches se joignent pour un interminable baiser chargé de l’amour le plus profond.

A suivre…

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