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Le petit bois, la petite maison de bois et le petit pont de bois. – Chapitre 2




À bout de souffle, elle entra dans le bois et sy cacha en attendant que les deux bourrins repartent. Un tronc darbre ressemblant à un visage lui souriait ; elle sy adossa, ferma les yeux et se repassa la scène de ces deux loustics en train de se bastonner pour arriver à la niquer en premier.

Bizarrement, ces images lui réchauffaient le ventre et petit à petit une envie assez étrange lenvahit. Cela se situait à lendroit précis où le beau jeune homme lui avait introduit sa bistouquette. Et, nom de nom, voilà que sa minette était en feu ! Que faire ? Machinalement, elle leva le bas de sa jupe et découvrit sa zézette qui était déjà tout humide. Elle fronça les sourcils en se demandant ce que pouvait bien être ce liquide si chaud. Elle le recueillit du bout des doigts, le regarda, le renifla, et le goûta ; il nétait ni bon ni mauvais, un peu amer, mais sans trop. Mais il ny avait pas que cela, car quand elle toucha sa minette un fort courant électrique remonta jusquà ses pommettes, ce qui la fit frissonner.

Elle recommença, toucha encore sa minette, et un nouveau courant encore plus fort secoua tout son corps. Ses seins devinrent fermes, ses petits tétons pointèrent vers le ciel, et une immense sensation de plaisir lenvahit. Elle était si douce, si agréable quelle décida de se mettre toute nue. Elle jeta au loin le peu de vêtements quelle avait sur elle et sinstalla assise sur sa cape, adossée au tronc, et se caressa les seins à deux mains. Elle les malaxait, les étirait, et faisait rouler ses tétons durs comme la pierre entre ses doigts, mais sa minette pleurait denvie et son ventre la suppliait dagir.

Ses deux mains descendirent et remontèrent plusieurs fois sur son ventre qui ondulait à chaque passage. Arrivées à son abricot, ses mains ne suffisaient plus ; il fallait partager entre les tétons et la minette : elle caressa et malaxa les uns et les autres à tour de rôle. Et, passant de sa minette à sa son con, elle enfonça deux, puis trois doigts au plus profond de son antre, ce qui déclencha en elle un véritable séisme. Son ventre en feu explosa de jouissance, elle fut secouée comme une poupée de chiffon. À moitié allongée contre son arbre, les yeux clos, elle était dans les nuages. Ses cuisses se refermèrent sur sa main, ses doigts torturèrent ses seins et ses mamelons, ses lèvres tremblèrent ; son plaisir durait, durait pendant un temps indéfinissable

Un bruit la fit sursauter ; elle bondit, couteau à la main, mais rien : juste deux lapins venus assister au spectacle qui senfuyaient. Elle alla jusquà lorée du bois et constata que les deux hommes avaient disparu. Comme elle se trouvait bien comme ça, toute nue dans le petit bois, elle décida dexplorer cet endroit. Ne sachant pas où aller, elle se dit quelle pourrait très bien rester ici ; il lui fallait juste un abri le temps de réfléchir à la situation. Elle prit alors un chemin au petit bonheur, et comme par hasard elle tomba sur un petit pont de bois qui enjambait une rivière. Elle le traversa et se rendit compte quelle était remplie de poissons, décrevisses et dautres délices que Dame Nature lui offrait. Cette vision lui réchauffa le cur et elle continua son chemin jusqu’à ce quelle découvre, une petite maison en bois cachée derrière des fougères. À la vue de la maisonnette, son cur sursauta ; couteau en main, elle savança un peu tremblante en se disant « Je suis toute nue Tant pis pour mes fesses si je dois payer pour un peu de tranquillité ! »

De la pointe de son couteau, elle poussa la porte entrouverte qui grinça. Elle fit un bond quand un lapin apeuré lui passa entre les jambes. Aussi tremblante que le petit mammifère, elle fut vite rassurée en découvrant que, mis à part lanimal aux longues oreilles, il ny avait rien. Elle fut si heureuse de ne pas devoir offrir ses fesses pour un peu de sûreté quelle se mit à chanter. Elle fit le tour de la maisonnette et conclut que personne ny habitait, ou alors cela faisait bien longtemps que son occupant était parti. « À moins que quelquun ny vienne de temps en temps ? Quimporte, je my installe ! » se dit-elle.

Elle prit possession de la maisonnette, y fit grand ménage et continua dexplorer la forêt. Finalement, il y avait ici de quoi survivre, et même vivre presque confortablement ; il lui faudrait juste trouver le moyen dy faire quelques cultures. Mais en attendant, rivière, ronces et pommiers remplis de belles pommes rouges et juteuses lui fourniraient largement de quoi subsister.

Elle se mit au travail et transforma la petite maison de bois en un véritable petit palais douillet. Pour son plus grand bonheur, les animaux curieux vinrent lui donner le bonjour, et elle reconnut parmi eux les petits lapins à qui elle avait offert un si joli spectacle. Des poules et un coq sans doute évadés dun quelconque poulailler caquetaient parmi les chèvres et, chose étonnante, un loup et sa louve suivis de deux louveteaux virent se faire caresser. Toute cette communauté semblait vivre en parfaite harmonie. La belle, enchantée de rencontrer tout ce beau monde, caressa et embrassa chacun deux. Le soleil était déjà bas sur la cime des arbres ; elle mangea et se coucha sur la litière de fougères quelle avait confectionnée car elle savait parfaitement fabriquer une couche confortable avec ces végétaux.

La nuit fut douce, calme et reposante. Au petit matin elle se leva, et comme personne nétait là, elle resta toute nue. Leau de la rivière lappelait ; sans réfléchir plus que ça, elle sy plongea et au contact de leau frissonna. Quelle ne fut sa surprise de sentir sur tout son corps une multitude de petites morsures : des sangsues y collaient leur bouche et éliminaient toutes les peaux mortes et les traces de crasse quelle traînait depuis fort longtemps. Lopération dura un long moment, mais le résultat fut probant : la belle avait retrouvé sa peau de bébé, douce et lisse au toucher, et sa chevelure dorée.

Quand elle eut terminé son bain, le soleil était déjà haut. De grands bruits se firent entendre non loin du petit bois. Toute nue, elle se précipita vers la petite maison, y récupéra son couteau et bondit en direction du bruit, mais les loups plus rapides arrivèrent avant elle à lorée du bois en hurlant si fort que les intrus sarrêtèrent net. Elle arriva en agitant son couteau si brillant quil renvoyait les rayons du soleil vers les assaillants. En guerrière, elle imita les loups : elle poussa un hurlement si fort et si strident que les brigands en eurent les tympans crevés, dit-on. Les importuns se mirent à courir et détalèrent comme des lapins en abandonnant les quelques instruments quils avaient en main. Pour terminer le tableau, deux aigles royaux déboulèrent du firmament et foncèrent vers la bande dintrus comme des boulets de canon. Ils en chopèrent un par les épaules et lemportèrent si loin quon ne le revit jamais.

Alors, profitant de la situation et sous la protection des loups, elle récupéra leur armement et remercia allègrement ses protecteurs, samusant avec eux un long moment. Elle joua aussi avec les deux petits louveteaux grands comme deux mains qui explorèrent avec intérêt ce drôle danimal tout blond, tout blanc et sans poils, mais pourvu de nichons. La belle jeunette fut surprise de sentir les deux petites bestioles lui téter les seins, lui mordiller les arpions puis lui lécher le croupion. Ce fut une drôle daction, mais si agréable quelle déclencha en son sein une terrible sensation, la même quelle sétait donnée la veille. Alors elle se laissa lécher le croupion et téter les nichons jusquà lorgasme.

Les jours passèrent agréablement. Mais voilà que par un bel après-midi où, la belle allongée sur le ventre se faisait rôtir loignon, un bruit de pas se fit entendre sur le petit pont de bois. La jeunette sursauta car ni les loups, ni personne navait donné lalerte. Dun bond elle se leva et vit un homme ; elle cacha maladroitement sa nudité, une main sur sa toison et lautre sur ses nichons. Tétanisée, elle fixa lintrus, prête à sortir ses griffes car point de couteau : il était resté planté sur la table de la maisonnette.

Lhomme quelle ne reconnaissait pas fit un pas vers elle, et elle un pas en arrière. Il lui tendit les bras ; elle ne bougea pas. Linconnu se tourna et baissa son pantalon, exposant ainsi à la belle étourdie son derrière. Là, elle reconnut sur les deux fesses de linconnu les blessures que son couillon de père avait faites avec sa fourche à fumier. Elle se mit à trembler car lhomme quelle venait de reconnaître était armé dune épée. Croyant sa dernière heure arrivée, elle se mit à pleurer.

Lhomme se retourna, tira son épée, la planta dans le sol, puis avec un large sourire il ouvrit sa chemise et montra ainsi son torse puissant. Faisant valser son pantalon, il exhiba son membre gonflé denvie et ses bourses prêtes à éclater. Les yeux écarquillés, elle dévoila alors sa nudité et sauta dans les bras de son prince charmant.

Enlacés, leur ventre collé lun à lautre, elle lui offrit un baiser aussi fougueux que ses forces le lui permettaient. Le membre de son prince, bloqué entre eux deux, palpitait très fort de désir. Alors, sans hésiter, elle se laissa couler au sol, emboucha au passage le bel instrument aussi bon quun sucre dorge et le suça longuement. Quand la sucette fut suffisamment baveuse, elle sallongea sur le dos et invita de la main son bel étalon à terminer ce quil avait commencé quelques jours plus tôt. Il la suça, la pelota, lembrassa et la niqua jusquà ce quil éjacule dans lantre de sa belle.

Quand ils se relevèrent, ils eurent la surprise de voir toutes les bestioles forniquer à qui mieux-mieux; les lapines, la renarde et les poules se faisaient toutes farcir loignon ou le croupion suivant le cas. Seule en haut dune branche Dame Écureuil avait délaissé les noisettes pour sucer le gland de son amant, et tout en haut dans les arbres les aigles agrandissaient leur famille.

Cette situation fit beaucoup rire les deux amants. Le prince charmant se rhabilla et enroula sa belle dans le seul vêtement qui lui restait, sa cape : les lapins et les écureuils lui avaient chipé le reste, sans doute pour se faire un nit douillet. Son bel amant la prit dans ses bras, lembrassa et lemporta sur son cheval blanc au château de son père. Celui-ci reçut la jolie pépète avec joie. Il fit sonner trompettes et battre tambours sur le champ pour célébrer les noces de son fils et de la princesse qui nétait plus si jeunette.

Un jour, la belle princesse demanda à son mari comment il avait fait pour la retrouver. Il lui expliqua être allé chez son père pour lui donner une leçon afin de réparer loutrage quil avait fait à son derrière. Quand son père lui annonça quelle sétait enfuie et quune étrange rumeur à propos dune sorcière blonde courait dans toute la province (on disait quelle était toute blonde, lançait des éclairs, vivait toute nue comme une bête avec des animaux énormes qui tombaient du ciel et emportaient les gens, et quelle rendait les hommes fous sils sapprochaient trop près du petit bois) alors il avait tout de suite pensé à elle, et cest ainsi quil était venu la chercher car il en était tombé amoureux.

Mais la belle princesse nétait pas vraiment heureuse dans son château : tous ces gens, ces fêtes et ses beaux atours trop encombrants lui créaient du tourment. Alors son amour de mari lui apprit à monter et lui donna un cheval alezan rapide et puissant. Ainsi la belle allait rendre visite régulièrement à ses amis dans le petit bois ; elle traversait à chaque fois le petit pont de bois qui passait au-dessus de la rivière et sinstallait dans la petite maison de bois.

Où tranquillement allongée toute nue, elle se faisait lécher la minette par

FIN

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