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Les fantasmes de Caroline – Chapitre 4




Chapitre 4 : Mon patron en profite.

Le lendemain nous rentrons en fin de matinée et Franck moblige à prendre mon après-midi pour me « détendre et me reposer ».

Malgré son petit sourire en coin, japprécie dêtre tranquille et après une petite sieste, je vais faire un tour dans le jardin. Je suis en short et haut genre débardeur car il fait assez chaud. Tout en regardant mes fleurs, je repense à la journée dhier et je me dis quil y a quand même quelque chose danormal en moi. Je me suis faite presque violée et finalement jai aimé çà ! Quand mon mari me soumet à sa volonté, jadore ça et cela mexcite un max ! Quand il mordonne dêtre soumise et dans lattente de ses désirs pervers, je jouis presque sans quil me touche ! En fait, hier, Georges ma prise de force et je me suis soumise comme avec mon mari. Et pour couronner le tout, je suis exhibitionniste car jai laissé mon patron me regarder pendant que jobéissais aux ordres de mon mari au téléphone ! A son fantasme de me voir baisée par un autre homme ! Il sen est fallu de peu pour que je laisse Franck me baiser !

Je devrais peut-être consulter un psy qui pourrait me conseiller

En plein dans mes pensées je nentends pas tout de suite quelqu’un qui crie MadameMadame Levant ma tête, japerçois de lautre côté de la haie un homme qui me fais signe. Je mapproche et il me dit.

— Veuillez mexcusez, madame. Jespère ne pas vous déranger. Je me présente : Daniel Donzac, votre nouveau voisin.

Et il me tend sa main que je prends instinctivement pour la serrer. Il me la garde dans sa main quelque seconde pendant que nous nous détaillons mutuellement.

Probablement retraité, mais je ne peux définir précisément son âge, cheveux poivre et sel, très fins, yeux bleu. Un charme certain.

Il a emménagé hier car je nai pas vu de camion en arrivant ce matin.

— Bonjour monsieur Donzac, enchantée. Moi cest Caroline Delatour. Comment allez-vous ? Dis-je par politesse.

— BienBien. En plein aménagement et il fait très chaud ! Nauriez-vous pas un peu de glaçon à me donner car mon frigo commence tout juste à faire du froid.

— Pas de soucis ! Je vais vous en chercher.

Et je file dans la cuisine pour revenir avec un bol de glaçon.

— Merci, madame Delatour. En remerciement, oserais-je vous offrir une boisson maintenant que jai de quoi la rafraîchir ?

— Pourquoi pas.

— Je vais vous ouvrir le portail devant.

— Inutile, je vais passer par le trou dans la haie à son extrémité. Cétait notre passage avec lancienne propriétaire.

Et je me retrouve chez Donzac, dans le salon encombré de cartons non déballés mais avec quand même deux fauteuils et une table basse.

Il revient avec ma citronnade que je lui ai demandée et nous commençons à faire connaissance.

Bla, Bla, Bla, et quand je lui demande ce quil faisait avant de prendre sa retraite, je sens quil hésite un peu.

— Jexerçais une profession un peu particulière

Il me fixe de ses yeux étrangement perçant et ajoute.

— je travaillais avec un site internet de réseaux sociaux. Jétais conseillé.

— A ouiEt quels conseils donniez-vous ?

— Des conseilshumsexuels.

— OH ! En effet ce nest pas banal ! Vous avez dû en voir de toutes les couleurs !

— En effet ! Cest incroyable le nombre de personnes qui ont des problèmes avec le sexe ! Alors jessayais de leur faire avouer leurs problèmes, leurs inhibitions ou leurs fantasmes afin quil se libère un peu et quils vivent une vie sexuelle épanouie en fonction de leurs besoins.

Impensable ! Il y a quelques minutes je me demandais si je ne devais pas aller voir un Psy et mon nouveau voisin est un conseillé sexuel !

Je dois être dans mes pensées depuis un moment car il me dit.

— Madame Delatourça va ? Jespère ne pas vous avoir choquée

— Hein ! Non ! Intéressantça peut être utile

Là, cest lui qui reste sans rien dire et qui mobserve. Jai même limpression quil lit en moi. Dans mon côté sombre et pervers.

— Que voulez-vous direavez-vous un problème quelconque de ce côté-làMais une femme belle et sexy comme vous na sûrement pas des soucis de ce genrecest peut-être une amie ?

— Oui, cest ça ma meilleure amie ma avoué récemment quelle aime être soumise et elle a fait des choses incroyable… coté sexeet elle est un peu perturbée.

— Si je peux laider ce sera avec plaisir. Et comme un Psy, je suis tenu au secret professionnel.

Il me sourit et je me demande sil croit mon mensonge en me tendant la perche avec une soi-disant amie.

-Je lui en parlerais. Bien, il est temps que je rentre chez moi. A plus !

— Je vous reverrais avec grand plaisir, madame Delatour. Vous êtes charmante ! Belle et séduisante !

— Charmeur !

Et je me sauve.

Il me plait bien mon nouveau voisin et il a un charme indéfinissable mais surtout un regard envoûtant qui me fait frissonner rien que dy penser.

Je me demande si jaurais le courageou la folie de me confier à lui, pour quil maide à refouler tous mes fantasmes ou plutôt les assumer ! Et surtout pour en profiter sans remord !

Le soir, quand mon mari commence à me caresser, il est un peu surpris que je lui dise que je suis fatiguée. Mais il ninsiste pas trop et je mendors en pensant à mon nouveau voisin qui mattire étrangement.

Le lendemain mon patron névoque pas notre dernier rendez-vous professionnel et la journée sécoule lentement sans anecdote particulière. Juste avant de partir Franck sort de son bureau et minterpelle.

— Caroline ! Vous êtes encore là !

Et oui, dailleurs je suis la seule car les autres employées sont déjà parties. Franck le constate aussi en jetant un regard circulaire et il ajoute.

— Vous avez encore un peu de temps à me consacrer ? Georges vient de me téléphoner et jaimerais en parler avec vous

Je me demande ce quils ont bien pu se dire et je lui réponds.

— Bien sûr, jai tout mon temps car mon mari rentrera assez tard ce soir.

— Parfait. Venez dans mon bureau, on prendra un verre en même temps.

Je le suis dans son bureau, il me laisse entrer avant lui et referme la porte derrière lui en la verrouillant.

— Franck ! Quest-ce que vous

— Je ne veux pas quon nous dérange.

— Mais Franck

— Tais-toi ! Salope !

— Franck ! Non ! Pas vous !

— Caroline, Georges reconnais quil vous a forcéeau début mais quensuite, daprès ses confidences, il me semble que vous avez apprécié son traitement et quil vous a fait bien jouirVous lauriez même supplié de vous baiser !

— Franck ! Il ma droguée !

— Carolinejuste un petit aphrodisiaque

Je ne réponds pas et il enchaîne.

— De plus avec votre comportement avec votre mari au téléphone je suis quasiment sûre que vous aimez être soumise et vous comporter comme une gentille salope

Je baisse la tête, ne sachant que faire ou que dire et il continue.

— Nest-ce pas, Caroline Caroline ! Regardez-moi !

Sa voix qui claque me fait sursauter et je redresse mon torse pour le regarder.

— Enlevez votre chemisier, Caroline.

— Franck ! Non ! Ne faites pas ça !

— Madame Delatour ! Monsieur Vallorbe sil vous plait! Je suis votre patron ! Et on ne discute pas les ordres de son patron si on veut garder sa place.

-Franck. Heuuu, monsieurSil vous plait

— Pose ton cul sur le bureau et enlève moi ce putain de chemisier ou je le fais moi-même !

Je massieds sur le bord du bureau et lentement, je retire mon chemisier. Franck ricane en voyant mon soutien-gorge blanc et transparent, et quil aperçoit, plus quil ne le devine, mes tétons, qui le déforme.

— Soutien-gorge !

Je mexécute en le regardant dans les yeux.

— Whaou ! Caroline ! Quels seins tu as ! Superbes, gros et dune forme parfaite ! Regardes tes tétons, Caro, Tu vois bien que ça texcite !

« Biens sûr que ça mexcite, mais je ne te le dirais pas ! »

— Franckje vous en prie laissez-moi partir maintenant

— Sûrement pas ! Ça fait des mois que tu mexcites avec tes tenues sexy BCBG et que je me retiens pour ne pas te sauter de dessus. Maintenant que je sais que tu aimes le sexe et de quoi tu es capable de faire quand on te force un peu, tu vas mobéir ! Comme tu le fais avec ton mari ! Caresse tes seins !

Que faire dautre ? Georges lui a raconté de quelle façon je me suis comportée après lui avoir cédé, attachée comme une vulgaire pute et en plus, je lai laissé jouer avec mon corps sous les ordres de mon mari qui ne se doutait de rien. Et, le pire, je commence à avoir chaud entre mes cuisses.

Je gémis même doucement en caressant mes seins et le bout de mes tétons.

— Écarte tes cuisses ! Oui ! Cest bien ! Superbe ton collantmais sans la jupe je men rendrais mieux compte. Exécution !

— NOON ! NON ! Et NON !

— Caro, je suis sûr que tu aimes ce genre de jeu érotique ou un homme te force à obéir. Mais il te faut peut-être une bonne fessée pour te rendre plus souple

— Ah, NON ! Jai horreur de çà !

— On va voir ça !

Il me retourne de force et me plaque sur le bureau en écrasant mes seins, soulève ma jupe et madministre une fessée sur mon cul !

— Annnhhh aiyyyyee noonnn nnaannnNNN ! Arrêtez ! Ouiiiillle !

Il retient un peu ses coups mais après plusieurs claques qui résonnent dans la pièce, je commence à ressentir une certaine douleur.

— Je continueCaro ou tu lenlèves cette jupe !

Matée, je dégrafe ma jupe qui tombe à mes pieds.

— Non de dieu ! Quel cul ! Et sans une marque de slip !

-CaroCarotu as des jambes extraordinaires avec ce collant ! Écartes tes jambes salope !

Jobéis, je sens quil sapproche, et une de ses mains passe sur mes fesses, glisse entre mes cuisses et remonte devant.

-Cest bien ça ! Pas même un string, et tu mouilles Caro ! Dis-moi c’est ton mari qui te demande de ne pas mettre de slip ou c’est toi qui préfère ne pas en mettre ?

— Au début c’est lui qui ma obliger de ne pas en mettre, et puis maintenant je préfère et

— Et quoi dis-moi Caroline.

— Et bien jaime le contact du collant sur mon sexe tout lisse c’est une agréable sensation quand je marche et que le tissu frotte sur ma chatte et

— Continue Caro ! Et quoi encore

— Et quand un homme regarde mes fesses comprimées par ma jupe, je ne veux pas de marques de slip visibles pour quil se demande si jen ai un ou non. Ça doit les excités !

-Tu es vraiment une belle salope ! Moi aussi tu mas excité et je me demandais si tu ne mettais pas des strings.

Sa main et ses doigts caressent ma chatte

— Huuummm ton cul est magnifique et ta chatte est très douce sous le collant et tu mouilles sacrément. Tu vois que tu aimes ça ! Et moi je bande vachement ! Touche !

Dit-il en me tirant un bras en arrière, mais je lui résiste.

— Monsieur VallorbeJe vous en supplie

« Un peu plus jallais dire baisez-moi car il mexcite vraiment maintenant »

Tout en tirant ma main dans mon dos, son autre main passe autour de mon corps, soulève un de mes seins et deux de ses doigts attrape un de mes tétons tout dur et le pince en le tirant.

— AAAAHHHH ! NNOOOONNNN !

Puis jai droit à une nouvelle fessée avant quil ne retire sa cravate et quil mattache mes mains dans le dos et me tire en arrière.

-Tu vois ce que je suis obligé de faire ! A genoux maintenant !

Bien sûr, jobéis et je me mets à genoux, juste en collant et mes seins nus en avant du fait de mes bras tirés derrière mon dos.

Franck déboucle sa ceinture, tire sur le zip et baisse son pantalon. Il bande mon patron ! Son boxer a une belle bosse qui attire mon regard et qui méchauffe encore plus. Oui, jaime ces petits jeux sexuels ou lon se serre de moi comme une esclave, comme une pute !

-Regarde ma bite salope !

Sa belle queue apparaît à quelques cm de mes yeux. Fière, au garde à vous. Pas très grosse mais longue ! Cest bien la première fois que jen vois une aussi longue. Pas loin des 20 cms !

-Alors, Caroline, elle te plait la bite de ton patron ?

Je ne réponds pas, un peu hypnotisée par cette taille inhabituelle.

— Caro ! Je tai posé une question

Dit-il en caressant sa queue et en la remuant devant moi.

— OuiOui, monsieurelle est belle !

— Tu nas pas envie de la sucer

En disant cela il me prend ma tête dans ses deux mains et me force pour approcher ma bouche de sa bite.

Sa main redescend lentement le long de sa bite pour découvrir son gland tout rose, ovale, en longueur, comme sa queue, avec une perle brillante qui suinte tout au bout. Ca lexcite aussi mon patron de samuser avec son attachée commerciale !

— Réponds Caro ! Ou je te fous une baffe !

— Si.

— Quoi ! Dis-le que tu veux me sucer, salope !

— Oh, ouiii, monsieur ! Mettez-la dans ma bouche ! Je la veux !

Ah ce mot salope ! Il me fait frissonner à chaque fois. Ça mexcite sacrément quand on me traite de salope. Mon entre cuisse est trempé tellement je mouille.

Je relève ma tête et je fixe ses yeux brillant de désir. Il va me forcer à le sucer comme une pute de passage. Jaurai préféré quil me baise sauvagement car ma chatte réclame une bite bien dure, mais je suis à sa merci. Je suis en plein folie sexuelle, les sens à fleur de peau et cest moi qui mavance pour gober son gland !

En un éclair je pense à mon mari et une larme perle au coin de mon il.

Pour la deuxième fois en quelques jours, un autre homme que mon mari profite de mon corps et jen ai envie.

Franck remarque mes yeux humides et caresse ma joue de son autre main. Jessaye de sourire quand il recueille la gouttelette salée sur son doigt.

— Tu peux encore partir, CaroMais tu vas le regretter ! Assume ! Tu es une salope qui adore le sexe ! Fais-toi plaisir !

Je le sais bien que je suis devenue une salope folle de sexe et il mexcite comme jamais je ne lai été.

Je suis au pied du mur, je peux encore me sauver en courant, mais son gland mhypnotise. Je respire un bon coup en le regardant sourire vicieusement et javance mes lèvres. Je frotte son gland sur mes lèvres, respire ce parfum qui menivre et jouvre ma bouche.

Depuis mon mariage, seule la bite de mon mari a pénétré dans ma bouche. Et pas souvent car ce nest pas un adepte de la fellation. Ni du cunnilingus dailleurs. Pourtant quand jétais à la Fac, jen ai sucé des bites, de toutes les tailles et même des grosses noires. Mais à mon mariage, jai jurée dêtre fidèle et jai enfoui mes désirs sexuels au fin fond de mon être. Jespère être encore à la hauteur de mon ancienne réputation.

Ma langue tourne autour de son gland avant quil appuie sur ma nuque pour enfoncer sa bite dans ma bouche. Tout mon corps frémit quand je referme mes lèvres et que je passe ma langue dessous sa bite pendant quelle glisse doucement jusquà sentir son gland dans ma gorge.

Jentends mon patron gémir.

— Aaahh, ouiiiiii, suce ma queue ! Ooohhh, putain ! Depuis le temps que jen ai envie. Oui tes une bonne fille obéissante, Caro ! Je sens quon va bien sentendre et que tu vas aimer. Tu vas découvrir des plaisirs inconnus, je vais tinitier Caro. Tu seras ma chose, mon esclave sexuelle.

Il force ma tête vers lui, enfonce sa bite plus loin et je manque de vomir quand elle entre dans ma gorge. Jai vraiment perdu la main !

Il recule ma tête et commence à baiser ma bouche. Mon nez se retrouve dans ses poils quand sa longue bite glisse dans ma gorge. Javale ma salive pour respirer et quand il recule ma tête je bloque son gland entre mes lèvres pour lexciter de ma langue et recueillir le pré-sperme qui suinte de son méat. Je retrouve les saveurs passées et oubliées. Mon collant est complétement trempé par ma mouille et ma chatte me brûle et palpite denvie.

Franck retire dun seul coup sa bite de ma bouche et crie.

— Putain de salope ! Tu suces bien ! Jai failli jouir ! Tas du talent, Caro ! Mais je veux plus de toi !

-Nooonnnn, Franck !

— Ferme-là ! Salope ! Mon souci cest que je ne sais pas où je vais la mettre ! Dans ta chatte qui ne demande sûrement que çà oudans ton petit cul de chienne lubrique ! Il t’encule ton mari?

— Mais ça ne vas pas ! Ça ne te regarde pas ! Sale pervers.

— Je suis peut-être un pervers mais toi tu es une belle salope !

Il me relève en me disant ça et me pousse vers le bureau. Dans mon dos, mes mains attachées agrippent le bord du bureau et je le défi des yeux en arquant mon dos, ventre en avant. Il prend mes deux seins qui bougent au rythme de ma respiration haletante et il les caresse sensuellement, comme sil voulait apprécier leur texture, leur volume et leur fermeté. Ses lèvres caressent le bout de mes tétons tous durs, puis, fléchissant sur ses jambes, ses mains glissent sur mes hanches et mes fesses quil pétrit assez durement pendant que sa bouche coure sur ma peau au-dessus de mon collant. Une main écarte mes cuisses et lautre caresse ma chatte avec un de ses doigts qui part de mon anus pour remonter doucement, en frottant et en insérant le tissu soyeux de mon collant entre les lèvres de ma chatte.

— Huuuuuummmmm

Ça ma échappé ! Mais il mexcite tellement que jai du mal à me retenir de crier « Arrête et baise moi, salaud ! »

Mon corps se tend comme un arc quand sa bouche remonte sur mon ventre et glisse entre mes seins, avec sa langue tendue qui finit sur mes lèvres pour sintroduire dans ma bouche entrouverte. Mon patron membrasse pour la première fois et je goûte à sa langue chaude qui cherche la mienne. Ses lèvres écrasées sur les miennes, nos langues sentremêlent dans un baiser voluptueux qui me fait trembler de plaisir. Quand je pense que ça fait plus de 15 ans que je nai pas été embrassé ainsi par un autre homme que mon mari, je mouille de plus bel lorsquune de ses mains descend dans mon dos et quun doigt sinsinue dans ma raie des fesses pour masser mon anus au travers mon collant!

Sa bouche quitte mes lèvres et glisse dans ma nuque pour ensuite me murmurer dans loreille.

— On dirait que tu aimes ça quon touche à ton petit trouCaroje continue

— OuiiiiiiiiiOoooohhhhh, ouiiiiii

Je ne peux mempêcher de gémir et je détends mes fesses qui sétaient contractées sous son doux massage pour lui laisser plus librement laccès de mon trou du cul.

Il me mordille le lobe de mon oreille et quand son doigt senfonce dans mon anus et que je geins plus fort, il me susurre.

— Alors Carolineil te sodomise bien ton mari je le sens à ton trou du cul qui se crispe et tremble sur mon doigt à travers ton collant.

— AAAAAHHHHH, Ouuuuiiiiiiii ! Salaud ! Ouiiiiiiiii il mencule ! Il me défonce le cul sauvagement ! Comme une bête !

— Salope ! Eh bien moi aussi je vais te le défoncer ton petit cul !

Il mattrape par la taille, me soulève et me pose sur le bureau pour ensuite me coucher sur mon dos. Il prend mes mollets et les soulève pour les lécher à travers mon collant puis il les repousse vers moi, les jambes en l’air et serrées. Il force sa bite en pleine érection entre mes cuisses gainées de noir, en frottant ma chatte à travers le tissu trempé.

— OOOOHHHHHHH.

Je mouille tellement que je sens ma cyprine coulée entre ma peau et mon collant !

Enfin, il tire mon collant sous mes fesses pour le rouler jusqu’à mi-cuisse, il s’agenouille et plaque sa bouche sur ma chatte découverte.

Sa langue est un vrai serpent qui ondule le long de ma chatte avant de sinsinuer entre mes lèvres intimes pour la fouiller en profondeur. Sa bouche se referme sur mes lèvres gonflées pour les sucer et les aspirer puis les mordre suffisamment fort pour me faire crier de douleur et de plaisir. Sa main, sous mes fesses, caresse mon anus et quand ses lèvres emprisonnent mon clito tout dur, un de ses doigts senfonce dans mon trou du cul !

Sous ce magistral cunnilingus, (je devrais plutôt dire bouffage de chatte), et avec son doigt qui sagite dans mon anus.je craquejexplose ! Mon corps se tend, mon cul se tortille pour mieux sentir son doigt dans mon trou du cul et ma chatte ruisselle sur sa bouche vorace.

— OUUUUIIIIIIII ! Putain ! BAISE-MOI ! Prends-moi comme une chienne ! Mets ta bite dans ma chatte ! Vite ! Défonce-moi comme une pute ! Vas-y ! Prends-moi !

Et il me baise ! Sa bite écarte mes lèvres et senfonce dun seul coup au fin fond de ma chatte et son gland vient frapper mon utérus. Il ma tellement excitée que je jouis tout de suite !

— OUIIIIIIIII, OUIIIIIIIII, AAAAAAAHHHHHHHHHHH..

Et sous ses coups de queue, je continue de gueuler tellement mon orgasme est fort et bien entretenu par sa longue bite qui va et vient dans mon vagin en feu. Quand les spasmes de ma jouissance satténue un peu, je peux gémir.

— OOOOOHHHHH, Continueencore.Ouiiiiiiii

Mais il se retire !

— NOOOONNNNNNNN ! Baise-moi encore ! ENCU.

Je nai pas fini mon dernier mot que son gland force mon sphincter et qu’il mencule sauvagement !

— OOOOHHHHHHHOUIIIIIiiiiiiiiiiii

Là, je sens que sa queue est longue et fine car cest merveilleux de se faire prendre le cul avec une telle bite. Suffisamment grosse pour la sentir passer, mais sans douleur ! Que du plaisir de contracter mon cul sur une telle longueur qui va et vient dans mes entrailles. Avec une bite comme la sienne dans mon cul, cest dommage que mon mari ne soit pas là pour me mettre la sienne dans ma chatte !

Malgré mes entraves, jaccompagne ses coups en poussant comme je peux mon cul vers lui. Mon patron tiens sacrément le coup et cest un enculeur de première ! Il sait faire varier la vitesse de ses coups de bite tout en montant et descendant son bassin pour fouiller mon cul de différente façon et exciter toutes les parties internes de mon cul. Quand il me baise doucement je gueule.

— Plus fort ! Défonce-moi !

Et il me prend de nouveau comme une chienne lubrique et il me défonce carrément le cul en venant frapper mes fesses de ses couilles.

Je sens mes sens senflammer et je crois que je vais encore jouir. Et quand il fourre son pouce dans ma chatte en écrasant mon clito, je repars une nouvelle fois dans lextase dun autre orgasme aussi puissant que le précédent.

— OUIIIIIIIIIIII, JE JOUIIIIISSSSSSSS ! SALAUD ! Tu me fais encore jouir ! Et du CUL ! OOOOOHHHHHH… PUTAINNNNNN ! Je te sens bien ! Viens ! Crache ton foutre ! Remplis-moi !

Tous mon corps tremble sous cette fantastique jouissance et jarrive tout juste à respirer tellement les spasmes de mon orgasme éclatent dans ma poitrine, ma chatte et mon cul.

— OUIIIIIIIII ! SALOPE ! TIENS ! AAAAHHHHHHHHHH ! NON DE DIEU !

Les mains sous mes fesses il mécrase sur son pubis et, complétement enfoncé dans mes entrailles, je sens sa bite gonfler et il jouit sous les contractions désordonnées de mon cul et de mes fesses.

Sa tête tombe sur mes seins pendant quil se vide les couilles pour mon plus grand plaisir en relançant mon orgasme.

Je ne sais combien de temps nous restons collés ainsi, comme un chien dans sa chienne, mais ce nest que pur bonheur.

Sa bouche embrasse mes seins, mon cou, mes lèvres, et un long baiser, presque tendre, complète lunion de nos deux corps.

Enfin, sa queue glisse lentement hors de mon cul, il se soulève sur ses deux mains, fixe mes yeux, et me dit.

— Caroline Delatour vous êtes une superbe salope ! Je ne vais plus pouvoir me passer de ton cul ! Et de ta chatte ! Et toi ? Ça ta plu aussi apparemment !

Je ne réponds pas, je passe juste ma langue sur mes lèvres et il sempresse de la prendre entre les siennes. Puis il se recule et fixe mon entrecuisse.

— Putain de salope ! Si tu voyais ta chatte et ton trou du cul ! Ton jus coule vers ton cul grand ouvert et il se mélange avec mon sperme qui ressort de ton trou du cul ! Attends !

Il attrape son Smartphone sur son bureau et clac ! Il immortalise sa première baise avec son attachée commerciale.

— Sublime! Quand ma femme fera la gueule je pourrais me branler avec une vue si érotique! Je te lenvoie sur ton ordi. Ça te fera un souvenir. Mais crois-moi, ce nest pas la dernière fois ! Je nai pas fini de mamuser avec toi et ton corps de déesse ! Tu vas devenir mon objet sexuel, Caro ! Ok ?

— Je le regarde et je balbutie.

— Ouiiiii Monsieur A votre service Monsieur. Comme il vous plaira je suis à vos ordres et à votre entière disposition… Maître !

Il a un sourire carnassier et recueillant entre mes cuisses nos jus mêlés, il enfonce ses doigts dans ma bouche et ordonne.

— Alors, suce salope !

Alors, chers lecteurs, que pensez-vous de ma muse et de ses fantasmes????

Phantome

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