Chapitre 4 :
Le lendemain au réveil, je remarque que le soleil est déjà bien haut dans le ciel. Pourtant, Malya est toujours en train de dormir. Notre position a malgré tout un peu évolué. Nous nous trouvons toujours en cuillère mais je ne sais par quel miracle mon sexe se retrouve agréablement coincé entre les cuisses de ma cousine complètement nue.
Dès que je comprends cela, mon engin durcit et prend du volume à une vitesse alarmante. J’essaie tant bien que mal de me dégager sans réveiller Malya car je sais qu’elle profiterait encore plus de la situation. Mais c’est peine perdue, chaque mouvement me procure de divines sensations qui m’excitent encore plus. Contre mon gré, je commence à me faire des va-et-vient lents et doux entre les cuisses de ma cousine somnolente. Le désir que je ressens pour elle et la frustration de devoir repousser ses avances depuis tout ce temps m’empêchent de m’arrêter. J’ai terriblement envie de coucher avec ma cousine ainsi offerte.
Bien entendu, ces mouvements répétés et très peu discrets finissent par réveiller la diablesse avide de sexe qu’est Malya. Elle frémit et se cambre pour sentir ma verge se frotter avec de plus en plus d’intensité sur son sexe qui s’humidifie peu à peu. Ma cousine tout aussi excitée que moi gémit pour me faire comprendre qu’elle est réveillée et qu’elle apprécie le traitement que je lui offre.
— Tu peux me tirer du sommeil tous les jours de la même façon si tu le veux, me chuchote-t-elle en remuant son bassin à la rencontre de ma verge.
— Je Je ne devrais pas
— Tu n’as qu’à arrêter immédiatement, me nargue-t-elle alors qu’elle presse encore plus mes mains sur son corps bouillant de désir. Hummm Ce serait dommage pour nous deux.
Elle a raison, je sais que je ne devrais pas faire cela mais je suis bien trop excité. De plus, c’est moi qui ai initié ce petit jeu sexuel avec ma cousine, je suis donc le seul fautif cette fois. Malya ne cesse de gémir et de se cambrer pour accompagner mes mouvements. La situation est de plus en plus excitante et je ressens l’envie de la prendre sur le champ. Jamais jusqu’à maintenant je n’ai autant eu l’envie de coucher avec elle. Et je ne veux pas parler de baise, loin de là. Je veux m’insérer en elle, lui faire l’amour et lui montrer à quel point elle me rend fou. Ma cousine semble lire dans mes pensées qu’elle interrompt :
— Je n’en peux plus, prends-moi. S’il te plaît, j’en ai envie
Il ne m’en faut pas plus pour craquer complètement et briser mes dernières barrières. Toujours en douceur mais avec un certain empressement, je lâche sa poitrine pour prendre mon sexe en main afin de le diriger vers le sien. Malya gémit de plus en plus. La garce est excitée comme jamais car elle sait qu’elle va enfin obtenir ce qu’elle veut depuis son arrivée ici. Mon gland s’immisce lentement entre ses lèvres. Malgré mon désir de la pénétrer avec force, je veux la faire languir le plus longtemps possible. Je vois cela comme une vengeance personnel pour le combat intérieur que j’ai mené pendant des jours. Je fais entrer et sortir mon gland à plusieurs reprises sans jamais m’aventurer plus loin. Ca la rend folle, elle gémit tout en essayant de s’empaler sur mon sexe. Elle a perdu tout contrôle d’elle-même. Ses gémissements de plaisir se mêlent à des sanglots de désir. Malya n’a pas juste envie de ma verge, elle en a maintenant besoin. Je comprends que je l’ai torturée assez longtemps, je m’enfonce alors d’un seul coup dans son vagin qui m’accueille chaleureusement.
Malya est presque sur le point de crier son bonheur.
— AAAAAAH ! Enfin ! Je n’en pouvais plus.
Je reste enfoncé dans ce fourreau serré et chaud pendant plusieurs secondes avant de commencer de lents va-et-vient amples. Je fais mine de me retirer plusieurs fois mais Malya est tellement accro que je ne peux pas reculer de plus de quelques centimètres. Ma cousine, complètement en transe, se jette sur ma verge dès que mon gland semble s’approcher d’un peu trop près de la sortie de son sexe. Nous restons donc collés l’un à l’autre dans une danse du bassin enfiévrée.
— Oh oui, je t’en supplie ne t’arrête pas. Continue, encore ! Encore !
Malya est complètement dingue et ses encouragements me poussent à nous donner plus de plaisir à tous les deux. Je m’enfonce de plus en plus en elle, mes bourses butent contre son fessier et se plaquent contre ces deux globes de chair. Je la serre contre moi tandis qu’elle subit sans relâche mes assauts. J’embrasse Malya dans le coup, sur les épaules et je lèche le lobe de son oreille, ce qu’elle semble adorer car elle gémit plus fort à chaque fois que je recommence. Il n’y a pas une seule parcelle de son corps à portée de mes lèvres qu’i n’a pas subi leur passage.
Au bout de plusieurs minutes, je ne résiste pas à l’envie d’accélérer. Cette initiative semble plaire à ma cousine qui me le fait savoir par de nouveaux gémissements et encouragements. La coquine semble fondre peu à peu sous mes assauts répétés. Notre excitation à tous les deux est à son comble. Je me rends bien compte que je ne peux pas tenir un rythme aussi effréné encore longtemps. Je le fais donc savoir à Malya.
— Je ne vais pas tarder à venir.
— Hummm, viens en moi. Je veux te sentir me remplir.
— Tu es sûre ?
— Han ! Oui !
Je ne me fais pas prier plus longtemps. J’accélère encore tout en serrant la poitrine de ma cousine de mes mains. Malya apprécie ce côté brutal qui se dégage de moi quand j’approche de la jouissance. Je sens son sexe se serrer autour du mien tandis que ses nombreux gémissements se transforment en cris. Je n’en peux plus, cette garce qui jouit m’excite beaucoup trop. Dans un ultime effort, je me vide en elle de toutes mes forces. Ma jouissance est si forte que je ne cesse pas tout de suite mes mouvements dans le sexe de ma cousine. Malya apprécie beaucoup trop mes allers et retours dans son vagin pour me laisser m’arrêter. Je sens son sexe se contracter autour de ma verge comme si elle voulait extirper tout mon jus jusqu’à la dernière goutte. Je ne me prive d’ailleurs pas le moins du monde pour lui donner tout ce que j’ai. Je me vide en plusieurs longues et puissantes giclées qui viennent remplir ma cousine de semence.
Quelques instants plus tard, Malya et moi sommes calmés. Je suis toujours en elle et j’avoue avoir du mal à calmer mon sexe qui reste bien dur. Ma cousine, rassasiée pour le moment, ne se dégage pas pour autant de ma verge qui reste fichée au plus profond de son vagin. C’est elle qui rompt le silence la première.
— Ça valait le coup d’attendre, c’était vraiment incroyable.
— Tu es vraiment une sacrée salope.
— Oui je sais, mais je suis ta salope maintenant.
Je dois avouer que j’adore ça, qu’elle soit ma salope. Pour lui faire comprendre que j’en suis ravi, je lui donne un grand coup avec mon sexe pour m’enfoncer un peu plus en elle tout en la serrant dans mes bras et en l’embrassant dans le cou. Je l’incite à tourner la tête vers moi et je me jette sur ses lèvres que j’embrasse réellement pour la première fois. Un intense baiser qui vient sceller notre relation naissante.
Note de l’auteur : La relation entre Antoine et sa charmante cousine a passé un cap aujourd’hui dans ce chapitre 4 qui s’est fait un peu attendre ! Bien que Malya ait enfin réussi à coucher avec son cousin, il leur reste quelques aventures à vivre avant la fin de leur histoire. Soyez patients car il me reste encore quelques chapitres en tête ! Continuez de commenter et de donner vos avis, peut être que cela me donnera d’autres idées de suites et de scènes intéressantes pour nos deux protagonistes !