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Claire et sa tendre Mamie – Chapitre 7




Le soir, Colette est montée avec moi et elle m’a dit que si j’étais d’accord, elle pouvait me faire l’amour avec Marcel, qui était d’accord pour s’occuper de moi, même si au début, il était réticent, car il a peur de transgresser un gros tabou, et peut-être a t-il peur aussi de ne pas être à la hauteur de mes attentes, car je l’intimidais. J’ai aussitôt répondu que j’avais très envie de sentir Marcel en moi, mais que je voulais partager ce moment avec elle, je voulais qu’elle participe activement, qu’elle jouisse aussi de mon plaisir. Colette, m’a aussi précisé que Marcel avait acheté des préservatifs, car il ne voulait me faire courir aucun risque de grossesse.

Nous sommes allées faire notre toilette ensemble, Colette, m’a longuement lavé et m’a mis un baiser sur la fente, en me disant que ce soir, mon minou allait avoir une visite, elle m’a parfumé avec une eau de toilette qu’elle avait acheté pour moi, et m’a brossé les cheveux. Elle s’est mise nue à son tour, et s’est lavée, sans pudeur, en me souriant, elle m’a confié, avec toi, je me sens si bien!, Tu sais, je n’ai jamais fait d’échangisme avec Marcel, ni jamais fait l’amour à plusieurs, ce soir, je me sens comme avant une nuit de noces!

Nous nous sommes couchées nues dans le grand lit de sa chambre, et nous nous sommes enlacées en attendant Marcel. Elle me chuchotait des mots doux à l’oreille, et elle caressait tout mon corps tendrement, elle a mis ses doigts dans ma fente, et elle m’a dit, tu mouilles déjà beaucoup, c’est beau d’être jeune! Elle a sucé ses doigts, puis elle m’a remis ses doigts en les bougeant très lentement, moi, j’ai mis les miens dans sa fente, elle aussi elle était bien humide, elle a écarté ses cuisses pour me permettre de poursuivre mes investigations, j’ai mis deux, puis trois doigts, elle s’ouvrait toujours plus, j’ai mis un quatrième doigt, je sentais tout son vagin se contracter et se dilater autour de ma main, j’ai tourné ma main en appuyant et j’ai senti qu’elle n’aurait pas de difficultés à rentrer entièrement, Colette haletait et faisait des mouvement de bassin pour accompagner les mouvements de ma main, et soudain, elle a serré les cuisses, emprisonnant ma main, inondée de son jus de plaisir. J’ai retiré ma main, et je l’ai léché, le jus d’amour de Mamie était si bon, si chaud, je me suis frotté la chatte avec ce jus. Colette, m’a demandé avec une voix timide : embrasse moi!

Je l’ai prise dans mes bras, et je lui ai donné un grand baiser, unissant nos deux bouches, nos deux langues, nos deux souffles.

Papy Marcel est arrivé à se moment, il venait de faire sa toilette, et nous a dit que nous ne nous embêtions pas! Et que nous devions lui faire une petite place.

Marcel s’est couché entre nous, il avait gardé son caleçon! Les hommes ont de drôles de pudeurs! J’attendais qu’il s’occupe de moi, Colette lui a dit en riant de retirer son sous-vêtement , et de nous montrer son petit matériel. Je l’ai aidé à se débarrasser de l’encombrant vêtement, et j’ai passé la main sur son sexe, déjà de belle taille, mais pas encore dur. Mamie s’est mise à genoux et a pris dans sa bouche la verge, et m’a montré comment donner du plaisir à un homme en passant avec sa langue sur le gland, tout le long de la verge, et aussi sur les couilles, puis m’a dit à toi de faire si tu le veux.

J’ai pris à mon tour Marcel et j’ai commencé à le lécher, puis j’ai eu le désir de téter son gland qui maintenant avait beaucoup grossi, Colette, pendant ce temps, caressait ma fente par derrière et passait ses doigts de mon clitoris, maintenant dégagé de son petit chapeau, jusqu’à mon anus, j’écartais mes fesses et mes cuisses le plus que je pouvais, tout en continuant à aspirer Marcel. J’avais vu une fois ma mère prendre complètement mon père dans sa bouche (CF une éducation très précoce) aussi j’ai ouvert au maximum ma bouche et j’ai essayé d’enfoncer entièrement le membre maintenant gonflé dans ma gorge. J’ai forcé, mais cela m’a fait tousser, et j’ai du renoncer, Papy était trop gros, et surtout trop long, je ne comprenait pas comment ma mère arrivait.

Papy, m’a demandé de m’allonger au milieu du lit, je pensais qu’il allait me pénétrer, mais non, il s’est mis à genoux entre mes cuisse, et il a commencé à me lécher la fente, je sentais sa langue passer entre mes petites lèvres, plonger dans mon intimité trempée de désir. Sa moustache me picotait la fente, et accentuait mon plaisir, Colette, m’a embrassé avec fougue, et elle me caressait doucement les seins, le ventre puis m’a donné ses seins à téter. Que s’est bon tant d’amour!

Marcel, voulait maintenant me pénétrer, il a mis un préservatif , mais Colette lui a dit ne la prend pas couchée, mets toi sur le dos, c’est elle qui va venir sur toi.

Il s’est allongé, en tenant son sexe bien droit, et je me suis mise face à lui, et j’ai positionné mon vagin sur le bout de sa verge, qu’il était gros! J’ai forcé doucement, en tournant ma chatte autour de son gland, qui est rentré d’un coup, après, j’ai fait rentrer le reste de son beau sexe, et là il m’a pris par les hanche, et m’a accompagné dans mes mouvements ascendants descendants. Je sentais tout mon vagin rempli et chaque fois que son sexe touchait le fond, je ressentais un frisson de plaisir dans tout mon corps. Colette, m’a dit de me mettre dans l’autre sens, je me suis retournée, et le sexe est rentré d’un coup, mais il ne frottait pas pareil, les sensations étaient encore meilleures.

Mamie était à genoux devant moi, et continuait à me caresser les seins d’une main pendant que je montais et descendait sur la virilité de Marcel, elle se caressait la fente avec l’autre main. Elle avait rivé son regard au mien, nous avions toutes les deux les yeux qui brillaient d’une intensité et d’un éclat intense.

Papy Marcel, a accentué la cadence, en accompagnant mes mouvements en donnant des coups de bassin, il poussait vraiment à fond son sexe maintenant au maximum de sa taille ce qui faisait un bruit de succion dans ma chatte, tout d’un coup, j’ai senti une onde qui m’a emportée, j’ai accéléré à mon tour le rythme et Marcel m’a mis des coups de reins qui me faisait voler en l’air, j’étais comme illuminée de plaisir, chacune de mes terminaisons nerveuses jouait sa partition de sensation, je jouissais de tout mon corps! Tout en ne détachant pas mon regard de celui de Colette!

Papy a joui en poussant de grands cris, j’ai senti la chaleur de son sperme qui s’écoulait par saccade dans le préservatif, Colette à son tour a joui j’entendais le bruit mouillé de sa chatte inondée de plaisir, et là elle m’a embrassé avec fougue, en portant sa main à mon clitoris, qu’elle a pincé très légèrement, je ne m’y attendais pas, ce qui a déclenché en moi une nouvelle série d’orgasmes.

Je me suis retirée de Marcel, son sexe avait bien rapetissé, et la capote flottait autour, pleine de sperme. Je l’ai retirée, et j’ai pris avec mes doigts le sperme qui coulait sur la verge, et je l’ai porté à ma bouche, le goût était très bon, j’en ai pris encore et je l’ai donné à Colette, qui l’a pris sur sa langue. Après nous nous sommes embrassées, et avons mélangé ce sperme avec nos deux salives, c’était délicieux et surtout très excitant.

Nous avons convenus de dormir ce soir là tous les trois ensemble. Mamie Colette, s’est mise au milieu, entre Marcel et moi. Marcel aurait bien voulu prendre Colette, mais il n’en avait plus la force. Moi je me suis mise dans les bras de Colette, et je lui ai dit à l’oreille, merci Mamie pour cette soirée, je suis la plus heureuse des femmes, je t’aime. Elle m’a serré très fort et m’a répondu que elle aussi elle m’aimait, et que cette soirée avait été une des plus belle de sa vie. Chacune de nous a mis sa main sur le sexe de l’autre, et nous nous sommes endormies enlacées. Marcel s’est assis dans le lit et nous a regardé toutes les deux enlacées, et il a souri, et il s’est endormi avec un grand sourire sur les lèvres.

A suivre ……………………………………………………………

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