Cette histoire sest déroulée il y a une dizaine dannées alors que javais 23 ans. Jétais alors cycliste amateur et parcourait régulièrement les routes de ma région du sud de la France pour mentrainer.
Un jour de semaine au mois de juin, jai une crevaison alors que je roule sur les hauteurs dune colline sur une route assez déserte. Je répare avec mon nécessaire lorsque je casse ma petite pompe manuelle en regonflant. Je me retrouve alors bien embêté et incapable de repartir seul. Je me rappelle être passé devant une maison quelques centaines de mètres avant et décide donc de faire demi-tour pour demander de laide. Jarrive ainsi devant le portail dune belle propriété signe quune famille très aisée habite ici. Après avoir sonné, jattends près de 2 minutes avant quune dame vienne mouvrir. Je découvre alors une femme un peu âgée (jappris plus tard quelle avait 58 ans mais elle faisait plus début de cinquantaine) au style très bourgeoise.
Elle est blonde aux cheveux longs attachés, les yeux verts clairs et la peau très bronzée, signe quelle doit beaucoup profiter du soleil de notre région. Elle porte une petite robe dété à fleurs à fines bretelles sous laquelle je peux distinguer un haut de maillot de bain fuschia. Elle porte également des mules à talons ce qui en fait une femme coquette. Tout en elle respire la féminité avec quelques bijoux et on voit en un coup dil quelle aime prendre soin delle. Elle a en revanche une dizaine de kilos en trop due à son âge mais cela lui permet davoir une belle poitrine un peu trop serrée dans sa robe.
Après lavoir dévisagé, je lui explique mon problème et lui demande si elle a une pompe pour regonfler ma roue. Elle me répond que son mari doit avoir cela dans leur garage et minvite à rentrer dans son jardin. Puis, elle memmène dans son garage ou je trouve une pompe pour réparer ma roue. Je mapprête à partir une fois ma réparation terminée lorsquelle minvite à venir boire un verre sous prétexte quil fait très chaud en cette journée de début juillet. Jenlève donc mes chaussures de vélo pour rentrer chez elle et découvre une très belle maison avec un grand salon et une cuisine ouverte. De là, on a une vue magnifique sur une terrasse avec piscine.
Là, sur la terrasse, en buvant un verre de sirop, je découvre quelle se prénomme Monique. Elle me dit aussi quelle ne travaille pas et que son mari est souvent en déplacement car responsable commercial dune grosse entreprise de la région. Lorsque je lui dis que je suis désolé de la déranger, elle me répond que cela ne la dérange pas du tout car cela lui fait un peu de compagnie. Après 10 minutes à discuter, jallais prendre congé lorsquelle me demande :
« – Avant que vous partiez, est ce que je pourrais vous demander un service à mon tour ?
— Euh oui si vous voulez.
— Jaimerais que vous me passiez de la crème solaire sur les épaules car je vais passer le reste de laprès-midi à bronzer. »
Je suis un peu étonné de la demande car je ne connais cette femme que depuis 15 minutes mais jaccepte. Nous allons près de la piscine et de sa chaise longue à coté de laquelle il y a un tube de crème solaire. Elle enlève sa robe puis sallonge sur le ventre sur sa chaise longue en me tendant le tube. Je commence à lui étaler de la crème sur les épaules et à la masser. Au bout dune minute, je lui fais remarquer que les bretelles de son maillot de bain me gênent dans mes mouvements et elle me répond du tac au tac que je nai quà dégrafer son haut. Je lui défais donc lattache de derrière et laisse tomber son haut de maillot de bain sur le côté. Je continue ensuite mon massage sur tout le dos. Monique ferme les yeux et semble apprécier. De mon côté, je commence à bander sévère devant cette femme malgré le fait quelle ait 25 ans de plus que moi et quelle na pas forcément un corps de rêve. Lorsque jeu finis, elle relève ses épaules pour se mettre sur les coudes et je vois alors ses gros seins pendre. Je bloque inconsciemment mon regard dessus. Elle sen aperçoit très vite et bloque quant à elle sur mon entrejambe où mon cuissard moulant ne peut rien cacher de mon excitation.
Nous échangeons ensuite un regard intense dont je me rappellerais toute ma vie avant quelle ne me fasse un petit sourire puis quelle sassoit face à moi. Je bloque toujours sur ses seins (un bonnet D) qui pendent légèrement mais sans excès pour son âge. Elle me demande alors si je peux lui mettre aussi de la crème devant. Je lui réponds que oui, laide à remonter le haut de sa chaise longue puis commence à lui masser le haut du ventre avant quelle me pousse à remonter ma main. Je me mets alors à lui caresser tendrement un sein puis les deux avec chacune de mes mains. La couleur de ses seins me fait dire quelle ne doit pas bronzer souvent avec son haut de maillot de bain ce qui me permet davoir un beau spectacle. Monique ferme à nouveau les yeux et commencer à soupirer et se mordiller les lèvres. Rapidement, elle glisse une main le long de ma cuisse puis la pose à travers mon cuissard sur mon sexe. Lentement, elle fait quelques pressions et commence à me branler. Nos caresses devenant de plus en plus insistantes, elle se rassoit pour se retrouver en face de mon sexe. Jenlève rapidement mon maillot et baisse mon cuissard pour laisser Monique sen emparer avec sa bouche. Ses coups de langue me font un bien fou et je prends beaucoup de plaisir au point de lui demander darrêter après quelques minutes si elle ne veut pas quon en finisse là.
Je lui demande de se rallonger sur sa chaise puis descend ma main sur son bas de maillot. La coquine se laisse faire et ne dit rien lorsque mes doigts saventurent sous le tissu. Là, je suis étonné de sentir une touffe épaisse alors que je mattendais à une zone épilée vue comment elle avait lair de prendre soin delle. Elle laisse mes doigts saventurer jusquà sa fente humide et se débarrasse rapidement de son bas de maillot pour que jai un accès plus libre. Après un puis deux doigts, Monique me demande dans un soupir de venir mettre mon sexe.
Je lui signale que jaimerais faire cela avec un préservatif mais elle mindique que cela fait 15 ans quelle na pas connu un autre sexe que son mari et quelle na donc pas de maladies, quà son âge elle ne peut plus tomber enceinte et que les préservatifs ne sont pas de sa génération. Convaincu, je me positionne sur elle et rentre lentement avant daccélérer. Je suis étonné par les petits cris que Monique pousse et elle me semble prendre plus de plaisir que je pense lui procurer sur linstant. Alors, que je commence à prendre une crampe, je la repositionne en levrette toujours sur sa chaise. Là, je vois son gros fessier un peu mou remuer sous mes coups de reins alors que ses seins ballotent allègrement. Mes coups deviennent de plus en plus fort et je la baise maintenant sans ménagement ce qui lui fait pousser des cris très expressifs. Elle a rapidement un orgasme alors que je jouis en elle quelques secondes après.
Monique est toute rouge de lassaut quelle vient de subir et reste une ou deux minutes à quatre pattes avant de se rasseoir puis de me laisser me rhabiller pendant quelle part, nue, se doucher. Elle revient toute fraiche avec le sourire et une nouvelle robe pour venir contre moi et membrasser langoureusement pour la première fois. Elle me remercie pour cet agréable moment et nous nous échangeons nos numéros de téléphone pour éventuellement se revoir.
Je rentre donc chez moi en vélo sans avoir fait lentraînement prévu mais en pensant au moment torride que jai passé avec cette femme mature alors que cela navait jamais été un de mes fantasmes.