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Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. – Chapitre 2




Les trois jeunes sont rhabillés, prêts à quitter le métro, après nous avoir adressé quelques mots:

— A elle d’abord: A bientôt belle blonde, on est là tous les soirs à la même heure, si tu veux un bon plan cul tu sais où nous trouver.

— A Christian et moi ensuite: Salut les mecs et merci, trop bonne votre copine. Bonne bourre et courage, elle a encore faim.

Ils descendent à la station suivante.

On se remet à la fouiller, son cul et sa chatte pissent du sperme, et on le récupère pour lui faire lécher nos doigts, les sucer, jusqu’à la dernière goutte.

— Salope, je savais que tu aimais le grooping mais pas à ce point! Ce n’est pas qu’avec les doigts que tu aimes te faire fouiller, mais surtout avec les queues. Ils ont raison les jeunes, je pense que leurs trois bites t’ont juste mise en appétit et que tu as encore faim, et soif aussi! Petite vicieuse!

On arrive au terminus, et elle nous suit jusqu’à la voiture, sans un mot.

Mon beauf prend le volant et je m’installe à l’arrière avec Vanessa. Je trique comme un âne, et baisse mon froc et dessous pour me mettre à l’aise:

— Regarde comme tu me fais bander salope, suce moi, montre moi ce que tu sais faire.

— Vous faites les malins maintenant, à deux vieux contre une jeune, mais vous étiez moins fiers tout à l’heure.

— Qu’est ce tu déconnes! C’est à toi qu’ils ont demandé de pouvoir participer, et tu les a laissé faire, alors on n’avait pas à intervenir. Et puis de toute façon une putain comme toi ça se partage, il faut que tout le monde en profite. Bon et maintenant ça suffit, tu la fermes et tu suces.

— Vous savez que si on se fait chopper par les flics, ça peut coûter très cher.

— Oui, et je m’en fous, ça n’arrivera pas. Par contre ça va te coûter à toi si tu ne m’obéis pas. Et puis arrête de me dire "vous", dis moi "tu", et à mon beauf aussi, comme dans nos échanges.

Elle semble réfléchir à une réponse mais je ne lui en laisse pas le temps. Je la saisis par les cheveux, penche sa tête sur moi, et fourre ma queue dans sa bouche. Elle se laisse faire, et je sens sa langue et ses lèvres s’activer sur mon sexe impatient. Elle me pompe à merveille et je savoure ses caresses buccales:

— Hum, c’est bon, c’est bon salope, oh putain cette bouche à pipe que tu as. Tu es trop bonne, pompe, pompe putain, je veux que tu me vides les couilles et que tu avales tout.

Je me penche sur elle, allonge le bras et retrousse sa robe jusqu’à la taille. Je glisse ma main entre ses cuisses pour la doigter, et elle change de position tout en continuant à me sucer, afin de me permettre de mieux la fouiller. J’y vais sans ménagement, j’y met quatre doigts et ça rentre comme dans du beurre, devant et derrière. Elle apprécie le traitement si j’en juge par ses gémissements un peu étouffés par ma queue sur laquelle elle se démène sans que je n’ai plus besoin de maintenir sa tête. Du coup avec mon autre main je défais sa ceinture et relève davantage sa robe pour pouvoir malaxer ses seins qui m’ont toujours émerveillé sur ses photos.

Elle me pompe de plus en plus voracement, je ne fais aucun effort pour me retenir, et je sens ma sève monter:

— Oui, je viens, je viens, prends tout, avale, bois, bouffe, montre moi que tu es aussi gourmande en réel que dans tes écrits.

Je décharge sans retenue, et je l’entends déglutir pour tout engloutir sans ne rien gaspiller.

Je la relève, range mon paquet, et propose à mon beauf de prendre le volant pour qu’il vienne à l’arrière.

Il se gare dès qu’il peut, et on va pouvoir changer nos places. J’ai les doigts tout dégoulinants de ses sécrétions anales et vaginales, et je les essuie dans sa robe avant de me rhabiller.

Christian est à ses côtés et avant même qu’elle ne réalise il lui arrache sa robe:

— Mais tu es con ou quoi, tu te rends compte si on me voit à poil!

— Ta gueule, suce. Tu ne risques rien, on arrive en campagne, c’est le désert.

— Vous m’amenez où?

— Ta gueule je t’ai dit, tu le sauras toujours assez tôt, suce et que je n’ai pas à te le redire.

Mon beauf est bien mieux monté que moi, une bite que ne renieraient pas beaucoup de blacks, et elle ne discute plus, trop heureuse de ce beau sucre d’orge qu’elle espère faire couler dans sa gorge. Elle s’applique à le sucer tandis que ses grosses paluches la caressent de partout. Il lui fouille la chatte, s’émerveille de la sentir autant mouiller, et essuie régulièrement ses doigts dégoulinants sur ses seins bandés comme des obus. Tout comme moi il ne résiste pas à sa bouche experte et assoiffée, et il éjacule à volonté. Notre petite salope boit tout jusqu’à la dernière goutte.

On est bientôt arrivé, et il a encore le temps de la redresser et de lécher ses superbes seins reluisants de mouille.

On stoppe la voiture devant un grand portail, il passe un coup de fil, et il s’ouvre comme par magie pour se refermer derrière nous. On approche d’une bâtisse devant laquelle nous attende un couple: lui dans les cinquante-cinq ans, petit, aussi large que haut, elle la quarantaine, superbe plante mais tout de la poufiasse.

On descend de voiture, Vanessa veut se rhabiller mais on la fait sortir toute nue lui disant que ce n’est pas la peine. Il fait chaud, et elle ne risque pas prendre froid.

Christian fait les présentations, on se dit bonsoir, et c’est presque surréaliste, vis à vis de Jocelyne, notre hôtesse:

— elle roule une pelle à Christian.

— elle me donne un petit baiser, plaque sa main sur ma braguette en me disant un "salut beau mâle";

— elle embrasse Vanessa à pleine bouche avec un petit mot gentil: bonsoir ma chérie, je n’aurais pu rêver plus jolie fille.

Quand à Augustin, son mari, il nous serre la main à nous les hommes, et écrase les lèvres de notre copine avec les siennes.

Ils nous proposent de les suivre, et je pense qu’il est temps d’affranchir notre petite invitée, qu’elle sache enfin ce qui l’attend.

Augustin est un copain d’enfance de Christian, ils se sont perdus de vue, puis se sont retrouvés pour ne plus se quitter. Il possède un mini cirque familial, sans fauves mais avec des animaux, exotiques pour certains. Il a entre autres trois beaux mâles d’espèces différentes et qui devraient satisfaire notre Vanessa, si elle aussi vicieuse qu’elle veut nous le laisser croire. Je sais qu’elle se vante d’aimer les chevaux, et elle m’a confié une aventure avec un bouc.

Elle semble inquiète du sort que l’on lui réserve, et Jocelyne la rassure lui disant que les animaux sont habitués à baiser des humains, il y en a pas mal qui leur rendent visite pour une expérience zoo, des femmes mais aussi des hommes. La seule différence est que c’est payant pour eux, alors que ce sera gratuit pour elle.

On fait le tour de la maison, on entre dans un pré, et tandis que la patronne va chercher le premier animal, son mari s’occupe de notre "protégée". Il la fait se coucher sur le sol, se fout à poil, et vient sur elle. Son sexe est à son image, pas très long mais bien large, et Vanessa pousse un cri lorsqu’il la pénètre sans prévenir. Un ou deux cris encore, et le naturel reprend le dessus: elle soupire, elle gémit, elle jouit: salope.

Jocelyne revient avec le premier amant prévu pour notre jeune perverse, et son mari s’empresse de conclure, on l’entend grogner, vociférer; et il se soulage les couilles dans le ventre de sa partenaire toute heureuse de ce cadeau.

Il se retire et place notre copine à genoux, assise sur les talons, puis penchée en avant comme pour se prosterner. Sa première monture est aussi à genoux derrière elle, appuyée sur elle. Il s’agit d’un lama, avec une très longue et fine queue. Elle est bien tendue et il tape dans ses fesses, à l’aveuglette, à la recherche d’un trou bienfaiteur. Vanessa écarte ses miches pour lui faciliter la tâche, et il trouve enfin l’entrée du paradis. Il s’enfonce entièrement, plus loin qu’aucune queue n’a jamais été, pour une première exploration profonde. Notre salope n’en finit pas d’apprécier cette pénétration et jouit comme une possédée.

Le lama a fait son affaire et se retire. Jocelyne plante alors un plug étroit dans son anus pour qu’elle conserve le sperme qui lui servira de lubrifiant pour l’animal suivant.

Mais ce n’est pour de suite, on va laisser son cul se reposer, se refermer sur le mince gode, pour mieux apprécier la prochaine saillie. En attendant on va s’occuper de sa chatte et c’est à mon tour de l’allonger au sol et de venir sur elle.

Je la monte comme un bourrin, depuis le temps que je ma tape des queues à sa santé, c’est vraiment inespéré de me la faire pour de vrai. Je la défonce, je la matraque, et plus je lui en mets, plus elle jouit, plus elle en demande. Je coulisse comme un fou dans son écrin à bite complètement liquéfié, et je décharge enfin, la remplis de ma sauce virile. Je me retire et Joceline arrive avec un zèbre qu’elle a préparé.

Il a un énorme manche qui traine presque au sol, mais qui ne semble pas effrayer notre petite, preuve qu’elle pratique bien les chevaux. On l’allonge sur un banc qui est là exprès pour les amateurs(trices) du genre, et on relève ses jambes. Après avoir branlé son animal, la patronne va préparer le fion de Vanessa. Elle retire le petit plug puis la fouille sans concession pour bien l’ouvrir. Son trou est bien dilaté et elle se saisit du sexe du zèbre pour l’introduire. Elle le pousse pour l’aider à s’enfiler, introduit dix bons centimètres, puis laisse faire l’animal. Il est comme un mâle en rut qui se farcit sa femelle en chaleur, et son énorme tringle s’enfonce de plus en plus au fur et à mesure de ce que Joceline le permet, enserrant son manche pour bloquer une pénétration trop brutale. Centimètre par centimètre sa colonne s’introduit plus loin, et notre putain de service ne cesse de jouir de plus en plus fort. Joceline a enlevé sa main et notre équidé est implanté à fonds. Vanessa jouit sans même en avoir conscience, à moitié évanouie d’être aussi fortement possédée. Le zèbre jouit, délivre son quart de litre de foutre, et se retire la queue pendante.

On remet le plug dans le cul béant de notre jeune partenaire, on attend que son trou encore palpitant se referme dessus, et ça va être au tour de Christian de lui bourrer la choune en attendant son troisième étalon.

Il la monte au sol, sauvagement, comme on l’a fait Augustin et moi, et elle s’offre sans résistance, épuisée et heureuse d’être ainsi prise. Après une bonne ramonée il fait sa vidange lui aussi. Joceline amène le troisième animal qu’elle a masturbé pour le rendre opérationnel.

Vanessa ouvre des yeux effarés, cherche quelques forces pour manifester son refus d’aller plus loin, mais elle ne peut rien contre notre volonté et abandonne, obéissante, offerte, soumise, tout ce qu’elle aime être sans oser l’affirmer.

Elle est debout, penchée en avant, et elle sent un ventre se frotter sur son dos, un énorme engin tenter de forcer son petit trou. On lui a retiré le gode, la semence du zèbre sert de lubrifiant, son trou récemment refermé se dilate à nouveau sans effort, et Joceline peut introduire ce dernier sexe animal, celui d’un dromadaire. Il est monté comme un taureau, et nos hôtes nous rassurent disant qu’elle ne sera pas la première à se faire mettre ainsi, et que tout s’est toujours très bien passé.

Le dromadaire s’enfonce, et notre jolie fille fait un pas en avant sous la poussée. Du coup il fait un pas lui aussi, une nouvelle poussée, un nouveau pas, et ainsi de suite. A force d’avancer ils se retrouvent bloqués contre la clôture, et son amant à quatre pattes va pouvoir la posséder sans risque qu’elle ne fuit en avant. Il la force, l’embroche, lui met son pieu entier, et notre putain n’en finis pas de jouir, de gueuler combien c’est trop bon, de lui parler, l’encourager, comme s’il pouvait comprendre. Il jouit à son tour, la remplit comme elle ne l’a jamais été, et se recule pour se dégager et s’en aller.

Une fois de plus elle se retrouve avec le plug dans le cul, et on l’a fait s’allonger à nouveau sur le banc. Augustin balance un grand coup de sifflet, et on voit un grand chien accourir. Il est attiré par l’odeur de la chatte dégoulinante de Vanessa, et fourre son gros museau baveux, sa longue langue habile, entre ses cuisses ouvertes. Elle gémit à nouveau, de plus en plus fort, et ce n’est pas fini. Elle jouit, et plus elle mouille, plus le chien la lèche, plus il la lèche, plus elle mouille, et ça n’en finit pas.

Joceline s’est mise nue et elle enfourche le visage de sa jeune consur de baise. Elle lui donne son huître à bouffer et est émerveillée par le réaction de Vanessa qui se prête au jeu sans tarder:

— Hum, oh oui, tu lèches bien ma chérie! Oh c’est bon, tu es comme moi, toi, tu aimes la queue et la chatte, le sperme et la mouille. Tu vas te régaler ma belle, je suis une vraie fontaine et je vais bien te servir.

Elle se masturbe sauvagement, se gifle le clito, parle à sa chatte pour lui ordonner de gicler. C’est ce qui se produit et c’est une pluie de mouille qui se déverse dans la bouche et sur le visage de sa partenaire ravie de cette offrande. Joceline renouvelle plusieurs fois sa distribution, elle jouit comme une folle, autant que Vanessa doublement satisfaite par notre hôtesse et par son chien toujours affamé.

Notre hôtesse se relève, se dessoude de la jolie petite gueule sur laquelle elle frottait sa chatte, et s’adresse à son chien pour un message indirect adressé à Vanessa:

— Oui, c’est bien mon chien, tu l’as bien léchée comme tu me lèches, tu as mérité de la monter comme tu montes maman, elle va t’offrir son cul comme je t’offre le mien, tu vas la défoncer mon amour, aussi fort que tu me défonces.

Elle repousse le chien et ordonne à Vanessa de se mettre à quatre pattes, les genoux au sol , les bras appuyés sur le banc, les reins cambrés, la croupe relevée, offerte pour une saillie anale. Elle lui met son vestiaire sur le dos pour éviter les griffures, et le canin s’empresse de grimper sur celle qu’il prend pour sa chienne. Joceline guide sa grosse bite dans le petit trou de Vanessa, libéré du gode, et pissant du sperme. L’introduction se fait comme une lettre à la boite, en douceur et profondeur. Le chien est bien ancré en elle, son sexe gonfle dans son anus, se colle à ses parois comme une ventouse . Elle ne peut plus s’en débarrasser et va devoir l’accepter une bonne demi-heure, le laisser décharger à répétition, toutes les minutes.

Ca nous laisse du temps, et Augustin vient fourrer sa queue dans sa bouche.

Joceline regarde le spectacle avec un peu de jalousie, habituée sans doute à être à la place de Vanessa, et elle s’agenouille à ses côtés, dans la même position, et écarte ses fesses.

On a compris le message, Christian et moi, et il me propose de l’enculer tandis qu’il va se faire pomper. C’est ce que l’on fait devant son mari, pas jaloux du tout, tout heureux de la fellation que lui prodigue notre jeune compagne.

On change les places, nous les mâles, tandis que nos femelles restent en place, soumises, offertes. On se relaie tour à tour dans le cul de Joceline, la bouche de Vanessa, celle d’encore de Joceline, tandis que le cul de notre jeunette est la propriété privée du grand chien infatigable.

On s’épuise et on finit par jouir tous les deux, Christian et moi, entre les reins de notre poufiasse, tandis que son mari abreuve Vanessa de sa boisson préférée. Le chien en a fini lui aussi, et son patron lui ordonne de se coucher pour ne pas qu’il nettoie le petit trou de sa femelle d’un soir. Il sait que sa femme va s’en charger, et en effet, après quelques mots susurrés à l’oreille de Vanessa, elles se retrouvent en 69 pour se dévorer la chatte et le cul, s’empiffrer de foutres et de mouille.

On les regarde en se félicitant d’avoir à faire à d’aussi grosses salopes.

Notre soirée est terminée et on repart. On remmène Vanessa, et on discute bien sûr de notre soirée. Elle nous confirme sa passion immodérée pour la sodomie, ce dont on s’est rendu compte, et elle est d’accord pour que l’on se revoit le lendemain.

Arrivé en bas de chez elle, on la laisse, non sans lui avoir donné un dernier baiser:

— Bonne nuit ma chérie, c’était parfait. A demain, même heure, même lieu!

— Oui, avec plaisir, sans problème.

A suivre……………….

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