Six heures du matin. Il y a déjà agitation sur la plage principale. La nouvelle s’est répandue chez les membres Actifs du Club comme une traînée de poudre : les pare-feu ont tous été neutralisés cette nuit. L’opération Mur de Jéricho fut une réussite totale.
Les premiers appels au secours ont été émis par courriels peu après quatre heures. Les éléments rebelles du service de Sécurité et des services informatiques furent les premiers à lancer des appels à l’aide vers le continent et le monde entier.
L’aube voit maintenant l’île entourée d’une flotte de bâtiments provenant principalement des États-Unis et de Cuba. Evnika s’est fait traquer dans son repaire secret. Impossible maintenant pour elle de s’échapper du territoire insulaire et, plus important encore, d’échapper à la Justice internationale.
Les Marines américains sont maintenant débarqués. L’ancien Chef de la Brigade, Jean-Moïse St-Louis et son équipe les guident à travers les installations du Resort. Tous les occupants de l’île seront contrôlés avant l’évacuation : membres Actifs et Sélects, personnel de complexe hôtelier, etc. Les Actifs sont rapidement identifiés comme témoins à charge, aux fins de l’enquête qui se tiendra dans quelques semaines.
Jean-Moïse vient me retrouver à la marina. Il est accompagné de l’Amiral P. Murt, commandant du cuirassé américain U. S. S. Nothingyet. L’imposant personnage me fait un salut militaire en me serrant la main :
« Monsieur Simpson, je suis chargé de vous transmettre un Tweet adressé directement par le Président des États-Unis d’Amérique. Monsieur le Président me presse de vous dire qu’il est extrêmement fier et honoré de participer à cette merveilleuse et extraordinaire opération de sauvetage.
— Dites à Monsieur le Président, lui réponds-je non sans fierté, qu’il ne saura jamais à quel point son apport a été déterminant dans ce mouvement de libération. »
Je m’embarque, accompagné de Catherine, Sophie et Alicia, en direction de la Floride. Une vaste opération de soutien s’organise pour la prise en charge des victimes du système monté par la Grande. Interpol a été interpelé. Puisqu’il s’agit d’un imposant dossier d’enquête, cette dernière sera confiée au Comité International contre les Sévices Et Agressions Universelles (C. I. S. E. A. U.). Il a en effet été décidé de mettre le C. I. S. E. A. U. dans l’affaire afin de mieux coordonner les travaux de recherches et d’enquête qui s’étireront sur un longue période.
À la suite d’une brève visite dans un centre hospitalier pour un contrôle de notre état de santé, nous sommes gracieusement logés dans un luxueux hôtel de Miami. En tant que victimes alléguées, nous bénéficions tous des prestations provenant d’un fonds international d’indemnisation à l’intention des victimes d’actes criminels, lequel couvre toutes nos dépenses.
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Quarante-huit heures ont déjà passé depuis l’invasion de l’île par les autorités policières. Après deux jours de séparation occasionnée par des sessions d’interrogatoires et de rencontres avec les enquêteurs chargés du dossier de la poursuite, nous nous retrouvons enfin, mes compagnes et moi, dans une somptueuse salle à manger de l’hôtel, où nous commençons vraiment à apprécier notre retour à la liberté. C’est autour d’une table bien garnie, que je partage avec Alicia, Sophie, Catherine et Jean-Moïse un petit festin de retrouvailles durant lequel, le vin aidant, certains souvenirs cocasses de nos aventures remontent à la surface.
C’est entre autres devant une Sophie amusée que Catherine, agrémentant son récit de détails croustillants, relate certaines de ses folles nuits passées en compagnie de son ex-patronne, Alicia :
« Alors ce soir-là, elle va de nouveau me brouter le minou. Elle veut tout de suite me déculotter. Je lui dis Non ! Je veux d’abord mes bisous !’ Elle finit par comprendre et on s’embrasse comme deux bonnes gouines. Après, c’est les p’tits becs dans le cou et tout ça. Ensuite elle me prend un sein et commence à me sucer l’autre. Et c’est là qu’elle faillit s’étouffer !
— Ben, je me suis pas vraiment étouffée, corrige Alicia, j’ai juste toussoté, ça me pissait le lait dans le fond de ma gorge !
— Et là, poursuit la blonde, elle s’écrie Catherine, c’est du lait ! C’est du lait !
— J’en bavais quasiment, tellement j’étais surprise ! Cathy n’en revenait pas !
— C’est à ce moment que j’ai compris pourquoi ma poitrine avait grossi ! »
Sophie ne cesse de ricaner à l’écoute de l’histoire. Catherine poursuit :
« Ta copine a pris tout un repas ! Elle s’est rassise sur son oreiller, seulement en petite culotte, et elle s’est mise à roter comme un gros bébé repu.
— J’avais la panse sur le point d’éclater ! Mais que ça m’a fait du bien ! renchérit Alicia.
— Ta femme bavait le lait alors que ma culotte, elle, commençait à baver ma mouille ! Après quoi je lui ai dit qu’elle devrait aussi faire le plein d’endorphine pour son bien-être.
— J’ai répondu Tu veux me faire jouir ? Alors let’s go !’, enchaîne Alicia.
— Donc, elle m’a montré ce qu’elle avait : son gode-ceinture. Mais j’avais jamais utilisé ça, moi !
— On était toutes deux sur le lit. Alors j’ai commencé à le lui installer. C’était drôle à voir, Sophie : j’avais l’impression d’atteler une vieille jument pour la première fois !
— Tu exagères, Ali ! C’est juste que j’étais pas encore habituée.
— Tu sais pas quoi ? Après elle me demande ce qu’on doit faire avec ça ! poursuit la doc.
— Alors là, Ali me parle d’un livre qui n’existe même pas : Le gouinage pour les nulles.
— Ben, je lui dis : Ça va où une bite, d’habitude ? poursuit l’autre.
— Alicia se place enfin en levrette et on s’installe.
— Trrrès trrrès doucement. Tu aurais dû la voir ! Je croyais qu’elle était en train de lire les instructions du gode pendant qu’elle me l’introduisait !
— Ben non, nounoune ! J’voulais juste pas te faire mal, c’est tout !
— Elle finit par me rentrer dedans. Le gode au complet. Me suis dit : Ça y est, elle l’a eu !’
— Alors, ça allait bien, poursuit Catherine. J’avance, je recule, de plus en plus, de mieux en mieux…
— Ça commençait vraiment à être bon. Oui, elle s’en venait bien, la petite.
— Et c’est à ce moment-là…
— Ben quoi, fait Sophie à Cathy, amusée mais presque impatiente d’entendre la suite.
-… son petit trou de derrière commence à me souffler ses flatulences en pleine figure ! reprend Catherine. Je voyais sa rondelle se faire aller sans arrêt !
— Oh non ! c’est pas vrai ? fait Sophie.
— Et ça n’arrêtait pas ! Prout, prout, et prout! Ça commençait à sentir dans la chambre !
— Moi je sentais rien, mais ça sortait tout seul, fait Alicia.
— On sait ben, répond Catherine. Toi tu étais à l’autre bout ! »
Sophie rit de bon cur. Sa respiration en est haletante.
« Je vous imagine toutes les deux : Ali en train de t’envoyer ses pets en pleine figure pendant que tu tentes de te ventiler d’une main !
— À un moment donné, j’avais même pensé lui planter mon mouchard dans le cul afin de lui boucher le trou ! dit Catherine en ricanant.
— Ç’aurait été trop drôle ! fait imaginer Sophie. Pense à ce qui serait arrivé si le plug avait été projeté hors de son fion, sous la force de la pression !
— Ouais, reconnaît Catherine. Je l’aurais probablement reçu en plein front !
— Oui, et on y aurait alors lu ton matricule imprimé à l’envers, conclut Alicia. »
Alicia me désigne alors :
« Tout ça parce que Monsieur n’a pas su tenir compte de mon intolérance au lactose !
— Eh bien, que voulez-vous, dis-je en haussant les épaules. Autant en emporte les vents !»
Tous rient de bon cur et nous trinquons de nouveau à ces amusants souvenirs.
« Vos demoiselles semblent vraiment bien s’entendre maintenant, monsieur Simon, me fait remarquer Jean-Moïse, assis à mes côtés. Et elles ont maintenant du bon temps ensemble !
— Oui, assurément, réponds-je, et j’en suis très heureux pour elles. Je sens qu’elles feront une formidable équipe pour mes prochains… »
Je suis sur le point de dire mes prochains récits’, mais j’arrête là, Jean-Moïse n’étant pas supposé connaître ma véritable identité.
Je me vois donc surpris lorsqu’il reprend la parole, sur un ton plus confidentiel :
« Au fait, ces dames m’ont informé que vous êtes une personne très spéciale : l’auteur de ce récit ? C’est tout à fait extraordinaire ! »
Jean-Moïse fait une pause. Toute la table est soudainement devenue silencieuse.
« Aussi, reprend-il, je désire vous remercier très sincèrement d’avoir pensé à moi pour y jouer un rôle. Cela m’a beaucoup honoré. De plus, si vous pensez que je peux vous être utile pour d’autres histoires, n’hésitez pas !
— Certainement, Jean-Moïse, et pourquoi pas ? D’autant plus qu’on sait que les Noirs ont généralement des queues très grosses et que… »
J’entends soudainement de discrets ricanements et des gloussements provenant de l’autre côté de la table. Les trois filles nous regardent. De la tête, Sophie me fait de rapides signes approbateurs. Alicia nous joint ensemble ses mains pour former un cur. Le visage écarlate, Catherine a les deux mains devant sa bouche. Les trois nous sourient à pleines dents.
« Mes petites garces ! leur dis-je. C’est vous qui lui avez soufflé cette suggestion ??
— Oui oui oui oui ! répond Sophie.
— S’il-te-plaît ? fait Alicia.
— Allez ! m’implore Catherine.
— J’étais loin de m’imaginer que vous en voudriez à ce point-là, fais-je en souriant à mon tour. Je ne vous promets rien, mesdemoiselles, mais sachez que m’étonnez de plus en plus à chaque fois ! »
« Vos demoiselles m’ont aussi dit qu’elles vous avaient préparé une petite soirée spéciale, monsieur Simon. À les voir, je me méfierais un peu !
— Quoi ? Mais quelle est cette histoire, les filles ? je leur demande.
— Oh rien ! Simon, nous dit Sophie. C’est juste quelque chose… pour te remercier, tout simplement ! »
Le repas terminé, je sens que je n’ai vraiment pas le choix : les trois complices m’escortent vers les ascenseurs, en direction de leur chambre. Leur appartement est superbement bien meublé, avec vue sur la mer. Deux lits doubles occupent la place. À voir la répartition de leurs effets personnels, j’ai peine à dire où chacune des filles couche et encore plus avec qui.
« Eh bien, Sophie et moi, nous occupons ce lit, me fait Alicia en désignant l’un d’eux.
— Et de temps en temps, nous traversons de l’autre côté, poursuit Sophie d’une voix basse, en désignant le lit de Catherine. Ali et moi, on se donne rendez-vous au bar laitier !
— Profitez-en car le bar va bientôt fermer pour la saison ! enchaîne Cathy qui, malgré tout, a entendu les derniers propos de Sophie, en montrant à tous que sa poitrine a presque repris sa forme d’avant. »
On me fait asseoir sur un lit. Devant moi, les trois filles se défont de leurs vêtements, tout en ricanant alors que je les observe, amusé mais m’interrogeant sur leurs projets.
Elles s’approchent lentement de moi, toutes trois ne portant qu’un J-string. Celui d’Alicia, turquoise, arbore un papillon imprimé à l’avant. Sophie, en bleu, pivote en me remontrant son papillon tatoué sur la fesse droite. Catherine n’est pas en reste : elle porte elle aussi, dans ses blonds cheveux qu’elle a bouclés, son petit papillon bleu et rose qu’elle y a embroché.
Toutes les mains s’affairent sur moi et entreprennent de me dévêtir.
« Laisse-toi faire, mon beau Simon, me dit tout bas Catherine. Nous allons bien prendre soin de toi. »
Me voilà à poil, en présence de mes trois fées. On me bande les yeux. Mais qu’est-ce qu’elles mijotent ?
« On t’a préparé un petit spécial, cher Simon, m’annonce Alicia.
— Oui, poursuit Sophie. Et c’est sans surprise qu’on t’apprend que c’est Ali qui a tout pensé ! Maintenant lève-toi. »
Aussitôt debout, tout mon corps est envahi de baisers et de touchers on ne peut plus érotiques. Aucune partie de mon corps n’est épargnée, mon organe viril chaud et durci recevant lui-même les caresses alternées de trois paires de lèvres féminines, alors que des coups de langue affectueux viennent me titiller l’anus à travers mes fesses écartées. J’ai l’impression que mille mains se sont posées sur mon corps qui s’est abandonné à ces marques d’affection spéciales.
« Quelles fesses superbes et dodues, fait entendre une voix !
— Et quel organe masculin fringant et délicieux, fait une autre !
— Et pas un seul poil sur lui ! fait une dernière voix. »
On me fait coucher sur un lit. Je porte toujours mon bandeau sur les yeux. Je sens que l’on m’accompagne sur le matelas. Quelqu’un semble s’agenouiller près de ma tête. On s’affaire à mes côtés. J’essaie en vain de deviner qui se trouve où. Le petit jeu devient de plus en plus excitant.
Quelqu’un me saisit les chevilles et me lève très haut les jambes. Une voix se fait entendre, je crois que c’est Alicia :
« On t’a préparé un petit Carrousel-maison. Mais ne crains rien, ce ne sera pas comme ce que tu as vécu. On y a apporté une petite variante ! Une de nous trois te fera une pipe pendant qu’une deuxième t’engode le derrière. La troisième fille t’offrira son beau cul à bouffer. Le jeu consistera pour toi à deviner qui fait quoi. Si tu gagnes, tu auras une belle récompense ! »
Fonctionnant toujours à l’aveugle, je veux bien me prêter de bonne grâce à ce jeu érotique, encouragé par ces derniers mots. Rapidement je sens des doigts assurés prendre possession de mon pieu et le diriger vers des lèvres pulpeuses et humides. Le gland, suivi de la hampe, se fait engloutir dans un voluptueux mouvement de succion. Au même moment, ma rondelle sent la froide présence d’un gel lubrifiant qui me pénètre aussitôt. Ce que je crois être un gode vient me chatouiller la raie alors que deux mains me maintiennent toujours les jambes relevées. Timidement, l’instrument fraie son chemin dans mes entrailles, alors que mes dernières résistances sphinctériennes tombent à sa merci. Dans l’intervalle, j’ai senti s’approcher de mon visage une chaleur humide accompagnée des parfums naturels provenant d’un derrière féminin.
Un conin se frotte à mon nez et attend patiemment mes caresses linguales. Je ne le ferai pas attendre plus longtemps. Un clito de plus en plus gonflé se laisse chatouiller par mes lèvres et ma langue, alors que mes mains explorent ces délicates fesses qui me surplombent. Des va-et-vient assurés parcourent ma verge tendue et emprisonnée dans une chaude cavité buccale alors que le gode a terminé sa longue et lente progression dans mon derrière, avant d’entreprendre timidement ses mouvements sodomites.
Déjà un indice me permet de savoir qui est à ma tête. J’ai une confirmation lorsque, sur un mouvement léger du bassin, c’est maintenant un anus chaud et fortement parfumé d’huiles naturelles qui réclame mes marques d’affection. C’est donc dans cet orifice que je jetterai mon dévolu.
La vigueur et l’assurance avec lesquelles mon pénis est traité m’est aussi révélateur. L’’opératrice’ du gode, quant à elle, sera trahie par un manque d’assurance relié à son inexpérience.
J’annonce mon verdict :
« C’est Sophie que je bouffe, c’est Alicia qui me suce et c’est Catherine qui m’encule ! »
On me retire mon bandeau : Bingo !
Le jeu était facile : Sophie étant la seule des trois entièrement épilée, je n’avais plus aucun doute, et sa soif de caresses anales me confirma la présence de cette petite cochonne au-dessus de ma bouche.
Les gestes assurés d’Alicia sur mon organe viril la confirmèrent à ce poste de travail’.
Ma chère Catherine, malgré ses bonnes intentions, trahissait son manque d’expérience dans l’opération d’un gode-ceinture. Malgré tout, elle a réussi à me procurer de très agréables sensations.
Mes compagnes m’avoueront par la suite qu’elles avaient désiré me laisser toutes les chances possibles dans ce petit jeu à quatre.
Pour ma ’récompense’, on me demande de fermer encore les yeux quelques instants, assis sur le lit, le temps de me la préparer. Encore là, de discrets ricanements complices se font entendre dans la pièce alors que l’on peut entendre un léger froissement de tissus provenant de l’endroit où se trouvent les filles.
« Ça y est, Simon, tu peux ouvrir, à présent ! »
Je vois de nouveaux mes trois espiègles, toute souriantes. Toujours en J-string, Alicia et Sophie entourent Catherine qui, me tournant le dos quant à elle, est maintenant vêtue de son petit slip qu’elle portait devant moi à Montréal, et sur lequel on peut encore lire : Ne signez rien. C’est un piège !’. Un voile de mariée part de sa tête et descend dans son dos. Alors qu’elle se retourne pour me faire face, les deux autres commencent, à travers des ricanements mal contenus, à fredonner La Marche nuptiale.
« C’est quoi, ce cirque ? je leur demande, étonné.
— Eh bien, fait Catherine avec un sourire accompagné d’une fausse pudeur, je viens t’offrir… ma virginité.
— Et Alicia et moi sommes ses filles d’honneur ! complète Sophie. »
Ayant laissé Catherine s’avancer vers moi, les deux amoureuses se tiennent par la main :
« Catherine est toujours restée vierge dans mon lit, affirme Alicia. Il n’a jamais été question pour moi de la déflorer, à cause de mon amour pour Sophie.
— Et lorsque Cathy m’a demandé si je pouvais la dépuceler, l’autre nuit, poursuit Sophie, je lui ai suggéré de se faire prendre par toi plutôt que moi. Je l’ai fait en pensant à toi et aussi à mon Ali que j’adore. »
Catherine est plus séduisante que jamais. Je vois son désir dans ses yeux. Elle colle son corps presque nu sur le mien. Je recommence à bander. Elle m’enlace de ses bras :
« Sois mon époux… pour une nuit. Tes filles m’ont adoptée comme amie et complice. Adopte-moi à ton tour !
— Oui ! fait Sophie. On veut la garder ! Dis oui, Simon ? »
Sophie et Alicia ont les mains jointes. Elles me prient comme si j’étais le bon Dieu.
« Vous serez ensemble dans mon prochain récit. Que diriez-vous d’une petite histoire se passant dans un Centre de Santé de la Montérégie ? Une doc, une psy et une infirmière, ça ferait une super équipe pour travailler ensemble !
— Oh yeah ! font les deux amoureuses.
— Maintenant, dis-je en tournant mes regards vers Catherine, c’est bien écrit sur ta culotte : ne signez rien’. Ce n’est toutefois pas écrit : ne touchez pas !’ »
Ce faisant, je la prends dans mes bras. Nos bouches se rencontrent pour un baiser nuptial. Je la dépose sur le lit défait et la déculotte. Son cur, ses yeux, sa mouille plus abondante que jamais, m’appellent. Elle attend avec joie la défloraison de son sexe juteux alors qu’elle m’exprime ses soupirs les plus langoureux.
Cette nuit sera pour Catherine et moi une nuit de noces inoubliable, l’unique, alors que, dans le lit voisin, Alicia se fera combler par sa cochonne adorée des sublimes joies anales dont elles n’auront plus de raison de se priver. Les ricanements étouffés, les cris et gémissements de plaisir, les je t’aime’ et les mon beau bébé’ se feront discrètement entendre jusqu’au petit matin.
(À venir : Épilogue : L’exécution d’Evnika)