5 – Enfin je suis à lui…

— tu as bien dormie Véro ?

— oui papa, très bien même…

— tes fesses ne te chauffent pas trop une fois au lit ?

— non, non ça va…je m’endors facilement…

— alors je pourrais y aller encore plus fort pour bien t’éduquer…

— oui tu peux faire ce que tu veux papa…puisque tu n’as pas pu le faire avant

À cause de maman tu dois rattraper le temps perdu…je te promets d’obéir, j’aime tes ordres et

tes remarques…

— dis-moi Véro on ne t’as jamais fait de remarques justement et tu n’as pas de surnom ?

— si papa quelques une…et pas de surnom non….

— qu’est-ce quon ta dit alors ? Et qui c’était ?

— au collège surtout papa…dans ma classe j’avais les plus gros seins alors des gars et des filles

Jalouses m’appelaient "la laitière" ou "gros nichons"…

— tu aimais çà ?

— non papa mais quand c’est toi ce nest pas pareil…tu peux tout me dire…

— ah oui ? Même en public tu penses…

Ce serait encore une drôle d’expérience mais pourquoi pas.

— oui papa puisque tu dois m’éduquer…

— on verra çà alors ma petite conne…

— oui papa…quest-ce qu’on va faire aujourdhui ?

— je ne sais pas encore, je vais y réfléchir…va te doucher…

Une fois sous la douche je me dis que j’étais folle, à la limite de l’inceste mais prête à continuer.

Quand je revins mon père m’annonça que son ami avait téléphoné et qu’il venait en fin d’après-midi

Avec sa famille: sa femme Hélène, sa fille Elodie .Je me dis que nos jeux allaient cesser. En attendant papa me

dit que nous irions simplement à la plage et que je ne devais rien changer à la façon de m’habiller.

— ça serait dommage de cacher une si belle paire de nichons à mes amis…ça ne les gênera pas…

Hélène bronze comme toi…

Cette fois quand papa me passa la crème solaire dans le dos, il descendit bien sur les côtés, je

le laissais faire et me soulevais un peu sur les coudes pour lui faciliter l’accès de mes seins.

Il en profita pour glisser ses doigts dessous. Javais peur d’être vue.

— c’est bien ma Véro tu comprends ce que veut dire être docile…

Ses doigts cherchaient mes bouts.

— oh papa mais si on nous voit…

— et alors personne ne nous connaît !

— profite de mes gros nichons alors !

Il les soupesa, les malaxa et tira un peu mes tétons, je me retenais pour ne pas gémir. Je ne

savais pas encore ce qui se passerait quand les amis de papa seraient là. On alla se baigner,

il ne se gêna pas pour me peloter et me faire des remarques.

— tout le monde regarde ta grosse paire sur la plage, sois fière…tes bouts pointent en plus…

— c’est de ta faute papa dès que tu les tripotes ils durcissent…

— c’est bien d’être sensible comme çà, ils te donnent du plaisir on dirait bien…

— quand tu les tires fort oui !

Il m’attira vers lui, j’avais de l’eau jusqu’aux épaules, je sentis ses mains sur mes seins,

Aussitôt il prit mes tétons entre ses pouces et index et commença à tirer. Au début cela me fit

un peu mal, puis le plaisir remplaça la douleur, je m’accrochais à lui, j’essayais de le coller.

— oh papa ! Tu tires fort !

— oui petite conne mais tu aimes çà…accroche toi à moi !

Je passais les bras autour de son cou, mes jambes enserraient sa taille, j’avais mon visage dans

son cou, je gémissais.

— oui papa vas-y…continue. Encore…

Je mordais son cou, ses doigts faisaient rouler mes pointes, jallais jouir ! Il me sentit frissonner

— oui Véro petite salope, jouis !

Je donnais même des coups de reins contre lui, il m’attrapa par les cheveux et tira en arrière, je

me retrouvais le visage face au sien. Une envie folle de l’embrasser me prit, j’écrasais ma bouche

sur la sienne, nos langues se mêlèrent. Il lâcha mes seins et me serra contre lui, ce baiser était

interminable.On se sépara, je n’osais regarder mon père.

— depuis le temps que jen rêvais ! Jétais sûr que tu n’attendais que ça !

Il m’enlaça encore.

— hein petite conne tu le savais ?

— non papa, juste depuis le début des vacances, j’étais trop petite avant…même si j’aimais

Que tu me corriges cul nu…

— tu te caressais déjà alors ?

Je baissais les yeux.

— oui papa quand mes fesses me brûlaient çà me calmait…

— petite salope va et tu as recommencé ici ?

— euh…oui papa…

— en rentrant tu vas être corrigée…

Pour toute réponse je l’embrassais à nouveau, on regagna la plage.

— rentrons vite que j’ai le temps de te punir avant l’arrivée des autres…et ne remets pas ton t-shirt…

On rejoignit donc la villa main dans la main, nous eûmes droit à plusieurs regards. Papa m’emmena directement au salon, il s’asseyait, l’ordre claqua.

— la culotte Véro !

Cette fois je restais face à lui et me dénudais.

— oh que cest beau cette petite touffe …bravo ma fille…tu sais ce qui plaît aux hommes…

Tu dois être une fille facile en fait…tu es vierge encore ?

— non papa, mais il n’y a qu’à toi que j’obéis comme çà…

Il me tira sur ses genoux, toucha mes fesses, il les malaxa. Un première claque arriva très forte.

— AIE !

— cette fois je vais faire ce dont je rêve depuis longtemps Véro…

— oui papa fais le…dis-moi depuis quand…

— depuis que tu es formée…

— tu aurais dû le faire papa…rattrape toi !

— écarte les jambes alors !

J’imaginais la vue que je lui donnais, je me donnais complètement.

— quelle belle chatte ma conne !

Il la frappa doucement, plusieurs fois. Javais honte mais je mouillais déjà.il le remarqua.

— tu es déjà humide cochonne…

Je me cambrais pour m’offrir, il cessa de me claquer et passa son doigt le long de ma fente.

— hummmmmmmmmmmm…oh oui papa…

Il s’arrêta sur mon bouton et s’en occupa, je remuais dans tous les sens.

— ah tu aimes çà ma conne ! Tu aimes que papa te branle !

— oh oui papa encore…fais-moi tout !

Il me relâcha et me retourna, je gardais les cuisses ouvertes.

— tu rêvais de çà quand j’étais gamine hein papa…

— oh oui Véro. Si j’avais su que tu attendais je te l’aurais fait bien avant…jaurais été le premier

Il continua, il insinua un doigt en moi, il rentra facilement, il le fit aller et venir de

Plus en plus vite, j’allais encore jouir.

— les seins aussi papa !

Il tira mes tétons et je jouis. Je repris mon souffle, il avait toujours ses mains sur moi. Il fallait que je lui donne du plaisir aussi.

— tu rêvais de quoi dautre papa ? De ma bouche ?

— oh oui Véro…

Je me glissais entre ses jambes, je sortis son sexe fébrilement, il était tendu, je le gardais dans ma main.

— tu aimes çà aussi ?

— oui j’aime sucer papa…tiens ma tête si tu veux…

Il posa une main sur ma nuque et m’attira vers lui, j’ouvris la bouche toute grande et l’avalais,

Cétait la plus grosse que j’ai eue, papa appuya sur ma tête, j’avais du mal à respirer. Je mappliquais. Il se retira de ma bouche.

— oh Véro ! Tu es douée ! Ta bouche est serrée…ça aurait si bon quand tu étais plus jeune !

— fais-moi ce que tu as envie papa…même ce que maman voulait pas…

— oui petite salope je vais te barbouiller alors…

Il me tira par les cheveux et s’enfonça dans ma bouche sans ménagement, je grognais, il me fit

faire des va et vient le long de sa queue, je le laissais faire. Il sortit de ma bouche.

— branle-moi fort connasse !

— oui papa mets moi en plein la figure. Plein la gueule !

Je le branlais le plus fort que je puisse, il gicla rapidement, j’en reçu partout sur la figure.

— lèche ! Nettoie-moi ! Ta mère refusait çà !

Je me penchais et léchais sa tige à grands coups de langue.

— oh ma Véro tu fais çà bien. Tu aimes le sperme hein même en bouche ?

— oui papa mais surtout le tien…je le boirais quand tu voudras…

Je le sentis redevenir dur sous ma langue, je tétais le gland doucement.

— Véro je veux te faire ce que je n’aurais pas fait quand tu étais petite…je te veux…

— on va le faire alors papa…tu vas me faire un inceste ?

— oh oui Véro…

Il me fit asseoir sur le canapé, il écarta mes jambes, il se plaça devant moi, il me regardait dans les yeux.

— demande-le encore Véro…

— papa viens dans moi ! Saute ta fille salope ! Inceste moi !

Il prit mes jambes et me pénétra, je gémis de plaisir, il me remplissait complètement. Il me tenait aux hanches et me baisait. Le plaisir montait encore en moi, je devenais folle.

— oui papa baise moi fort ! Remplis-moi !

— oui ma Véro, tiens…encore…

Il me défonçait, je le voyais aussi prendre son plaisir.

— humm Véro tu as pris ta pilule au moins ?

— oui papa vas-y jouis en moi !

Il poussa au fond de mon ventre et grogna, je le serrais entre mes jambes. Il m’embrassa profondément il restait en moi.

— oh Véro, on l’a fait ! Tu as aimée ?

— oh oui papa, je suis à toi maintenant…complètement…je suis ta salope, ta conne de fille pour tout ! et ta femme maintenant !

— oui ma chérie salope…allons-nous doucher avant que les autres n’arrivent…

J’avais franchi le pas de l’interdit et j’étais comblée.

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