Florence se blesse (1/2)
Lectrice, lecteur, bonjour ; j’ai reçu de nombreux e-mails me demandant de ne pas arrêter d’écrire les histoires de la ’maman de Michel’. Je les en remercie . J’avais cessé cette série car à chaque histoire, j’effectuais un sondage : ’stop ou encore ’ ; après 12 aventures, le stop l’emportait à 53%. Vos très nombreux et insistants messages m’ont décidé à vous proposer cette nouvelle petite histoire ; maintenant que xstory dispose d’un forum, exprimez-vous sur ce forum, ainsi le sondage sera public. Je cesserai définitivement si le pourcentage de stop passe 51% à l’issue de la présente histoire.
Bonjour, je m’appelle Michel, j’ai 21 ans, et vis avec mes parents dans une zone résidentielle ’bourgeoise’, dans une
villa cossue, à l’intérieur d’ une belle propriété boisée. Mon père Bob est co-président avec Chris (le père de Phil mon
meilleur copain) d’une société d’import-export de matériel hi-fi, vidéo etc… Nos mères n’exercent aucune activité professionnelle. Nos parents, et, Phil et moi nous nous connaissons depuis toujours ; papa et Chris ont fait leurs études ensemble et ont fondé leur société.
Nous sommes en septembre, il fait encore chaud, les vacances sont terminées, la vie a repris son cours naturel. Ce matin-là je suis au boulot (maintenant responsable des stocks dans l’entreprise) ; papa me fait venir dans son bureau. Maman vient de l’avertir que Florence (lire les épisodes précédents) une amie, a été admise aux urgences de l’hôpital G…, elle s’est foulée une cheville ; par courtoisie et savoir-vivre, maman demande à ce que j’aille voir ce qui se passe exactement. Papa accepte et me libère pour la journée. L’hôpital est à 20 minutes de route. En arrivant j’aperçois immédiatement Florence, (64 ans, brune, légèrement ’enrobée’ mais encore séduisante) dans la salle d’attente des urgences. Les soins sont terminés, elle porte un plâtre de la cheville jusqu’au genou, jambe droite.
moi : – Bonjour Florence, alors ?
Florence : – Oh là là, j’ai glissé dans l’escalier et j’ai la cheville foulée. Maurice (son mari) est parti à D…. pour l’organisation de l’exposition de plantes de dimanche prochain. Tu me ramènes Michel ?
moi : – Bien sûr, tout de suite, maman m’a envoyé exprès pour ça. J’approche la voiture.
Une fois stationné juste à la sortie du service ; pour l’aider, car visiblement, elle ne sait pas marcher avec des béquilles je lui dis de passer son bras autour de mon cou et de s’aider de la béquille de l’autre bras. Ainsi elle garde un équilibre correct. Elle est vêtue d’une robe en tissu léger, bleu marine, décolletée en ’ U’, zippée dans le dos qui arrive au niveau du dessus des genoux. Je la saisis quant à moi par la taille et on rejoint la voiture. Durant ce court trajet à pied, elle est serrée contre moi ; et, le fait de passer son bras autour de mon cou déforme son décolleté, ce qui me donne une vue plongeante dedans. Elle porte un soutien gorge noir genre ’balconnet’, le galbe supérieur de ses gros nichons blancs ressort bien. Elle sautille un peu sur le pied valide, ce qui me permet de voir par instants ses têtons dans le sous-tif. Arrivés à la voiture, j’ouvre la portière ’passager’ avant, je recule le siège à fond pour qu’elle soit confortablement installée. Elle s’assied en s’aidant de sa jambe valide, la gauche tandis que l’autre reste en dehors de la voiture reposant au sol. En l’aidant à s’asseoir, je mate son décolleté et le joli sillon entre ses gros nénés, à un moment j’ai presque le nez dedans. Maintenant je l’aide a rentrer sa jambe droite plâtrée, je m’accroupis ; le fait d’avoir à ce moment une jambe dedans et une dehors, l’oblige a écarter les cuisses, sa robe est remontée quand elle s’est assise, j’ai presque la tête entr’elles, j’ai une trique terrible ; je vois sa culotte noire, les poils qui en sortent, elle a une touffe comme maman, bien drue et bien dense, ça fait un renflement au niveau de son pubis dans le slip. Je fais rentrer délicatement sa jambe blessée, en me relevant ma main se pose sur sa cuisse juste au dessus du genou. Elle fait mine de ne s’apercevoir de rien. Je prends place au volant et nous prenons la route de son domicile à trente minutes de voiture, dans un bourg voisin du notre. Elle s’endort durant le trajet, on a du lui donner quelques calmants pour la douleur peut-être. En s’endormant, Florence s’est totalement relâchée, le haut de ses nichons monte et descend dans son décolleté au rythme de sa respiration. La robe est remontée presque en haut des cuisses, de ma place de conducteur je vois la culotte et je me rends compte que son barbu est très fourni. A ce moment j’ai une trique terrible, je suis trop serré dans mon ’jean’, tant pis, j’en descends l’élastique ainsi que celui de mon caleçon sous les couilles, il faut que je sorte ma queue, j’ai envie de me branler, la vieille m’excite.
Dans une traversée de campagne, en plein champ, je décide de sortir de la route et emprunte un chemin agricole. Après une cinquantaine de mètres je me gare dans un endroit où il y a quelques arbres, nous ne sommes plus visibles de la route. Florence dort toujours profondément. je passe mon bras droit autour de son cou et fais descendre ma main dans son décolleté. Je caresse très légèrement le dessus de ses nénés puis, écarte le sous tif du dos de la main et je palpe ses nichons. Ils ont du lui mettre une dose de cheval de calmants aux urgences car elle ne bronche pas. Avec ma main libre, je saisis sa main gauche et y enferme ma bite, dommage qu’elle ne puisse me branler. Elle semble vraiment complètement dans les ’vapes’, je plonge maintenant mes deux mains dans son sous tif et je fais sortir ses gros nénés par dessus. Elle a des nichons un peu moins gros que ceux de maman, je les masse, je les malaxe, je joue avec les têtons, ils durcissent même dans son sommeil, j’en peux plus, je me mets à les téter et à les sucer. Tout en tétant ses nichons, je pose ma main gauche à l’intérieur de sa cuisse gauche, je remonte lentement jusqu’à sa culotte. Avec mon index je masse sa fente de haut en bas à travers le tissu, mon doigt devient humide, elle mouille dans son sommeil la salope. J’écarte le tissu et j’entre un doigt dans sa fente, c’est tiède et humide. Tout à coup j’entends le bruit d’un moteur, certainement un tracteur, je rentre ma bite dans mon bermuda, je remets les nichons dans le sous tif. Un agriculteur passe avec son engin dans le chemin, il regarde la voiture, puis continue sa route, il doit être habitué. D’ailleurs en y regardant de plus près, je m’aperçois qu’il y a pas mal de kleenex qui jonchent le sol sur notre parking improvisé. C’est ce moment que choisit Florence pour se réveiller.
Florence : – Mais ….où sommes- nous ? Je me suis endormie, je crois.
moi : – Oui, j’ai du m’arrêter, heu.. besoin naturel.
Florence : Ah d’accord, oui d’ailleurs moi aussi, il faudrait que je fasse… je me sens toute chose, c’est bizarre, ce doit être les sédatifs de l’hôpital.
moi : – Vous avez certainement raison madame Florence.
Ouf ! On dirait qu’elle ne s’est aperçue de rien, par contre je trique toujours, j’aurai aimé continuer.
moi : – Pour votre besoin, vous ne pouvez pas attendre d’être chez vous ?
Florence : – Non ça presse maintenant.
moi : – Je vais vous aider à sortir. Mais ça ne va pas être commode pour vous, pour …
Florence : – Je vais m’aider de la portière et je ferai debout.
Je sors donc, la jambe blessée d’abord, encore une vue dans son entrejambe, puis l’autre. Elle s’appuie du bras gauche sur la portière ouverte et de l’autre sur une béquille.
Florence: – Heu… Tu vas devoir m’aider Michel.
moi : – Vous voulez vraiment … que ?
Florence : – On ne peut pas faire autrement.
Je m’accroupis devant elle, passe les mains sous sa robe, prends sa culotte par l’élastique sur les hanches et la fais descendre jusqu’aux pieds, je l’enlève complètement. Je bande encore à en péter le caleçon. Elle lâche la béquille qu’elle appuie contre le montant de portière, avec la main libre elle soulève sa robe devant, elle avance un peu le bassin en se cambrant, elle commence à pisser sans pudeur face à moi. Ca coule comme une cascade d’abord puis ensuite en un fin filet, pratiquement comme un homme. Elle se regarde pisser, moi aussi d’ailleurs je ne la perds pas des yeux un instant, le jet sort en courbe de sa touffe, on distingue à peines sa fente rose, tellement le poil est dru. Je baisse mon ’jean’ et mon caleçon et je me branle en reniflant sa culotte.
Florence : – Ouh la la ça fait du bien de tout lâcher quand on en une envie si forte. Ca te plait ?
moi : – P… vous m’excitez à mort Florence.
Florence : – Tu me la rends ?
moi : – Hein ? Quoi ?
Florence : – Eh bien ma culotte, tu me la rends ?
moi : – Heu… oui attendez !
Je me place face à elle, qui a toujours la robe troussée et passe la culotte sur sa fente, je lui nettoie la pisse restante, je me la passe sur le visage et la lèche. Le goût de pisse est assez acide.
moi : – Quelle touffe Florence !
Florence : – Je sais oui. Allez assez joué, rentrons.
moi : – Oh non Florence , vous ne pouvez pas me laisser comme ça, regardez la trique que j’ai.
Florence : – Voyons tu as assez profité, non ? Je te laisse ma culotte si tu veux.
moi : – Bon d’accord, on rentre. Je vous aide ?
Florence : – Non je vais essayer de me débrouiller.
En s’aidant des montants de portières elle prend place, et prenant à deux mains le genou de la jambe plâtrée, elle hisse sa jambe et s’installe. Je resté face à elle au cas ou elle aurait besoin d’aide, ce qui me vaut encore une vue superbe de son barbu quand elle écarte les jambes. Je laisse sa culotte entortillée autour de ma bite, je remonte mon caleçon et mon ’jean’ et reprends le volant. Pendant le reste du trajet elle somnole.
Nous arrivons chez elle, on recommence comme tout à l’heure, je l’aide à sortir de la voiture et entrons dans le salon, je la fais asseoir dans la canapé.
moi : – Je vais chercher les béquilles dans la voiture.
Florence : – Tu es gentil Michel, merci.
Un instant plus tard je reviens, elle s’est levée, a du perdre un peu l’équilibre, et se trouve en appui les deux bras tendu sur la table basse du salon.
Florence : – J’ai essayé de me lever pour voir si je pouvais me débrouiller seule mais ce n’est pas possible.
Je suis face à elle ; dans cette position, penchée en avant en appui sur la table basse, je ne peux détourner les yeux des deux masses blanches de ses nichons dans son décolleté.
moi : – Je vais vous aider.
Je la laisse dans sa posture (presque une levrette), je prends un pouf sur lequel je place sa jambe plâtrée, l’autre restant au sol.
Florence : – Mais….. tu me laisses comme ça ?
moi : – Votre jambe est soulagée, non ?
Florence : – Aide-moi à m’asseoir dans un fauteuil, voyons.
moi : – Pas tout de suite.
J’éloigne les fauteuils et le canapé de la table basse, ainsi elle n’ a plus d’autre d’appui possible. Je me place derrière elle, me mets à genoux sur le tapis et passe la tête sous sa robe. Je sors ma queue de mon pantalon et commence à me branler, toujours avec son slip.
Florence : – Mais enfin Michel ! Que .. ? Tu deviens fou ?
Lâchant ma bite je lui caresse les cuisses, passe une main dans sa touffe sur le devant puis je palpe ses fesses à deux mains.
moi : – Quel joli barbu, quel cul, j’adore regarder sous vos jupes Florence.
Florence : – Mais voyons !
moi : – Vous m’avez excité tout à l’heure, regardez ma trique !
Je me relève, laissant tomber sa culotte au sol, je soulève sa robe sur sa croupe, je la regarde ainsi le cul offert appuyée sur la table, un peu affolée. Je viens devant elle, un peu de coté à cause de la table, en la regardant dans les yeux, je plonge une main dans son décolleté.
moi : – Ohh quels nichons superbes, je veux les voir.
Je dézippe sa robe et la lui enlève et je dégrafe son soutien – gorge. Ses deux gros nénés pendent sous elle comme des mamelles. Je les palpe, les masses, je m’accroupis pour les téter, les têtons sont durs, j’en profite pour lui mettre aussi un doigt dans la chatte, elle mouille la garce.
Florence : – Voyons Michel, c’est bon mais sois raisonnable !
moi : – Depuis que le temps que je fantasme sur vous.
Florence : – C’est flatteur.
moi : – Tu as pissé devant moi tout à l’heure, en plus tu mouilles , c’est que ça t’excite tout ça !
Je me déshabille complètement. Je me place face à son visage, à califourchon au-dessus de la table et tenant ma bite d’une main, je la prends par les cheveux de l’autre, je n’ai pas besoin de parler elle ouvre la bouche et j’y enfonce ma queue.
moi : – Voilà Florence, comme ça oui, sucez-moi. Caressez vous les nichons, faites la salope !
Florence est excitée et restant en appui sur une seule main, elle se pelote les nichons de l’autre, se touche les bouts, je donne de lents mouvements de bassin, je lui baise la bouche qu’elle a grande ouverte, elle salive bien, ça glisse au fond de sa gorge.
moi : – Branlez vous maintenant.
Elle me jette un regard et se met un doigt dans la chatte, sur lequel elle fait de petits mouvements des reins.
moi : – Vous êtes bonne Florence , oui continuez, je vais gicler.
A ces mots elle pousse un gémissement et accélère la branlette de son con et moi je l’accompagne en accélérant le rythme, je vais jouir et elle aussi. Tout à coup c’est l’explosion je gicle, elle gueule, elle vient aussi.
moi : – Ahhhhhhhh tiens ! tiens ! salope ! je te largue tout !
Je lui envoie quatre giclées de foutre et je lui maintiens la tête pour qu’elle avale tout. elle ne peut tout contenir, le jus coule aux coins de ses lèvres sur son menton et tombe sur la table basse.
Florence : – Oh la la Mich’ chéri, j’ai joui. Ca te plait, malgré mon âge ?
moi : – C’était super bon, Florence . Y’ a pas d’âge dans le sexe, vous me rendez dingue même si vous pourriez être ma grand-mère.
Florence : – Embrasse-moi !
Je colle mes lèvres sur les siennes et on se roule des patins, plein de mon jus. Elle me met sa langue, je la lui suce. Je viens de me faire pomper par cette vieille salope de copine de maman, incroyable ! Je suis tellement excité que je ne débande pratiquement pas. Je me place maintenant derrière Florence et dirige ma bite sur sa fente, je vais la prendre en levrette ; elle est trempée, d’un coup de rein je suis dedans.
moi : – Tiens ! Prends bien profond dans ta chatte, je vais te baiser vieille salope ! T’aimes ça hein ? Te faire tringler par des jeunes.
Florence : – Ahhhhh oui Mich’ chéri, prends moi, j’ai envie de toi.
Je m’agrippe à ses hanches et je la bourre à grands coups de reins. Je me penche par moment sur son dos pour masser ses gros nichons. Elle se donne bien, avance ses fesses sur ma bite, elle ressent du plaisir et gémit.
moi : – Tu mes sens bien là, cochonne ?
Florence : – Ouiii, chéri vas-y, encore, c’est bon.
moi : – Dis-moi que tu es ma vieille cochonne !
Florence : – Oui Mich’ je suis ta vieille cochonne.
moi : – Mets-toi un doigt dans le cul, continue à faire ta salope !
Pendant que je la bourrique toujours en levrette, elle s’introduit le médius dans le cul et le fait rentrer et sortir.
moi :- Mais tu fais tout ce que je te dis, t’es une vraie chienne !
Florence : – Ahhhhh , je suis ta chienne oui, continue, encore encore !
Son anus se dilate un peu avec le doigt qui le lime, l’excitation augmente.
moi : – Je vais t’enculer salope ! Dis-moi que tu veux que je t’encule.
Florence : – Ouiiii vas-y, encule moi, je veux sentir ta bite dans mon cul.
moi : – Maman adore ça ! tu le sais, qu’elle aime se faire prendre le cul ?
Florence : – Ouiii, je sais, on aime ça toutes les deux.
Je sors ma bite de sa chatte et présente mon gland sur sa rondelle. P… je m’apprête à sodomiser cette vieille cochonne, c’est fou ça ! J’écarte une fesse avec un pouce et commence à pousser Le gland rentre doucement et disparait dans le conduit anal, je continue à pousser, c’est un peu étroit ça me tire sur le frein mais j’arrive enfin a tout rentrer jusqu’à faire buter mes couilles.
Florence : – Aïeeeee ça fait mal, mais c’est bon.
moi : – Tu as ma bite complètement dans ton cul de salope, ça y est je vais te bourrer ton cul.
Je commence à lui bourriquer l’anus, encore une fois la tenant par les hanches. Sa rondelle dilatée s’élargit à la dimension du gland lorsqu’il arrive presque au bord puis se rétracte sur la hampe quand je m’enfonce dans son intestin. J’ai commencé à limer lentement mais maintenant le plaisir monte j’accélère et je lui mets des grands coups, comme si j’étais dans sa chatte, je lui défonce son cul. Elle gueule de plus en plus fort de douleur et de plaisir, elle se pelote les nichons, elle se met aussi un doigt dans la chatte, se titille le clito, elle a complètement oublié son plâtre elle est partie pour jouir encore, tout comme moi d’ailleurs. Par moment je sors complètement ma bite, je la passe dans sa raie de haut en bas et je lui ré-enfonce dans le cul qui s’est élargi aux dimensions de ma queue. On arrive à la jouissance en même temps. Elle prend son pied en gueulant encore très fort, et moi je lui lâche tout dans le cul.
moi : – Ouiiiiiiii tiens tiens salope je jouis dans ton cul ! Tiens mon foutre ! Tiens ! Tiens !
Florence : – Ahhhhhhhh je jouiiiiiiiis ouiiiiiiiiiiiii c’est bon !
On reste un instant figés, le temps que je débande un peu, je sors ma bite de son cul et le foutre dégouline de l’anus dilaté sur les cuisses, sur le pouf. je ramasse sa culotte et je lui sèche un peu tout ça.
Tuuuuuuut ! Tuuuuuuut ! Je jette un oeil par la fenêtre du salon.
moi : – Merde ! C’est Maman, et votre mari arrive aussi; P…. ! On a pas vu passer l’heure, vite vite dans le fauteuil Florence !
Je débande complètement immédiatement, je remets les fauteuils tant que bien que mal, j’éloigne le pouf et rajuste sa robe et pousse Florence dans le canapé, je mets sa culotte et son sous-tif dans la poche de mon ’jean’. Ouf ! y’avait urgence !
C’est bien maman qui vient d’arriver, rendre visite à son amie, plâtrée et ’malade’ en principe. Maurice le mari de Florence arrive en même temps que maman. Ils se saluent à l’extérieur, ce qui nous laisse quelques secondes pour nous rajuster. J’ai la bite qui me fait mal, le frein a du s’irriter pendant l’enculage.
(stop ou encore ?)