En fin d’après-midi, je vais avec Justine préparer le repas. Quand nous sommes dans la cuisine , Justine me demande comment c’est passé l’après-midi, je lui raconte. Elle sourit et me dit que Marion a vraiment du potentiel mais qu’elle a de qui tenir. Elle me raconte à son tour son après- midi. Ils ont joué aux boules. C’est Justine qui a portée les huit boules. Six sur les anneaux du bas et deux sur les anneaux du haut. Elle a eu très mal, surtout qu’ils s’amusaient à les faire balancer. Elle a sucé Robert qui, malgré son âge, bande encore bien et a léché Simone, qui adore cela. La partie a duré très longtemps. Elle a été heureuse quand ils lui ont dit d’aller ranger les boules même si le chemin a été difficile. Et puis, ils ont inventé un nouveau jeu, je pense que j’y aurai droit aussi un de ces jours. Robert a fait un string avec des élastiques que Justine a dû enfiler. Après, elle est passée auprès des quatre à tour de rôle. Ils prenaient l’élastique, tirer dessus et ils le lâchaient. Cela pouvait être au niveau des hanches, de la raie des fesses et du pubis, c’était selon leur envie. Cela fait très mal surtout celui du pubis, l’élastique passe entre les lèvres et tape sur le clito. A la fin, ils s’y sont mis tous les quatre ensemble. Ils ont tiré sur l’élastique et ils l’ont lâché en même temps. Justine s’est roulée par terre tellement elle avait mal. Son maître est venu la consoler. Simone est venue à son tour, l’a prise dans ses bras et l’ a caressée avec douceur et tendresse.
Quand Justine a été mieux, ils ont été s’installer sur la terrasse et ils ont parlé. Justine était au pied de son maître. Ils ont parlé de Marion. Robert et Simone sont très fiers de leur petite-fille, ils disent qu’elle leurs ressemble. A chaque fois qu’elle vient les voir, cela leur donne un coup de jeune et les revigore. Ils espèrent qu’elle viendra toujours pour les vacances mêmes si elle est majeure maintenant. Justine n’a pas vu l’après-midi passé et a été étonnée de nous voir arriver si tôt.
Nous finissons de préparer le diner et allons rejoindre tout le monde. Ils décident de prendre l’apéritif. Je me retrouve dans la même position que ce midi. A ce moment, Marion reçoit un message. Elle le lit, sourit et dit à ses grands-parents:
— Ça y est, Kevin a trouvé un appart. On sera bien en coloc tous les trois, moi, Kevin et Laure. Génial, je suis heureuse.
— Je suis contente pour toi. En plus, ils sont gentils, dit Simone
— Et trouver un appart à Paris, ce n’est pas évident, ajoute Robert
— Oui, il a fallu que je booste Kevin
Un autre message arrive. Marion regarde et demande à sa grand-mère :
— Institut plein de douceur, ce n’est pas ton esthéticienne
-Si, pourquoi, tu veux y aller?
— Non, c’est Laure. Elle me dit qu’elle a rendez-vous là-bas demain après-midi.
Je la regarde, souris. Marion répond à mon sourire et me fait une caresse au visage. Le repas se passe tranquillement .Tout le monde est joyeux, détendu. A un moment, Justine passe sous la table et va lécher, sucer suivant le cas. Nos maitres sont aux anges. Quand Justine arrive à Marion, elle s’applique et lèche un peu plus longtemps. Marion laisse échapper un soupir.
— Vous les avez vraiment bien éduquées, vos femelles. Elles sont obéissantes, de bonnes lécheuses, que du bonheur
Justine ressort dessous la table et se met à côté de son maître. Marion a descendu sa main au niveau de mon vide-couille et s’amuse avec mes grandes lèvres. Robert me pelote le cul sans vergogne.
Ils décident de prendre un digestif sur la terrasse. Je fais le service avec Justine, après avoir servi les différents alcools, je viens au pied de mon maître. C’est le dernier soir que nous passons ici. Les vacances sont finies, hélas. Demain, nous faisons nos valises et rentrons.
— Merci de nous avoir invité toute cette journée. Cela a été très agréable, dit Robert.
— Oui, vous êtes vraiment les meilleurs locataires que l’on ai eu . Vous pouvez revenir quand vous voulez et sans payer, enchaîne Simone
— Moi, j’ai apprécié le cadeau. Dommage que cela soit si court, j’aurais aimé l’avoir plus longtemps
— Tu vas sur Paris, Marion. On trouvera un moyen de s’arranger, ne t’en fais pas, dit mon Maître
— Bon, ce n’est pas tout cela, on va vous montrer quelque chose. Vous les deux femelles, montrez votre cul, visage par terre ordonne maître Michel
On se met l’une à coté de l’autre. Le cul bien relevé, face contre terre, jambes écartées. On attend,
Mon maître explique:
— Vous allez voir comment ces deux femelles obéissent. On va prendre les martinets, ceux-là, à longue lanière. On va leur fouetter le cul et elles vont jouir au dixième coups de martinet, pas avant
J’entends les maîtres s’approcher. J’ai un peu peur et je suis terriblement excitée. Le premier coup tombe, sec, puissant. Les autres suivent assez rapidement. Je suis en transe. Marion, Simone et Robert comptent à haute voix. Ils sont à neuf. Ma mouille coule gluante, elle est très visible. Marion ne manque pas de le remarquer, elle dit:
— La salope, elle est excitée comme une chienne en chaleur.
Ils disent à l’unisson, dix. Je jouis, en gueulant. Je ne sais pas si Justine a joui elle aussi. Je ne bouge pas.
— Voilà, dit mon maître, c’est cela nos soumises, des femelles très obéissantes comme vous pouvez le constater
— Merci pour le spectacle et cette apothéose est parfaite, répond Robert.
Ils partent, ils disent au revoir à nos maîtres sans faire attention à nous sauf Marion qui vient vers moi. Elle prend mes tétons avec ses ongles
— Au revoir, salope. Ce n’est qu’un au revoir, j’ai le portable de ton maître et je compte bien profiter de toi.
Elle dit cela en serrant mes tétons et en tournant.
— C’est mon maître qui décide, vous savez bien
— Je sais, salope..bye..
Ils sont partis. Je me dépêche d’aller ranger la chambre avant que mon maître rentre. Marion a mis un beau désordre. Une fois fait, je retourne à la terrasse.
— Allez , tout le monde au lit, dit mon maître
Il me regarde
— Et toi, tu dors avec moi. Demain on rentre et après-demain au boulot
Lover contre mon maître, je m’endors rapidement