Bonjour.

Cette histoire s’est passée il y a dix ans. J’avais la quarantaine.

J’étais au mariage dans le sud de la France d’un de mes neveux par alliance, Paul.

Nous étions dans une suite d’un magnifique hôtel 5 étoiles.

J’étais habillée très classiquement, très très chic.

Une robe dos nu, soyeuse, avec un décolleté plongeant sans soutien. Mes seins bien accrochés, loin de tombés avec une gorge magnifique pouvant s’en passer.

L’effet était ouahhhh.

Tout les mâles n’avaient d’yeux que pour moi.

On percevait facilement les pointes de mes seins libres frotter le tissu léger à chacun de mes déplacements.

Qui plus est quand je me penchais, le voisin de table pouvait se régaler du spectacle intégral.

Je ne portais pas de bas et j’avais un slip en soie blanche épousant comme j’aime parfaitement mes charmes.

J’étais en dispute depuis deux, trois jours avec mon époux pour des futilités et ni l’un ni l’autre ne voulions en découdre.

On boudait un peu chacun de son côté.

La réception, le repas, nous avions trop bu, surtout mon époux.

La soirée se profilait.

Belle, brune de 40 ans, aux formes bien équilibrées, souriante et avenante, j’avais beaucoup de succès avec tous mes partenaires que je ne connaissais quasi pas.

Je dansais avec un vieil oncle, un beau frère une valse, un rock endiablé.

Mon mari, piètre danseur, lui était accolé au bar et en discussion philosophique.

Il était déjà très loin.

La soirée battait son plein, quand je fus happée par un très bon danseur qui me faisait virevolter comme un déesse en profitant des figures pour mater ma poitrine libre, trop libre.

J’étais en émoi, mes seins pointaient.

je commençais à mouiller ma culotte.

Une série de slows suivit.

Il ne me lâcha pas.

L’obscurité aidant, l’heure avancée, mon mari affalé à une table, je me laissais aller, diriger par ce partenaire très agréable et très courtois.

Nous discutions de tout et de rien.

J’appris qu’il était avocat à Paris, qu’il était en célibataire, sa femme étant en séminaire.

Il était aussi dans le même hôtel, une chambre à côté de la nôtre.

Il me faisait bien danser, il me tenait fermement.

Puis sur une musique de Franck Sinatra, il en profita pour vraiment me coller,

Je me laissais faire, je le laissais emporter.

J’étais bien, il sentait bon, il était beau. J’étais à lui.

J’avais l’impression d’avoir retrouvé mes 20 ans.

Ce qui devait arriver, arriva.

Je sentais qu’il commençait à bander.

Je le sentais.

J’étais bien, j’étais flattée de son désir pour moi.

Plutôt que de m’esquisser, je fis tout pour que ce contact soit des plus agréables pour nous deux.

Je me pendais à son cou, je poussais mon bassin vers cette verge fière. On était conscient l’un et l’autre de la situation érotique que l’on vivait.

Ce petit jeu dura trois, quatre slows.

Il avait ses mains qui découvraient chaque centimètre de mon dos.

Il était en chemise et il devait certainement sentir lui aussi l’érection de mes seins écrasés sur sa poitrine.

Folle, voulant en sentir plus,discrètement, j’ouvris sa braguette et baissai discrètement son slip pour que sa verge soit libre et tendue. Je sentais son gland pointer là où il faut.

Je lui dis dans le creux de l’oreille que je mouillais comme une folle.

Les hommes aiment ce genre de confidence, croyez-moi.

Nos ébats étaient cachés.

Je le sentais se frotter du mieux qu’il puisse là où il pouvait.

Il me dit tout bas, je ne vais pas tenir longtemps.

Je lui dis,éjacule sur moi, donne-moi tout ton jus …

Il explosa sur ma robe.

J’eus un orgasme cérébral des plus intenses.

Que faire ? Comment faire évoluer cet état de bien être ?

Discrètement, on remit de l’ordre dans notre habillement.

Je sentait ma robe mouillée !

La soirée finissait.

Je devais aider mon mari à regagner notre chambre.

Etant très éméchés et quasi incapable de tenir sur ses pieds, mon avocat adoré m’aida à conduire tant bien que mal mon époux dans notre suite.

Il m’aida aussi à le mette au lit. Il sombra de suite dans un sommeil profond.

L’opération mise au lit terminée, c’est au salon que l’on se retrouva.

C’est dans le grand fauteuil que nos ébats reprirent.

Très vite, la chaleur monta.

On s’embrassait, il me caressai les seins.

De mon côté, je flattais son entre-jambe et pus très vite me rendre compte qu’il bandait à nouveau très ferme.

J’étais bien.

J’étais avec un bel homme qui sentais délicieusement bon.

Il était en érection pour moi.

Il m’ôta ma robe.

J’étais en slip, les seins nus, à sa merci.

J’ouvris son pantalon et comme j’aime, vous l’avez déjà lu, je caressais du bout des doigts sa verge au dessus du slip.

Les homme adorent.

Ca fait prendre à la verge des dimensions hors normes.

J’aime voir le gland sortir du slip.

J’adore voir cette première goutte de jus dont je raffole.

Je mouille comme pas deux.

Il s’en rend compte. Lui aussi me caresse et incruste le tissu du slip dans mes chaires intimes. Il fait descendre mon slip à mi cuisse.

Je suis sur lui.

Il doit avoir une vue superbe.

Le cul en l’air, slip à mi-cuisses avec les seins qui pendent.

Je sens qu’il bande à fond.

Je vais lui bouffer sa verge.

Je suis excitée.

Petits bisous sur le gland, décalottage, recallotage du fourreau.

Je n’en peu plus, ses caresses sur mes lèvres et mon clitoris font monter de plusieurs crans mon excitation.

Je le veux, je veux qu’il m’enfile, je veux qu’il me lime, je veux qu’il bute sur mon utérus, je veux que ça dure, je veux qu’il explose et me remplisse de tout son jus.

je lui dis.

Ce dialogue le stimule.

Il me dit qu’il aime prendre les femmes mariées.

Elles sont très juteuses, elles sont matures, elles aiment le sexe. Elles le vivent.

Et il rentre en moi doucement.

Je sens le gland qui progresse. Je sens ses mains qui s’occupent de mes seins.

Je sens sa hampe qui prend possession de moi. Je suis remplie. Je bouillonne mentalement.

Je mouille comme une folle.

Je sens qu’il aime.

Il est à fond en moi.

Il baigne dans mon jus de femme mariée excitée.

Il me lime a gauche, à droite, en haut, en bas comme j’aime.

C’est fort.

Je Hurle tout mon plaisir.

Il éjacule plusieurs fois avec force.

Je le sens.

Je suis pleine de son jus.

C’était fort.

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