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Des hommes et des chiens pour ma petite chatte. – Chapitre 1




Cette histoire raconte comment les chemins d’un groupe d’hommes et de leurs chiens ont croisé ceux d’une jolie femme.

Il y aura la version vue par cette dernière et celle des hommes.

Commençons, si vous le voulez bien, par la narration de Madame.

A cette époque, le dimanche matin, quand mon copain avait travaillé toute la nuit et qu’il faisait beau, je sortais pour ne pas le réveiller. Je passais deux à trois heures dans le parc à côté. Même si on habitait dans une petite ville d’une vingtaine de milliers d’habitants, il était, et est toujours souvent fréquenté. Alors, pour être tranquille, je m’isolais dans l’une des allées les plus reculées, sur un certain banc qui reçoit le soleil doux et lumineux du printemps. J’y  étais à l’écart des joggeurs qui fréquentent les grandes allées ou de l’aire de jeux pour enfants, si pleine de bruit. J’y étais à peine dérangée par le passage rare d’une ou deux mémères à toutou, toutes gentillettes avec lesquelles on échange d’habitude quelques mots. Quand elles étaient passées, je reprenais ma lecture, au calme, enfouie dans le bon bouquin du moment.

Ce dimanche là, j’ai vu arrivé un type, accompagné d’un grand chien, bâtard de je ne sais quelle race. Le mec avait tout du marginal. Rangers, pantalon de treillis à ceinture, marcel noir, cheveux rasés sauf une crête. Il portait une veste sans couleur, tellement elle était salle, sur l’épaule. Il avait une barbe de trois jours. C’était un magnifique garçon aux muscles saillants, au visage à la fois juvénile et buriné par la vie au grand air, des traits carrés. Il pouvait avoir de vingt à vingt-deux ans. J’avoue l’avoir considéré avec insistance et peut-être l’ai ainsi encouragé.

Oui, j’ai sûrement dû le regarder trop longtemps, même si mon coup d’il a été furtif. Il s’est approché de moi, s’est planté juste devant moi, presque à me frôler. Il a posé sa main sur sa braguette et a commencé à se toucher. Je ne levai pas les yeux vers lui, enfin pas plus haut que la ceinture sous laquelle une excroissance visible me donnait du désir mais je n’osais pas bouger.

— Tu suces ?

Je n’ai pas répondu, plus à cause de la vulgarité de la demande que pour la demande elle-même car l’engin pour tout dire me faisait de plus en plus envie.

— Je suis sûr que tu suces. T’as une belle bouche à zobs, salope.

Je n’ai toujours rien dit. Trop vulgaire le mec… s’il y avait mis plus de formes… pourquoi pas. Il était tellement plus attirant que mon homme, mais j’aime une certaine distinction voire un peu de romantisme. Cela ne fait jamais de mal.

— Aller, vas-y ! il ne passe personne. J’suis sûr que t’as jamais gobé une bite comme la mienne.

J’ai tourné une page, l’air le plus absorbé possible par mon livre qu’en fait je ne lisais plus. Je dois l’avouer, j’aime les beaux garçons et celui là était vraiment infiniment plus viril que mon mec. Mais il puait et cela me repoussait malgré mon penchant pour les effluves de mâle, de même que l’idée de me livrer au premier venu ne m’enchantait guère. Et pourtant j’étais troublée car, en plus, j’aime bien les insultes savamment dosées.

Il s’est assis à côté de moi.

— J’ai compris ! T’as pas envie de m’sucer tout de suite. Tu veux d’abord que j’m’occupe de tes gros nichons et de ta p’tite chatte. Tu vas aimer ça !

Et il a commencé à me toucher en mettant sa main à l’intérieur de ma cuisse; d’instinct, je me suis reculée au bout du banc plus par peur d’être vue que par dégoût de la chose qui, au contraire me tentait bien. Mais il m’a suivie.

— Tu veux que j’mette les formes hein chienne ? Je voudrais bien mais je suis pressé, mes potes m’attendent. Allez, viens ! Même si je fais rapide je vais t’chauffer la raie comme t’a jamais eu.

Je me suis levée et me suis dirigée vers la sortie du parc. Il me poursuivait en m’accablant d’insanités. Manque de chance, le parc était à moitié désert. Mais quand je suis arrivée à la sortie, sur le trottoir en face du local de la police, je me suis détournée vers lui.

-Tu peux crever connard ! Tu pues tellement et t’es tellement con que je préférerais encore baiser avec ton chien qui doit d’ailleurs être un meilleur coup que toi.

C’était sévère bien sûr car il m’attirait vraiment mais j’avais eu trop peur qu’il me fasse honte en public…

Et je lui ai tourné le dos, malgré tout un peu dépitée car il était vraiment canon et son air canaille m’excitait un peu.

Je suis rentrée chez moi, à moitié morte de honte et à frustrée dans mon désir. Il m’avait quand même sérieusement allumée. J’étais mouillée, oui, mouillée… et pas qu’un peu. Je suis allée près de mon mec qui dormait encore, je me suis foutue à poil et je l’ai réveillé. Il avait sa gaule du matin. J’ai commencé à lui la bouffer. A peine sorti des vapes, il m’a mise sur le dos et m’a pénétrée. J’aimais ces érections au réveil, plus dures, plus vigoureuses que d’habitudes même si sa bite était petite. Il a fait quelques va et vient, et j’ai senti le sperme (je prends la pilule, il ne met pas de capote) dans mon vagin encore inassouvi.

La nuit suivante, j’ai mal dormi. J’ai repensé à ce mec vu au parc et je me suis touchée jusqu’à jouir sans réveiller mon homme.

Le matin il est parti au boulot et moi, comme tous les lundis, puisque je ne travaille pas ce jour là, je suis allée faire mon footing matinal. Je fais une quinzaine de kilomètres qui me font passer par mon village natal, un tout petit bled. Je coupe par le stade pour rejoindre le halage et ensuite, je cours le long du canal pour revenir chez moi. Le stade est isolé, abrité des regards par des grandes rangées d’arbres. Souvent, mon père qui est bénévole au club, nettoie les vestiaires quand il y a eu un match la veille; je m’arrête lui dire bonjour. Comme j’ai vu que la porte du local technique était ouverte, je suis rentrée dans le bâtiment. J’ai entendu de l’eau qui coulait dans les douches des hommes et j’ai entendu des voix. J’ai pensé que mon père y était, en train de nettoyer avec un collègue.

Je suis rentrée à fond, je connais les locaux par cur, en criant, coucou ! Et je suis restée interdite. Trois mecs magnifiques étaient à poil en train de se laver. Comme  ils bandaient tous les trois, j’ai pensé qu’ils étaient en train de faire un concours de branlette.

Celui du milieu a fait :

— Hé, mais c’est ma petite salope d’hier !

C’était bien le type que j’avais vu la veille. J’ai aussitôt compris qu’il allait m’arriver quelque chose si je restais là. Je l’ai même fortement espérer. Et je les ai provoqué un peu. Et puis je me suis dit que trois mecs, que je ne connaissais pas, ce n’était pas raisonnable. Pour qui allaient-ils me prendre. Une fois de plus j’étais indécise, une fois de plus je ne savais pas ce que je voulais; alors j’ai tourné les talons mais avant que j’atteigne la porte, un des mecs a sifflé; Et aussitôt trois énormes chiens, dont celui de la veille, m’ont barré le passage. Les mecs sont arrivés…

— Aller, s’te plait,  fais pas ta mijaurée. Si tu nous laisses, il va t’arriver que du bonheur, on t’fera pas des trucs que t’a même pas idée.

Un deuxième a enchaîné :

— Oui, et puis tu tombes bien, y’a longtemps qu’on n’a pas vu de meuf. On allait faire ça entre nous et je venais d’être tiré au sort pour me faire niquer. Oui, tu tombes bien !

J’ai craqué évidemment. Qu’il soit bien clair qu’ils ne m’ont en rien contrainte, ni forcée ni menacée. Ils ont juste utilisé les dons que la nature leur a si merveilleusement fourni pour me persuader du regard, du geste et au toucher. Trois belles gaules bien luisantes dressée vers moi, me frôlant, douces et dures, cela a suffi à me décider et je n’ai pas hésité longtemps à sauter le pas… et pas que le pas. Je ne savais plus quelle bite choisir en priorité.

J’ai fait mine de résister quand même, par orgueil … un dernier baroud d’honneur, pour faire croire que je ne suis pas une fille facile… mais ils n’y ont pas cru évidemment. Je devais déjà avoir l’expression du plus vif désir.

Gentiment, avec plus de douceur que je ne m’y serais attendue, ils m’ont entrainée vers le local à matériel. Des tapis de sols, des bouteilles, leurs vêtements trainaient par terre. J’ai compris qu’ils avaient dormi là. Ils m’ont foutue à poil tout en me pétrissant les seins et en essayant d’insérer les doigts dans ma chatte. Je peux vous dire que j’étais déjà un peu excitée… Puis ils m’ont invitée à m’agenouiller, et mon "admirateur" de la veille, qui s’appelait Phil, a essayé de me faire bouffer sa bite. Un autre, appelé Jean-Louis mais que les autres appellent Jean-Lou me tenait le bras, de peur sans doute que je parte avant qu’il ait eu son tour.

Pour le principe, je résistai, histoire de leur montrer que mes désirs pouvaient être pris en compte à égalité avec leurs pulsions de bêtes en rut. Phil insistait. Et plus il insistait moins je coopérai pour le mettre à ma merci, pour faire durer le plaisir, pour développer l’excitation à son paroxysme. Il a donc dit au troisième :

— Marco, pince-lui le nez. Elle va bien être obligée d’ouvrir son garage à bites!

Et comme l’autre l’a fait, j’ai ouvert ma bouche. Il m’a enserré la tête et m’a défoncée presque à me faire vomir. Les deux autres types, aussi bien membrés me tripotaient de partout, leurs doigts s’insérant dans le con et dans le cul.

Phil s’est allongé pour que je vienne me planter dessus. J’y allais sans hésitation. J’étais bien dans le jeu maintenant, les dernières inhibition avaient disparu au contact de ces sexes durs qui me pressaient de partout. Du reste, il faut dire que ce type était un coup merveilleux.

— J’t’avais dit qu’tu y prendrais goût pouffiasse ! Elle est bonne ma teub, hein tu l’aimes ma trique ! Alors, je suis pas un bon coup ?

Je ne pouvais pas répondre, j’avais la queue de Marco dans la bouche. C’était la première fois que je baisais à plusieurs. Jean-Louis me dilatait la rondelle avec les doigts. J’ai senti le moment où j’allais connaître ma première sodo. Contrairement à ce que je pensais, ça n’a pas été très douloureux. Il faut dire que les deux autres mecs me chauffaient tellement que mon cul débordait de désir. Le gros braquemart a eu du mal à s’introduire mais, une fois qu’il y a été, il s’est mis à coulisser presque aussi bien que dans ma chatte luisante. C’était fou de sentir ces deux gros nuds se heurter, seulement séparés par ma paroi. J’ai joui plusieurs fois, sans me cacher. Le mec qui me bourrait le cul, agrippait mes nichons. Ils ont tous changé de place, chacun passant dans tous mes trous. Ils étaient terriblement endurants. Le premier à craquer a été Marco. Il était dans ma bouche. Je l’ai senti se cabrer à mesure que la pression de ses mains sur ma tête augmentait. Trop occupée à ressentir les coups de boutoirs des deux autres dans mes deux trous, je n’ai pas réagi et il a commencé à gicler abondamment jusque dans le fond de ma gorge, presque à me faire vomir. Pas habituée à ce petit jeu, j’ai réussi à me dégager de ce zob englué mais je n’ai pas pu recracher tout le sperme au goût amer et salé. Les couilles bien vides, il s’est assis sur un banc pour regarder ses deux copains me finir tout en buvant une bière.

Ils ne baissaient pas de rythme. C’était Phil qui me trouait le derrière à grands coup de pine qu’il enfonçait jusqu’aux burnes dont je sentais les poils fournis me caresser les fesses. Je l’ai subi quand il a accéléré le mouvement avant de se retirer d’un coup pour venir me cracher tout au visage et me forcer à nettoyer le gland encore gonflé et dégoulinant avec mes lèvres. Puis il est allé rejoindre l’autre pour boire un coup. Le troisième m’a mis sur le dos et ma fourrée en missionnaire pendant un long moment, tout en essayant de me mordre les lèvres, pleines de la jutte de ses potes et en me mordant les tétons durs comme jamais. Il est venu se lâcher entre mes seins, en plusieurs longues giclées de foutre dont certaines se sont écrasées sur mon menton pour ruisseler après dans mon cou.

Abattue mais comblée, je pensais en avoir fini, mais pas du tout. Satisfaits de mes services, ils se lâchaient de plus en plus et prenaient un air vraiment canaille et le vocabulaire qui va avec.

–  Allez, lève toi salope !

Ils m’ont emmenée vers les douches, pour que je m’agenouille, et ils m’ont pissé dessus. Puis il se sont barrés. Je me suis douchée et je suis allée reprendre mes habits. Ils étaient encore à poil, Marco reniflant ma petite culotte. J’ai pris mon soutien-gorge et comme j’allais le remettre, Phil m’a lancé :

-Et mais t’a pas fini  ma jolie petite garce préférée !

Ils sont allés chercher un chien.

–  Alors ma petite chérie ? Je pue? Tu préférerais baiser mon chien ? Ça doit être un meilleur coup que moi ? Et bien tu vas pouvoir comparer !

C’était la petite vengeance de Phil pour les mots durs que j’avais eu avec lui la veille, une plaisanterie graveleuse, d’un goût douteux à laquelle je ne crus même pas un quart de seconde.

Mais le chien ne dut pas s’apercevoir du comique de la situation et ne perçut pas la blague. Il était sans doute plus excité qu’ils ne pensaient il leur a échappé, d’ailleurs, celui qui le tenait à dit :

—   Oh merde !

Le chien s’est précipité sur moi, très vite; je n’ai pas eu le temps de broncher, un peu surprise par la masse de la bête. J’ai mis les mains en l’air de peur qu’il ne me saute à la gorge mais il s’est précipité sur ma raie. Sa langue chaude s’est insérée dans la fente et comme j’avais l’abricot encore très sensible, je suis immédiatement montée dans les tours, en quelques secondes sans réaliser. J’ai hurlé de plaisir et j’ai même pris sa grosse tête poilue entre mes mains pour bien le coller contre mon sexe qui s’intéressait vivement à cette nouvelle expérience.

Malgré mon orgasme clitoridien ou à cause de lui, le chien continuait de me lécher. Ses maîtres, après un moment de silence se sont rapprochés, m’ont dégagée, m’ont retournée, mise à genoux et m’ont aidée à écarter les cuisses. Ils l’encourageaient;

–  Vas-y Lupus, régale, elle est bonne, elle aime ça, tu l’as bien méritée;

–  Oh putain, regarde comment il trique ton clébard Phil. Ce clebs est encore plus chaud que toi.

L’idée d’être livrée à un animal aurait dû me faire horreur et pourtant les coups de langue me chauffaient de plus en plus. J’avais perdu la tête. Jamais ont ne m’avait léchée avec cette fougue, cette force, cette gratuité.

Plus longue, plus chaude, plus mobile et plus rêche que celle d’un homme, la langue d’un chien est un bonheur infinie pour la raie. Mon dégoût était immense mais les décharges de plaisir qui montaient dans mes reins démentaient mon aversion intellectuelle. Je tâchais de résister mais bien malgré moi, je cambrai mon corps pour trouver la meilleure position.

Du moins pensais-je que le jeu allait s’arrêter là (hélas !) et qu’il se contenterait de cela. Alors qu’ils continuaient à se marrer tout en se répandant en propos salaces, Jean-Louis a fait remarquer.

–  Eh, il commence à juter, y’a pas de temps à perdre. Tu crois qu’il peut la baiser ?

Alors Phil, pour toute réponse, l’a aidé à me pénétrer. J’étais chaude comme une baraque à frites mais pas très fière de me donner en spectacle avec un chien devant ces hommes, quand la verge démesurée commença à glisser dans mon fourreau. Elle était longue, avec une énorme excroissance qui m’a éclaté la vulve. Le chien est entré jusqu’aux couilles. Les mecs l’aidaient à rester bloqué. La sensation, était très différente par rapport à un homme. D’abord, les poils du chien étaient moins doux que la peau lisse et ferme des mecs. J’ai détesté le contact de cette toison sur mes fesses et mon dos…. dans un premier temps.

Ensuite, le chien est plus statique dans le vagin. Un mec, ça va et vient, il sort, rentre, change de rythme, joue avec sa bite dans tous les sens et à tous les vitesses. Pas le chien. Il ne cesse de pousser en avant, en lâchant régulièrement des petites giclées de foutre et à chaque fois on sent son sexe se gonfler par saccades. Les autres chiens étaient excités. Ils grognaient et tournaient en rond attendant un tour qu’on venait de leur promettre. C’était fabuleux. Puis tout à coup, il accéléra et expulsa une grosse quantité de jus. Ça a pris presque un quart d’heure.

Quand le chien s’est retiré, un flot de liquide s’est échappé de mon sexe. Mais déjà, on me faisait saillir par une deuxième bête. Plus gros, le poil plus ras et plus agréable, le sexe plus long, il n’a pas mis très longtemps à se soulager d’un jet chaud et interminable. On a approché le troisième. Comme pour les deux autres ont l’a aidé à me grimper. Mon vagin était tellement dilaté qu’il est entré sans peine. J’en étais déjà à mon troisième orgasme et la position à quatre pattes commençait à me plaire de plus en plus.

La scène avait excité les mecs et ils bandaient tous à nouveau comme des ânes. Je me suis donc remise à sucer.

Le dernier chien était particulièrement vigoureux. Ses couilles pendaient beaucoup et venaient heurter les parois de mes cuisses en cadence, alors que pour le second, je n’avais jamais senti ses boules. Quand il s’est retiré, j’ai senti une bite d’homme prendre sa place. J’ai reconnu celle de Phil à sa courbure marquée à gauche Il a planté son dard dans mon con rempli de sperme canin. Et il s’est mis à me démonter le cul en levrette.

Alors c’est qui le meilleur  ma petite princesse, mon clebs ou moi ?

J’avais la bouche pleine d’un chibre sur le point d’exploser. Je n’ai pas pu répondre. Phil a fait comme les chiens il a tout laché dans ma chatte tandis que les deux autres se finissaient à la main sur mon visage.

Je suis retournée aux douches, me suis lavée et me suis rhabillée. En passant devant eux, encore à poil, ils m’ont bien recommandé de ne rien dire à personne et cela m’a rassurée. J’avais craint, maintenant qu’ils avaient eu satisfaction, qu’ils ne se foutent de moi, me méprisent, m’invectivent en me jetant la scène au visage comme étant la pire de toutes les trainées, autant d’insultes qui ne m’auraient rien fait pendant l’acte, le jeu, au contraire ! mais qui, après, m’auraient infiniment blessée.

Pour eux, j’avais l’impression que la chose la plus naturelle du monde venait de se produire.

Je suis sortie. Les chiens m’ont raccompagnée. Ils me connaissaient maintenant. Je suis rentrée chez moi en me demandant, tout le long du parcours si les gens que je croisais ne se doutaient pas de quelque chose… Je culpabilisais…et me suis douchée, douchée, et douchée encore avec des tonnes de savon, pour effacer la honte.

Je n’ai rien dit à personne. Je me sentais coupable, avilie, salie… et plus encore parce que j’avais aimé,  j’avais aimé à fond et, plus les jours passaient, plus mon désir me poussait à regretter de ne pouvoir recommencer. La nostalgie fit place à la honte et mes rêves étaient faits d’hommes vigoureux et de meutes en rut qui me couvraient des heures durant en m’entrainant toujours plus loin dans l’orgasme.

A suivre

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