Histoire de sexe fétiche Histoires de non consentement Histoires de sexe gratuites

Futures stars de télé-réalité – Chapitre 1




Le kif de Lou et Anna, c’est l’exhibition. Une montée d’adrénaline qui les amuse énormément, un truc de pouffiasses. Elle adore commencer des soirées en se garant sur des parkings entre des gros camions et montrer leurs nichons aux mecs puis laisser tourner ces mâles oisifs autour de leur voiture avant de redémarrer dare-dare quand ils se font trop pressants…

Elles ont la vingtaine, jolies et un peu stupides, deux pauvres filles qui adorent rire aux dépens des autres et qui inondent les réseaux sociaux de leur vie tellement plate, tellement dans l’air du temps. Elles ont un but et un seul dans la vie : participer à des émissions de télé-réalité pour lesquelles elles ont déjà posé leurs candidatures. Cela va -elles n’en doutent pas- leur ouvrir les portes de la célébrité et poser une première ligne sur la page blanche de leur CV : Star de la télé-réalité.

— Et ton nom de star, alors ? Tu t’es enfin décidée ?

— Tu vas voir, c’est top !Lou-Princess-Spears de Las Vegas !

— C’est génial ! Carrément dément ! Trop trop… Trop cool !

— Je trouve aussi. Et toi ?

— Tu vas pas le croire, j’ai réfléchite, toute la nuit… Alors ce sera : Anna-conda-fée !

-…

— M’enfin ! Anna-conda-fée !

— Vois pas…

— Bon, je t’explique : Anna. Comme moi.

— Là, ça va.

— Conda… Parce quavec moi ça fait anaconda… Comme la bête, là…

— Oui !

— Et fée parce que… Anna… Conte… De fée !

— Mais c’est top !

— Oui, je trouve que l’effet jeu de mots entre moi et ce gros lézard en plus de ma vie future qui va être un conte de fées… Tu vois ?

— Top ! C’est top !

— On arrive !

Anna passa lentement entre les camions. Elle stationna sa voiture au bout du parking. Deux chauffeurs discutaient assis à une table de pique-nique en bois. Ils regardèrent la voiture à cinquante mètres d’eux avec un intérêt évident.

Elles venaient souvent exhiber leurs poitrines ici. Les chauffeurs habitués à ces lieux connaissaient bien cette petite voiture rouge qui passait souvent les provoquer quelques minutes avant de filer rapidement, laissant les pauvres chauffeurs sur leur faim.

Mais le jeu en valait la chandelle car ces deux pétasses étaient vraiment sublimes. Ils s’approchèrent du véhicule.

— Voilà deux loulous… Ils sont moches !

— Oui mais on ne choisit pas son public… T’imagines bien tous les types moches qui nous regarderont les soirs de Prime, quand on sera à poil sous la douche ou qu’on laissera tomber sans faire exprès nos serviettes et qu’on sera toutes nues ?

— Le zapping, le zapping, le zapping !

— Des reines de la télé ! Alors qu’ils soient moches, on s’en fout !

— Houais ! Allez zou…

Anna dévoila ses seins au regard des deux hommes qui commencèrent à se toucher l’entrejambe. Lou l’imita en minaudant, jetant des regards timides aux mâles maintenant appuyés sur les vitres latérales.

Très vite, d’autres chauffeurs approchèrent. En dix minutes, la voiture fut entourée par une dizaine d’hommes de plus en plus excités par le spectacle. Puis l’un d’eux extirpa sa queue de son pantalon et il se branla contre la vitre, imité aussitôt par d’autres.

— Ça y est, ils sont chauds… Sales vicieux ! Mais ils n’espèrent pas quand même qu’on va se rabaisser à toucher des queues de chauffeurs ? D’abord, on ne touche pas à ça ! Ça serait se salir. Les pauvres gens, quelle vie ils ont.

— On y va alors ?

— Allez. Direction la boîte de nuit !

-…

— Quoi ?

— La voiture…

— Quoi la voiture ? Elle est là, on est dedans !

— Elle ne démarre pas… Je tourne la clé mais rien !

— Tu tournes dans le bon sens ?

— Mais oui ! Il ne se passe rien. Elle a juste fait teuh teuuuh ! Tu as bien entendu ?

— Il n’y a plus de radio non plus ?

— Mais on s’en fiche d’écouter la radio !

— Je veux dire que c’est sûrement la batterie !

— Comment tu sais ?

— Je le sais parce qu’un jour, mon frère m’a envoyée au magasin de musique pour lui acheter une batterie neuve. Il m’avait dit de dire au vendeur que c’était sûrement les cymbales qui étaient encrassées, un truc comme ça… Le vendeur m’a dit que pour une voiture comme la sienne c’était très, très… Très spécifique et qu’il n’avait pas ça. Mais que peut-être chez un garagiste…

— Ton frère, il est naze, il sait rien !

— Oui, un gros nul ! Bon, on fait quoi ?

— Un coup de fil à un ami ? Tes parents ?

— Tu rigoles ? Pourquoi pas les tiens ?

— Jamais ! C’est glauque, ici ! Ils vont croire qu’on vient juste pour ça, voir des quéquettes…

— Les pompiers alors ?

— T’es folle !

Un des hommes frappa à la vitre d’Anna qui la baissa d’un centimètre en souriant, gênée.

— Oui ?

— Alors les poulettes, on a un problème ?

— Oui… Nos cymbales doivent être encrassées…

— Vos… ? Mais c’est rien, ça… Ouvrez le capot.

— Comment on fait ?

— Tirez par là, il y a comme une manette…

— Oui, voilà…

L’homme ouvrit le capot et il se plongea dans le moteur, plusieurs types se penchèrent sous le capot avec lui tandis que d’autres continuaient à observer avec une envie évidente les deux filles qui ne souriaient plus maintenant.

— On ne voit rien. Vous avez des lampes sur vos téléphones, les filles ?

— Oui.

— Donnez.

Lou hésita un instant avant de passer par un interstice léger entre la vitre et l’habitacle son portable.

— Pas beaucoup mieux ! Un autre téléphone ?

— On ferait pas mieux d’appeler un garagiste ?

— Trois mille euros au minimum, ma petite demoiselle.

— Voilà mon portable !

— Merci… On y voit mieux.

L’instant d’après, il referma le capot, satisfait.

— Démarrez maintenant.

— Cool !

— C’est top !

Quand Anna tourna la clé, rien ne se passa.

— Rien ne se passe, Monsieur.

— Non ? Mais oui, suis-je bête… C’est que je n’ai pas été payé !

— Mais heu…

— Je veux vous voir à poil. Allez, ôtez tout et montrez vos chattes.

— Ça ne se fait pas !

Les deux filles se regardèrent, décontenancées. Si ce n’était que ça… Après tout, se dénuder faisait partie de l’opération "devenir Star", alors…

Lentement, elles se déshabillèrent sous les regards lubriques des hommes qui se pressaient maintenant contre les vitres de la petite voiture. Quand les strings dévoilèrent deux sexes entièrement épilés, ils exultèrent de joie.

— Écartez les cuisses, montrez-nous vos minous !

— Mais heuuu !

— Allez !

Elles obéirent, rouges de honte.

— Tout de même la célébrité, c’est chaud, non ?

— Tais-toi, on les laisse regarder et puis après ils vont nous laisser partir.

— Mais si quelqu’un sait ? Ça ne fera pas de nous des filles célèbres pour autant et tout le monde va nous regarder comme des zanimals !

— Zanimaux ! Mais qui va savoir, tu peux me dire ?

— Bin… Comme le type vient de faire des photos de nous dans cette position avec nos portables, je me suis dit que c’était pas bon signe…

— Quoi ?!

— Les filles… Superbes, les photos. Alors je les envoie à tous vos contacts, c’est ça ?

— Pitié, non !

— C’est pas top !

— Ma mère va faire une crise cardiaque !

— Mon père va se branler !

— Ça va faire le tour de la ville !

— Du monde !

— On est foutues !

— Non les filles. Pas si.

— Pas si ? Pas si quoi ?

— Pas si vous descendez de voiture.

— Non mais non mais non !

— Pas top !

— Allez… Alors contact… Mamounette, papounet, frangin, Caro, Véro,…

— Stop ! On descend ! On fait trois pas, vous nous rendez les téléphones, vous réparez et stop, okay ?

— Descendez.

— Okay ?

— Contact…

Cinq secondes après Lou et Anna se retrouvaient toutes nues au milieu d’un groupe maintenant formé d’une quinzaine d’hommes hilares.

— C’est une drôle d’idée d’exhiber ses nichons à des pauvres gars qui sont si loin de chez eux.

— Mais c’est pour vous faire du bien, justement…

— Par altruisme ?

— Heu ?

— Voilà ce qu’on va faire les filles. Une d’entre vous va nous sucer. Tous. Et l’autre non.

— Jamais de la vie !

— Bien sûr que si ! Alors ? Laquelle ?

— Mais non ! Et puis on n’a jamais sucé ! On est des filles de bien, nous, on vise autre chose, le top de la société, nous ! On veut pas rester dans le caca comme vous à faire des boulots de nullos ! Alors vous quéquettes, c’est niet !

Un court silence. Puis un immense éclat de rire monta du mur d’hommes autour d’elles.

— Mais voilà deux princesses si bien élevées ! Mes filles… Je n’ai pas précisé, au fait : Celle qui ne suce pas ne suce pas, certes. Mais on la baise de force. Alors, qui ?

— Je suce.

— Je suce.

— Avant toi. J’ai dit avant.

— Gnangnangnan… Rien entendu. Prem’s.

— Mais heu !

— Ne vous battez pas. Pour vous départager, vous allez nous sucer toutes les deux, d’accord ? Ainsi, on jugera de celle qui est le plus apte pour sucer ?

— Ça marche ! Désolée, Lou mais tu vas passer à la casserole sans moi. Avec ma langue, je vais faire des malheurs !

— Ma pauvre, tu n’as jamais sucé que les cornets à la vanille de ton congélateur !

— Tu sais que j’ai raison ! On dit de moi que j’ai une langue de pute, ce n’est certainement pas pour rien ! Regarde et prends-en de la graine !

Aussitôt, Lou s’agenouilla devant des sexes déjà durs. Elle grimaça, écurée devant un tel spectacle de chairs tendues. À l’instar de sa copine qui l’observait avec défiance, elle n’avait jamais touché de sexe d’homme. Elle posa en tremblant ses mains sur les verges impatientes.

— C’est tiède… Mais ça sent pas terrible…

— Allez !

— Et elle suça. Les premiers coups de langue sur la première queue lui arrachèrent un haut-le-cur qui fit rire l’assemblée. Puis elle se concentra. L’homme soupira de plaisir.

— Pas mal pour une vierge de la bouche…

— Et l’autre ?

— Mais elle a l’air de faire ça bien, ma copine, ça suffit, non ?

— Si tu suces mieux, c’est ta copine qu’on baise !

Anna avait imaginé un instant qu’ils se contenteraient de Lou. Elle la regardait avec effroi sucer cette grosse queue. On lui appuya sur les épaules pour lui signifier qu’il fallait y passer à son tour.

Elle se retrouva face à un zob extra-large et poilu.

— Mais c’est trop laid et trop gros !

— Suce !

— D’accord mais c’est moche et…

— Su-ce !

— En plus, je ne mompftrogrofhh !

— Mais elle me mord, la conne ! On ne parle pas la bouche pleine !

— ’Ardon…

Et elles sucèrent. Toutes les queues. Honteuses, dégoûtées par les odeurs, la texture des peaux, la salive laissée par la copine juste avant…

Pas un homme ne gicla. Ils savaient que la suite allait être bien plus intéressante.

Celui qui dirigeait la séance depuis le début se redressa, exalté par la beauté et la candeur de ces deux filles.

— Bon ! Vous êtes à égalité. On passe à la suite… Laquelle va se faire enculer en toute fin ?

— Lou !

— Anna !

— Pas de ça, les filles ! On peut encore vous départager.

— Comment ça ?

— Celle qui accueille le moins bien nos bites dans sa chatte se fera enculer pour finir.

— Je commence !

— Moi aussi !

— Vous n’êtes pas vierge, au moins ? Sinon, avec nous tous, ça vous chauffer le minou !

— Non, j’utilise les courgettes du frigo.

— Heu… Lou, tu les jettes, ensuite ?

— Non ! C’est de la nourriture !

— Tu veux dire que la dernière fois que je suis venue manger chez toi, qu’il y avait des courgettes, tu… ?

— Attends, laisse-moi réfléchir… Oui ! Ce jour-là, oui !

— Mais tu es dégueulasse !

— Et toi, vierge, alors ? Donc ils vont plutôt te prendre le cul.

— Non ! Moi aussi… J’avoue.

— Des courgettes ?

— Non.

— ?

— La batte de base-ball de mon frangin. Mais moi, je ne la nettoie jamais après ! Tu sais ce qu’il fait quand il joue ? Il l’embrasse toujours avant sa partie.

— Tu es… Géniale !

— Oui, il est con, mon frère.

— Allez les filles : Sur le dos sur le capot.

— D’accord… Oh mais c’est froid, on va attraper des microbes à rester nues !

— Pas si on vous ramone tous tout de suite ! La température va vite monter !

— Bien.

Elles se positionnèrent, tendues. Anna attrapa la main de Lou.

— Pour la gloire !

— Pour la gloire !

Puis deux hommes présentèrent leurs queues à l’entrée des deux chattes serrées. Sans ménagement, ils écartèrent les cuisses des filles et d’autres gars tripotèrent leurs seins en riant.

Un coup puissant en chacune d’elle, simultanément, les fit crier.

Elles furent labourées pendant une heure ainsi, ramonées par tous dans leurs chattes. Plusieurs d’entre eux giclèrent en elles sans vergogne.

— Je crois que je vais gagner, Lou !

— Pourquoi tu penses ça ?

— Parce qu’ils sont trop contents de moi ! Ils m’adorent ! Ils vont t’enculer, ma pauvre…

— Tu peux rêver !

— Allez les gars, pour Lou : Twelve points !

— Pour Anna : à fond en moi !

Ce fut la ruée. Les gars défoncèrent sans ménagement leurs chattes et leurs bouches sans arrêt. La compétition entre les deux filles était exacerbée par les regards de folie entre les deux compétitrices.

Tous se vidèrent dans leurs deux trous. Le meneur continuait à tout filmer avec leurs portables.

— J’ai une question, les filles. Pourquoi vous faites ça ? L’exhib ?

— Alors en fait, on s’entraîne à être des stars de la télé-réalité. L’exhibition, c’est un moment-clé dans la carrière d’un acteur de télé-réalité, tu vois ?

— Du porno ?

— Nan ! Des vraies stars pour faire des émissions où qu’on nous voit dans des villas à faire des trucs, tu vois, à parler tout le temps et philosopher sur la vie, les étoiles, le monde qui nous entoure, tu vois ? Marcher comme des mannequins et être admirées de tous. Puis faire des jeux intelligents qui nous montrent comme on est : Des filles pas que jolies. Jolies, mais pas que !

— Pas que, houais ! On a de l’aura, de la culture, une vision de la vie qui nous mènera au filament…

— Firmament ?

— Oui… Finalement.

— Vous avez les capacités. Je crois en vous !

— C’est vrai ? C’est gentil.

— Mais… Je connais quelqu’un qui a travaillé un temps pour ces maisons de production.

— C’est vrai ? Génial !

— Le top !

— Oui. Et cette personne m’a dit qu’il y avait trois marches à franchir pour y arriver.

— Lesquelles ?

— Celles qui sucent. Celles qui se font baiser. Normal, quoi… Et la troisième marche…

— Celles qu’on encule ?

— Tu as tout compris jolie blonde.

— Mais ça fait mal aux fesses, non ?

— Pas essayé avec les courgettes ?

— Lou, ne me dis pas que les courgettes ont aussi traîné dans ton caca ?

— Non ! Mon petit trou est… Vierge. Et toi ?

— C’est toujours sorti, jamais rentré !

— Comprends pas ?

— Je fais caca, c’est tout, rhôôô !

Totalement éberlués par ces propos, les hommes autour commencèrent pas se branler plus vigoureusement. Ces filles étaient envoyées par le ciel… Des gueules d’anges mais si connes… Alors envoyées sur terre pour soulager de leur bêtise le paradis ou bien un truc du genre…

— On va vous enculer en même temps. Celle qui renonce perd.

— On va bien rire ! Allez-y, vous allez voir qui est Anna !

— Oui, vous allez voir qui est Lou !

Les larmes inondèrent leurs visages mais aucune ne renonça, leurs mains ne repoussèrent pas les enculeurs qui jubilaient de rentrer lentement dans les culs vierges de ces véritables petites bombes sexuelles.

Après vingt minutes de labourage intensif et le passage au moins une fois de tous les hommes dans les deux filles, le meneur planta à nouveau son dard dans le cul de Lou.

— Pardon les filles mais si vous ne devenez pas des stars de la télé-réalité, vous ferez quoi ?

— Si on ? Mais déjà, on se fait enculer ! On a atteint la troisième marche ! On est au top ! Au top !

— Oui oui oui…

— Mais sinon… Je voudrais faire femme de.

— Femme de ?

— Oui, femme de… Footballeur, par exemple ! Ou femme de chanteur ! Ou mieux ! Oui, tiens, mieux : Femme de Président de la République !

— Vous avez des sacrés ambitions. C’est bien.

— Et ta copine ?

— Anna ? Le monsieur voudrait savoir…

— J’aientententendududu… Maimaimaimaijenenenensaispapapapas !

— Tu bégayes maintenant ?

— Je crois plutôt que c’est Robert qui la secoue trop fort, hein Robert, elle est bonne cette salope ?

— Je tape au fond, je la déglingue ! Je vais… Bordel, je jouiiiiis ! Rhââââââ !

— Donc je disais, je ne sais pas… Mais je pourrais aussi faire chroniqueuse à la télé dans des émissions culturelles genre Hounana ou Rhatur ! C’est à qui ?

Aussitôt, un autre gars la sodomisa avec vigueur tandis quelle était dans déjà perdue dans ses pensées, rendue sur les plateaux de télévision, en train de faire sa rubrique "la minute d’Anna-Conda fée ".

Ils leurs explosèrent le cul. Quand on les lâcha enfin, elles tombèrent au sol devant la voiture, comme ivres.

— On a bien mérité d’être des stars, hein ?

— Sûr, les filles !

— Par contre, si, ça fait mal au cul, la célébrité…

— Mais oui mes jolies, j’ai toujours entendu dire qu’à la télé, c’était tous des gros enc…

— D’accord.

Les hommes se rhabillèrent, satisfaits. On tripota et on doigta encore gentiment ces deux oies puis ils les laissèrent seules, nues et dégoulinantes de sperme. Le meneur resta à côté d’elles un petit moment, hilare.

— Et ma voiture ?

— J’ai mis du carburant dans ton réservoir pendant que les gars vous baisaient. Ce n’était qu’une petite panne sèche. C’est pour moi.

— Merci, c’est gentil. Au fait, laquelle a gagné,, alors ?

— Heu… Et bien comme on disait dans une grande émission culturelle d’autrefois : Tout le monde a gagné !

— Et nos téléphones ?

— Sur les sièges. Heu… Désolé pour la fausse manip sur l’un d’eux…

— C’est à dire ?

L’homme s’éclipsa rapidement sans répondre.

Quand Lou consulta son téléphone elle constata avec horreur que le dossier de photos et vidéos créées par le type avait été envoyé (par erreur ?) à tous ses contacts.

— Je suis foutue ! Ma vie est foutue !

— Mais non ! Ça va aller !

— Tu dis ça parce que tu te crois à l’abri ? Mais tu es aussi sur ces photos et mes contacts sont tes contacts ! Tu es naïve, parfois !

— Oh zut de crotte !

— Nom d’une pouffiasse !

— Heu… Dylana ?

— Mais non ! En plus, Dylana, c’est pas une pouffiasse, elle est trop trop top dans toutes les émissions ! Non, c’est mon père qui m’appelle !

— La cata !

— Allo papa ? Oui… Non mais… Oui mais… Tu crois ? Et tu arriverais à accélérer ma célébrité ? Génial ! Mais, heu… Juste une pipe, hein ? Et aussi ça ? Et ça ? Bon bin… Oui ? Je lui demande.

— Mon père a adoré. Il voudrait être notre agent. Il sait déjà comment faire pour que nous devenions célèbres ! Mais il veut nous tester… Tout, quoi. Comme les Messieurs ici.

— Et mes amis aussi ! Je reçois des messages… Bon, il y en a des pas gentils mais ce ne sont pas des vrais amis, alors !

— C’est là qu’on découvre la vraie nature des gens !

— Je crois que ma mère veut que… Oui, je relis, c’est ça. Je peux vivre avec toi désormais ?

— Bien sûr ! On sera plus fortes ensemble ! Papa sera content de nous avoir sous son toit toutes les deux !

— Top top top !

— Oui mais mal au cucul, quand même…

— Seulement, quand on arrivera au filament…

— Fir… Malement ?

— Finalement… Enfin quand on sera au top du top on sera les plus belles enculées de la télé !

Related posts

La faille – Chapitre 1

historiesexe

Ma copine du Canada – Chapitre 1

historiesexe

Sophie, agence immobilière… – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .