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Ma soeur, une pute – Chapitre 1




Bonjour, je mappelle Antoine et jai 25ans. Lhistoire que je vais vous raconter cest passé alors que javais 16ans. Ma sur en avait 19.

A cette époque, je navais pas encore goûté aux plaisirs du sexe et jétais dans ma période où je voulais vraiment avoir une partie de jambe en lair plus que tout au monde. Je rêvai beaucoup de sexe puis un soir, je rêvai de moi couchant avec ma sur. Ce rêve, au lieu de me faire rougir, me donna envie de ma sur. Je commençai donc par me masturber quelque fois sur elle avant que cela ne devienne un fantasme. A chaque fois que je la voyais, une érection montait en moi. Avec son 1m72, son 90D et ses fesses de rêves, tout me donnait envie. Cela devenait tellement obsessionnel que je décidai dinstaller une caméra dans sa chambre pour pouvoir choper une vidéo delle nue ou mieux encore, en train de se donner du plaisir. Jinstallai donc la caméra le matin, avant quelle ne revienne du travail, et je partis chez un pote pour quà son retour elle soit seule et quelle ait des envies. Je me disais que ça nallait pas forcément marcher car ma sur se retrouvait souvent seule à la maison ces temps-ci, nos parents étant partis en vacance seuls. Mais même avec cette forte probabilité de non-fonctionnement, je pensai à ça toute la journée et jattrapai une gaulle denfer. Nen pouvant plus, je rentai chez moi le soir à une heure où je savais quelle était partie et je pris la caméra dans sa chambre. Jeus dû attendre 10-15 minutes, le temps que la caméra se recharge un peu pour pouvoir observer les 3h de film. Sur les 2 premières heures, le film ne montrait rien dintéressant, juste ma sur allonger sur son lit et passant des coups de téléphone. Ces derniers mintriguaient car ma sur disait à je ne sais qui que la voie était libre et demandait si cette personne avait un trou dans son emploi du temps. Elle raccrochait alors avec un sourire, sûrement dû à une réponse positive. Puis le comportement de ma sur changea. Elle se mit nue puis en soubrette, et je peux vous dire que cela était magnifique, à tel point quil ne me fallut que quelques minutes pour tout lâcher. Je partis me nettoyer et quelle ne fut pas ma surprise à mon retour dapercevoir sur la vidéo ma sur avec un homme quelque peu âgé (environ 50ans) et voir cet homme donné à ma sur deux beaux billets de 20 puis senvoyer en lair avec elle. Je nen croyais pas mes yeux. Etait-il amoureux de ma sur au point de lui donner de largent ou était-ce autre chose ?

Je refis alors le même coup le lendemain pour massurer des faits. Et le soir, le film était le même sauf que cette fois-ci, lhomme âgé laissait sa place à un homme dune trentaine dannée, lui aussi généreux en donnant 40 plus un petit billet de 5. Je nen revenais pas, ma sur faisait la pute. Cela ne me dégoûtait pas, au contraire ! Cela mexistait car je me dis que si cétait une pute, alors je pouvais moi aussi me la faire contre monnaie trébuchante. Son prix était cependant assez cher mais par chance, les parents nous avaient laissé à chacun pas mal dargent, et javais assez pour la payer plus que ce quil ne faut. Le truc était maintenant de savoir comment si prendre. Je ne pouvais pas donner cet argent à ma sur et lui demander comme si de rien nétait de me montrer ses talents. Mais jétais tellement existé que je men foutais.

Cette nouvelle journée je la passai à la maison, comme ça, ma sur ne pouvait recevoir de clients. Avant quelle narrive, je pris sa soubrette et la mise dans ma chambre. Quand elle revint, je ne fis comme si de rien nétait, et apparemment elle aussi. Puis quand elle partit prendre sa douche, je descendis la soubrette et je mis dessus 75, pour lui donner un gros bonus, et je me mis nu sur le canapé avec ma bite en érection, tellement mon excitation était forte. Ma sur finit sa douche et descendit dans le salon. Puis je vis son regard étonné en me voyant nu sur le canapé :

-Mais cest quoi ce bor

Je ne la laissai pas finir et je lui montrai son costume et largent posés sur la table :

– Aujourdhui, vu que je suis là, tu nas pas de clients je suppose, je te propose, pour me pardonner, de te donner quasiment le double de ce que tu reçois dhabitude pour faire ton job.

Je vis dans son regard que cétait pour elle comme une humiliation le fait davoir découvert son secret.

-Putain mais tes barges, tes mon frère !

-Cest 75 !

-Je men fou, range moi ça ! Et si tu dis un mot aux parents, tes mort !

-Je ne leur ai rien dit et je ne dirai jamais rien.

-Merci. Mais range moi ça ! Jai fait une erreur et toi aussi, tas été cool de navoir rien dit aux parents alors je ne tenguellerai pas mais range ça !

-80 ?

-Mais merde non !

-100 ?

-Non !!!

-150 ?

Ma sur se calma et je vis quelle hésita à accepter cette proposition. Elle sarrêta donc de parler avant de poursuivre :

-Mmm Je ne sais pas si tu le sais, mais jai vraiment besoin dargent ces derniers temps, alors peut-être que contre 200 je pourrais éventuellement

Je nen revenais pas, enfin javais une opportunité. Je bandai encore plus que dhabitude.

-Attend, dis-je.

Je montais alors dans ma chambre et pris les 125 manquants. Je redescendis et les posai sur la soubrette, avec le reste de largent :

-Tiens, tes 200.

Elle prit largent et compta pour voir si le compte était là :

-Tout ma lair en ordre.

Elle me poussa sur le canapé et se mit à genoux devant moi :

-Ce quon va faire est mal petit frère, et tu ne devras en aucun cas le répéter à qui que ce soit.

-Je te promets !

-Bon, si tu es daccord nous pouvons donc commencer.

Elle prit alors mon engin en main et commença à me masturber doucement. Je voyais dans son regard pas une seule once de honte, elle faisait ça avec professionnalisme et elle regardait mon sexe comme une actrice porno, comme si elle le désirait vraiment. Puis au bout de 2minutes, elle avança sa tête et le mit en bouche :

-Oh putain cest bon ! Lâchais-je dun coût sous la jouissance de la fellation de ma sur. Je ne vais pas tenir longtemps

Je sentis la semence arrivée et cela me produit une excitation et une jouissance tellement forte que je lâchais du sperme pendant presque 20secondes sans interruption, dans la magnifique bouche de ma sur. Sous le coup de lexcitation je lui dis davaler, ce quelle refusa en me faisant un non de la tête puis elle partit tout recracher dans levier :

-4minutes, tu es ridicule mon pauvre

-Putain 200 pour 4minutes Cétait bien mais un peu cher.

-Ahahahahah !

-Quoi ?

-Les 200 sont pour 1heure, pas pour léjaculation !

Cette phrase seule suffit à me faire re-bander :

-Tu aurais pu me laisser croire le contraire

-Jai une conscience professionnelle mon petit, cest comme ça que jai réussi à mettre des tarifs aussi élevés !

Puis elle se retourna pour partir cracher ce qui lui restait dans levier. Mais sous une impulsion dexcitation, je couru vers elle quand elle était dos à moi et je lui plaquai le haut de son corps contre la table. Je soulevai sa jupe et descendis son string :

-Mais quest-ce que tu fous ?

-Jai payé 200 alors jestime avoir le droit de te faire ce que je veux.

Puis ayant senti son vagin humide sur le bout de mes doigts, je me dis que je nétais pas le seul à le vouloir. Jenfournai ma bite dans son jardin intime tout en gardant sa tête plaqué contre la table avec mon autre main. Je fis des vas-et-viens assez violents et rapides car son vagin dilaté me le permettais et que je nétais plus vraiment moi. Ma sur retenait son jouissement au début, lâchant quelques petits souffles, puis au bout de quelques minutes et lâcha de gros cris de jouissance qui résonnaient dans toute la maison. Puis sentant ma semence arrivée, je sortis ma bite de son vagin que je venais de défoncé et je spermai sur sa jupe :

-Aaaaaaahhhhhhh

-Tu tes lâché où ?

-Ta jupe Dis-je essoufflé

-Putain ma jupe !

-Cest bon tas assez dargent pour en acheter une nouvelle, et en plus, si tu ne veux pas que je me lâche en toi, faut bien que je me lâche quelque part.

-Jai jamais dit que tu ne pouvais pas te lâcher en moi, mais je ne veux juste pas dans la bouche ou sur le visage.

-Oh

-A part si

-Oui ?!

-Si tu me rajoutes le petit bonus de 20.

Javais largement de quoi payer mais jessayai quand même de négocier car cétait vraiment cher :

-10.

-Tu veux négocier ? Très bien, 18 !

-14.

-15 et cest ma dernière offre.

-Va pour 15. Et joubliai, juste pour savoir, je viens de remarquer mais on fait ça sans capote ?

-Alala, la pilule mon petit, la pilule

Voyant le temps défilé, je me rassis sur le canapé et fis signe à ma sur de sinstaller sur mes genoux :

-Tu préfères que je sois de face ou de dos ?

-De face ! Dis-je pour admirer sa bonne et généreuse poitrine se balancer fortement.

Elle mit alors les 2 pieds sur le canapé et le reste de son corps au-dessus de moi, et approcha son vagin de ma verge plus gonflé que jamais, puis elle fit entrer mon pénis dans son intérieur et glissa avant de mettre ses mains sur mes épaules et de commencer ses forts mouvements de bassin. Au début elle regardait là où se passait laction puis elle me regarda droit dans les yeux avec un regard extrêmement sensuel et envoutant. Mon regard se dirigeait peu à peu vers sa poitrine qui bougeait au même rythme que nos vas-et-viens, cest-à-dire assez vite et avec pas mal damplitude. Le bruit de nos cuisses cognant lune contre lautre recouvrait la plus part de ses soufflements et cela mexcitait de plus en plus. Cette fois-là dura longtemps, et ma sur prit même le temps de se mettre dos à moi. Javais alors en gros plan son fessier faisant des vas-et-viens et japercevais même mon engin qui était pris à lintérieur de ma sur. Et sentant ma semence arriver, je larrêtai :

-Ça arrive !

Elle descendit donc du canapé et se mis sur ses genoux, face à moi, avec sa bouche grande ouverte et qui dessinait un sourire. Je me levai et je me finis sur presque toute la surface de son visage, et quand je finis, je réinsérai ma bite dans sa bouche, comme je lavais vu dans plusieurs films pornos. Quand elle me suçait, elle gardait son regard envoûtant et très sensuel, ce qui mexcitait de plus en plus. Puis avec son regard, elle me montrât lheure. Cela faisait à peu près 55minutes. Je voulais essayer une dernière chose mais je sentais que je ne navais plus de force. Je lui fis signe de continuer de me sucer, puis lheure arrivant, elle se stoppa, pas dun coup, mais peu à peu. Elle se leva et pris largent posé sur la nuisette. Elle redescendit avec une petite carte dans la main et me la posa sur la table :

-Pour 240 acheter, lheure est offerte !

-Tinquiète pas, je vais débourser les 25 manquant et je laurais, pute de sur ! Dis-je en rigolant.

-Pute oui ! Mais professionnelle et organisée !

Puis elle partit dans sa chambre, me laissant admirer ses fesses, encore rouges à cause de nos rentre dedans, et elle remonta dans sa chambre.

A suivre

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