Quand j’eus repris des forces, elle eut droit à sa "saillie", sur sa table de travail. Bien sûr le mâle était un homme, mais elle fut pénétrée, pilonnée, avec beaucoup d’enthousiasme, elle jouit, en retenant ses cris, puis recommença à jouir, et finalement reçu une bonne dose de sperme tout au fond, et cette fois ci explosa sans retenue.
Elle s’abandonna un moment, avons récupéré lentement, en silence. Après avoir remis un peu d’ordre, enfin autant d’ordre que possible, dans nos vêtements nous allions sortir, chacun se demandant si une telle situation pouvait se répéter…. : Venir regarder, s’offrir une bonne baise…. Finalement je lui rappelai que j’avais la possibilité de l’inviter dans une maison où il y avait deux chiens…."Donnez-moi votre numéro de téléphone, je n’en abuserai pas, je vous dis quand je dispose de la maison, des chiens, vous dites OUI, ou NON. Si c’est non, je ne vous appellerai plus."
Je rappelai quelques mois plus tard, un long week-end, estimant que le temps écoulé l’avait sans doute fait réfléchir, et reculer.
Mais ce fut oui et rendez-vous pris, je la retrouvai gare Saint-Lazare. Elle m’informa qu’elle avait confié à une amie qu’elle partait pour quelques jours avec un homme qu’elle ne connaissait presque pas, Qu’elle avait pris quelques rendez-vous téléphoniques sur son portable. Et donné le numéro du mien qu’elle vérifia…. Prudente, mais au fond rien que de bien naturel.
Un peu plus tard dans ma voiture nous roulions vers l’ouest. Sous la pluie.
"La maison où nous allons retrouver nos deux chiens est dans le Bessin, près de Caen. Un parc de dimensions moyennes entouré de murs, des haies élevées interdisent de voir la maison et le jardin à partir de la grille. Il y a deux chiens. Bergers malinois."
"……"
"Vous ne dites rien ? Si vous regrettez, nous faisons demi-tour, Si vous souhaitez continuer,, il faut que nous parlions un peu… nous allons passer deux bonnes journées avec deux chiens pour des jeux excitants, que la morale réprouve…. Il y a plusieurs choses à préciser …."
"Je suis trop excitée…. Je ne pense plus…. je suis … tout mon corps attend…. je n’ai pensé qu’à ça pendant ces quelques mois, je n’y croyais plus… depuis votre appel…. je ne fais que rêver au moment où je sentirai les pattes du premier chien sur mes reins…. et j’imagine l’instant…. ou je vais le recevoir…. je suis trempée en permanence…. je me fais jouir …. aujourd’hui je n’ai pas voulu, je me garde pour ce moment là…. parlez-moi…. cela m’aidera peut-être."
"La maison n’est pas à moi, dans la famille, il y a un côté riche et un côté moins moins riche… j’ai dû renoncer à ma part mais j’ai le droit à quelques week-end et deux semaines. J’ai amené de quoi tout protéger, dans les pièces que nous utiliserons. Il faut que nous fixions quelques principes…"
"Plus tard…. parlez-moi…. ces quelques kilomètres en silence m’ont fait décoller, ramenez moi doucement."
"Cela fait des années que je rêve de voir une femme prise par un chien, l’aider, la préparer, la conduire à la saillie…. Un jour dans la région où nous allons, avec la voiture de la maison je roulais sous la pluie et je me suis arrêté prendre une femme qui s’était trouvée sous l’orage, avec son chien. Le chien monta derrière dans la partie "utilitaire", la femme à côté de moi. Nous avons parlé un peu. Sympathisé. Elle a accepté de venir se sécher, prendre quelque chose de chaud. Nous avons parlé. Le chien est resté dans la voiture. Nous avons parlé un bon moment, et tout à coup elle a laissé échappé quelque chose à propos de son chien qui m’a semblé étrange, un souci affectueux, presque plus même… Comme je le lui fait remarquer elle me répond en rougissant, et en même temps provocante "C’est mon amant". Elle m’a expliqué, un jour une sortie, la pluie, le chien mouillé, a peine rentrés elle se met à le sécher… les mains qui se hasardent sur le ventre, qui rencontrent le fourreau du sexe…. une envie… les premières caresses au chien Une autre fois une franche masturbation, préméditée, et le chien qui éjacule un flot de sperme, qui la bouleverse, lui fait perdre la raison un moment, elle goûte, N’ose pas aller plus loin…. mais recommence le lendemain…. pose ses lèvres sur le membre incandescent… Elle finit par le sucer un jour après s’être promis qu’elle ferait la fellation de sa vie, qu’elle garderait le membre dans sa bouche jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus respirer. Ce jour là sa vie a changé, elle a reçu une pleine giclée, a avalé tout ce qu’elle a pu, le reste a glissé sur son cou, ses seins, elle complètement perdu la tête, elle a embrassé son chien, pris sa langue dans sa bouche, accepté la bave qui allait avec, elle s’est allongé à côté du chien, elle a hésité…. mais elle savait qu’elle était passée de l’autre côté, elle n’était plus autant femme….elle était devenue chienne, femelle, son sexe réclamait sa part. Elle a repris le membre en main, et peu à peu, poussant le chien sur dos quand elle le caressait, s’est mise à le chevaucher, a glissé le membre dans sa fente, elle s’est donnée, puis s’est mise à quatre pattes. Le chien l’a montée…. l’a prise, possédée, pour une première saillie. Il l’a pilonnée, le membre cognait tout au fond, puis le noeud a gonflé, gonflé, elle s’est retrouvée comme une chienne collée, soumise, et elle a joui comme elle n’avait jamais joui, elle criait de façon incontrôlable m’a-t-elle dit, et au moment ou le chien a semblé se calmer elle a reçu un jet ininterrompu de sperme dans son ventre. Elle en tremblait en racontant… depuis cela faisait plusieurs années que ça durait.
Je la reconduisis à sa voiture près du village. Promis de ne rien dire.
Étrange moment qui n’a pas eu de suite, mais qui m’a laissé une envie de voir….
Jusqu’à ce soir là où nous nous somme rencontrés comme deux voyeurs, une divine surprise"
"Vous m’excitez encore plus…. il faut…. je ne peux pas rester comme ça… je dos me …. vous comprenez ?"
"Vous voulez vous faire jouir ? "
"Arrêtez vous sur le prochain parking, dans un coin où il n’y a personne, laissez moi seule dans la voiture, un instant…., s’il vous plaît"
Je me suis exécuté, m’éloignant légèrement, surveillant la voiture sans trop chercher à voir…. j’aurai tant d’occasions de me rattraper… Elle descendit un peu plus tard, vint vers moi, me tendit sa main, je respirai, posait un baiser, retrouvai ce goût léger de miel sur mes lèvres…. "Merci dit elle dans un sourire, nous pouvons repartir,"
Nous sommes repartis, il nous restait une heure de route, et j’étais bien décidé à préciser certaines choses.
"La prochaine fois que vous jouirez, je serai là…. que ce soit de vos doigts, du chien… je serai le témoin de votre plaisir et de vos effort pour le trouver."
"Oui je sais"
"Je vous conduis à la saillie, autant de fois que les deux chiens pourront vous couvrir, autant de fois que vous le souhaitez. Je n’interviendrai pas trop, je me contenterai de regarder, d’encourager les chiens, sauf si vous souhaitez que je vous force un peu si vous hésitez.
Je vais sans doute me trouver très excité aussi, si j’en juge par la séance de voyeurisme de l’autre soir…. aussi je me servirai quand j’en éprouverai l’envie. Je ne sais pas si j’utiliserai le même orifice que le chien. La bouche oui, même si vous l’avez sucé, et votre cul. Qui sait peut-être votre sexe, mais j’en doute, en tout cas pas après un chien, je ne crois pas. Vous serez à ma disposition."
"Oui je savais que ce serait comme cela, ça m’excite aussi d’ailleurs, une soumission totale…. Et aucun homme n’est encore passé par derrière…. "
"Je ne vous promets pas d’être doux, ni attentionné, il est probable que je finirai par vous défoncer le cul emporté par l’excitation… Quand nous arriverons je vous présenterai la maison, les chiens, la chambre. Je protégerai le canapé, les tapis, et je vous demanderai ce que vous faites, si vous voulez en rester là, nous rentrerons. Sinon…. à partir de ce moment vous serez à moi et aux chiens pour deux jours….
Je les ferai entrer tous les deux, je vous regarderai ; à un moment ou à un autre je prendrai ma part….
Vous n’aurez pas le droit de vous rhabiller dès lors que vous aurez retiré vos vêtements, pas le droit de prendre une douche, pas de toilette intime, vous serez une chienne, mes main vous caresserons, flatterons votre croupe, explorerons, au gré de mes humeurs, je vous tutoierais comme une chienne domestique."
"Oui cella me convient, mais je ne rentrerai qu’à la fin du week-end. Je suis à vous à partir de maintenant, je serai aux chiens dès notre arrivée"
Je glissai ma main sur sa cuisse droite, les doigts caressant l’intérieur en remontant, elle écarta les jambes, laissa ma main remonter jusqu’à la braguette de son jean, c’était chaud, le tissus semblait transpirer : "Je suis à vous (sa voix était légèrement affaiblie), voulez-vous que j’ouvre mon jean ?" Je l’encourageai à le faire, à abaisser la ceinture de sa petite culotte, la fourrure de sa toison glissait sous mes doigts…
"C’est assez pour le moment, mais faites vous jouir, lentement…. je veux entendre ce qui m’a échappé tout à l’heure…
Le soir tombait quand nous sommes arrivés. Je préparai la maison, les chiens entrèrent…. Pendant qu’elle les regardait ma main droite descendait dans son dos, et commençait à masser ses fesses : "tu es à moi ma belle, et à eux, ils n’ont pas connu une femelle depuis deux mois…. Tu auras droit à une bonne dose à la première saillie…"