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Fournisseuse de bon temps – Chapitre 1




La première fois que je l’ai vu, un festival de sentiments envahit mon corps. Elle qui était la représentante d’une entreprise fournissant la société pour laquelle je travaille en matières premières. Elle qui cherchait quelqu’un d’assez endurant pour lui… "fournir" des moments excitants. Elle qui me trouvait autant à son goût que je la trouvais au mien.

À notre première rencontre, sa beauté m’empêcha de m’exprimer clairement. On aurait cru entendre parler un adolescent timide abordant une fille pour la première fois de sa vie. Heureusement pour moi, elle avait l’humour facile et ce trait de ma personnalité l’a tout de suite fait rire. Il m’aura tout de même fallu quasiment un an avant de l’inviter à sortir. Ce premier dîner se passa merveilleusement bien. C’est donc tout naturellement que d’un commun accord, nous décidâmes d’aller chez elle afin d’apprendre à se connaître plus… personnellement. Il nous fallu moins de cinq minutes pour nous retrouver devant son lit.

Après quelques mots doux et des baisers bien placés, elle prit les choses en main. « Assez parlé, place à l’action. » Elle me poussa sur son lit, se dirigea vers sa chaîne Hifi pour lancer une musique d’ambiance, puis commença à danser de manière très sensuelle. Impossible pour moi de rester en place. Je vins me coller à elle et nos lèvres se rencontrèrent. Nous nous sommes embrassés tendrement pendant une minute qui m’en parût être une dizaine. Mes mains commencèrent à se déplacer, explorant chaque parcelle de son corps doux et chaud. À partir de ce moment, tout se passa très vite. « Il me semblais t’avoir poussé sur mon lit, non ? Peut-être étais-tu mal à l’aise à cause de ça ! ». Ni une, ni deux, elle attrapa mon sexe en érection à travers mon pantalon puis commença à le masser. Non content d’être le seul à profiter de ce petit plaisir, je passa ma main droite sous sa jupe et commença lentement à la doigter. La suite fut un véritable concours où chacun essayais de faire le plus de bien possible à l’autre. Je décidais de prendre les devants et de lui retirer sa jupe et sa culotte. Ce fut une agréable surprise de découvrir ce magnifique sexe poilu. Ce fut à mon tour de la pousser sur le lit, de lui écarter les jambes, et d’enfin goûter à la saveur des ses autres lèvres. Ma langue s’attaquais directement à son clitoris, alors que mes doigts décidaient d’explorer son intimité. Elle plaça ses mains sur ma tête et me massa tendrement le cuir chevelu. Elle ne savait pourtant pas que cela m’excitait fortement. Je décidais donc de laisser se reposer ma langue afin de laisser travailler mon troisième bras.

Je retirai son haut, détachai son soutien-gorge, et découvrais enfin ses magnifiques seins. Je n’avais jamais vu de seins aussi beaux. Après lui avoir pincé accidentellement un téton, elle émit un petit râle de plaisir. Pour confirmer ce que je pensais, je lui pinça l’autre téton. Elle réagit de la même façon. Mes doigts commencèrent ainsi une chorégraphie que ses seins tarderont à oublier. Alors que mes mains étaient occupées, mon pénis frétillait d’impatience dans l’attente de pénétrer cette jolie vulve, ce que je ne tardais pas à faire. Je poussais lentement mon sexe dans le sien tandis que ma conquête laissait s’échapper des cris de jouissance. C’était vraiment parfait. Les vas et viens de mes hanches, accompagnés de ses petits cris, me firent comprendre que tout cette excitation ne me permettrait pas de tenir très longtemps. Heureusement, la petite gâterie que je lui avais faite quelques minutes plus tôt se faisait ressentir. Nous jouissâmes ensemble et je remplis son intérieur de ma semence. J’éprouvais un immense sentiment de satisfaction alors que mon sperme s’écoulait du vagin de la femme que j’aimais. Je savais au plus profond de moi que ce ne serait pas la dernière fois que ce scénario se répéterait.

Sans un mot, je m’endormais. Le lendemain matin, en me réveillant, je ne pensais qu’à une chose. Que se passerait-il si mon boss découvrait que je couchais avec notre principal fournisseur ? Plus tard, nous décidâmes donc de garder cette relation secrète.

Les jours suivant cette expérience furent marqués par le nombre de fantasmes assouvis lors de nos petites rencontres. De la masturbation en face à face à toutes les positions du Kamasutra, ma vie sexuelle n’eut jamais été aussi intense. Il faut dire que ma nouvelle place au sein de mon entreprise me permit d’être régulièrement mis en relation avec nos fournisseurs. Des "relations" très différentes de ce à quoi pouvaient s’attendre mes collègues.

Chaque nouveau jour était accompagné de son lot de nouvelles expériences. Son parfum enivrant m’avait rendu accro et la voir uniquement en soirée ou pendant le Week-End m’ennuyait au plus haut point. Nous décidâmes donc nous retrouver secrètement pendant nos rencontres au travail. La semaine suivante, j’ai vraiment eu du mal à me concentrer. Rien que de l’imaginer me faire une petite gâterie, cachée sous mon bureau, me faisait brûler d’impatience. Il s’avéra que ce n’allait pas être longtemps que mon imagination. Il se trouva qu’elle était juste en face de moi, le sourire au coin de ses lèvres. Après un rapide coup d’il afin de s’assurer que personne ne la voyait, ma fournisseuse préférée se glissa sous mon bureau, déboutonna mon pantalon, et commença ce qui allait être la meilleure fellation de ma vie. Elle était à genoux, tournait sa langue autour de mon pénis, tout en s’assurant de ne pas faire trop de bruit. Alors que mes mains étaient occupées à lui caresser les cheveux, les siennes étaient en pleine séance de masturbation frénétique.

Si j’avais filmé cette scène, la pornographie serait officiellement reconnue comme étant un art. Sa technique, son énergie, sa vigueur, tout dans cette fellation était parfaite. Même si nos récents ébats ont eu pour résultat d’améliorer mes performances sexuelles, cette fellation n’avait que trop durée pour moi. Ainsi, d’un signe discret, je lui fis comprendre que j’allais venir. Elle me fit comprendre qu’elle allait aller jusqu’au bout. Un éclair traversa mon corps tandis que je me déversais dans sa gorge. Je n’avais pas jouis aussi puissamment depuis longtemps. Je pense que c’était probablement dû au fait que nous pouvions nous faire surprendre à tout moment. C’était la première d’une longue série de fellations au travail. Malgré tout, il m’en fallait plus. Il ne lui fallu pas longtemps pour accepter que l’on emménage ensemble.

À la maison, c’est elle qui portait la culotte. Elle décidait où et quand nous devions faire l’amour. Et il faut dire que toutes les pièces y sont passées. Cuisine, salle d’eau, placard, tout les recoins étaient sallis à jamais par notre perversion sans fin. Son appétit de sexe me transforma en une vraie bête. Le scénario-type d’une de nos journées : Shot de sperme pour madame le matin et sauce syprine pour monsieur le midi. Le soir ? Il n’y en avait pas. Du moins, nous ne le voyons pas passer, trop occupés à copuler comme des animaux. Au travail, ses jupes se faisaient de plus en plus courtes, et mes éjaculations de plus en plus fournies. Il faut dire que madame avait du talent à revendre. Lorsque l’excitation retombait, il y en avait toujours l’un de nous deux qui trouvait quelque chose de nouveau à faire. Nous prenions chacun soin de nous et la vue de nos corps dénudés nous permettait régulièrement de nous "remettre en forme". Lorsque nos corps ne suffisaient plus, nous faisions appel à des jouets.

Mais venons en au présent. Actuellement, ma fournisseuse me fait une pipe des plus mémorables. Et même si je dois lâcher mon clavier pour passer à des choses plus sérieuses, croyez moi, je n’ai pas fini de vous raconter mes histoires.

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