Voici quelques semaines, Patrick, mon mari, a invité l’un de ses anciens amis, en stage dans la région. Il est dix-neuf heures, je termine de prépare le dîner bien que monsieur m’est prévenue de l’arrivée de son copain qu’au dernier moment. Il faut préciser que depuis deux jours, nous sommes un peu en froid. On se dispute pour des peccadilles et l’on boude chacun de son côté jusqu’à ce que Patrick vienne me taquiner. C’est ce qu’il fait. Il vient me peloter les fesses alors que je suis entre mes casseroles et mes assiettes.
Son pieu de chair me laboure Je viens de mettre la dernière touche à mon maquillage, j’ai revêtu mon tablier de protection, afin de ne pas tacher ma jupe moulante et mon chemisier. Je connais Patrick, il est un peu jaloux. Aussi, j’ai particulièrement soigné ma tenue et j’ai mis sous le chemisier un soutien gorge redresse-seins, donnant ainsi l’impression que mes seins sont libres sous le tissu.
Patrick a dû le remarquer et il essaye de passer ses mains sous ma jupe, en profitant que les miennes soient occupées au fourneau. Je tente d’échapper à ses investigations en me tortillant, mais c’est peine perdue. Il baisse mon slip à mi-cuisses. Je lui ordonne de le remettre, sinon je l’enlève. Ses mains viennent s’incruster dans mon entrejambe au moment où Eric, notre invité, sonne à la porte.
Patrick m’abandonne, slip baissé, pour accueillir son ami. De mon côté, dans la cuisine, après un bref moment d’hésitation, je décide d’ôter ma petite culotte afin de lui montrer que je sais mettre mes menaces à exécution. Puis je range mon tablier et je vais rejoindre les deux hommes au salon.
La soirée se passe remarquablement.
A l’apéritif et surtout à la fin du repas, au moment du digestif, j’ai pu faire apprécier mes jambes. Éric est sur le côté, tandis que Patrick, placé en face de moi, a obligatoirement dû apercevoir mon minou lorsque je décroise les jambes.
Éric a dû remarquer également quelque chose car Patrick a son pantalon bien gonflé au niveau du bas-ventre. Finalement, comme il est tard, il nous laisse à regret. Nous l’accompagnons jusqu’à la porte. Patrick m’a prise par la taille et n’hésite pas à me caresser le haut des reins. A peine la porte refermée, mon mari se jette sur moi. Je dois avouer que je suis également terriblement excitée. Etre entièrement nue sous ma jupe devant deux hommes pendant toute la soirée, m’a mise dans tous mes états. En un tournemain, Patrick m’ôte le haut et le bas et nous nous retrouvons à poil, tête-bêche, allongés sur la moquette de l’entrée.
Tandis qu’il me lèche la foufoune, j’empoigne à pleine main son membre dur et chaud. Le gland que je décalotte et recalotte au rythme de ma caresse, est déjà humide. Le saligaud a dû bander toute la soirée. J’active mon mouvement en le traitant de "salaud qui exhibe sa femme devant son copain!". Cela semble l’exciter, et je continue en l’accusant d’être un voyeur sans scrupules qui aimerait bien voir sa femme se faire baiser par son copain. A ma grande surprise, il ne proteste pas. Son
sexe durcit encore entre mes mains. Je le sens tressauter et frémir avant d’éjaculer plusieurs giclées de sperme sur ma poitrine, son ventre et mes mains. Il y en a partout, mais heureusement pas sur la moquette.
La séance n’a duré que cinq minutes et je reste, pour ma part, complètement frustrée. Patrick, un peu gêné par une jouissance aussi rapide, s’éclipse dans la salle à manger tandis que je vais me nettoyer dans la salle de bains. Je reste un peu dépitée quand on sonne à l’Interphone. C’est Eric qui demande à venir récupérer ses clefs d’appartement qu’il a dû laisser dans le salon.
Je lui ouvre et tandis qu’il monte l’escalier, je me précipite sur ma jupe et mon boléro que j’enfile en toute hâte. Puis je le fais entrer au salon où il retrouve rapidement ses clefs, glissées sous la table. Il me demande où est passé Patrick. Je lui réponds qu’il est allé se coucher. Eric me propose alors de terminer de débarrasser la table. Dans la cuisine où il m’apporte les derniers verres, il n’hésite pas à s’approcher de moi et à me serrer de très près. J’essaye de le repousser. Je lui dis que Patrick peut survenir à tout instant et nous surprendre. Il me rétorque alors qu’il a tout entendu tout à l’heure derrière la porte, et qu’il est tout excité à l’idée de trousser la femme qui s’est promenée nue sous sa jupe. Joignant le geste à la parole, il passe ses mains sous le tissu et me flatte les cuisses et les hanches. Il rajoute en plus qu’il sait que Patrick est caché derrière la porte du salon et qu’il doit nous observer.
Persuadée qu’il ment, je lui fais une proposition ; j’accepte qu’il m’embrasse si c’est vrai, et qu’il parte immédiatement si c’est faux. Sûr de moi, je vais dans le salon. Je fais semblant de chercher un couvert tombé par terre et, à quatre pattes sous la table, j’inspecte la partie entrouverte du salon. Oh stupeur! Patrick est bien là! Je vois parfaitement ses pieds et même une partie de l’ombre de son corps sur la cloison du couloir.
Eric me rappelle à son souvenir en me demandant si j’ai bien trouvé ce que je cherchais. J’acquiesce en me redressant précipitamment.Je peste contre Patrick te son voyeurisme.
Eric s’est rapproché de moi par-derrière. Il met ses mains sur mon ventre. Je mets les miennes sur les siennes. Je sens son souffle sur mon cou, et son corps tout contre le mien. J’ai une soudaine envie de faire l’amour et une folle excitation m’envahit :
— Patrick est couché, dit Eric tout haut. S’il désire venir, nous devrions l’entendre venir d’ici une minute.
Mais Patrick ne bouge pas. J’ai de plus en plus de mal à contenir les mains d’Eric qui vagabondent sur mes hanches, sur mes cuisses, sur mon ventre à même la peau. Il m’ordonne de l’embrasser. Toujours de dos et debout, je lance mes mains derrière sa nuque et, ma tête posée sur son épaule, il joint ses lèvres aux miennes. Patrick ne bouge pas. Un sentiment étrange m’envahit. Mon esprit voudrait qu’il intervienne mais mon corps désire ardemment le contraire. Du reste, les mains d’Eric sont remontées jusqu’à mes seins qu’il pétrit maintenant sans ménagement. Il pince doucement les pointes exacerbées pour de nouveau les malaxer à pleines mains.
Il m’ôte mon chemisier, et c’est torse comme nu que je m’exhibe. Ses mains caressent mes hanches, puis descendent le long de mes cuisses. Soudain, d’un geste bref, il me retrousse entièrement la jupe, découvrant mon cul et ma chatte toute mouillée. Patrick peut entrer maintenant, je ne me contrôle plus.
Eric, d’une main plonge dans mon minou, tandis que l’autre sonde mon sillon fessier. Je donne de petits coups de reins pour mieux sentir la main qui me fouille le ventre. L’autre main teste l’élasticité de ma petite pastille, à ce jour inviolée. Je sens un doigt mutin forcer sans difficulté mon petit oillet rose. Il s’enfonce profondément dans mon cul. Eric me branle des deux côtés à la fois. Ma chatte et mon cul sont en feu. Un premier orgasme me submerge.
Je m’abandonne complètement à Eric qui termine de se déshabiller. Je sens sa bite sur mes reins. Il me fait pencher en avant. Je prends appui sur le rebord de la table de la salle à manger en lui offrant ma croupe comme dessert. Je creuse les reins tandis qu’il promène, debout derrière moi, sa queue le long de mon sillon ténébreux. Les lobes écartés, je suis prête à tout. Son gland s’arrête sur ma rosette qu’il presse un peu, avant de continuer plus bas entre mes lèvres ruisselantes. Il les
écarte avec son sexe avant de l’enfoncer d’un coup au tréfonds de mon ventre, me donnant un nouvel orgasme. Il me bourre, il me lime, il me pistonne vigoureusement. Son ventre claque sur mes fesses à chaque pénétration. Il fait trembler mes seins volumineux en me secouant.
Je n’hésite pas à dire tout haut le plaisir que me donne Eric. Nous changeons de position. Je m’allonge, le dos sur la table de la salle à manger. Il m’écarte les cuisses, et me pénètre à nouveau sans ménagements. A chaque coup de reins, je vois sa belle queue luisante disparaître au fond de mon ventre. Je devine Patrick en train de nous regarder et cela me stimule encore plus. J’ouvre largement mes jambes pour qu’Eric s’enfonce encore mieux. Il me bourre la chatte à grands
coups de pine. Le rythme s’accélère encore. Je jouis une nouvelle fois le supplie d’en finir, mais il ne réduit pas sa cadence, au contraire.
Il me pilonne jusqu’à ce que, enfin, il décharge ses bourses gonflées de plaisir en plusieurs jets drus et puissants au fond de mon ventre.
Après le départ d’Eric et un passage dans la salle de bains, je rejoins Patrick qui ne dort pas. Il me saute dessus et, plus excité que jamais, me trousse comme une pute. Il jouit toujours aussi rapidement, mais cette fois je suis trop épuisée pour lui en vouloir.
Le lendemain après-midi, j’ai rendez-vous avec Eric. J’avertis Patrick et lui propose de se cacher dans le placard de la chambre. A ma demi-surprise, il accepte.
Eric arrive vers 15 heures. Rapidement, je l’entraîne vers la chambre où je prends tout mon temps pour attirer mon amant et mon mari spectateur.
Je prends des poses plus que suggestives en me déshabillant, et je lui demande d’en faire autant. Rapidement, nous nous retrouvons nus sur le lit, l’un contre l’autre. Il me prend en levrette, puis il s’allonge sur le dos et je le chevauche. Sa main glisse sur ma colonne vertébrale, descend jusqu’au sillon fessier. Un doigt s’enfonce à l’intérieur de mon anus. Prise de tous côtés, je me démène pour me faire pénétrer au maximum. Je pense un court instant à Patrick qui doit observer sa femme en train de jouir sur la belle pine d’Eric. Ce dernier s’active fébrilement. Il me retourne et me plaque sur le dos. Il m’écarte les cuisses et reprend son mouvement de piston. Je suis aux anges, et je maintiens moi-même mes jambes, telle une salope des bas-quartiers. Eric s’est mis au-dessus de moi. Son pieu de chair me laboure le ventre. Soudain il se dégage, prend son sexe dans la main et le dirige un peu plus bas vers ma petite corolle
Son gland teste le petit oillet qui résiste un instant. Je n’ose bouger. Un sentiment de crainte et d’envie m’immobilise. La pression s’intensifie et la rosace humidifiée, élargie par ses doigts inquisiteurs, finit par céder. Lentement, doucement mais sûrement, la pine d’Eric s’enfonce jusqu’à la garde. Il m’encule complètement. Je sens ses couilles velues chatouiller le bas de mes reins. La brûlure initiale s’estompe. Il commence à bouger, doucement d’abord, puis de plus en plus rapidement. Il me traite de tous les noms. J’ai l’impression qu’il va m’écarteler. Il est terriblement excité et moi aussi. J’ai véritablement le feu au cul. Je le supplie d’en terminer, mais il continue à m’enculer à couilles rabattues jusqu’à ce qu’il finisse par éjaculer au fin fond de mes entrailles. Nous refaisons l’amour deux fois avant qu’il ne parte ; dans la salle de bains, sous la douche, et dans le couloir au moment du départ, où il décharge au fond de ma gorge en me faisant avaler le jus de sa jouissance.
Une fois parti, Patrick me saute dessus mais moins fébrilement que la veille. Je le soupçonne de s’être soulagé tout seul en nous regardant, sans pouvoir attendre davantage.