Henri se rend chez sa tante Julie qu’il n’a pas vue depuis plusieurs mois. Il est à bicyclette.
Sa tante Julie, il l’aime bien, elle est gentille. Elle a quarante ans, est veuve depuis dix ans. Il a passé des vacances chez elle il y a quelques années.
Elle est agricultrice. Il trouve cela dommage car elle ne se met pas en valeur. Car il la trouvait jolie. Adolescent, il regardait en cachette ses formes.
Elle habite « au bout du monde’’, un domaine très particulier. En effet, cette terre domine les alentours comme une presqu’île domine la mer.
Personne ne peut venir sans être vu et entendu. La ferme est une sorte de chateau qui verrouille l’entrée du domaine. Elle est constituée d’une maison d’habitation.
Elle est en forme de U avec une cour devant où s’arrêtent les visiteurs et une cour intérieure où viennent se garer les amis proches et la famille. Une grande porte
avec une arche arrondie permet de fermer cette cour et ainsi de conserver une intimité parfois apréciée.
En contre-bas, au bout d’un chemin de terre, le corps de ferme lui fait face. Une mare jouxte ce batiment. Elle est alimentée par un ruisseau.
Henri a dix-huit ans et demi. Il est timide et complexé. Il est pourtant joli garçon. Il ne l’a jamais remarqué, mais les filles se retournent sur son passage. Il
est venu chez sa tante à vélo.
La catastrophe
Tante Julie n’est pas chez elle. Henri joue avec son ballon de football, dans la cour intérieure, en attendant sa tante.
Son jeu préféré est le jonglage. Il tente de battre un record imaginaire. Il jongle avec les pieds, la tête, les épaules le dos et le torse.
Il utilise les murs pour faire rebondir son ballon.
Soudain, un chien surgit et lui fonce dessus, grandant et semblant venir de nulle part. Henri est surpris et effrayé. Sa seule défense est de tirer
le ballon sur le chien. Celui-ci baisse la tête et reçoit la balle sur le sommet du crâne. Il semble sonné et fait demi-tour en gémissant.
Le ballon a rebondi et part directement vers une fenêtre. Il percute un pot de fleur qui bascule et tombe à l’intérieur de la maison.
Un autre pot de fleur est renversé à l’extérieur. Le ballon part en direction de la ferme. Henri est surpris et catastrophé. Qu’est-ce qu’il va prendre
quand Julie rentrera!
Un bruit de moteur apparait. Henri n’a pas le temps de nettoyer. C’est Julie qui arrive.
Elle descend de voiture et vient l’embrasser, lui dit qu’elle est heureuse de le voir. Elle remarque son air gêné et lui demande ce qui ne va pas.
Henri lui montre le pot par terre. Elle s’approche et voit qu’il manque un autre pot. Elle commence à s’énerver et rentre dans la maison. Il l’entend crier.
« Henri, vient ici!’’ Elle est très en colère.
— Tu as cassé deux pots de fleurs, dont le seul qui me restait de mon mari. En plus, le carrelage est cassé sous la fenêtre! Approche-toi!
Et là, il reçoit une gifle magistrale. Il a le souffle coupé par la surprise. Julie veut lui mettre une fessée, mais il résiste et Julie déchire son short
et son slip en même temps. Il est soudain le cul nu devant elle. Et son tee-shirt, trop court, ne cache rien.
Elle-même surprise d’avoir été aussi violente, le serre contre elle et se met à pleurer.
-Excuse-moi Henri. souffle-t-elle en sanglotant. Je suis triste car cette plante était importante pour moi.
Henri sent ce corps chaud se blottir contre le sien. Il a la tête contre son épaule. Et d’avoir le sexe à l’air l’excite; il commence à bander. Julie continue
de pleurer et ne s’en rend pas compte. Il veut se soustraire à son étreinte, mais elle le retient. Sa tante est une belle et grande femme. Il lui trouve un
corps splendide et rêve scrètement de lui faire l’amour. Il sent ses seins froler sa poitrine et son sexe se tend de plus en plus.
Maintenant, Julie ne peut plus ne pas s’en aprecevoir. Elle s’écarte de lui et le regarde surprise.
-Eh bien mon cadet, en voilà une réaction! Tu devrais avoir honte! Je suis ta tante tout de même.
Elle réalise soudain qu’elle prend plaisir à cette situation.
-Dans ces conditions, tu vas immédiatement ramasser les débris causés par ta maladresse!
Henri veut prendre son short, mais elle réagit en parlant fort.
-Non, tu le fera le cul nu!
Il a peur de cette réaction et commence à ramasser les morceaux du pot.
-Vas chercher la poubelle dans la remise!
-Mais je ne peux pas sortir dehors dans cette tenue! se rebelle-t-il. La crainte qu’il ressent fait débander son sexe.
-Oh que si, tu le peux! Et je te rappelle qu’« au bout du monde’’, personne ne peut te voir. Alors tu vas le faire et plus vite que ça!
Henri sort donc piteusement de la maison et se dirige vers la remise. En entendant arriver une voiture, il pénètre en courant dans la remise pour se cacher.
De la voiture, descend une femme, jeune, environ trente ans, fort jolie, avec une poitrine qui rebondit à chacun de ses pas.
Elle rentre dans la maison. Ne sachant que faire, Henri attend. Soudain, Julie sort en trombe de la maison, suivie de l’inconnue. Elles se dirigent vers
la remise. Henri est paniqué. Cette inconnue va le voir presque nu! Il se précipite dans l’ancien clapier et se jette sans réfléchir à plat ventre dans la paille
qui en tapisse le sol.
Julie rentre précipitemment dans la remise et l’appelle.
-Henri! J’attends toujours que tu nettoies tes cochonneries! Où te caches-tu? Montre-toi!
-Mais je ne peux pas, il y a cette dame!
Julie est en colère.
-Je te demande de sortir, tu vas le faire immédiatement! Tu as fait une bétise, tu dois assumer! Ce sera ta punition!
Henri se lève et sort, honteux, du clapier. La dame, Angèle, le regarde étonnée mais ravie. Il a de la paille dans les poils et les cheveux. Elle a aprécié la façon
dont Julie lui a parlé.
-Oh le beau lapin que voila! s’écrit Angèle.
-Oui, mais il n’a pas été sage. ajoute Julie. Il va falloir le fesser. Approche-toi Henri. Appuie-toi sur les épaules d’Angèle.
Pour cela, il doit légèrement se pencher en avant. Julie en profite pour lui mettre deux claques retentissantes sur les fesses. Il aperçoit fugitivement
les seins d’angèle tressauter lorsqu’il s’agrippe à elle, et cette vision combinée à la brulure sur ses fesses et à son âge, lui font dresser le sexe.
Voyant cela, Angèle fui donne une claque sur le bout du sexe. Henri poussa un petit cri de surprise.
À suivre
