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Naturisme éducatif – Chapitre 4




 Nous attendions avec impatience le prochain cours. Nous avons passé quelques jours à perfectionner nos techniques, et au-delà de l’excitation d’une nouvelle leçon, l’idée de tester ces techniques sur le corps de nos parents nous obsédaient, mais aussi celle de recevoir ces caresses de leurs mains. Ils nous observèrent plusieurs fois nous donner du plaisir mutuellement. C’est ma sur qui craqua la première. Un soir à table elle osa demander :

 – On aura un autre cours bientôt ?

 – Il faut prendre notre temps, mais on y réfléchit, bientôt, dis ma mère

 – Mais on a tellement envie de vous montrer qu’on a bien retenus la dernière leçon, dis-je

 – Ah, c’est donc ça, répondis ma mère, ce n’est même pas pour un nouveau cours en fait

 – Si, bien sûr, repris ma sur

 – Evidemment, mais ce n’est pas la seule chose qui nous motive

 – Bon pour l’instant finissez vos assiettes, on va y réfléchir.

Mon père clos la conversation, sur un ton amusé. Le lendemain en fin d’après-midi, j’allais rejoindre ma sur dans sa chambre pour lui proposer un nouvel entrainement. Elle m’expliqua, alors qu’elle tenait mon sexe entre les mains à genoux devant moi, qu’elle avait passé la journée à frôler nos parents, à les chauffer discrètement et à se masturber devant eux. Ils avaient d’ailleurs fini par faire l’amour en la regardant se caresser l’anus. Cette histoire m’avait achevé, et je jouis sur son visage et dans ses mains. Elle récupéra la majeure partie de mon sperme dans ses mains, et les nettoya avec sa langue, avant de partir se rincer le visage et les mains. Nos positions s’inversèrent et je me retrouvais rapidement avec un doigt dans son anus, et mon autre main sur son clitoris.

Après le repas ce soir-là, mon père nous demanda :

 – Motivés pour un nouveau cours les jeunes ?

Le manège de ma sur avait porté ses fruits et nous étions impatient de commencer. Tous installés dans le salon, personne n’osait lancer la conversation. Ma mère encore une fois, finit par rompre le silence :

 – Si j’ai bien compris, vous aviez hâte de nous montrer vos talents. Qu’est-ce que vous attendez ? Vient t’occuper un peu de moi ma chérie, et toi occupe-toi un peu de ton père, ensuite on inversera et vous ferez jouir le parent du sexe opposé.

Un peu déçu par la tournure des événements j’approchais du sexe tendu de mon père. Je le pris doucement en main, et la sensation que me procurait le fait de sentir cette bite entre mes mains me perturbait. Sentir une autre tige que la mienne dans ma main, me troublait bien plus que je ne l’aurai imaginé, et je m’appliquais un peu de lubrifiant sur la main avant de commencer mon va et vient. Je tournais la tête pour voir ma sur avec un doigts plonger dans le vagin de ma mère, et un autre qui massait le clitoris. Mon père pris ma main pour stopper mon mouvement.

 – On va faire une petite pause avant d’échanger, sinon on ne va pas en profiter longtemps. Inversons les places, proposa mon père

Assis dans le canapé je regardais ma sur frémir sous les caresses de ma mère, alors que mon père me branlait doucement en caressant mes testicules. A mon tour je stoppais la main de mon père, pour les mêmes raisons que lui, je voulais offrir mon sperme à ma mère. Après avoir une nouvelle fois échanger nos places, je me retrouvais à genoux en face du vagin qui m’avait vu naître. Je ne m’attardais pas longtemps sur les faubourgs de ce sexe déjà bien humide, et m’attaquais rapidement à la petite boule plaisir. J’en profitais pour insérer un doigt entier dans son vagin, chose que je ne pouvais pas faire avec ma sur. C’était tellement chaud, humide, serré, mon gland perlait de liquide pré séminal. La respiration de ma mère s’accélérait et j’en profitait pour insérer un deuxième doigt dans son vagin. Ma mère jouit en éjectant mes doigts de son vagin et en gémissant bruyamment. De son côté ma sur avec les couilles de mon père dans sa main gauche et accélérait sur son manche de la main droite. Le corps de mon père se tendis un peu plus, et il éjacula dans les mains de ma sur. Elle s’empressa de lécher ses mains sous le regard médusé de ma mère.

 – Quelle cochonne, tu aimes vraiment le gout ?

 – Pas tant que ça, mais ça m’excite terriblement, répondis ma sur en terminant de lécher ses mains.

 – Tu risques d’adorer la leçon d’aujourd’hui, lui dis ma mère avec un clin d’il.

Nous avions tout de suite compris l’objet de la prochaine leçon, j’avais hâte d’y être. Mais pour l’heure c’était notre tour de jouir, et mes parents nous laissèrent leur place. Les mains de mon père tremblaient en parcourant le corps de ma sur. Et ma mère avait le regard pétillant alors que sa main allait et venait sur mon sexe. Elle se léchait les lèvres en accélérant ses mouvements, et en quelque seconde je me déversais entre ses doigts. Visiblement inspirée par ma sur elle utilisa sa langue pour se nettoyer les mains. Pendant ce temps mon père déployait tous ses talents, sa bouche gobait le sein droit de ma sur, pendant que son index gauche allait et venait dans son anus, et que son pouce droit tournait sur son clitoris. Elle jouit dans un hurlement de plaisir.

Après une petite pause pour que tout le monde reprenne ses esprits, la leçon du jour allait pouvoir commencer.

 – Je suppose que ma petite allusion de tout à l’heure vous a permis de comprendre ce que nous allons apprendre aujourd’hui, dis ma mère en s’agenouillant devant mon père. On va parler de sexe oral. On parle de fellation quand c’est sur un homme et de cunnilingus sur une femme. Maintenant regardez bien.

 – Tout d’abord, il faut faire monter la pression, repris mon père. Quelques coups de langue sur les testicules et le long de la verge sont parfaits pour ça, expliqua-t-il pendant que ma mère s’exécutais.

 – On peut s’attarder un peu sur le frein, dit-elle en démontrant ses dires.

 – Ensuite il faut prendre le gland en bouche, attention à bien rentrer vos dents, sinon ça fait mal. Avec la langue on parcourt le gland en aspirant, les joues de ma mère se creusèrent autour du gland de mon père, puis elle commença à faire aller et venir la verge dans sa bouche d’abord doucement, puis de plus en plus vite, de plus en plus loin. Certaines femmes sont capables d’avaler entièrement une verge, on appelle ça une gorge profonde.

On vit ma mère essayer d’avaler le plus possible le sexe de mon père, qui poussa un peu sur sa tête pour l’aider.

 – Je n’aime pas trop le faire, dis ma mère, car ce n’est pas très agréable. Mais le sexe c’est aussi faire plaisir à l’autre, et parfois on accepte de faire des choses pas forcément hyper agréables pour faire plaisir. Ça peut être une grande source d’excitation aussi.

 – Enfin il ne faut pas oublier d’utiliser ses mains, des caresses sur les testicules, ou simplement joindre un petit mouvement de va et vient en suçant sur le gland.

Alors que mon père se crispait de plus en plus, ma mère sortit la verge de sa bouche et repris la parole.

 – Encore une fois, il faut surveiller les réactions de son partenaire. Messieurs, il est bien plus sympa de prévenir votre partenaire si vous sentez votre orgasme approcher. Libre à elle, ou lui, ensuite de choisir quoi faire, continuer et recevoir l’éjaculation dans la bouche, ou finir à la main.

Lorsqu’elle le repris en bouche mon père lui fit signe que son orgasme approchait, elle lui fit un signe du pouce et continua son travail. Mon père gémit en s’arc boutant, et nous avons pu clairement voir ma mère déglutir. Mon père après avoir repris ses esprits laissa sa place à ma mère, et s’agenouilla devant le canapé, elle ouvrit grand les cuisses et pris la parole.

 – Pour le cunnilingus, ce n’est pas si différent de la masturbation. D’abord on fait monter la pression en embrassant les alentours, mon père entreprit d’embrasser les abords du sexe maternel. Puis d’abord du bout de la langue, vous pouvez parcourir chaque partie de la vulve, elle gémit alors que mon père s’exécutait. Enfin, l’important, ça reste le clitoris, on peut le lécher, le sucer, dit-elle haletante. Mais n’oubliez pas d’utiliser vos mains, un doigt ou deux bien placés, et vous ferez rapidement jouir votre partenaire.

Mon père ne se fit pas prier, et inséra un doigt, puis deux dans son vagin tout en aspirant le clitoris. En quelques seconde, ma mère jouit fortement, en caressant les cheveux de mon père.

Nous nous regardions ma sur et moi, à la fois plein d’envie, mais aussi un peu d’appréhension. J’avais hâte de gouter aux joies de la fellation, mais j’avais aussi peur de mal m’y prendre en dégustant sa vulve. Je pense que les sentiments de ma sur étaient assez similaires.

 – Alors, lequel de vous deux veut se lancer en premier. Demanda mon père les lèvres encore luisantes des sécrétions de ma mère.

Après une petite minute passer à nous observer, ma sur s’agenouilla devant moi en agrippant mon sexe. Les premiers coups de langues me firent un effet fou, comme si des décharges électriques parcouraient tout mon corps. Si je n’avais pas déjà joui une première fois quelques minutes auparavant, j’aurais explosé sur son visage. Ma mère s’approcha et s’installa à côté de moi.

 – Prends le en bouche maintenant, en faisant attention à tes dents. Essaye de bien saliver, plus c’est lubrifié meilleur ce sera pour lui.

Appliquée, ma sur suivit les consignes de ma mère. J’étais au paradis, la chaleur et l’humidité de sa bouche, son visage qui me regardait pour guetter les signes de mon plaisir. En voyant mon émoi, elle essaya d’avaler mon sexe le plus possible. Elle eut un petit haut le cur et sorti quelques instant mon sexe de sa bouche.

 – Wow, c’est pas facile en fait.

 – Ne t’en fait pas, ne te fais pas mal, ça viendra avec la pratique. Dis ma mère.

Elle retenta, en allant un peu moi loin cette fois, avant de se concentrer une nouvelle fois sur mon gland. Je lui caressais les cheveux avant de lui annoncer mon orgasme imminent.

 – Je veux que tu viennes dans ma bouche, me dit-elle lâchant mon sexe quelques seconde.

Je ne me fis pas prier, et quand elle entreprit d’aspirer mon gland en branlant le reste de ma tige, je lui remplis la bouche de mon sperme. Elle ouvrit grand la bouche, pour me montrer le résultat de son travail, avant de tout avaler. Avant de me libérer elle alla même jusqu’à lécher la moindre trace restante sur ma verge. Il me fallut quelques instants pour redescendre sur terre. Ma sur me souriait, elle prit mon bras pour m’aider à me lever, et pris ma place, en approchant son bassin bien au bord du canapé. J’ai vite compris qu’elle attendait avec impatience que je lui rendre la pareille. J’approchais doucement mon visage, elle était trempée, son clitoris pointait fièrement hors de son capuchon. Je soufflais doucement dessus, ce qui la fit frémir, avant d’embrasser son mont de venus, puis l’intérieure de ses cuisses, ses grandes lèvres, puis, après une petite pose je déposais un petit baiser sur son clitoris. Il fallait maintenant passer aux choses sérieuses. J’entrepris soigneusement, de goûter chaque parcelle de cette vulve, poussant même ma langue a l’intérieur de son vagin. Je m’attaquais pour terminer à son petit bouton magique, l’aspirant, le léchant le suçotant.

 – N’oublie pas tes mains, scanda mon père.

J’avais compris en la caressant ses derniers jours qu’une phalange dans chaque orifice la faisait grimper aux septièmes ciels quasi instantanément. Après avoir lubrifié mon majeur et mon index dans son vagin, je stimulais ses deux orifices. Le résultat fut impressionnant, son corps s’arc bouta, en poussa un peu plus mon visage et mes doigts dans son corps, avant qu’elle s’écroule sur le canapé, un sourire béat fixé sur le visage.

 – Eh bien, visiblement la leçon vous a plu. Dis mon père

 – Bon comme d’habitude maintenant c’est autorisé. Et comme vous avez bien retenu la leçon précédente, nous pourrons si vous voulez, nous caressez tous les quatre. Dis ma mère en ouvrant les cuisses devant mon père.

 – Nous devons bien réfléchir avant les prochaines leçons. Mais vous aurez surement le droit à un point sur tous ce qu’on a vu dans peu de temps, mon père plaça son sexe à l’entrée de celui de ma mère, en fixant la chatte rougie de plaisir de ma sur. A la douche et au dodo, les assoiffés de sexe, laissés nous un peu d’intimité, ajoutât-il en riant.

 Les jours suivant j’ai passé une grande partie de mon temps le nez entre les cuisses de ma sur, quant à elle, elle a pu ingurgiter mon sperme plusieurs fois chaque jour. Le 69 c’est rapidement imposé à nous, nous ne dérogions pas à la règle, rien n’était nouveau, mes parents nous regardaient souvent tendrement, caressant une fesse, un testicule ou nous prêtant parfois main forte avec leurs mains. Il ne fallut pas bien longtemps pour qu’ils se décident à nous évaluer, nous voir nous manger mutuellement le sexe aussi souvent que nous le pouvions leurs donnait clairement envie de participer. Un samedi après-midi alors que nous allions avec ma sur nous déguster mutuellement ils nous arrêtèrent.

 – Vu votre entrainement intensif, je pense que vous êtes prêt pour l’évaluation, nous dis mon père le sexe dressé.

 – Comme la dernière fois, viens d’abord t’occupé de moi ma chérie, on inversera ensuite, déclara ma mère en s’allongeant cuisse ouverte sur le sol.

Ma sur plongea presque instantanément son visage entre les cuisses ouverte de ma mère. Pour ma part j’empoignais timidement le sexe de mon père, avant de commencer à y passer ma langue. J’étais toujours très incertain, cela ne m’existait pas particulièrement, mais la sensation restait intéressante. Je le pris maladroitement en bouche quelque instant avant d’entendre ma mère jouir à coté de nous. Mon père m’arrêta alors, et nous inversèrent les rôles. Ma mère entreprit de rendre son orgasme à ma sur, alors que lorsque mon père passa un première fois sa langue autour de mon gland, je senti mon érection faiblir.

 – On dirait que cela ne t’excite vraiment pas fiston pas vrai ?

 – Oui, je suis curieux mais clairement ce n’est pas mon truc, je suis désolé.

 – Tu n’as pas à l’être, me dis mon père. Tu as essayé, tu n’as pas aimé, maintenant tu le sais. Je pense qu’on va arrêter les expériences homosexuelles tous les deux d’accord.

 – Merci

Après l’orgasme très rapide de ma sur, nous nous retrouvions chacun face au sexe du parent de sexe opposé. J’avais envie de profiter de cet instant, et je passais d’abord un long moment à taquiner les alentours de la vulve maternelle. Au point qu’elle finit par lever son bassin, me collant le visage contre son sexe brulant. Avec l’aide de mes doigts je parvins facilement à lui faire atteindre un orgasme impressionnant. En relevant ma tête je vis ma sur souriante lâcher le sexe paternel pour déglutir, visiblement ravie de cette expérience. A peine le temps pour tout le monde de reprendre ses esprits, que ma mère pris mon sexe en bouche, alors que mon père dévorait le clitoris de ma sur. Je sentais mon plaisir monté rapidement et un peu déçu je remplis la bouche de ma mère après quelques secondes seulement.

 – Je suis désolé, j’étais tellement excité, j’aurai voulu en profiter un peu plus, dis-je

 – Ne t’en fais pas, nous aurons d’autre occasion, me répondit ma mère en souriant.

Nous nous sommes alors installé face au second couple. Mon père avait un doigt profondément ancré dans le rectum de ma sur, et un autre dont la première phalange allait et venait dans son vagin, la bouche toujours posé sur son petit bouton de plaisir. Ma sur fut secouée par un orgasme dévastateur, hurlant son plaisir, quand soudain, sa voie changea et c’est un cri de douleur qui emmena de sa bouche. Dans ses secousses, elle s’était involontairement emballée sur les doigts de mon père, recevant son index au plus profond de son vagin. Son hymen c’était brisé sur ce doigt. Ma mère vint tout de suite la câliner, s’inquiétant de son état. Mon père quant à lui enleva rapidement ses doigts et fondit en excuses.

 – Je vais bien, ne vous en faites pas, ce n’est pas de ta faute papa, c’est moi. J’avais envie de le sentir jusqu’au fond, et au final, involontairement je l’ai fait. Tout va bien, ça pique un peu mais je survivrai.

 – Ce n’est pas moi qui aurait dû te prendre ta virginité, je suis vraiment désole, dis mon père.

 – Viens prendre une douche, lui dis ma mère, en l’emmenant par la main vers la salle de bain, nous laissant mon père et moi dans le salon.

Ma sur me raconta le lendemain, les évènements qui eurent lieux dans la salle de bain ce jour-là. Ma mère l’avait lavée entièrement, comme une enfant, en insistant bien sur sa vulve. Elle lui expliqua que même si elle avait perdu son hymen, ce n’était pas ça première fois. Ma sur avait alors saisi l’occasion pour aborder un sujet qui lui trottait dans la tête depuis quelques temps maintenant.

 – Tu sais, ça commence à faire quelques temps que j’ai envie de sentir un sexe en moi. Et maintenant que mon hymen est brisé, est ce que ça change vraiment les choses si c’est mon frère ou mon père qui s’introduit en moi ? Le jour où je ferai la première fois l’amour avec un vrai amant, je saurai à quoi m’attendre, et je pourrai lui donner un maximum de plaisir.

 – On dirait bien que tu as tout prévu pas vrai ? Je dois en parler à ton père. Ne faites rien avec ton frère tant que nous n’en avons pas reparler.

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