Ma mère prend le temps nécessaire pour se remettre, elle cicatrise.
Pour un temps j’ai mis en berne ma sexualité, je le lui ai dit, elle est bien entendu contre.
Elle veut que je vive pleinement, que je la considère comme un accessoire récréatif pour qu’elle se sente humiliée, en concurrence et qu’alors sa libido s’affole pour chaque jour me conquérir.
Je ne sors plus, j’ai coupé tout contacts avec mes conquêtes. Je me branle et pour le moment cela me suffit. Je veux rester fidèle à Maman, même si je doute fortement que les choses entre nous évolueront.
J’entends un bip sur mon PC, je viens de recevoir un message.
Gladys m’écrit et après ces quinze jours de disette libidineuse c’est une agréable surprise.
J’ai continué à lui envoyer des mails où je me confiais, je ne voulais pas couper les ponts, surtout après tout ce qu’elle a fait pour moi.
Elle a uvré en coulisse pour que je me fasse à l’idée et si aujourd’hui je peux dominer et punir Maman, c’est bien grâce à elle.
Je n’ai eu aucune nouvelle d’elle depuis deux semaines, elle a dû lire et relire mon premier mail, regarder la vidéo en pièce jointe, puis elle a reçu tous ces courriels de moi et qui jusque là étaient restés sans réponse de sa part.
Je tremble un peu, j’ai peur de l’ouvrir et d’y découvrir qu’elle me demande de cesser définitivement notre correspondance. J’ai besoin de soutien, j’avoue que mon jeûne sexuel me pèse. Quelques mots gentils de sa part me feraient le plus grand bien, alors je commence à lire son courrier avec une certaine émotion.
« Je devine ton trouble, je comprends tes doutes, mais tu es allé bien trop loin pour faire machine arrière.
Je sais qu’il te faudra du temps et beaucoup de confiance en toi pour franchir ce cap…
Ce destin n’est pas seulement le tien, mais il est aussi celui de ta maman, n’oublies jamais cela. Renoncer vous fera tout deux souffrir.
Je serais toujours là pour toi, tu le sais bien et je t’aiderai.
Viens me rejoindre, je t’attendrais, coiffée, maquillée et parfumée comme elle et tu pourras fourbir tes armes en attendant terre plus accueillante…
Gladys ».
Je tremble, ses lignes m’ont bouleversées, sa proposition est alléchante, très tentante, mais j’hésite encore. J’ai peur d’avancer, même en y allant par étape. Je suis resté trois longues journées à m’interroger et puis j’ai envoyé ce seul mot: D’accord.
Gladys m’a demandé de me préparer pour le lendemain, elle m’enverrait l’heure et le lieu au dernier moment.
Je suis prêt, j’ai tourné en rond avec des crampes au ventre. Je suis angoissé, je sais que ce que je vais faire va être décisif, après cela je ne pourrais plus longtemps reculer.
Les heures passent, le jour tombe, je commence à me dire que dorénavant c’est elle qui ne veut plus et c’est là que j’ai entendu frapper.
J’ai ouvert, il n’y avait personne, juste un petit mot posé sur le paillasson…
« Entre… », il n’y avait rien d’autre d’écrit.
J’ai regardé sur le palier et la porte de l’appartement d’en face était entrouverte, alors tout timide je l’ai poussée, et je suis entré.
Les volets sont fermés, le couloir est parsemé de petites bougies disposées à même le sol, elles m’indiquent le chemin, alors je l’emprunte.
J’entre dans le salon, il est éclairé par des chandelles, tout est dans une douce lumière, et je l’aperçois, à genoux dans la position du sphinx, les mains posées au sol, le dos bien droit.
Elle bombe son torse, elle ne dit pas un mot pour garder le mystère et la magie de ce rendez-vous équivoque. Je m’approche, elle porte un masque blanc qui lui dissimule une partie du front et les yeux.
Je la regarde et c’est à si méprendre.
Elle a la même coiffure que maman et tout comme elle, ses lèvres sont teintée d’un carmin flamboyant. Elle porte bas, jarretelles et des bottines à talons, elle n’a pas mit de culotte et comme seule vêtement elle a passé une guêpière constellée de perles et de brocard. Toute sa tenue est blanche, la couleur est symbolique, comme pour sceller notre union.
Je m’approche, je suis intimidé et dans la pale lueur je distingue alors ses gros seins prêts à jaillir hors de son corsage. Ses cuisses sont lisses, ses bras solidement ancré sur le plancher, c’est troublant ce qu’elle lui ressemble.
Je suis tout proche, les effluves de ce parfum que je connais si bien viennent titiller mes narines, c’est l’odeur de ma mère qu’elle porte sur elle. La pénombre me rassure, elle m’encourage à venir plus prêt, l’illusion est parfaite, c’est vraiment Maman que je vois.
Elle reste silencieuse, elle a attrapé mes mains et les embrasse et toujours sans rien dire elle se baisse et m’ôte mes chaussures qu’elle pose parfaitement alignées à côté d’elle. Elle enlève mes chaussettes et les plie comme ma mère le faisait lorsque j’étais enfant et qu’elle me déshabillait. Elle se redresse un peu et un à un elle déboutonne ma braguette et baisse mon pantalon. Je ne porte rien d’autre dessous que cette turgescence prometteuse, mais pour le moment elle s’occupe de plier minutieusement mon Jean.
J’enlève ma chemise, Maman me laissait toujours le faire seul, comme un grand garçon et elle attend docilement que je m’en débarrasse.
Je suis à présent nu devant elle et je bande comme un âne. Elle ne prononce toujours pas la moindre parole, elle contemple mon sexe et à son magnifique sourire, je devine qu’elle aime ce qu’elle voit.
Maintenant c’est moi qui ne bouge plus, c’est comme un merveilleux songe, Maman est véritablement là avec moi. Ce soir grâce à sa merveilleuse doublure je vais apprendre à lui faire l’amour et un jour prochain, je serais parfaitement serein pour réellement la prendre.
Elle baisse sa nuque, elle approche sa bouche de ma virilité, ses lèvres s’entrouvrent et déjà elle lèche mes bourses. Sa langue passe et repasse sur mes burnes et sans attendre elle en gobe une. Elle a compris que j’allais être émotif, alors avant de commencer, elle va calmer mes ardeurs par la plus adorable des sucettes.
Sa langue liche ma tige, elle remonte lentement le long de mon manche, peu à peu ma bite se graisse de sa salive et c’est si bon. Elle me pourlèche avec douceur, mais même si elle ne montre rien je la sens impatiente.
Elle veut m’avaler pour que je la souille jusqu’au fond de la gorge.
Je me crispe, son léchage méticuleux m’exaspère, j’ai envie de venir, mais elle sait y faire et me contrôle.
À présent elle s’affaire sur mon frein, elle prend tout son temps avant de s’attaquer au plat de résistance, moi j’ai emmêlé mes doigts dans sa chevelure, j’essaye désespérément de la guider mais c’est bien elle qui mène la danse. Elle est exaspérée, je le devine, elle aussi n’en peut plus d’attendre son régal et sa bouche se referme enfin autour de mon gland.
C’est là que ce petit murmure est sorti bien malgré moi…
« – Maman… ».
Elle n’attendait que cela, elle a dû tellement espérer entendre ce nom, ses commissures ce sont serties sur ma queue et elle me suçote de la plus espiègle des manières. Ses doigts agiles malaxent mes testicules, parfois le bout de son index glisse dans ma raie et vient effleurer mon illet.
Je suis en feu et je ne vais plus tenir longtemps.
Je baisse la tête, je l’observe, je cherche des détails, des dissemblances et je n’en trouve pas, la similitude est à s’y tromper. Gladys avait raison, c’est exactement ce qu’il me fallait, avec elle qui s’applique, je vais prochainement pouvoir envisager d’aller jusqu’au bout avec ma propre mère.
Elle m’avale tout entier, ma verge disparaît totalement dans les tréfonds de sa goule. Son palais est gluant et si chaud. Le plaisir monte inexorablement, elle me suce comme jamais je ne l’ai été et c’est si encourageant pour la suite des réjouissances.
J’ai hâte de la prendre pour enfin savoir comment baiser Maman.
Je n’en peux plus, je me crispe, j’ai serré sa tignasse avec sauvagerie et j’ai joui. La semence à fusé, le jet puissant a maculé sa langue, sa glotte et emplit tout son palais. Je n’en fini plus d’éjaculer, je me vide en elle et elle n’arrête pas de déglutir.
C’est hallucinant, déroutant, les apparences sont si trompeuses que c’est exactement comme si je venais d’ensemencer la bouche de ma propre mère.
Le foutre gras dévale son sophage, elle s’emplit le ventre et je me rend compte qu’avec ce scénario ambigu, j’ai été particulièrement généreux.
Mon zob ramollit et elle me nettoie, me décrasse pour que sois bien propre. Elle lape chaque souillure, chaque gouttelette de mon sperme gras, elle se régale et plus je la fixe et plus c’est Maman que je vois se goinfrer.
Je suis tout mou, je ne m’inquiète pas, je vais rebander bien vite, je le sais. Mon zizi est bien propre, immaculé, singulièrement pur, alors que je m’apprête à le souiller de la plus perverse des manières.
Je vais la baiser, je ne pense plus qu’à cela et alors faire de Gladys la plus parfaite des doublures maternelles.
Elle se relève, elle attrape mon poignet et m’entraîne jusqu’à la table. Elle pose ses paumes sur le plateau, elle écarte les jambes et fléchit l’échine. Elle me présente avec audace sa croupe. Son cul est large, sa raie est profonde, ses fesses soyeuses tout comme celles de ma mère, le charme opère toujours autant, je suis dans le plus extraordinaire des rêves.
Je regarde tout autour de moi, je ne les avais pas remarqué auparavant, mais face à elle est disposé tout le nécessaire.
Il y a un fouet, un martinet, une cravache, il y a aussi des plugs bien larges, des godes bien longs, des pinces lestées de plomb, des menottes, un mors pour la bâillonner, tout ce qu’il faut pour laisser libre cours à mes instincts les plus brutaux…
Je vais pouvoir sévir et la régaler. Je dresse l’inventaire de tout ce qu’elle a préparé pour que je laisse s’exprimer mon vice, elle a pensé à tout et parmi cet abondance d’accessoire je remarque le plus incongru, une brosse pour nettoyer les toilettes qui trône dans son pot.
Je lui passe l’entrave qui bloquera sa mâchoire, je serre la lanière. Elle va bientôt déguster tranquille, ses cris seront un peu étouffés par la barre d’inox qui bloque maintenant sa gueule.
Je ne me lasse pas de la regarder, c’est envoûtant, elle a bien travaillé son modèle, elle est désormais sa parfaite jumelle.
J’ai envie de l’embrasser, de lui rouler la plus incestueuse des pelles, mais voilà, je n’ai pas réfléchi, j’aurai dû attendre un peu avant de verrouiller sa gueule. Un filet de bave goutte le long de son menton, je caresse sa joue, l’ovale de son visage et cette conformité des traits achève de me corrompre.
Maman est bien là avec moi et cette nuit je suis ici pour elle…
Je fixe des pinces sur ses tétons, l’acier mord ses pointes, elle pousse un petit gémissement. Les chaînettes se tendent, les lests étirent atrocement ses tétines et grisé je rajoute toujours plus de poids. Ses énormes seins pendouillent mollement sous son buste, sa poitrine s’est distendue sous la masse de fer, c’est extrêmement douloureux et malgré tout, elle me sourit.
Je joue avec les chaînes, je les fais se balancer pour achever de distordre ses nichons, elle couine de plus en plus, alors j’ose enfin l’impensable.
Je viens de poser ma paume sur sa vulve et elle est détrempée.
Elle mouille abondamment, mes doigts sont tout gluant de sa mouille grasse. Ce n’est plus Gladys qui est là avec moi, c’est bel et bien ma mère et je vais la punir, puis la prendre.
Elle va adorer, son fils chéri va laisser s’exprimer sa fougue et il va l’aimer jusqu’à l’aube.
Ma belle inconnue avait raison, c’est bien ce qu’il me faut pour aller de l’avant, je sais que désormais je suis prêt à tout pour que Maman soit mienne.
Je commence doucement, elle va geindre puis elle va jouir.
Les lanières du knout effleurent son dos, son fessier, je l’attise jusqu’à ce qu’elle se désespère d’être enfin fouettée. Les brins de cuir agacent sa peau, je passe et repasse, je me fais tout aérien, tout léger, son plaisir en dépend.
Je ne suis pas pressé, grâce à Gladys j’ai appris à doser, à faire durer pour que cela soit bien meilleur encore pour elle.
Elle empeste la cyprine, l’intérieur de ses cuisses est désormais tout visqueux, l’exaspération porte ses fruits. Elle se meurt d’impatience, alors je mets fin à son calvaire et je la frappe une première fois. Je ne retiens plus mes coups, je flagelle son cul, je le chauffe, je l’enflamme. Il est écarlate et déjà les premiers bleus apparaissent.
Je vais lui violacer le fion, je vais être sans clémence, elle va souffrir et atteindre l’extase.
Je l’entends beugler d’ivresse, elle aime être corrigée tout comme ma mère. Je la fustige de plus en plus fort et emporté par ce faux-semblant pervers, j’abandonne toute décence, le jeu m’a pris, je ne suis plus que son enfant obscène qui va enfreindre tout les tabous moraux.
A chaque flagelle je me livre, je crie à tue-tête, j’entends chacune de mes paroles résonner dans la salle.
Je maltraite Gladys, mais c’est bien à ma mère que je m’adresse.
« – Pour m’avoir excité ! », le fouet claque sur elle.
« – Pour avoir corrompu mon âme ! », une nouvelle frappe tombe.
« – Pour avoir réveillé mes vices ! », je fouette bien plus fort.
« – Pour m’avoir fait me morfondre, douter puis espérer ! », ma sévérité lacère son derrière.
« – Pour avoir souhaiter que j’aille jusqu’au bout de la perversion ! », je continu mes sévices.
« – Pour avoir tout fait pour que cela arrive ! », je cogne sans relâche, avec fougue.
« – Pour avoir fait irrémédiablement de moi l’homme de ta vie… ».
Je ne peux plus stopper plus ma correction, je frappe comme un fou, plus je marque son corps et plus elle mugit sa jouissance. Elle se convulse devant moi, elle n’est plus que plaisir, béatitude et cela me rend heureux.
Son popotin est en piteux états, couvert d’hématomes, de plaies profondes et elle n’est plus qu’un interminable orgasme impudique.
Je la retourne sans ménagement, maintenant je tanne sa motte, je la zèbre sans le moindre égard, je la taillade sans charité et elle enfle sous mes yeux.
J’y vais franchement je suis possédé, hypnotisé par le spectacle incroyable de ce sexe qui ne cesse pas de se boursoufler et d’être meurtri.
Sa vulve n’est plus qu’une extraordinaire enflure, je lâche le manche et je m’agenouille entre ses cuisses béantes.
Je plonge ma gueule dans la boursouflure, ma lécheuse retrousse ses lèvres, fouille sa fente, je lèche Maman et son jus est un délice. J’en ai plein la tronche, toute ma figure est collante, je me peux plus m’empêcher de lui bouffer la chatte, je veux qu’elle m’assourdisse les oreilles par ses beuglements d’ivresse.
Je lape son con, je farfouille tout au fond, je le mordille puis très vite le mords à pleines dents, elle ne retient plus son vertige, elle n’est plus que félicité sous ma goinfrerie buccale. Son émoi m’abreuve, j’en découvre la force de ses arômes, je me régale, je m’empiffre sans pudeur et elle jouit dans de long jets drus qui giclent jusqu’aux tréfonds de ma gorge.
Elle se convulse encore un peu, moi je me suis remis debout, j’attends qu’elle reprenne son souffle.
J’attrape sa croupe, je la lève pour qu’elle s’assoie sur le rebord, je ne suis plus qu’une immense érection, ma queue me fait mal, il faut que je l’apaise et je vais le faire en elle.
Elle a serré mon cou lorsque j’ai plaqué mon membre à l’entrée de son vagin, je ne l’entre pas tout de suite, je veux qu’elle m’embrasse, alors je défais la bride devenue inutile qui empêche tout baiser. Elle n’a pas attendu, sa langue s’enroule autour de la mienne, nos lèvres sont serties pour la plus débauchée des pelles et alors d’un coup de bassin j’entre enfin.
Je reste sans bouger, je suis tout au fond de son ventre, je vais lui faire l’amour et irrémédiablement me défaire de toutes mes entraves.
Ma vie va définitivement changée, je n’ai plus le moindre doute.
Elle me fixe, bienheureuse, je suis enfin en elle, je vais la prendre comme le plus amoureux des fils, dés lors elle peut s’abandonner.
Doucement elle relève ses avant-bras, ses mains viennent sur son loup et lentement elle le fait glisser, puis l’enlève.
Maman est bien là avec moi et plus rien d’autre ne compte…