Les surprises de Marie.
Marie était venue à Bordeaux avec Patrice. Comme la première fois quelle mavait rencontré, il lavait laissée dans le quartier où je lavais vue pour la première fois. Il était censé aller voir des clients, mais il nen avait pas lintention. Il était plus complice que jamais avec moi et je savais où le joindre à tout moment.
Javais donné rendez-vous à Marie dans le café de notre première rencontre. Je lui avais lancé un nouveau défi et, quand je la rejoignis, je constatai quelle avait parfaitement respecté mes instructions. Elle était seule à une table. Elle portait la jupe ultra-courte que je lui avais demandé de mettre et le chemisier parfaitement transparent qui ne laissait rien ignorer de ses seins magnifiques. Je vins vers elle en souriant dun air satisfait.
— Cest bien, tu portes ce que je tavais demandéTu as commandé quelque chose ? lui demande-je.
— Pas encore, me répondit-elle.
— Alors on va boire un truc en vitesse et on file chez moi, sinon, on va être en retard
— En retard ? me demande-t-elle dun air étonné.
— Oui Tu as remarqué que la serveuse habituelle nest pas la ? dis-je en lui montrant le garçon de café qui nous observait. Elle a pris un jour de congé et doit nous rejoindre chez moi
— Tu la connais ?
— Disons que jai appris à faire sa connaissance depuis la semaine dernière Javais remarqué avec quel air coquin elle nous regardait quand je tai masturbée sous la table. Alors, je suis revenu plusieurs fois et je lui ai demandé si cela lavait excitée
— Et alors ?
— Elle sest mise à rougir et ma avoué que « oui ». Et même beaucoup Je lui ai ensuite demandé si tu lui plaisais et je lui ai dit que jaimerais beaucoup vous voir faire lamour toutes les deux. Je mattendais à devoir déployer beaucoup dénergie à la convaincre et jétais même décidé à lui proposer de largent, mais elle ma stupéfait.
— Comment ?
— Elle ma immédiatement répondu « cest quand vous voulez » !
— Tu te les faite ? me demande-t-elle avec une pointe de jalousie.
Je souris en buvant le café que vient de nous apporter le serveur et je lui réponds.
— Non, pas encore je la baiserai devant toi tout à lheure Finis vite ton café, elle nous attend dans 10 minutes !
Marie se renfrogne et vide sa tasse, puis elle se lève lair contrarié. Je règle les consommations et nous partons sans nous dire un mot. Elle me fait une crise de jalousie, cest bon signe.
Une fois arrivés chez moi, nous retrouvons la serveuse qui nous attend devant ma porte. Elle est splendide et porte un débardeur vert avec une mini jupe noire qui lui va à ravir.
— Je mexcuse pour notre léger retard, lui dis-je, mais le barman qui te remplace est beaucoup moins efficace.
— Oh, je viens juste darriver, répond-elle en souriant.
Je les fais entrer toutes les deux dans mon appartement. Je fais les présentations /
— Marie, ma maitresse, que tu as eu loccasion de voir plusieurs fois dans létablissement où tu travailles.
La jeune femme savança et tendit maladroitement la main à Marie qui ignora son geste. Je repris.
— Marie, je te présente Juliette, qui a envie de partager nos jeux. Tu devrais te montrer un peu plus conviviale à son égard Embrasse-la et déshabille-la ! ordonné-je dun ton beaucoup plus sec.
Elle changea enfin dattitude et savança vers Juliette. Les lèvres de Marie se posèrent sur celles de la jeune serveuse brune qui navait pas plus de 25 ans. Celle-ci répondit sans hésiter au baiser de Marie et la laissa défaire son chemisier. Elle avait de petits seins fermes et ronds dont le tétons pointaient à travers son soutien-gorge transparent que Marie retira rapidement.
Juliette défit elle-même sa jupe et la fit glisser jusquà ses chevilles. Elle ne portait plus quun string ravissant et je vis que sa vulve était bombée.
Jordonnai à Marie de se mettre entièrement nue et elle le fit rapidement. Juliette semblait fascinée par la lourde poitrine de ma maitresse et savança vers elle. Avec beaucoup de douceur, elle caressa les seins volumineux de Marie et les lécha avant daspirer les mamelons dans sa bouche lun après lautre. Je les trouvais très belles toutes les deux et pourtant si différentes. Je vins me positionner derrière Juliette, et je lui retirai son string. Je ne pus résister à la tentation de caresser sa toison finement épilée. Elle navait conservé quune petite touffe très sensuelle.
Je les invitai à se mettre sur le lit et je commençai à me dévêtir pendant quelles senlaçaient et échangeaient un baiser fougueux en pressant leurs corps lun contre lautre. Leurs mains se firent baladeuses et chacune découvrit lintimité de lautre. Je les laissai à leurs plaisirs saphiques un long moment, puis je les rejoignis sur le lit.
Mes mains se posèrent sur les fesses de Juliette et je les écartai, découvrant son anus parfaitement épilé et je vis que son sexe luisait de désir. Je me fis sucer par Marie, puis je retournai Juliette et je lui relevai largement les jambes, les posant sur mes épaules. Javançai mon sexe turgescent vers elle et la pénétrai sans effort devant les yeux de Marie qui avait lair contrariée. Il fallait quelle apprenne la frustration et je ne moccupai que de Juliette. Je la pilonnai pendant un bon moment et Marie resta à nous observer en se caressant. La jeune brune connut un orgasme dévastateur qui mexcita au plus haut point. Peu après, je jouis en elle et jobligeai Marie à la lécher, encore pleine de mon sperme. Sa soumission était totale.
Pendant que Marie léchait ma semence dans le sexe de la belle brune, jai pris le gode dans le tiroir et je lai pénétrée en attendant que mes capacités érectiles reviennent. Juliette a connu un nouvel orgasme, aussi fort que le premier, grâce à lagilité de la langue de Marie que jai réussi à faire jouir presque en même temps que notre complice.
Peu de temps après, Juliette a pris une douche, elle sest rhabillée et est partie après nous avoir remerciés. Elle avait beaucoup aimé cette séance et nous avoua que cétait la première fois quelle participait à un trio, mais quelle recommencerait.
Marie me regarda avec son sourire toujours aussi enjôleur. Finalement, elle ne men voulait pas davoir pris Juliette devant elle. Elle mavoua que la situation lavait même excitée terriblement et quelle avait pris un grand plaisir à laper mon sperme dans le sexe de notre partenaire.
Je lui dis que je lui réservais une autre surprise et quelle allait être exposée à un voyeur quelle ne verrait pas. Elle sembla immédiatement émoustillée par cette hypothèse. Jai regardé ma montre et je lui ai dit quil était lheure de le faire venir. Jai pris mon téléphone portable et jai envoyé le SMS prévu : « tu peux venir dans 10 minutes ». A peine une minute plus tard, jai reçu la réponse que jespérais : « OK, jarrive ! ».
Marie avait compris quil me faudrait lui bander les yeux et elle alla chercher elle-même le bandeau noir, maintenant quelle savait où je le rangeais. Je le nouai autour de ses yeux et je la fis de nouveau installer sur le lit, les bras en croix, puis jentrepris de lattacher comme la dernière fois. Je pris mon temps, la couvrant de caresses et de baisers et je lui demandai si cette nouvelle expérience lexcitait.
— Beaucoup, me répondit-elle. Surtout le fait de ne pas savoir qui me regarde.
— Ne tinquiète pas, lui dis-je. Je le connais, il ne te fera pas de mal.
Je neus pas le temps de lui en dire plus. La sonnette de la porte dentrée retentit et je fis entrer le voyeur. Il sinstalla près du lit et regarda Marie avec un il plein de convoitise. Je pris la cravache et je me mis à parcourir le corps de ma belle soumise avec la boucle de cuir fixée à son extrémité. Pendant un long moment, ce ne furent que des caresses, puis je me mis à donner de petits coups sur les cuisses et sur le ventre de Marie.
Le voyeur qui lobservait avait commencé à se masturber et leva le pouce dans ma direction pour me faire signe quil adorait. Je me mis à accélérer la cadence et la puissance de mes coups de cravache désormais centrés sur le sexe de Marie. Je savais quelle appréciait ce genre de traitement et je me mis à viser son clitoris. Elle commença à gémir de plus en plus fort. Notre complice se mit entièrement nu et sapprocha un peu plus.
— Tu peux la caresser, lui dis-je.
Sans un mot, il a alors posé ses mains sur la poitrine de Marie et a commencé à faire rouler ses tétons sous ses doigts. Jai posé la cravache et je me suis installé entre les jambes de Marie. Mon érection était revenue, aussi forte quauparavant et je lai pénétrée sans ménagement. Très excitée par la situation, elle a joui rapidement. Jai du la maîtriser, tant elle se tortillait. Je narrivais plus à rester en elle.
Soudain, je me suis arrêté et jai souri à notre complice. Il était aux anges et je lui ai fait signe que je voulais quil prenne ma place. Il ne sest pas fait prier et a pénétré Marie à son tour. Il la pilonné avec une vigueur proportionnelle à son excitation et la fait jouir une nouvelle fois. Marie adorait vraiment ce que je lui imposais et nous avons fini en nous masturbant tous les deux, aspergeant son visage masqué de nos spermes qui se mélangeaient.
Cette fois, je lavais humiliée, offerte et elle avait joui encore mieux que dhabitude. Cétait vraiment une belle salope !
Le voyeur anonyme se rhabilla rapidement et je le reconduisis à la porte, laissant Marie prisonnière de ses liens. Il allait repartir sans quelle ait pu voir son visage et elle ne saurait même pas que celui qui mavait regardé la baiser et lavait baisée devant moi était son mari.
Le rêve de Patrice était enfin accompli : voir sa femme se faire baiser devant lui.
(Fin)