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Vengeance personnelle – Chapitre 3




Vengeance personnelle

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Chapitre 3 : Sortie Shopping

Sofiane venait d’avoir son nouvel emploi. Il était encore trop satisfait pour réaliser qu’il s’était fait piéger. Il ma raconta son entretien avec Anthony le responsable de la salle, et comment il allait devenir l’une des serveuses de personnel. Il avait paniqué au début de l’entretien de peur d’être découvert. Mais la discussion avait avancé et il avait vite compris que son costume faisait parfaitement illusion. Mon plan fonctionnait à merveille et je fus tout excité par la nouvelle. Sofiane était moins enthousiaste à l’idée de devoir porter l’uniforme de serveuse, talons et une jupe tous les jours. En outre, Anthony lui avait demandé de faire un service pour le tester et ne l’avait pas quitté des yeux. Je débordais d’enthousiasme et je voulais fêter ça autour d’un bon repas. En même temps, j’avais peur qu’il ne se salisse et je ne pouvais pas prendre de risque car c’était son seul uniforme.

« Allons faire les magasins » lui dis-je

« Il va te falloir d’autres affaires que celles que je t’ai donné, si tu veux conserver ton travail. Il va te une nouvelle garde-robe et ne rien laisser au hasard ou tu seras découvert. L’idée d’être découvert ne lui plaisait pas, il se dirigeait vers notre chambre pour se changer mais je ne lui en laissais pas le temps et l’entraînait avec moi.

« Hors de question que tu te promène au rayon femme dans une tenue masculine ça serait suspect » déclarais-je

Je démarrai la voiture et nous prîmes la direction du centre commercial. Le centre commercial n’était pas trop fréquenté ce jour-là. Nous montions l’escalator ensemble et je le voyais le balancer légèrement signe de son profond malaise. Si vous aviez vu sa tête quand nous avons pénétré dans le rayon mode féminine à la section lingerie, il était tétanisé. De temps en temps, je m’arrêtais pour lui demander son avis sur la couleur de certains strings ou sur la forme de quelques soutiens gorges. C’était à mourir de rire. L’une des vendeuses est même venue nous demander si nous avions besoin de quelque chose en particulier. Il était tellement gêné que son visage avait changé de couleur et viré au rouge pivoine. Il regardait sans arrêt par-dessus son épaule comme si toutes les autres femmes du rayon l’observaient. On aurait dit un animal traqué qui surveillant ses arrières et jetant des coups d’il furtifs pour voir si personne l’avait surpris.

Finalement, j’ai choisi quelques chemisiers, une robe rouge à motifs noirs, quelques nouveaux soutien-gorge, trois strings, deux culottes, une jupe plissée droite, un corset et des collants et des porte-jarretelles. Je l’entraînait vers la cabine d’essayage. Sofia se plaignait mais je répondais constamment la même chose.

« Une femme a besoin de se changer plusieurs fois par jour c’est primordial. Si tu n’arrives pas à conserver ce poste je te préviens, tu risques d’avoir besoin de ces vêtements plus longtemps que prévu ».

Nous sommes entrées tous les deux dans la cabine d’essayage, je voulais être sûre que ces nouveaux habits la rendraient belle.

« Déshabille-toi » j’ordonnait

Je descendais délicatement sa culotte rose, et lui tendis un string rouge.

« Je ne veux pas le mettre, tu vas trop loin » et il se détourna

Je saisi son visage entre mes mains et commençais à l’embrasser langoureusement. Son sexe tout chaud, se dressait d’excitation, contre ma cuisse.

« Enfile-moi ces vêtements et en rentrant à la maison je te gâterai peut-être ».

Je savais pertinemment que je lui faisais du chantage et qu’il n’aurait droit à rien de moi, mais pour obtenir ce qu’on veut il faut parfois mettre les formes. Tout trace d’insubordination avait disparue. Je lui glissais le string entre les cuisses et il mit le soutien-gorge sans protester.

« Regarde comme tu es belle dans cette tenue »

J’admirait son reflet dans la glace et je le vis rougir. Je passais mes mains à hauteur de ses seins.

« Hmm, ta poitrine laisse à désirer, tes seins sont encore petits, il faudra rembourrer »

Je commençais à les titiller, à les pincer du bout des doigts en lui imprimant des bisous dans le cou

« Ou peut-être que en les stimulants un peu…est ce que t’aimes ça ? »

Je descendais délicatement ma main le long de son membre, il était à ma merci

« Avec les femmes je ne suis pas très expérimenté mais voyons voir si ton petit clitoris est sensible »

Son corps commençait à être parcouru de spasmes

« Ne viens pas c’est un ordre, il faut encore passer la lingerie à la caisse »

J’arrêtais mon petit manège le laissant frustré et tout excité. Nous sommes sortis de la cabine après avoir essayé quelques basses résilles et des porte-jarretelles. Sofia n’était pas en état de faire quoi que ce soit. J’ai donc passé les articles à la caisse sous le regard approbateur de la jeune demoiselle. Elle sourit à sa collègue et pendant que je rangeais les achats dans les sacs, elle fit une remarque à sa collègue :

« Elles en ont de la chance, elles vont bien s’amuser ce soir »

Ces remarques rendaient Sofia encore plus nerveuse et moi encore plus heureuse. Je comptais bien le maintenir dans sa position encore un bon moment.

Je déposais les sacs sur le pas de la porte. Le colis que j’avais commandé était arrivé.

« Encore des talons ! » s’exclama sofia, « mais tu en as déjà plein »

« Ce n’est pas pour moi » rétorquais-je. Je n’aurais pas trouvé sa pointure en magasin alors j’avais pris la liberté de les commander par internet. Pourquoi je n’avais pas fait pareil avec les habits ? Je vous laisse deviner.

« Ça me fait mal aux pieds » protesta t’il

« Ne t’inquiète pas tu vas t’habituer. J’ai pris une paire pour que tu t’entraines exprès à la maison. C’est obligatoire comme les jupes qui contraignent tes mouvements. En plus ça met en valeur tes jambes tu ferras bientôt tourner la tête de tous les hommes. »

Cette idée ne semblait pas lui plaire du tout. Il commençait à regretter amèrement le marché qu’il avait passé. Il se dirigea vers la chambre pour quitter ses habits et enfiler son pyjama et un cri retenti :

« Où sont mes vêtements ? »

Je répondis simplement:

« Je les ai donnés aux secours catholiques ».

Le regard effaré ses yeux étaient devenus humides et la colère se peignit sur son visage.

« tu as fait quoi ! » hurla t’il

Du calme, qu’est-ce que tu pensais que tu allais pouvoir alterner avec tes vieux habits maintenant que tu as les ongles vernis et les oreilles affublés de boucles d’oreilles  et une coupe de femme.En plus, Mathilde m’a dit qu’elle a mis du maquillage semis permanent sur ton visage. Que diraient les gens s’ils te croisaient dans la rue ? Tu ne peux pas changer ton apparence du matin au soir ou on te prendra pour un gigolo.

« Ça veut dire que il ne me reste plus que les affaires que l’on vient d’acheter ? » réalisa-t-il accablé.

« Non je ne peux pas rester comme ça, je vais retourner en acheter »

« Et je ne t’accompagnerai pas » répliquais-je fermement

Après cette petite altercation il commença à fouiller dans toute la chambre en quête d’une trace de sa masculinité perdue. Heureusement j’avais veillé à ne rien laisser trainer au hasard. Tous les sites que j’avais consulté parlaient d’une rupture totale avec la vie antérieure. Il ne fallait surtout pas lui laisser une chose à laquelle se rattacher. Il s’allongea sur le lit et fixa le plafond. Pendant ce temps je commençais à remplir le tiroir qui contenaient les boxers et les chaussettes d’autres fois par les strings, soutien gorges, collants et porte-jarretelle que nous venions d’acheter. Que de plaisir de voir le tiroir de Sofia bondés de dentelles brodées, de noeuds adorables, de froufrous et de cotons multicolores. Jamais je n’aurai cru prendre autant de plaisir à transformer mon ex-petit ami. Pour la première fois j’avais vraiment l’impression d’être la personne dominante dans notre relation. Si j’en doutais il suffisait de regarder l’accoutrement de sofia pour savoir que c’était moi la chef J’avais un bon métier comme directrice des ressources humaines et elle était serveuse. Il était naturel que je dirige.

Sofiane était perdu, anéanti, brisé, il fixait le mur avec amertume.

Je finissais tranquillement de remplir les compartiments vacants avec les robes et jupes. La journée m’avait épuisée. D’une voie autoritaire je lui dis d’aller se mettre au lit. Il commençait tôt le lendemain et se préparer sa prend du temps quand on est une femme. Il allait comprendre ce que c’est de devoir être soigneuse et se maquiller. Je lui tendis une nuisette douce et agréable qu’il prit et enfila sans dire un mot, s’installa sous les draps et s’endormit.

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