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Les joies de l'appartement – Chapitre 1




J’habite un petit immeuble dans la région parisienne, un petit immeuble familiale, mais pour ma part, je suis seul, c’est ma première année dans mon indépendance et je vais pas être déçu. En effet, j’ai à peine 20 ans mais il m’arrive une chose qui arrive une seule fois dans une vie. Je suis un jeune plombier et grâce à la réussite de l’entreprise dans laquelle je travaille, j’ai pu acheter un appartement.

Enfin bref, tout ça pour dire que lorsque j’ai fini d’emménager, je vais sonner à mes voisins de palier, une famille avec 2 enfants. Je me présente du haut de mes 1m85 à la porte, la femme ouvre, on se présente.

Elle m’explique comment se passe la vie ici, je remarque d’arrière elle, des signes religieux, j’en déduis que cette famille est très catholique. Elle me le confirme en me proposant si je veux de les accompagner le dimanche quand ils vont à la messe. Elle rajoute aussi que son mari est absent la semaine et parfois absent pendant des mois, puisqu’il est commercial pour une multinationale. Je la laisse parler, elle semble contente de me parler. Puis elle se stoppe et me souris et me dit : merci d’être venu.

Je repars chez moi et rigole sur ce drôle de personnage, elle revient 5 minutes plus tard et sans que je puisse donner mon avis. Elle me questionne sur ma vie, elle me dit en rigolant que maintenant si ces enfants sont pas sages, je leur ferai peur, et que je ferai peur au fuite d’eau. Je rigole et je lui dis qu’elle peut compter sur moi, elle sourit. Je remarque qu’elle s’est changée, qu’elle a mis une chemise, ouverte sur un long décolleté, elle se penche pour ramasser la cuillère et je peux voir sa magnifique poitrine, je m’attendais pas à ça de cette catholique coincée qui est en train de me chauffer mine de rien. Elle me dit qu’elle va rentrer, je la raccompagne et décide de moi aussi jouer avec elle, je lui dis on peut se faire la bise maintenant, elle rigole et répond affirmativement, nous nous faisons la bise et j’approche mes lèvres au plus près de les siennes, elle devient toute rouge. Elle me tend un papier et me dit : notez votre numéro en cas de fuite d,’eau s’il vous plait

Je lui prend le papier en lui caressant la main, elle rougit encore plus, je note mon numéro et je lui dis qu’elle peut me tutoyer, elle rajoute je m’appelle Corine, je lui réponds que moi mon nom est Hugo.

Elle s’en va, en me faisant une bise bien appuyée sur la joue. Je n’en reviens pas, je rigole tout seul devant la télé, mais très vite, y repenser m’excite, je suis coupé dans mon élan par le téléphone qui sonne, c’est Corine encore, j’en suis limite blasé mais elle n’a pas l’air de vouloir me chauffer, sa voix est celle d’une paniquée, elle me dit que l’électricité a sonné chez elle, que son mari vient de prendre son avion.

Je me déplace et malheureusement je n’arrive pas à remettre l’électricité, il faut dire que je me suis pas dénué, son décolleté encore plus plongeant me perturbait, ces deux enfants se présentent deux garçons, la manette à la main. Je choisis la facilité, je leur dis que ce soir, ils passeraient la soirée chez moi, je dis aux garçons de prendre leur Playstation, ils sont tout contents. Dans mon appart je les installe dans ma chambre, je prépare le repas ou plutôt je regarde Corinne le faire. Je décide de me venger de son décolleté en me mettant torse nu, je donne comme excuse une possible défaillance du robinet, son regard est troublée, je lui fais remarquer en disant : ça ne va pas Corine ? Elle me répond que si, qu’elle a trop chaud à cause de la chaleur

Nous mangeons, je lui verse du rosé, elle me dit toujours non mais pourtant elle finit toujours ses verres, elle semble avoir l’alcool mauvais car elle donne des signes comme quoi elle est un peu bourrée, je dis donc à ses enfants de ramener la play dans la salle et je couche leurs mères dans ma chambre, puis je leur ordonne d’aller se coucher dans ma chambre aussi avec leur mère et moi je dors sur le canapé, un peu énervé de cette famille chez moi, mais vers 2h00 du matin, je me réveille à cause d’un bruit de pas, c’est Corine qui marchait vers moi, je la regarde, elle me dit qu’elle vient s’excuser, je lui dis que c’est rien, je lui propose à boire, elle me dit de l’eau mais à la vue de mon verre de wisky coca, elle demande la même chose, elle me dit que son mari l’interdit de boire, c’est pour ça qu’elle ne boit jamais et donc qu’elle ne tient pas l’alcool.

Nous parlons puis elle remercie de les avoir accueilli, elle me remercie d’avoir su gérer les garçons, elle m’avoue qu’elle a du mal à faire preuve d’autorité. Elle s’allonge à coté de moi sur le clic clac, elle me demande si elle peut dormir avec moi, car les enfants prennent trop de place et que la chaleur est étouffante et qu’ici il y a la clim, je lui dis d’accord mais je ne veux pas d’ennuis avec ton mari, elle me dit pourquoi il tembêterait ? tu ne m’as pas touché, pas encore..

Je la regarde et lui dis pardon ? elle me répond en m’embrassant, elle ne me lâche pas, elle m’embrasse et descend ses bisous dans le cou, sur le ventre, puis elle a un blocage, elle me dit non je peux pas, je suis mariée.

Je me rends compte que c’est à moi d’intervenir, je l’attrappe, je l’embrasse et lui dit si tu aimes ce qui va arriver, c’est que j’ai raison sinon j’arrête, je plonge ma tête dans son décolletée, et lui mords les seins, je lui enlève sa chemise, son soutien gorge est rouge, il n’est en rien celui d’une femme coincée catholique, je lui arrache, elle se lâche, elle me demande la pénétrer, je la mets à 4 pattes, elle me dit en paniquant qu’elle a jamais fait l’amour dans cette position, je lui réponds qu’elle va apprendre et je la pénètre d’un coup sec, elle crie des "Oui continue !"

Je lui dis que c’est une sacrée coquine, elle me répond, je suis ta salope ! Baise moi correctement avec ton sexe !! Ce qui m’excite encore plus ! Je veux me retirer et elle me maintient en elle et me dis jouis en moi Hugo ! Je lâche donc la semence et mon orgasme entraîne le sien, elle hurle ! Mes voisins d’en bas tapent au plafond à cause du bruit ! Elle sécroule sur moi et s’endors sur moi.

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