Comme je l’ai précisé dans le chapitre précédent, mon mari François m’a mis à la disposition de son neveu Florian en précisant bien à ce dernier qu’il ne devait pas hésiter à en profiter pleinement. Comme je l’ai raconté, mon jeune amant m’honore matin et soir en semaine de manière un peu expéditive mais j’y prends un plaisir non dissimulé. C’est un peu comme un médicament dont la posologie serait de 1 cp matin et soir. Sauf que dans le cas présent, 1 cp ce n’est pas un comprimé mais un coup !!!
Le week-end, le scénario est toujours plus inventif et je pense que mon mari et son neveu doivent décider ensemble à quelle sauce je serai mangée, ou plutôt à quelle sauce je serai arrosée !!! Ce samedi, en milieu d’après-midi, voilà que François décide que nous devons sortir tous les trois car il a envie de m’offrir de la nouvelle lingerie. En général, il ne s’occupe jamais de ma garde robe, vêtements ou lingerie. J’en déduis donc qu’il a un plan particulier en tête et que lui et son complice Florian ont manigancé un scénario dont je serai l’actrice principale. Nous nous dirigeons donc tous les trois vers les grands magasins du boulevard Haussmann. A peine sommes nous entrés que Florian disparaît et, alors que nous montons au deuxième étage où se situent les marques de lingerie, François me glisse à l’oreille
— Ne sois pas inquiète chérie, ton jeune étalon va bientôt nous retrouver mais nous ferons comme si nous ne le connaissons pas.
Tout cela m’intrigue mais je ne pose pas de question pour bien jouer le jeu.
Arrivés à l’étage, nous déambulons parmi les rayons des différentes marques, Aubade, Lise Charmel, Simone Pérèle, … François s’adresse alors à l’une des vendeuses et lui demande à voir la collection de la marque Maison Close. La jeune fille nous demande de la suivre et nous accompagne au rayon. Alors que nous sommes en train de jeter un il aux différents dessous qui plaisent à François body, guêpière, porte-jarretelles, …, je remarque que Florian arrive dans un rayon juste à côté et commence à regarder des choses très sexy sans porter la moindre attention à nous. Au bout de quelques instants, il vient vers la vendeuse qui s’occupait de moi et François et lui demande
— Pardon Mademoiselle, je souhaiterais acheter une guêpière pour ma petite amie mais j’avoue ne pas très bien savoir quelle taille elle fait.
La jeune vendeuse lui répond que cela ne va pas être facile de le conseiller s’il n’en sait pas plus.
C’est à ce moment-là que ce coquin répond à la vendeuse en me désignant
— Je pense qu’elle doit faire à peu près la même taille et les mêmes mensurations que Madame.
François s’immisce alors dans la conversation
— Bonjour jeune homme, si vous pensez que mon épouse fait la même taille que votre amie, cela ne m’ennuie nullement que vous lui fassiez faire quelques essais pour vous aidez dans vos choix.
La vendeuse ouvre de grands yeux, fort surprise qu’un mari passe une telle proposition.
Florian répond alors
— J’accepte bien volontiers votre proposition, si cela n’ennuie pas Madame de poser pour moi. Ce sera vraiment plus facile de choisir.
Impliquée malgré elle dans le scénario, la vendeuse décide de réagir de manière très professionnelle et, se tournant vers Florian, lui demande quel genre de lingerie il souhaite.
— Je n’ai pas d’idée bien arrêtée mais je pense qu’une guêpière noire irait très bien à mon amie même si elle n’ose pas trop porter des choses trop sexy.
La vendeuse choisit un joli modèle sur l’un des portants et me montre la cabine d’essayage juste à côté.
Je passe dans la cabine, retire mes vêtements et ma lingerie avant d’enfiler la guêpière. Je passe la tête par le rideau et je dis à Florian que c’est fait. François dit alors à voix haute
— Voyons chérie, ne fais pas la timide, sors de la cabine que ce jeune homme puisse vraiment se rendre compte.
Je m’exécute et je fais quelques pas en virevoltant devant Florian qui regarde avec la plus grande attention. La vendeuse précise que la taille est très bien et Florian ajoute
— C’est très joli mais je crois que je voudrais quelque chose de plus sexy et de plus osé.
François intervient alors en disant à Florian
— Je pense que le body transparent devrait vous plaire, il me semble que nous avons les mêmes goûts.
La vendeuse me passe alors le body en question et, quelques minutes plus tard, je suis de nouveau hors de la cabine dans un body qui ne cache rien de mes seins et de ma chatte. La vendeuse est gênée pour moi et de nombreuses personnes, dont des maris accompagnant leur femme, me regarde avec délectation.
Florian décide qu’il prend finalement le body et ajoute qu’il va m’aider à le retirer. Devant la vendeuse qui se demande si elle ne rêve pas, Florian entre avec moi dans la cabine. Tandis qu’il est en train de me caresser partout par-dessus le body en m’embrassant dans le cou, j’entends François qui dit à la vendeuse
— Je vais régler les achats de ce jeune homme, lui va payer de sa personne avec mon épouse qui est très gourmande.
Florian m’a maintenant retiré le body, je suis en bas autofixants et talons hauts. Il s’empare de ma bouche, joue avec ma langue, me caresse les fesses, remonte sur mon dos, m’excite les seins et me fait mouiller. La situation est des plus excitantes car nous risquons d’être surpris à tout instant. Je me mets à genoux devant lui, ouvre sa braguette, sort sa queue et la prend en bouche. Il est déjà bandé, les essayages ont déjà produit leurs effets sur ce jeune étalon bourré de testostérone. Ma bouche quitte sa hampe pour lui sucer et mordiller les testicules, il réagit à la perfection et quelques gouttes de plaisir perlent déjà au bout de sa tige. Je me redresse, lui tourne le dos, me penche en avant, prends appui de mes deux mains sur le mur et lui offre ma croupe. Ses mains s’emparent de mes seins tandis qu’il se plante en moi. Il me besogne à la perfection et je dois me mordre les lèvres pour ne pas crier trop fort mon plaisir. Il accélère un peu le rythme et m’arrose bien la chatte de sa semence.
Deux minutes plus tard, nous retrouvons François avec la vendeuse près de la caisse. François tend le paquet à Florian en lui disant
— J’espère que votre amie sera ravie de ce petit cadeau.
Puis, se tournant vers moi, il poursuit
— Et toi ma chérie, le petit cadeau de ce jeune homme t’a-t-il fait du bien ?
La vendeuse me regarde, je rougis un peu en répondant
— Oui chéri, j’ai très apprécié.
Tandis que Florian s’éloigne pour aller nous attendre à la sortie du magasin comme convenu avec mon mari, ce dernier dit à la jeune vendeuse
— Nous adorons ces essayages coquins du samedi matin, surtout mon épouse !
Quelques minutes plus tard, nous retrouvons Florian et partons tous les trois prendre un café dans un bar d’à côté. A peine sommes nous installés que François dit à Florian
— Qu’allons nous inventer demain pour satisfaire ta gourmande tante ?
Florian lui répond qu’il va y réfléchir. Au fond de moi, j’espère que ce sera aussi excitant que cette séance d’essayages coquins …
