Le jour de la seconde séance, est arrivé. Laurent doit arriver à la maison vers dix heures. Nous habitons une maison au milieu d’un vaste jardin en région parisienne. Je n’ai pas pu contenir mon impatience… La veille j’ai posé un micro-émetteur dans le séjour où Joëlle se ? confie ? au savoir faire de Laurent.

Je peux donc écouter à loisir de dehors. Je suis trop impatient pour attendre le compte rendu de Laurent (nous avons prévu de déjeuner ensemble pour qu’il me raconte en détails).

J’arrive dans le jardin vers dix heures trente, je branche l’écouteur : au début je n’entend rien… puis des halètements, un souffle saccadé… ? Ils n’ont pas perdu de temps ! ? me dis-je furieux d’avoir manqué le meilleur : le passage à l’acte ! Je traverse le jardin prudemment pour ne pas me faire voir. Alors j’entends Laurent dans l’écouteur : ? très bien tu peux souffler maintenant, cet exercice est un peu pénible, mais tu vas avoir des cuisses en béton ! ? Ouf… ce n’était que ma Joëlle qui faisait du stretching ! Je n’aurai donc pas manqué le début. En effet Joëlle est allongée sur un tapis, au milieu de la pièce, en jogging ; Laurent près d’elle à genoux lui demande de respirer tout en posant ses mains sur sa poitrine à côtés des seins.

C’est vrai que son statut de prof lui donne entière liberté de toucher Joëlle. Ainsi je vois ses doigts glisser le long de son corps, se rejoindre au milieu du bassin pour aller palper le muscle d’une cuisse, d’abord devant, puis l’intérieur de la cuisse et masser en remontant vers l’entrejambe. Elle se laisse faire tout en reprenant son souffle. Puis Laurent palpe l’autre cuisse.

Plusieurs exercices se succèdent où le prof de gym, sans doute à cours de vocabulaire, désigne les parties du corps de Joëlle en allant les toucher au lieu de les nommer. Ainsi pour lui commenter un exercice qui raffermit la poitrine, il prend les seins de Joëlle à pleines mains par en dessous, les enserre et les redresse tout en les rapprochant. Cela fait rire Joëlle, décidément très avenante. Une autre fois, dans un exercice ou elle doit, jambes raides, toucher ses pieds, il colle son pubis contre ses fesses tout en la retenant avec chaque main au pli de l’aine. Vu d’où je suis, il semble que ses doigts se rejoignent au niveau du sexe de Joëlle ; comme il doit sûrement bander, ma petite salope ne peut que sentir la queue durcie, collée contre ses fesses ! Peut être mouille-t-elle déjà ?

La séance achevée, il leur prend l’idée de sortir dehors ! Panique… Je parviens à me cacher.. et les observe déambulant le long de mes plates bandes. Lorsqu’ils reviennent, Laurent a posé sa main sur la hanche de Joëlle. Ils rentrent.

? Bon, et bien massage maintenant, tu l’as bien mérité ? annonce Laurent… Faux cul ! toi aussi tu penses le mériter souris-je intérieurement. Joëlle étend une serviette de bains sur le tapis au milieu de la pièce, puis sans gêne aucune, retire le haut de son jogging, puis le pantalon et s’allonge sur le dos, jambes presque jointes. Elle porte un slip et soutien gorge qui, sans être provocants, sont adorables, en légère dentelle jaune safran, le slip, sans être un string est très échancré. Laurent, sans un mot, la regarde et hoche la tête en signe d’approbation. Puis il s’accroupit à côté de Joëlle, prend ses hanches à pleine mains et lui impose de se retourner. Elle s’étend alors, sur le ventre. Sans un mot, d’office, avant de commencer à la masser il dégrafe le soutien-gorge. D’où je suis, je vois Joëlle fermer les yeux tout en esquissant un sourire… Il semble un excellent masseur : de la nuque au pieds, ne s’attardant pas trop sur ses fesses il dispense un massage qui semble faire grand bien à ma petite épouse qui ne dit rien, se laissant faire, abandonnée, les yeux fermés. Ils n’échangent pas un mot, j’entends juste quelques soupirs d’aise et le fond de musique de Mozart. Puis soudain : ? Je vais te masser les fessiers, enlève ton slip ! ? Joëlle se tourne nonchalamment vers lui, souriante, se dresse, son soutien gorge en profite pour rester à terre. Puis elle s’assied face à Laurent, sans le quitter du regard, soulevant légèrement ses fesses, elle fait glisser le minuscule slip sur ses cuisses, les écarte une fois passés les genoux puis en fait une boule qu’elle lui remet dans la main ! C’est bien parti ! Elle se remet sur le ventre, cuisse serrées. Il masse toute la longueur d’une jambe, les fesses, puis redescend le long de l’autre jambe. C’est alors qu’il prend les chevilles de Joëlle et écarte largement ses cuisses. Puis il reprend son massage, se déplace, genoux le long de ses hanches. Son massage se focalise des fesses à l’intérieur des cuisses, passe de l’une à l’autre en effleurant son sexe. Je me suis déplacé pour être dans l’axe. Je vois nettement sa vulve ouverte qui semble briller de cyprine, et la pastille brune de son cul. Le coquin, lui aussi, se régale il mate les fesses et le sexe de ma femme avec un regard très approbateur, souriant, pas pressé, sûr de lui.

Ses doigts fins frôlent les lèvres ouvertes de sa chatte trempée. Si j’étais plus près je pense que je pourrais voir les gouttes de jus sur ses poils blonds frisés. Mais Laurent n’en perd pas un miette, il regarde ce trésor exhibé comme si sa vie en dépendait… Puis il lui intime, toujours en la prenant par les hanches, de se tourner. Elle s’exécute et, nue face à lui, fermant les yeux, serre ses genoux. Cela amuse Laurent qui pose ses mains sur une cuisse, descends jusqu’au genou puis remonte vers la toison en insinuant le bout de ses doigts dans le sillon des cuisses. Puis il enjambe les genoux de Joëlle en se place face à elle, une main sur chaque cuisse. Il masse en parallèle les deux cuisses, ses mains se rejoignent sur le pubis puis redescendent vers les genoux en écartant progressivement les jambes de ma petite salope qui ne lutte pas du tout ! Bientôt il doit ramener ses genoux entre ceux de Joëlle, ce qui lui permet de continuer à ouvrir ma femme largement ; son sexe est béant, maintenant et les mains de Laurent se rejoignent désormais à la hauteur du clitoris de Joëlle. parfois ses doigts descendent le long des lèvres, vers l’anus, mais il se contente d’effleurer ces sensibles parties…

Joëlle est tout écartelée et c’est alors que Laurent remonte ses mains vers les seins. Il les empaume, je les vois rouler sous ses mouvements circulaires. Puis il se concentre sur les tétons. Ils sont turgescents, pointés vers le plafond, énormes, gorgés de sang et de désir. Il les pince entre ses doigts, d’abord doucement. ? C’est plus des massages…, c’est des câlins ? dit soudain ma coquine, brisant le silence haletant. Laurent alors se penche sur sa bouche et l?embrasse fougueusement. Durant ce très long baiser à pleine bouche, Laurent, pour pouvoir la caresser précisément s’est replacé à côté d’elle, ses genoux à hauteur des seins. Sa main gauche titillle les seins de Joëlle pendant que la droite a pris possession du sexe béant. Il excite le clitoris, puis d’un coup sec enfonce deux doigts au fond de la chatte offerte et baveuse. En se cambrant d’un coup Joëlle lui permet de l’investir plus profond… Il la masturbe alors dans un va et vient lent et ample.

C’est alors que je vois les mains de Joëlle, enfin prendre vie. Pas d’hésitation : ma petite salope s’occupe directement de la braguette de Laurent ! L?ouvre et sort sa bite tendue. Il a un superbe engin, l?animal ! Noueux de longueur respectable, mais surtout très épais ! Je n?ai jamais vu en réel une queue de ce diamètre? Joëlle, toute pudeur oubliée approche son visage de ce membre arrogant ; quand elle le voit de très près, elle semble enfin remarquer l?énormité du morceau qu?elle désire et, comme incrédule, regarde Laurent qui, prenant son membre dans une main, et, tout en lui pistonnant la chatte, approche son gland violacé de sa bouche. Alors elle n?hésite plus, elle l?engloutit avidement. Il faut dire qu?elle aime beaucoup sucer et surtout très profond, c?est une extraordinaire ? gorge profonde ?. C?est un délice de la sentir ouvrir sa gorge et faire glisser doucement ma queue jusqu?au bout, ses lèvres plaquées contre mon pubis, et marquer un temps, investie à fond, avant de me régurgiter, dans une ultime caresse?

Cette queue de Laurent, je sais que c?est la première, outre la mienne, avec laquelle elle se délecte depuis que l?on se connaît. Et je ne suis pas sûr qu?elle en ait tellement sucées avant moi, vu les réticences qu?elle avait au départ !

Alors elle la regarde, la lèche, l?embouche, progressivement de plus en plus profond, avec autant d?excitation que d?appréhension. Et soudain, elle écarte largement les lèvres dans ce mouvement de mâchoire caractéristique et doucement, doucement mais inexorablement, tendant le cou, s?empale goulûment sur ce braquemart qui finit par disparaître totalement entre ses lèvres enfouies dans sa toison brune. Elle s?immobilise ainsi pénétrée jusqu?au fond de sa gorge, masturbant cette bite inconnue d?un léger balancement de de tout son corps. Laurent est arc bouté, cambré comme pour l?investir plus profond encore, les yeux écarquillés il observe, incrédule, la disparition de sa verge. Enfin elle le libère et s?active le long de sa hampe, avant de l?engloutir tout entier plusieurs fois? C?est lui qui arrête cette dégustation de murène. Il la prend dans ses bras pour l?embrasser et, avec sa bouche, partir à la conquête de son corps. Elle offre tous les recoins de sa peau, que je connais par c?ur, avec un abandon pour cet inconnu d?hier, d?un indécence inouïe : elle se tord, se cambre se tourne pour offrir ses sein érigés, sa chatte écartelée, son petit trou comme un cratère ouvert à l?infini. Il la dévore littéralement, ses doigts pénètrent, dans un désordre très organisé, tous ses trous béants, virevoltent de son cul profondément sondé à sa bouche, puis à sa chatte qui absorbe tous ses doigts? Alors elle part d?un râle sourd, saccadé, dans une longue plainte de jouissance qui enfle, enfle pour exploser en un hurlement d?orgasme d?une intensité, d?une durée indicibles.

Plus tard, revenant à elle, elle se love contre lui caresse doucement tout son corps avec ses doigts et ses lèvres, ignorant le sexe légèrement au repos, et posant sa bouche sur sa bouche lui demande ? ? Tu as des capotes j?espère ! ?

La voir lui ajuster la capote avec sa bouche m?a réellement beaucoup surpris !! Ensuite Laurent s?est délecté à la pénétrer dans toutes les positions, usant de toutes les variantes du mobilier, abusant de l?alternance de sa chatte et de sa bouche, négligeant son cul, mais multipliant les positions de pénétration humiliantes, que Joëlle semble apprécier. Ainsi il l?allonge sur la table de sorte que ses fesses débordent d?un côté et sa tête de l?autre, penchée en arrière ; il va d?un trou à l?autre, pistonnant sa bouche comme il bourre son con, alternativement en la traitant de belle salope qui aime se faire défoncer par plusieurs inconnus. Et elle de renchérir : ? oui j?aime vos queues, bourrez moi bien fort ?. Je suis pétrifié de plaisir et d?excitation. Il l?a prise, bien sûr, debout devant la plus exposée des baies vitrées, et aussi dehors à quatre pattes en levrette. Puis après l?avoir fait jouir un bon nombre de fois, il retire la capote, allonge Joëlle sur la table basse et se branle entre ses seins pour éjaculer sur son torse, son cou et ses seins, en évitant sa bouche.

Ensuite rendez-vous est pris pour la semaine prochaine et elle le laisse partir non sans lui avoir remis ses émoluments !

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