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La progression d'Amélie – Chapitre 8




Le lendemain

Je dormis profondément, rêvant de mes Maîtres et de ce que je subissais depuis l’avant-veille au soir. Virginie me réveilla comme la veille, en se couchant contre moi sur ma litière et cette fois ci, elle me coucha sur le dos tout en me laissant attachée et fixa à chacune de mes chevilles un bracelet muni d’un anneau. Elle était vêtue d’une nuisette en dentelle blanche qui arrivait à mi-cuisses, complètement transparente, qui ne cachait ni ses seins ni son ventre, et je reconnaissais bien là les goûts de mon Maître.

Puis elle se coucha sur moi tel un amant et entrepris de m’embrasser tout en me caressant le ventre. Elle triturait la pointe de mes seins tout en enfonçant profondément sa langue dans ma bouche, rencontrant la mienne qui venait au devant d’elle, en se frottant fortement contre moi. Je sentais la pointe de ses seins se durcir à travers la fine dentelle de sa nuisette. Ses pointes se frottaient contre les miennes, avec délice, et malgré la douleur des tourments subis la veille…Et ses doigts allaient et venaient dans mon vagin, ce qui allait déclencher un orgasme imminent.

Lorsque que je n’étais ni utilisée ni punie, je cherchais à comprendre ce qui m’arrivait. Entre autres choses, pourquoi je ressentais la même chose à l’idée d’être utilisée par mon Maître que je connaissais depuis longtemps et dont j’étais éperdument amoureuse, ou par une jeune femme dont je ne connaissais même pas l’existence 2 jours auparavant. C’est ma condition d’esclave qui m’excitait avant tout et probablement un côté gouine un peu refoulée, mais il m’était inconcevable de ne pas Lui obéir.

Le plaisir vint rapidement et je me rendais compte à ce moment que je prenais autant de plaisir à être ? prise ? par un homme ou une femme, même si je ne la connaissais pas. L’essentiel pour moi était ailleurs : je me découvrais un plaisir lié principalement à celui que je pouvais donner. Et si je ne devais plus exister, ou bien juste en étant une esclave et un objet sexuel, et bien j’en tirais un plaisir infini, à ma grande surprise. A ce moment, je me demandais vraiment où allait s’arrêter ma dépravation, moi qui était quasi frigide il n’y a pas si longtemps…

Elle fixa une chaîne à chacun des anneaux des bracelets de mes chevilles. Ces chaînes passaient dans 2 petites poulies fixées au plafond que je n’avais pas remarquées. Ces 2 poulies étaient écartées d’un bon mètre. Ensuite, elle fixa la ceinture qui avait servi à me maintenir les bras le long du corps pendant que je les servais autour de ma taille et la serra sans ménagement, pour la rendre solidaire du lit à l’aide de cordes. J’étais plaquée sur le dos à ma paillasse, et elle tira sur les chaînes pour me tendre les jambes à la verticale, tout en les écartant, dégageant l’ouverture de mon ventre lisse. C’était très inconfortable et j’avais l’impression d’être vraiment exposée au plus profond de mon intimité.

Puis elle quitta la pièce non sans m’avoir embrassé très profondément et m’avoir bandé les yeux. Je ne voyais rien et profitais de ce temps pour essayer de faire un peu le point, ce qui ne manquait ni de me donner honte, ni de me faire mouiller. Et plus ma déchéance augmentait, plus j’étais excitée. Et pendant cette immobilisation et cet isolement, je me mis à fantasmer sur un abandon total, un renoncement ultime qui me ferait oublier jusqu’à mon identité. Telles les esclaves d’un harem. Où je ne serais qu’un objet, des orifices, remplis, fouillés, souillés, colmatés, utilisés pour les pires aversions…Le fantasme qui revenait souvent était d’être immobilisée, les yeux bandés, ouverte, en position pour être prise par la bouche, le ventre ou les reins. Je serais au milieu d’une pièce où se tiendrait une réception, et où hommes et femmes m’utiliserait comme un fauteuil ou un lavabo, en se soulageant en moi…

Très vite, mes forces me quittèrent et les bracelets s’enfoncèrent dans mes chevilles plus profondément. Mes abdominaux me tiraient. Puis je sentis l’odeur de mon Maître entrer dans la pièce qui me servait de chambre (avant, c’était un débarras). Puis je L’entendis parler :

— Oui, elle est parfaite ouverte comme cela.

— Je vais lui détacher les jambes puis je te guiderais en elle ? ajouta Virginie. Elle détacha mes jambes qui retombèrent sur le lit. Je ne pouvais plus les bouger, je n’avais plus aucune force. J’étais comme une poupée désarticulée. Puis les mains douces de ma Maîtresse ouvrirent mes cuisses, fouillèrent mon ventre lisse et trempé.

— Elle est complètement trempée. Tu avais raison, c’est vraiment une nature chez elle d’être un objet… ? En même temps qu’Elle parlait, Elle me enfonça les doigts qui m’avaient fouillée dans ma bouche, encore couverte de ma cyprine. Je les suçais sans aucune retenue. Puis je sentis qu’on s’insérait en moi, puis des vas et viens réguliers dans mon ventre. Je ne pouvais quasiment pas bouger mes jambes, tellement engourdies par l’immobilisation. Ce sentiment d’être désarticulée augmentait mon plaisir d’être prise. J’étais comme une poupée gonflable vivante, me délectant d’être cet objet de plaisir. Je hurlais mon plaisir là aussi sans retenue ni pudeur, à tel point que Virginie me bâillonna avec la boule de plastique très rapidement, et sans ménagement. Il ne se préoccupait pas du tout de mon plaisir, et se vida au fond de mes entrailles.

— Tu as raison, c’est très étonnant de baiser une poupée de chiffon ? dit Il à ma Maîtresse. Il y avait une réelle complicité entre eux deux, au travers des tourments et des humiliations qu’Ils m’infligeaient. Depuis combien de temps ? Ils se livraient donc à des expériences avec moi, avec ce corps qui n’était plus le mien, qui acceptait tout. Je sentis la boule libérer ma bouche puis mes bras retrouvèrent leur liberté. J’ai donc relevé le torse mais je ne bougeais que très difficilement les jambes. Elle me saisit par les cheveux et sans ménagement me mit la figure devant Son sexe. Je le pris et le nettoya jusqu’à la dernière parcelle souillée par sa semence et par mon plaisir…

Une fois cette tache terminée, Virginie, vêtue de sa nuisette plus que transparente me fit me mettre debout et me corseta sévèrement, gagnant encore 5mm sur mon tour de taille. Je me voyais dans le miroir et n’y croyait qu’à moitié. Les seules choses qui me ramenaient à la réalité de cette taille étaient les difficultés à respirer et la douleur provoquée par les baleines dans mes chairs et mes seins.

— Tu peux aller faire ta toilette bonniche, me dit-elle en me désignant le petit lavabo dans le coin de ma chambre. Puis tu finiras de t’habiller et iras me chercher de quoi déjeuner. Aujourd’hui, je te fouetterais mais aussi te ferais un cadeau. Oui, un beau cadeau…Elle m’embrassa alors à pleine bouche, en fouillant sans ménagement mon ventre, qui mouillait déjà à l’idée d’être fouettée…

— Tu es vraiment une esclave parfaite. Ton Maître avait raison. Ton côté farouche cachait vraiment une profonde envie d’abandon et de déchéance…Te voilà servie, petite cochonne ! Tu seras comblée, tu peux me faire confiance…

Rien que d’entendre cette phrase, mon ventre s’échauffer. J’étais en train de me révéler comme une vraie cochonne, complètement désinhibée, prête à peu prés tout.

Je démarrais donc une nouvelle journée de servitude et d’abandon à mes Maîtres en m’habillant de cette tenue de soubrette, mais sans avoir les plugs dans mes orifices. J’avais déjà renoncé à ma garde-robe pour ne considérer cette tenue que comme mon unique vêtement. Par contre, comment Virginie voulait-elle s’habiller aujourd’hui ? Qu’allait-elle puiser dans mon ancienne garde-robe, constituée par et pour Lui ?

Plus ma déchéance s’accélérait, plus vite j’acceptais ma condition. A l’instant où j’enfilais ma petite cape pour masquer ma poitrine rehaussée par le corset, je me faisais déjà à l’idée de ne plus m’habiller autrement, de ne plus occuper mes journée que par la servitude envers des Maîtres et des Maîtresses, qui se serviraient de moi ou me tourmenterait à loisir.

Déguisée ou vêtue de la sorte (je perdais peu à peu pieds avec la réalité), j’allais donc chercher les croissants pour Virginie, pour celle qui allait me fouetter et me tourmenter dans la journée. Mais j’étais loin de me douter de ce qui allait m’arriver…

En rentrant, mon Maître était parti, je préparais le petit déjeuner puis Lui servit dans le lit. Elle avait enlevé sa nuisette et la vue de sa poitrine parfaite m’excitait. Ses longs cheveux blonds retombaient sur ses épaules et je la trouvais plus que désirable. J’étais déjà trempée à l’idée de me retrouver entre ses cuisses.

Je dus enlever ma robe et me retrouva en bas, corset et escarpins, avec le collier et les bracelets. Elle me remit les bracelets de chevilles, ce qui présageait des immobilisations à venir. Puis elle réintroduit un plug dans mes orifices (celui de mes reins était plus gros, probablement pour élargir cette entrée) qu’elle serra comme la veille, à l’aide d’une chaînette qui passait entre mes lèvres et reliée au corset.

— Aujourd’hui, je vais t’emmener chez quelqu’un qui va te poser te poser des anneaux là . Tu seras également marquée pour signifier ta condition.?, dit-elle en tirant sur les grandes lèvres. ? La plus belle des ceintures de chasteté, directement dans les chairs. Quand on voudra que tu ne sois pas utilisée, il suffira d’un cadenas qui ferme tes anneaux… ?. Une lueur malsaine luisait dans ses grands yeux bleus et ça ma glaça le sang.

Ainsi, Elle me faisait comprendre que mon corps ne m’appartenait plus. Ils le rétrécissaient au niveau de la taille à l’aide de ce corset qui me faisait si mal, élargissait ses entrées, et maintenant allait y insérer plus ou moins définitivement des objets ou bien y poser des marques. Je en savais plus quoi penser, à part que je ne serais plus jamais la même…Il m’avait fallu peu de temps pour définitivement renoncer à mon état d’être humain, de jeune femme libre et indépendante, et quelques jours pour ne devenir qu’un objet, qu’on utilise, qu’on ouvre, qu’on ferme, qu’on bouche…

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