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L'apprentissage du futur mâle dominant par sa soeur – Chapitre 3




Régulièrement, je vais le retrouver dans sa chambre ou il vient dans la mienne. Nos parents s’absentant souvent, nous sommes libres pour nos ébats. Dans ses bras j’ai dépassé mes limites et découvert l’ivresse bouleversante d’un plaisir sans cesse renouvelé.

Petit à petit, il a pris de l’assurance et c’est perfectionné dans la dure science de faire abstraction de ses désirs pour mener sa partenaire au septième ciel. Je suis très fière d’être la personne qui a transformé le vilain petit canard renfermé sur lui-même en étalon conscient du pouvoir que donne la dizaine de centimètres supplémentaires par rapport au mâle lambda moyen qui fait de lui désormais un véritable aimant à filles.

J’ai repoussé mes limites avec lui mais n’ai toujours pas osé prendre son défonce-cul entre mes fesses. J’ai trop peur que mon anus se refuse à son bélier.

Il ne me le demande pas mais cette idée commence à tourner en boucle dans mon cerveau. J’ai déjà essayé plusieurs fois mais ai toujours abdiqué avant l’instant fatidique.

Ce soir, j’irai jusqu’au bout, ou plutôt, c’est lui qui s’en chargera.

Nous nous retrouvons pour une nouvelle partie de jambes en l’air débridée et je lui soumets le deal :

— Ce soir, comme lors de notre première baise, l’un de nous sera attaché au lit, moi… Et je veux que tu me sodomise même si je te supplie d’arrêter, que j’ai changé d’avis. Vas-y quand même avec prudence Claude !

Après m’avoir dénudée, il me lie les mains avec une longe de cinquante centimètres à la tête de lit pour que je puisse bouger.

Sa main s’égare entre mes cuisses et me titille le clito, les sensations sont plus fortes que lorsque je me caresse. Je dois rapidement me mordre les lèvres pour ne pas hurler de plaisir,

J’apprécie sa caresse et ondule du bassin sur ses doigts qui me fouillent, mes gémissements montent dans les tours.

Claude se contorsionne et de son autre main extrait sa queue qui se sentait à l’étroit de son pantalon. Son pieu est déjà érigé, dur entre ses cuisses. J’ai juste assez de corde pour saisir entre mes deux mains entravées l’énorme bite dont je décalotte le prépuce. Je guide son manche pour qu’il vienne seconder la main qui excite mon clito sorti de son capuchon dont deux doigts ont pris possession.

Il s’est tourné et je sens son souffle entre mes cuisses, il colle sa bouche pour recueillir mon jus qui dégouline déjà entre mes lèvres tellement je mouille.

Je lui rends la pareille et goûte au parfume de mâle en gobant l’offrande de sa queue.

Pour me remercier, il continue de faire bouger ses doigts sur mon clito, ou les insèrent dans ma fente. Il commence à me connaître le salaud et sait que je ne peux résister longtemps à ce genre de gamahuchage.

Mais ce que je veux, c’est quelque chose de plus consistant que ses doigts dans ma grotte. Ce quelque chose si dur qui déforme ma bouche ! Je recrache l’objet de ma convoitise et l’exhorte :

— Petit vicieux, ne me fais plus languir, prends-moi la chatte, viens saillir ta frangine ! Tu lui bourreras le cul après ! Fourre ta queue bien au fond de ma grotte !

Je sais qu’il ne va pas pouvoir se retenir. J’écarte encore plus les cuisses et arque mon dos pour faire saillir mon popotin et m’accroche à la tête du lit en prévision de ses coups de Ouf. Je devine l’approche de son sexe de ma foufoune mais m’énerve de sa lenteur. Je le provoque un peu plus :

Alors couilles-molles ! Tu as assez reniflé mon cul, l’odeur de pouliche en chaleur qui attend la saillie de son étalon ! Bourre-moi enfin avec ton gros manche !

Claude est jeune, vigoureux et endurant. Il va me prendre plusieurs fois et je veux que la dernière soit dans mon petit trou que je lui offre.

Il s’avance enfin, la bite dressée, taquine ma fente avec son gland puis mon petit trou et me demande :

— Lequel ?

— Commence par ma chatte pour bien huiler ton concombre et quand tu auras joui plusieurs fois, tu graisseras de ton foutre mon petit trou avec tes doigts et tu me prendras le cul après… Je suis presque vierge par là tu sais, alors il faudra y aller mollo !

Claude s’exécute et enfonce sa queue par la grande porte de sa sur, qui ne tarde pas à râler de plaisir.

— Oh oui mon salaud ! Donne du plaisir à ta sur ! Fais-là jouir ! Bourre-moi avec ton mandrin si dur, si gros… Ahhhh mon Dieu ! Quelle est bonne te queue. Éclate-moi la chatte avec ton énorme pieu !

Fais-moi jouir…

J’atteins l’orgasme, sentant les couilles battre sur mon cul comme un métronome. Ma foufoune est littéralement inondée et un léger clapotis ponctue chaque pénétration. Je n’arrête plus de lui dire des obscénités entre deux gémissements.

Claude prend du plaisir en m’en donnant, graissant plusieurs fois mon conduit au fur et à mesure que le temps passe. Sa main s’aventure un peu plus bas, attirée par le petit trou qui le tente de plus en plus. Il frôle l’anus à la peau douce tout autour, s’enduit copieusement les doigts de son foutre qui macule en abondance mes cuisses et caresse la raie des fesses s’approchant de son objectif final dont je ne lui refuse pas l’accès.

Alors il s’enhardit, se retire, place son gland contre le petit trou sentant que je suis prête, en caresse le tour, insiste bien un moment sur l’anneau fripé et plonge enfin dans l’antre inconnu, le déflorant d’une simple pression.

— Aaahhh que c’est bon de sentir ma bite dans le cul de ma frangine !

— Aïe… Tu aurais pu y aller doucement, ça fait mal !…

— Je voulais que ça soit la grosse bite de mon frère qui me trou le cul, mais t’es tellement bien monté mon salaud ! A chaque étalon, il faut sa jument mais je n’aurais pas cru que ça se passerait si bien. Lime-moi bien comme il faut !

Claude commence doucement, prenant ses aises et faisant coulisser son gros mandrin dans mon cul il m’assène quelques coups plus violents et j’ai du mal à retenir mes cris de douleur. Il prend ensuite une allure de sénateur en se penchant sur moi pour s’assurer des prises en s’emparant de mes seins qui pendent. Il me maltraite la poitrine en faisant rouler les pointes entre ses doigts mais met de moins en moins d’ardeur dans ses coups de reins, il fatigue le pauvre…

Je le provoque:

En fait d’étalon, on dirait une vieille carne asthmatique… Oh ! Réveille-toi et lime ta pouliche ou va te coucher ! Tape plus fort en moi ! Je veux entendre claquer ton corps contre mes fesses ! Aaahhh… C’est beaucoup mieux… Oui comme ça, frappe bien et fort.

J’ai vexé son tout nouvel instinct de mâle dominant. Il active le mouvement et me secoue comme un prunier, asticotant mon clito de sa main droite. Je déguste, mon cul et mon sein gauche aussi. J’accompagne son mouvement, me balançant d’avant en arrière sans pudeur pour atténuer la charge de la Brigade Légère.

Mais à ce rythme, c’est moi qui m’effondre la première, il accompagne ma chute et redouble encore d’intensité pour le baroud d’honneur. De grands jets de sperme inondent mes boyaux. Je m’avoue vaincue mais je suis fière que mon frère soit devenu un étalon aussi endurant.

— C’est bien mon poulain ! Maintenant que j’ai fini de te « dresser », il va falloir que tu me rendes un service. Je veux que tu me venges de quelques poufiasses et de petits cons qui se croient des étalons irrésistibles. Dans quelques jours je suis invité à un anniversaire qui finira sûrement en partouze tel que je les connais. Je veux que tu foutes la honte de leur vie aux garçons et que tu te farcisses les filles par tous les trous possibles. Ouvre-leur le cul maintenant que tu sais que c’est par-là qu’elles jouissent le plus !

NB : Lire « Le mâle dominant ».

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