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Mike – Les gènes de la famille – Chapitre 1




Mike : Les gènes de la famille

Dans le récit précédent vous avez découvert mes relations avec ma tante, sa fille ma cousine et pour finir avec ma mère !

Vous avez compris que ces femelles on besoin d’un mâle avec certaines capacités (moi bien sûr) pour qu’elles jouissent pleinement, lors de leurs relations sexuelles. Il semble que cette prédisposition soit héréditaire ! Et comme ma famille ne se limite pas à ces 3 femmes voici le reste de la famille.

Chapitre 01 : Élodie et Nath débarquent

Eh bien, le joyeux ou triste vendredi arrive et tous les quatre on espère que cela passera vite afin de reprendre nos ébats familiaux.

Maman et moi profitons que Janine et Marilyn sont parties chercher Élodie et prendre quelques courses pour baiser une dernière fois avant son arrivé.

En rentrant Marilyn a crié assez fort pour nous faire savoir qu’ils étaient de retour, et que sa mère suivait derrière avec Elodie. Maman pousse un soupir bien quelle soit juste au bord de sa jouissance et elle se masturbe le clito en même temps que je la baise !

Soudain j’entendis Janine crié :

— ÉLODIE ! OH MON DIEU C’EST SI BON DE VOUS VOIR, ÉLODIE !

Marilyn est tout aussi volubile dans son accueil afin de nous prévenir.

— Dépêche-toi, plus vite ! Oh je veux jouir ! Dieu, je dois encore jouir ! Baise-moi Sacrebleu et faites-moi jouir ! Merde, merde, merde, merde ! Pourquoi elles arrivent si tôt ! Oh Mike baise-moi plus vite, j’ai besoin de sperme une fois de plus !

Maman a un regard désespéré et je la prends le plus vite possible.

— Marie, jy suis presque, ouiiiii…Oh putain, Marie, je jouiiiis ! Jouis avec moi, vas-y lâche toi !oh merde !

La chatte de maman broie ma bite et une seconde après moi elle par dans un orgasme foudroyant. Nos bouche restent collée afin datténuer nos cris de jouissance et elle me mord même ma lèvre.

Dès que son orgasme prend fin, maman roule hors de moi, me donne un rapide baiser avant de me chuchoter de me dépêcher et de descendre les escaliers. Puis elle enfile rapidement un sweat-shirt et une jupe et se dirige vers les escaliers.

J’essuie rapidement les traces de sperme et de cyprine sur mon bas ventre et enfilant un short et un polo je descends pour saluer ma sur en pensant que 15 jours cest terriblement long et en espérant quElodie ne découvrira pas je que je fais avec sa mère !

Avant que je natteigne le bas de l’escalier Élodie crie :

— MIKE, Quelle joie de te voir… tu mas terriblement manqué !

Et courant vers moi elle me prend dans ses bras et métreint longuement. Elle se frotte même contre moi et je la sens respirer assez fort. Elle me regarde bizarrement en reniflant et chiffonnant son nez elle me murmure à loreille :

— Doux Jésus Mike, nous devons parler tous les deux et en privé !

Regardant par-dessus son épaule jai une vision…. Dans lencadrement de la porte dentrée resté ouverte une jeune femme dune beauté parfaite passe le seuil de la porte !

Je suis sûr que je dois ressembler à un mendiant voyant le messie !

Cette créature savance vers moi et dit dune voix suave :

— Bonjour, je suis Nath, et tendant sa main vers moi :

— vous devez être le frère de ma compagne de chambre!

Élodie me donnant un coup de coude je récupère assez pour dire :

— Euuh, oh, Salut, je suis Mike et très heureux de vous rencontrer.

Regardant brièvement de ma sur, je lui dis :

— Dis donc petite sur, tu ne mas pas prévenu que tu venais avec une amie, et de plus dune telle beauté !

Élodie grogne pendant que Nath répond :

— Bien aimable… je vous remercie pour le compliment, Mike, et vous êtes pas mal non plus.

********

Deux heures plus tard Élodie me retrouve seul dans le garage et me coinçant contre létablit, elle me dit :

— Mike dis moi… tas une petite amie… qui cest ?

— Hein ? Quest ce que tu racontes ?

— Eh… pas la peine de me le cacher, quand je tai pris dans mes bras lodeur de sexe était si forte que tu as du faire lamour il ny a pas longtemps ! Ce qui métonne cest que personne d’autre dans la maison na semblé le remarquer !

— Quest ce que tu raconte, tu divague…

— Écoute, si ce nest pas toi avec ta petite amie, il va falloir que je demande à maman de nettoyer la maison de cet air vicié !

Je commence de nouveau à nier quand elle me coupe avec :

— Merde ! Mike, ne me prend pas pour une conne et je ne suis plus une petite fille ! Jai déjà couché avec des gars et donc je sais très bien à quoi correspond cette odeur !

Je la regarde les yeux écarquillés par la surprise et elle ajoute doucement :

— Et si cest toi qui te branle tout seul, arrête de te masturber dans toute la maison ! L’odeur est partout ! Non seulement ça entête, mais je suis terriblement gênée que Nath te rencontre lorsque tu Pue littéralement le sperme !

— Un beau mec comme toi doit-être en mesure de trouver une petite amie qui peut taider à te purger si ton sperme te monte à la gorge ! Ou alors tape dans tes économie et va te faire sucer par une pute ou plusieurs si ça déborde !

— Merci pour tes paroles si aimables, surette, dis-je avec sarcasme. Pour ta gouverne je ne ’branle pas’ dans toute la maison et si cest mon odeur naturelle il va falloir que je change de parfum !

— En tout cas tu ne sentais pas comme ça quand je suis parti !

— Alors cest mes phéromones qui entre en ébullition ! Dans le cas où tu ne laurais pas remarqué, Marilyn et Janine sont plutôt bandantes et ça ne métonnerais pas quen plus quelles soient « chaudes » !

— Janine ? C’est de ta tante Janine que tu parles ! Cest de notre tante, tas pas oublié ! Et Marilyn cest ta COUSINE ! Mon Dieu, mon frère se transforme en un salaud de pervers !

— Pas plus que n’importe quel autre gars de mon âge. Et notre tante m’a dit de lappeler Janine, tu vois…

— Eh bien, si cest comme ça ! Mais merde, s’il te plaît, va prendre une douche et garde ton truc qui pue dans un slip étanche ! Je veux que Nath passe du bon temps ici et cela n’inclut pas de sentir ton odeur de bouc !

J’en ai entendu assez, je la prends dans mes bras et je la serre contre moi :

— Merci beaucoup de prendre soin de moi petite sur ! Je suppose quil va falloir que je suive tes conseils…

Je lembrasse sur la joue en remarquant quelle se tortille pour enlever sa main coincée sur le dessus de ma bite ! Mais en essayant de déplacer sa main vers le haut elle inverse le sens et m’attrape par la queue et des couilles.

— Oooh merde ! Veux-tu bien lâcher ça ! Sur de mauvaise foi.

Je la repousse gentiment et elle me libère ma bite en disant :

— Doux jésus, frérot… tu bandes quand tu membrasse ! Tu …. Non… tes vraiment un pervers !

— Tes gonflée ! Tu me prends la bite dans ta main et cest moi le pervers ! Tu ne manque pas de culot ! Et pour ton information je ne bande pas ! Il men faut un peu plus !

— Tu me prends pour une conne ! Jai assez tâté de queue pour reconnaitre une bite qui bande et une au repos !

— Oh non, surette tu dois encore compléter ta formation dans cette matière.

Me regardant avec un éclair dans les yeux,

Élodie se rapproche et repose sa main sur la bosse de mon pantalon et :

— Si ce nest pas une queue qui bande moi je me fais bonne-sur.

Et ses yeux dans les miens elle serre doucement lobjet de notre discussion et le caresse un peu.

Bien évidemment ça gonfle un peu plus !

— Oooh mais… ça grandit encore ! Putain… jai déjà baisé avec des mecs bien foutus mais avec ça cela doit être plus difficile ! Tu dois avoir du mal à trouver des filles qui se laisse baiser avec un engin pareil ! Pas étonnant que tu dois te branler pour te soulager !

Cest tout juste si je lécoutais en essayant de maitriser mon érection qui maintenant déformait complètement mon short. Par contre le comportement Élodie a complètement évolué et ses yeux ont quittés les miens pour se porter sur ma bite quelle prend entièrement dans sa main et quelle commence à caresser.

Sa main continue lentement de me caresser et doucement elle dit :

— Oh mon Dieu, Mike ! Je suis tellement désolée. Je suis désolé pour tout ce que j’ai dit, oh mon Dieu, Mike !

Alors que jatteins ma pleine érection et que mon gland dépasse largement de la ceinture élastique du short, elle regarde sa main qui caresse ma bite sur toute sa longueur en la palpant inconsciemment.

— Je… oh… mon Dieu…je… oh merde… euh…

Elle retire brusquement sa main et la porte à sa bouche et les joues toutes rouges mais les yeux toujours bloqué sur mon entrejambe :

— Oooh… nonnn… je ne crois pas que j’ai fais ça ! Oh je suis tellement désolé Mike ! S’il te plaît pardonne-moi !

Puis elle se précipite hors du garage avec un regard égaré, encore surprise de ce quelle vient de faire.

Et moi, je reste là, la bite en lair sortant de mon short et je me demande comment je vais pouvoir revenir dans la maison.

En réponse à mes prières, Marilyn, qui devait nous espionner, se glisse dans le garage et dit :

— Eh bien, Eh bien, quest ce que je vois là ! On dirait que tu as besoin d’aide, et je pense que je suis justement la fille adéquate ! Cependant…Je suis curieuse de savoir comment tu as fais pour être dans cet état. Donc je vais taider si tu me raconte ce qui cest passé ici !

Sans autre option, j’accède volontiers à sa demande et je lui dis tout sur la conversation entre Élodie et moi.

Jai tout juste commencé mon récit quelle baisse mon short et inhale mon pieu dressé et elle me fait une de ses pipes plus rapide jamais. Après avoir avalé la dernière goutte de mon sperme, elle membrasse le bout du gland avant de le mordre doucement et de remettre le paquet dans mon short.

— Putain, ça fait du bien et ça me soulage !

Je suis heureux qu’elle ait fait ça ! Je ne sais pas comment je vais tenir le coup pendant ces vacances !

Marilyn lèche ses lèvres puis dit :

— Je pense que tu devrais rentrer le premier dans la maison.

Je me demande pourquoi elle me dit ça avec une étrange intonation.

Je lui donne un baiser rapide avant de partir. Quand jentre dans la cuisine je trouve les filles en pleine discussion et riant par moment. Élodie me regarde, puis elle baisse rapidement ses yeux vers mon entre jambe et elle rougit.

Lentement, elle relève ses yeux et me donne un demi-sourire.

Environ une minute plus tard Marilyn entre et se dirige vers nous en disant :

— Le ciel est magnifique ce soir.

Et se dirigeant vers Élodie :

Dieu, que cest bon de te revoir ! Tu mas beaucoup manqué !

Le dernier mot à peine sorti de sa bouche elle l’attrape par le cou et l’embrasse sur les lèvres. Je vois ma sur qui est surprise mais je vois surtout le regard interrogateur quelle a quand Marilyn pousse sa langue dans sa bouche. Marilyn se retire en disant :

— Merci d’être venue ! On va samuser comme des folles !

Ma sur regarde Marilyn, puis mon entrejambe, puis Marilyn, puis moi, tout ça en fronçant les sourcils, avant de se lever et de quitter la pièce.

J’attends cinq minutes environ avant d’aller la retrouver. Je frappe à sa porte et elle dit doucement :

— qui que ce soit, allez-vous en jai besoin dêtre seule !

— Élodie, sil te plait… laisse moi entrer, nous avons besoin de parler.

Je tournais le bouton, quand elle a commencé à me dire dentrer. Jentre et referme la porte. Ma sur est assise sur son lit, ses jambes tirées vers le haut de sa poitrine avec ses bras enroulées autour de ses tibias.

Élodie courbe davantage son dos sur son lit en gémissant

« Salaud ! »

Je massoie prés delle et elle me dit sans me regarder

— Elle m’a fait goûter ton sperme ! Hein, cest ça ?

Et toujours en regardant ses pieds.

— Eh bien ! Avoue ! Elle ta sucé cette salope ! Pourquoi elle à fait ça ? Pourquoi tu las laissé te sucer la bite ?

Élodie haletait en disant cela et je reste assis là tranquillement, attendant quelle se calme.

— Je ne comprends pas ce qui se passe ici !

Puis plus calmement :

— je me réjouissais davance de passer plusieurs jours avec toi et à peine arrivée, jai déjà branlé mon frère et ensuite ma cousine me passe ton sperme dans un baiser sur la bouche ! Ce n’est surement pas comme ça que les choses sont censées être !"

— Je ne savais pas qu’elle aurait le culot de faire ça, surette !

— Mais… mais tu savais qu’elle le pouvait ! Mon Dieu, Marilyn est notre cousine ! Comment peux-tu nous faire ça à nous !

— Si je me souviens bien, c’est toi qui a saisit ma bite et la rendue dure comme un roc ! C’est toi qui mas ensuite laissé la bite en lair et personne pour prendre soin d’elle ! Est-ce ma faute si Marilyn est entré dans le garage et, voyant mon embarras, à décider daider son pauvre cousin abandonné dans cet état !

Élodie me regarde et répond doucement :

— non, cest peut être pas entièrement de ta faute, mais c’est notre cousine ! Ce nest pas normal ! C’est de linceste, tu devrais le savoir !

— Je te rappelle que nous somme cousin par alliance seulement et qui était sensé me soulager après que tu mabandonne dans cet état ? Il faut peut être que je te dise merci pour mavoir excité et puis partir sans moffrir ton aide !

— Mais je suis ta sur ! Enfin presque !

Quelques instants sécoulent avant quelle demande timidement :

— Elle ta vraiment sucé ou elle ta juste branlé ? Enfin… je veux dire, juste éjaculer dans sa bouche ?

— Non, elle ma sucé jusqu’à ce que je me vide dans sa bouche ! Par moment avec ses mains mais elles étaient le plus souvent sur mon cul pour me maintenir !

Ma sur semble réfléchir et me regardant elle continue ses questions :

— mais, comment peut-elle garder ton gland en bouche si elle ne tient pas ton sexe avec une main ?

— Pourquoi penses-tu quelle a sucé seulement mon gland ?

— Elle a pris plus que le bout de ta bite ?

— Ouais.

— Comment, euh, je veux dire combien en plus ?

— Ça alors ! Ten pose des questions petite sur !

— Eh bien ? demanda-t-elle, ignorant ma réflexion.

— tout.

— Elle a fait quoi ? demande ma sur incrédule.

— Comme je viens de te le dire… Tout !

— Tout quoi… toute ta…

— Ben oui… toute entière.

— non…pas entièrement ?

— Si surette, jusquau bout, à raz des couilles !

— mon Dieu, ce nest pas vrai ! Aucune bouche ne peut avaler un truc pareil !

— Eh bien si, croie-moi ; Notre cousine est une chaudâsse qui peut le faire !

— je ne peux pas te croire ! Il faudrait que je le voie moi-même pour croire ce mensonge !

— comment diable puis-je faire ? Je ne vais quand même pas entrer dans sa chambre avec toi et lui demander :

— Fait moi une gorge profonde pour montrer à ta petite cousine comment on avale une grande queue comme la mienne !

Je la regarde un instant avant de massoir sur son lit et de mettre, sans arrière pensée, une main sur son genou. Élodie hésite brièvement sur sa réponse :

— Désolée frérot, cest juste que je nai jamais vu une bite aussi grande que la tienne…

— Jamais ? Même pas une seule ?

— Prétentieux ! De toute façon, je sais que si lun de mes petits amis avait eu une bite monstrueuse comme la tienne je naurais pas pu avaler un truc pareil, donc cest difficile de croire quelle la fait !

— Tu sais… si tu ne me crois pas, tu peux lui demander directement ! Mais la seule façon pour toi de savoir si cest possible… cest de faire un essai toi-même !

— Mike ! Comment oses-tu me demander une chose pareille ! Sort dici !

— Hey, ne joue pas à la sainte nitouche ! Tu me donne des signaux contradictoires ses dernières heures et même ses derniers temps.

Élodie me jette un regard perplexe, alors je continue :

— Cest bien toi qui a glissé ta langue dans ma bouche quand on ta laissé à l’université au mois d’août. C’est toi aussi qui a appuyé tes seins contre ma poitrine plus tôt aujourd’hui. Et c’est bien toi qui a frotté sa chatte contre ma cuisse, quand tu mas embrassé !

Et c’est toi qui mas donné les prémices d’une branlette dans le garage ! Et tas le culot de demander comment je peux te suggérer ça !

— Il faut grandir petite sur ! Assure-toi bien de savoir ce que tu fais avant de lancer des messages érotique à un garçon !

Et je me lève pour sortir quand elle sécrie :

— Arrête ! S’il te plaît reviens ici ! S’il te plaît, Mike!

Lentement, je reviens vers le lit, et marrêtant devant elle je vois quelle regarde mon entre jambe :

— Euh…, Mike tu veux bien tasseoir ?

— Et pourquoi devrais-je ?

Élodie ne dit rien, alors je me lance :

— Élodie arrête de fixer mon entrejambe ! Je sais ce que tu veux ! Tu meurs denvie dessayer ! Et je crois que tu peux le faire sans problème !

— Non, je ne pourrais pas !

Au moins, elle na pas dit « impossible », ou « je ne veux pas », ce qui est un bon signe !

— Crois-moi ! Je sais que les femmes de ta famille peuvent prendre une bite comme la mienne, très facilement !

Lentement, Élodie sapproche vers moi les yeux verrouillés sur mon entrejambe. Puis elle se laisse glisser hors du lit sur ses genoux devant moi. Elle lève les yeux vers moi en disant :

— pas de promesse, frangin, je le ferai, je veux dire, je veux essayer, mais je ne pense pas que je peux le faire !

— Mais si, petite sur, tu peux et ça va être bon ! Je te le promets.

— bien !

A-t-elle déclaré catégoriquement en attrapant mon short et le faisant glisser sur le sol.

— Mon dieu… je ne peux pas croire que je fais cela. Je crois bien que jaurais du baiser avant de quitter luniversité !

Elle commence à haleter quand ma bite déjà a moitié en érection se balance à quelques centimètres de ses lèvres.

— Oooh la vache, Mike, je nen ai jamais vu daussi grande avant !

Me tenant dans ses mains, elle gémit disant :

— OOOOh, putain ! Et tu nes pas encore totalement dur ! Oh merde, je ne peux pas faire ça, Mike ! Je suis désolé, mais je ne peux vraiment pas faire cela !

Doucement je la maintiens en position, et lui dit :

— Approche, viens faire un essai, Élodie. Si tu ne peux pas le faire après seulement cinq minutes, alors je suppose que je devrais aller retrouver Marilyn !

— Salaud ! Je tinterdis de mentionner son nom à nouveau ! Et cinq minutes me paraissent trop longues étant donné que la plupart des gars que jai sucés, sont venus avant d’atteindre la limite de cinq minutes !

Élodie regarde mon gland bulbeux pendant quelques instants avant de dire :

— Oh, quil est beau ! bien, je vais essayer de le faire !

— Tu vas devenir une grande fille ma chère sur… et pour ta gouverne je nai jamais jouis en cinq minutes ou moins, jamais !

Élodie prend mon manche dans ses mains et lentement met sa bouche sur mon gland. Juste avant d’arriver sur lui elle me regarde avec un air apeuré sur son visage.

— Prends ton temps ma chérie, il n’y a pas d’urgence.

Appuyant ses lèvres sur mon gland jai droit à un faible sourire et ouvrant sa bouche elle enfonce doucement la totalité du gland entre ses lèvres. Maintenant en bonne position elle augmente lentement son aspiration autour de ma tête bulbeuse et sa langue commence à donner des pichenettes autour, sur le frein et caresse ma couronne de peau décalottée sous mon gland.

Je gémis de plaisir aux sensations des plus agréables quelle me procure.

Élodie sort ma bite de ses lèvres et en haletant :

— mon Dieu, Mike, ta bite est si grosse ! Je ne peux pas croire que je fais ça, c’est tellement surréaliste ! Mais je suis heureuse de voir que je le fais assez bien et que tu a lair dapprécier !

Prenant une grande respiration et elle se penche et reprend ma bite en bouche mais elle ne lenfonce que de quelques centimètres. Ma sur reprend ses succions sur mon gland mais résiste à une légère pression de mes mains sur sa tête.

— Élodie, tu dois essayer den prendre plus ou les cinq minutes seront passées et on ne saura pas si tu es douée pour les pipes ! S’il te plaît surette, vas-y bouffe ma bite et fais toi plaisir en même temps. Tu sais que tu peux tarrêter si vraiment tu ne peux pas le faire.

Élodie me regarde dans les yeux avant de dire

— Oh mon Dieu ! Cest boooonnnn… mais quest ce que tes gros !

Puis, tout en gardant ses yeux verrouillés sur les miens et en gémissant de plaisir elle sourit et senfonce plus de la moitié de ma queue dans sa bouche et apparemment sans effort ! Je sens même louverture de sa gorge !

C’est alors quelle remarque jusquou elle est allée, et, les yeux exorbités, elle maintient ma bite dans sa bouche quelques secondes. Elle serre de sa main droite la base de mon sexe et tout doucement en suçant et léchant de sa langue elle retire le pieu qui envahissait sa bouche.

— Ouuaahhhh…frérot !

Elle regarde sa main qui a du mal à faire le tour de ma queue tellement gonflée en sachant que cest ma sur qui me fait ça, elle ajoute :

— Putain de merde ! Je n’ai jamais réussi à prendre une si grosse bite dans ma bouche sans presque vomir mais là… je lai fais ! Et facilement ! Tes quand même énorme ! Néanmoins tu tajuste parfaitement à ma bouche ! Et jaime… cest boooonnnn…

Élodie lèche ses lèvres puis avidement revient sur mon sexe luisant de sa salive.

— Tu sais frérot, pour la première fois dans ma vie, jai vraiment envie de sucer la bite d’un mec, et de lavaler complètement pour me régaler de sa texture, de son gout et de son odeur. C’est tellement irréel… Je ne peux pas croire que je pense de cette façon et avec la bite de mon propre frère ! Oh mon Dieu, je… oh et puis merde ! Jen veux encore et je vais te faire jouir salaud de frangin

Et elle me reprend en bouche les lèvres étroitement serrées autour de ma queue.

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